Dans une logique d’améliorer l’apparence de Montréal à moindre coût, je commencerais par enlever tout ce qui est désuet ou mal pensé. Un genre de gros ménage du printemps.
Cette affiche, et tout ce qui fait partie de cette fameuse promenade «Fleuve-Montagne», pourraient nous quitter, incluant les triangles jaunes et bleus dont plusieurs sont en mauvais état.
D’autres exemples d’équipements désuets qu’on pourrait simplement enlever. C’est aussi ça, une ville propre. C’est pas seulement d’enlever les papiers par terre, c’est aussi d’enlever tout ce qui est devenu rien d’autre qu’une pollution visuelle.
