Je me rappelle, quand les travaux ont commencé ( de rénovations) on parlait de la disparition des grosses colonnes de céramiques rouges et qu’elles allaient ‘‘ré-apparaitre’’ sous une autre forme ailleur… je me demande si l’idée a juste été scrapée, car la grosse majorité des travaux muraux sont complétés… dommage que la STM n’est pas tenue sa promesse.
De plus, je trouve vraiment dommage que les appliqués muraux en métal avec des cercles (comme sur la première photos) ont juste été jetés, car ils étaient probablement uniques et on auraient pu rétrofiter un éclairage LED…
Un grand projet de travaux extérieurs débutera au cours du mois de juin 2022 avec le remplacement du système d’étanchéité qui protège le toit souterrain de la station et la modernisation des infrastructures souterraines désuètes. En plus, nous profiterons des travaux en cours pour initier les travaux d’accessibilité universelle vers les quais de la ligne jaune du métro.
Durée des travaux :
Travaux préparatoires : 30 mai 2022 pour deux semaines
Phase 1 : 13 juin 2022 – hiver 2023
Phase 2 : présentement en cours de planification, échéancier prévu en 2024-2025
Nature des travaux : Remplacement du système d’étanchéité recouvrant le toit souterrain de la station, installation de deux ascenseurs sur les quais de la ligne Jaune, réfection du système protection incendie, mise à niveau des installations de ventilation naturelle, réfection extérieure de l’édicule Sainte-Catherine.
L’édicule Sainte-Catherine, situé au 505, rue Sainte-Catherine Est, sera fermé lors de ces deux phases afin de permettre des travaux de réfection de l’enveloppe du bâtiment et de la toiture ainsi que le remplacement des refroidisseurs d’eau située dans cet édicule.
Pour accéder au métro ou sortir à l’extérieur de la station, les clients pourront emprunter l’édicule Berri ou l’un des autres accès tels que présentés sur le plan du secteur.
J’ose espérer que les travaux sur l’UQAM terminent et qu’on retire l’échafaudage au-dessus de l’entrée Berri, car ça amène les incivilités et que la STM va être plus ‘‘présente’’ dans cette sortie qui actuellement sert de fumoir, quand ce n’est pas une toilette ou une dump…
Parlant de ça, avec le square bientôt amputé, faudrait que la ville répare la toilette autonettoyante, ce n’est pas normal qu’elle soit fermée à 19:00 ou constamment en maintenance…
Reportage radio de René Saint-Louis sur les travaux de la station
Les travaux à l’intérieur de la station de métro Berri-UQAM ont commencé en 2008 et s’achèveront en… 2025. Pourquoi est-ce aussi long? La réponse à 16h35 au 95,1FM
Pour les usagers su métro Berri-UQAM, il y a les travaux visibles : les ascenseurs, les finis muraux et les plafonds remplacés dans les années 2010. Mais il y a aussi des travaux invisibles, explique René Saint-Louis.PHOTO : Radio-Canada / René Saint-Louis
Certaines personnes en sont embêtées, alors que d’autres ne les remarquent même plus : les travaux à la station de métro Berri-UQAM sont en cours depuis maintenant… 15 ans! Et ce n’est pas encore la fin; ils devraient s’étaler jusqu’en 2025. Le fait que l’on ne peut pas fermer cette station de métro, comme on l’a fait pour les travaux aux stations Outremont et Beaudry, influence nécessairement la durée des rénovations, puisque les heures pour les travaux sont très limitées.
Le journaliste René Saint-Louis s’est intéressé à l’ensemble des travaux qui y sont effectués, tant ceux qui sont visibles que ceux qui ne le sont pas pour les usagers.
La station de métro Berri-UQAM est de loin la plus grande station du métro de Montréal, donc la superficie à excaver pour avoir accès au toit est plus grande. Le fait que le secteur compte beaucoup d’infrastructures souterraines critiques comme l’aqueduc et des lignes électriques ajoute à la complexité des travaux.PHOTO : Radio-Canada / René Saint-Louis
Un grand chantier bat son plein à la station Berri-UQAM du métro de Montréal. Cette station est l’une des 21 qui ont ouvert leurs portes en 1966. Il faut cependant refaire la membrane d’étanchéité de chacune des stations pour les protéger des infiltrations d’eau, comme ces membranes ont atteint la fin de leur durée de vie utile. Les travaux ont commencé en juin 2022, et ce qui surprend, ce n’est pas tant leur ampleur que leur durée : les travaux vont se poursuivre jusqu’en 2025, notamment en raison de la présence d’infrastructures souterraines critiques.
Le journaliste René Saint-Louis est allé visiter le chantier de la station Berri-UQAM. Dans son reportage, il explique plus en détail en quoi consiste ces travaux de réfection.
7 août 2023 à 15h11 - Mis à jour 7 août 2023 à 15h12 2 minutes de lecture
Fermé depuis novembre, l’édicule de la rue Sainte-Catherine au métro Berri-UQAM rouvrira ses portes mardi.
Toutefois, une zone de travaux sera maintenue à l’intérieur et à l’extérieur, notamment sur la place Émilie-Gamelin, précise la Société de Transport de Montréal (STM). Quant aux portes d’accès situées du côté est de l’édicule, elles resteront fermées.
Les travaux de réfection majeure de l’édicule Sainte-Catherine s’inscrivent dans le cadre d’un projet de modernisation de la station Berri-UQAM. Les travaux extérieurs, qui ont débuté au mois de juin 2022, visent à remplacer le système d’étanchéité protégeant le toit souterrain de la station.
La STM profite de ces rénovations pour moderniser les infrastructures souterraines désuètes, installer deux ascenseurs menant vers les quais de la ligne jaune, refaire le système de protection incendie et les systèmes d’eau refroidis, mettre à niveau des installations de ventilation naturelle, ainsi que pour rénover l’extérieur de l’édicule Sainte-Catherine.
La station Berri-UQAM, qui relie trois lignes de métro, demeure accessible en tout temps à l’intérieur des heures d’ouverture du métro.
De nouveaux travaux majeurs sont à prévoir dans le secteur de la station Berri-UQAM.
L’Est du Village, un secteur déjà sinistré, n’en a pas fini avec les chantiers majeurs : la Société de transport de Montréal (STM) excavera une bonne partie du parc Émilie-Gamelin et des rues environnantes pour imperméabiliser la station Berri-UQAM.
Ces travaux, qui promettent de donner des maux de tête dans le quartier, constitueront la seconde phase du projet responsable de la fermeture actuelle du boulevard De Maisonneuve.
« La réalisation des travaux nécessite une excavation à ciel ouvert afin d’atteindre le toit de la station et de pouvoir remplacer [la] membrane dont la fonction est de prévenir les infiltrations d’eau dans le métro », indique un document d’appel d’offres récemment publié par la STM. La membrane, en mauvais état, date de la construction du métro, en 1966.
Ce document mentionne que les travaux sont prévus pour 2024-2025. Dans un courriel, l’organisation a indiqué que le chantier n’ouvrirait finalement « pas avant 2025 ».
« La mise en place d’un chantier d’une telle d’envergure localisée dans un secteur aussi névralgique de la ville apporte inévitablement des impacts pour les riverains et nous en sommes bien conscients », a indiqué une porte-parole de la STM, Justine Lord-Dufour, par courriel.
C’est d’ailleurs pourquoi le projet a été pensé et planifié en plusieurs phases subséquentes, de manière à atténuer les impacts sur le secteur et la clientèle.
Justine Lord-Dufour, porte-parole de la STM, au sujet du centre de transport
Mme Lord-Dufour a souligné que ce projet avait fait l’objet de communications depuis 2019, notamment avec les « organismes riverains ».
Ces travaux devraient contribuer à réduire les nombreuses fuites d’eau qui affligent la « station la plus achalandée du réseau ». La Ville de Montréal en profitera pour faire élargir ses pistes cyclables dans la rue Berri et sur le boulevard De Maisonneuve, ajouter plus de 100 arbres et effectuer une « revalorisation de la place Émilie-Gamelin ».
Ces travaux devraient contribuer à réduire les nombreuses fuites d’eau à la station Berri-UQAM. Ci-dessus, un dégât d’eau en 2016.
Sur la voie de garage
Le document d’appel d’offres consulté par La Presse évoque aussi d’autres projets immobiliers peu ou pas connus de la STM.
Le plus important : le centre de transport de l’Est, un immense garage d’autobus projeté sur un terrain acheté à l’angle des rues Souligny et Dickson dans Mercier–Hochelaga-Maisonneuve. Le projet devait être mis en chantier en 2020 et accueillir ses premiers autobus cette année. Facture prévue : 370 millions.
« Un site de plus de 50 000 mètres carrés dans l’est de Montréal a été acquis par la STM, à la suite de l’étude de faisabilité, en vue de la construction du centre de transport de l’Est, indique le document. Le projet est présentement en attente de financement. »
Par courriel, la STM a précisé que « l’échéancier global du projet reste à établir, notamment pour tenir compte [des] besoins en électrification et des centres qui devront être transformés en priorité. Le tout, dans un contexte où [les] besoins opérationnels évoluent aussi, notamment en fonction de l’achalandage prévu dans les prochaines années ».
Il n’est pas prévu pour le moment que ce centre de transport soit souterrain.
Justine Lord-Dufour, porte-parole de la STM, au sujet du centre de transport
Le dernier projet du genre de la STM, le centre de transport Bellechasse, connaît des dépassements de coûts et d’échéanciers importants parce qu’il est construit partiellement sous terre, une tâche beaucoup plus complexe et coûteuse que prévu.
L’appel d’offres qui détaille ces projets servira justement à trouver une firme spécialisée en matière de gestion de risque. La STM présente ces cas aux potentiels soumissionnaires afin de les informer du type de dossiers qu’ils auront à analyser.
Ventilation, ascenseurs et électricité
Des projets de moindre ampleur sont aussi inclus. L’organisation entend notamment construire un nouveau poste de ventilation mécanique sur les terrains des Habitations Jeanne-Mance, au centre-ville, qui prendrait la forme d’un faux triplex. Cet équipement se trouvera entre les stations Berri-UQAM et Saint-Laurent.
Futur poste de ventilation mécanique, caché dans un faux triplex des Habitations Jeanne-Mance
« Plusieurs postes de ventilation mécanique ont atteint la fin de leur durée de vie utile », indique la STM. « Ce projet a fait l’objet d’une étude de faisabilité et la réalisation des plans et devis débutera dès que le financement du programme Réno-Système […] sera confirmé. »
Elle prévoit aussi un agrandissement de la station De l’Église, à Verdun, afin d’accueillir un ascenseur. « Ce projet a fait l’objet d’une étude de faisabilité et la réalisation des plans et devis est en cours », indique la STM dans son document. « La mise en œuvre débutera dès que le financement […] sera confirmé. »
Finalement, l’opérateur de transports en commun compte construire un poste abaisseur de tension électrique « à l’arrière de la station Lionel-Groulx dans un parc de l’arrondissement [du] Sud-Ouest », toujours selon l’appel d’offres. « Afin d’augmenter son acceptabilité sociale », il serait dissimulé. « Le secteur a déjà subi plusieurs transformations du fait des travaux de la STM et conséquemment [l’adhésion des voisins] au projet est très mitigée. »
La porte-parole Justine Lord-Dufour a nuancé cette version des faits : « Plusieurs solutions sont toujours à l’étude et il n’est pas possible pour le moment de confirmer qu’une nouvelle structure sera requise dans le cadre de ce projet. » « Comme pour plusieurs autres projets de la STM liés au métro, celui-ci se trouve dans un contexte hautement densifié, et nous sommes déterminés à faire preuve d’une approche diligente et collaborative pour minimiser les impacts sur les riverains », a-t-elle ajouté.
Je trouve que le nom de ce dépanneur est une occasion manquée, surtout dans la mesure où c’est une jeune entreprise montréalaise. “Dép-à-Kale” aurait été une option intéressante pour le rapprocher du marché montréalais. KaleMart est non seulement anonyme, mais se rapproche aussi beaucoup des chaînes K-Mart et Circle-K.
Suis-je le seul à avoir l’esprit mal tourné, en trouvant que c’est facile à déformer à l’oral en “Quelle m*rde” ? Il me semble que c’est le genre de chose à étudier quand on choisit un nom de marque/produit. Cf : Audi e-tron, Mazda Laputa, Les dents de la mer 2, etc.
