Sports professionnels à Montréal - Actualités

Ça ne va pas bien pour le CF Montréal :soccer:

Au cœur d’un début de saison misérable, le CF Montréal a démis lundi de ses fonctions son entraîneur-chef Laurent Courtois. L’entraîneur adjoint Marco Donadel assurera l’intérim.

Aucun autre changement n’a été effectué au personnel d’entraîneurs.

Le président et chef de la direction de l’équipe, Gabriel Gervais, rencontrera les médias en personne plus tard lundi, à 14 h 30 (HAE).

Le CF Montréal montre une fiche de quatre défaites et une nulle depuis le début de la saison 2025 de la Major League Soccer (MLS). Il n’a inscrit que deux petits buts et en a accordé neuf. Il occupe le 15e et dernier rang dans l’Est.

Ça va mal depuis des années… Ils licencient constamment leurs entraîneurs, vendent tous leurs jouers de talents et n’ont pas de joueurs vedettes. La seule chose sur laquelle on peut compter, c’est l’instabilité constante de ce club.

L’équipe de basketball va jouer un match extérieur au stade IGA :basketball:

La Ligue élite canadienne de basketball (LECB) tiendra un match extérieur ce printemps. L’Alliance de Montréal accueillera les BlackJacks d’Ottawa au Stade IGA le 23 mai à 20 h, à l’occasion du deuxième match de sa saison.

Selon la LECB, il s’agira du premier match extérieur de basketball professionnel à cinq contre cinq de l’histoire du Canada.

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Les soirées de hockey en série éliminatoires sont excellentes pour les affaires dans ce secteur de la ville et apportent vraiment un incroyable dynamisme qui peut attirer même ceux et celles qui ne sont pas fans de hockey. L’ambiance dans les rues est électrique.

Il n’y a pas de fil sur le Canadien spécifiquement? J’en ai trouvé un sur les Alouettes par l’engin de recherche mais je n’arrive pas à en trouver sur les Habs.

J’ai pris la liberté d’ouvrir un fil sur le Canadien de Montréal, un sujet récurrent qui devrait refaire surface régulièrement.

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https://www.journaldemontreal.com/2025/05/12/avec-la-terrible-edition-2024-du-grand-prix-du-canada--le-futur-de-la-f1-a-montreal-est-en-examen

« Je tiens à rassurer l’ensemble des Montréalais comme quoi le Grand Prix de Montréal est ici pour rester. Ça fait plusieurs mois qu’on discute avec la F1, son PDG Stefano Domenicali, le gouvernement du Québec et le fédéral. Puis, on a très hâte de pouvoir faire une annonce très prochainement », a assuré Mme Plante lundi, en marge d’une séance du conseil municipal de la métropole.

Elle réagissait ainsi à des révélations du Journal de Montréal voulant que le processus de négociation pour prolonger le contrat du Grand Prix serait au neutre. Ultimement, tout pourrait donc dépendre du succès de l’édition 2025, selon le média.

Or, les négociations vont bien actuellement, a plutôt promis la mairesse. « On a investi dans les paddocks, puis on a toujours soutenu cet évènement qui marque le début des festivités de l’été. Montréal va demeurer une ville de Formule 1 », a persisté Mme Plante.

À l’été 2024, pendant la dernière édition du Grand Prix, plusieurs choses n’avaient pas fonctionné, dont une rupture de communication entre le circuit et la police qui a empêché des membres d’équipes et des spectateurs d’accéder au site.

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Toronto and Vancouver have always wanted our F1… I would not be the least surprised if it’s Toronto biz men that are pressuring F1 to go to their city :nerd_face:

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L’improvisation de l’année 2024 semble avoir eu son effet. Dommage pour l’image de Montréal à l’international. Une réputation prend des années à se construire et à peine quelques jours à démolir. En espérant qu’on puisse limiter la portée de ce contexte.

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Le promoteur du Grand Prix du Canada et la Ville de Montréal ont pris les grands moyens pour rétablir la réputation de l’événement après une édition 2024 qu’ils ont qualifié de « tempête parfaite » : jumelés à de fortes averses, de nombreux problèmes organisationnels avaient donné des maux de tête au public et aux membres des écuries de F1.

Les organisateurs assurent cependant avoir fait leurs devoirs. Dans toute bonne crise, il y a des occasions de s’améliorer, a d’ailleurs soutenu la directrice de la Société du parc Jean-Drapeau, Véronique Doucet, à l’occasion d’une tournée médiatique des lieux, lundi.

Autrement dit, il fallait prendre le taureau par les cornes avant qu’il ne fasse plus de ravages, après l’orage de 2024. Le monde de la F1 avait vivement dénoncé cette multitude de faux pas lors d’une seule édition du Grand Prix.

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Grand Prix du Canada Du nouveau pour éviter un autre fiasco

PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE

L’édition 2024 du Grand Prix du Canada est encore bien présente dans la mémoire des Montréalais… pour les mauvaises raisons. Cette année, les organisateurs ont redoublé d’efforts afin d’éviter de connaître d’autres ratés en série. Coup d’œil en cinq points sur quelques nouveautés.

Publié à 17 h 24

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Jean-Philippe Arcand La Presse

](La Presse | Jean-Philippe Arcand)

Se coordonner pour l’accessibilité

Chantiers qui pullulent, communications déficientes : le simple fait de se rendre sur l’île Sainte-Hélène a parfois pris des allures de chemin de croix l’an dernier. Cette fois, les organisateurs se sont assurés que tous les intervenants concernés (Société de transport de Montréal, Service de police de la Ville de Montréal, Ville de Montréal, Mobilité Montréal, etc.) se coordonnent pour éviter de tels maux de tête, en autobus comme en métro. Entre autres mesures, des navettes seront déployées. De nouveaux débarcadères pour taxis et vélos ont aussi été aménagés. Des chantiers seront retardés. Ah oui, oubliez tout de suite l’idée de vous rendre au Grand Prix avec votre propre voiture : il n’y aura pas de stationnement pour vous. De fait, 97 % des visiteurs ont utilisé le transport collectif pour se rendre à l’évènement en 2024.

Le spectre d’une grève

PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE

Véronique Doucet, directrice générale de la Société du parc Jean-Drapeau

Le transport collectif, on veut bien, mais les employés de la STM ne viennent-ils pas de se doter d’un mandat de grève ? En effet. La bonne nouvelle, toutefois, c’est que les organisateurs ont reçu l’assurance que le service ne serait pas perturbé durant le week-end du Grand Prix (du vendredi au dimanche). Mais pour les divers évènements tenus en marge de la course durant le reste de la semaine, aucune garantie n’a été donnée. La directrice de la Société du parc Jean-Drapeau, Véronique Doucet, a fait savoir que l’organisation était « en représentations » auprès de la STM depuis le « tout début » des négociations pour éviter que d’éventuels moyens de pression viennent compliquer les festivités outre mesure.

Une nouvelle application

Afin justement d’offrir aux amateurs un accès direct et facile à toutes les informations nécessaires entourant la course et ses activités connexes sur le site, le Grand Prix a lancé la semaine dernière une toute nouvelle application, offerte pour les appareils Apple et Android. Grâce à celle-ci, les usagers pourront recevoir des notifications en temps réel sur divers sujets concernant l’épreuve, comme les déplacements vers et sur le site, les consignes de sécurité et des alertes météo. Des détails à propos des divers évènements d’animation seront aussi fournis, de même que sur l’offre alimentaire, qui a été revue pour satisfaire cette « ville de foodies » qu’est Montréal, dixit Sandrine Garneau, cheffe de l’exploitation, marques et stratégies, du groupe Octane.

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La zone seulement accessible aux détenteurs de billets pour le Grand Prix sur Pierre Dupuy

Pour éviter la cohue en sortant

Toute personne ayant déjà assisté à un évènement quelconque au parc Jean-Drapeau sait bien qu’une fois que c’est terminé, l’imposante masse de gens qui se ruent vers la station de métro du même nom pour rentrer à la maison peut faire en sorte qu’on attend (très) longtemps avant d’être assis dans le train. Idem pour les autres issues routières avoisinantes. Divers endroits du parc seront donc désormais accessibles au public dans le but de convaincre les gens de prolonger leur séjour dans l’île et ainsi éviter la cohue, tout en leur donnant un coin pour se reposer et se rafraîchir au besoin. C’est notamment le cas du secteur des Mosaïcultures. Une façon, nous disent les organisateurs, de « valoriser » et de « maximiser » ce que le parc a à offrir.

Des paddocks étanches

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Comme les nouveaux paddocks à deux niveaux, de nombreux aménagements ont aussi été terminés pour mieux accueillir les 3000 employés des écuries qui seront à l’œuvre.

Les paddocks du circuit Gilles-Villeneuve ont été le théâtre d’importantes infiltrations d’eau lors du Grand Prix l’an dernier. Parlez-en seulement aux pauvres collègues de RDS, qui ont vu leur cabine de diffusion inondée… Cette fois, on nous jure que personne ne sera victime d’une telle douche inopinée. « C’est le bâtiment le plus arrosé de Montréal », illustre Véronique Doucet, en expliquant que la structure avait subi de nombreux tests pour s’assurer de son étanchéité. De nombreux aménagements ont aussi été terminés pour mieux accueillir les 3000 employés des écuries qui seront à l’œuvre. « À l’interne, on parle d’un virage à 180 degrés », décrit Sandrine Garneau. Ils auront par exemple accès à une « zone chalet », où ils pourront notamment déguster poutine, sirop d’érable et autres victuailles emblématiques du Bas-Canada.

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