Mauvaise journée bixi pour moi aussi. J’ai pris un vélo pour 40 minutes puis je suis allé au travail après l’avoir reverrouillé (je suis certain d’avoir entendu le son 
), mais à la fin de mon quart, j’ai vu ça:
Généralement ça se déroule bien par contre, ça semble que t’as eu toutes les problèmes bixi en même temps. Je n’ai pas encore eu d’expériences avec la service à la clientèle, mais c’est bon de savoir que c’est un point fort vu que j’attend leur réponse.
Quand j’ai visité Bixi, on m’a dit de garder ma clé précieusement, car « when all fails », la clé va fonctionner quand même pour déverouiller un Bixi. Elle n’a pas besoin de réseau pour fonctionner.
Sinon, j’arrive toujours à trouver un Bixi. J’habite près de l’ÉTS et la station la plus près du campus est toujours pleine (ou vide en fin de journée pour déposer son Bixi!). C’est à deux coins de rue de la station la plus près de chez moi. Souvent, quand j’entame un trajet, je vérifie toujours qu’il y a de la place à la station d’arrivée. S’il ne reste qu’une place, je ne prends pas de chance, et je vais à une autre station directement. Ça fonctionne bien quand les stations sont proches
Sur Facebook, certaines personnes ont rapporté que même quand la lumière était verte sur l’ancrage, le compteur continuait à tourner dans l’appli. Maintenant, je vérifie toujours dans l’Appli après avoir verrouillé le Bixi
Je suis d’accord que l’expérience nouvel utilisateur est absolument terrible.
Les Bixi c’est super bien une fois qu’on connaît tous les défauts, comment les éviter et qu’on a un abonnement.
Les bornes il faut souvent utiliser la force pour retirer le vélo, pour le rendre faut souvent soulever le vélo et vraiment attendre la confirmation, acheter un billet à la fois est lent, pénible, et échoue souvent, payer à la borne est incoryablement pénible, et il faut toujours anticiper où on termine son trajet parce que les destinations sont très souvent pleines (quand l’app affiche “juste deux trois vélo/bornes”, assumer que la station est pleine)
Je suis tombée sur une nouvelle borne ce matin devant l’édifice Sunlife. Elle a relâché le Bixi dès que la lumière a viré verte!
La chance d’avoir un départ à une grosse destination, ça aide bien ça
Malheureusement j’habite dans Saint-Leonard 
Ils ont encore du chemin à faire ici… Si vous vous demandez où sont tous les vélo électriques…
…Les bornes proche de chez moi ont 0 vélo régulier.
Pas ma première expérience avec bixi mais ma première expérience avec un vélo électrique. Je faisais un relativement long trajet (18 km) et les seules vélo électrique que j’ai trouver proche de chez moi avais plus de batterie ou seulement une ligne. Je me suis donc pris un vélo avec 1 lignes qui comme de raison a fini par manquer de batterie. J’ai eu quelque difficulté a trouver un autre vélo électrique pleinement chargé pour faire la deuxième moitié du trajet mais j’ai fini par trouver. (Peut être que l’app aurais pu m’aider mais elle me montrait seulement les stations avec des bornes libres quand j’avais encore mon premier vélo, pas celle avec des vélos électriques).
J’était au courant que les borne son capricieuse donc pas de surprise de ce côté.
J’ai fini mon trajet en bus vue que bixi ne se rend pas encore tout a fait la ou je voulais allez! (peut être un jours!)
Pour moi, ça fait trois fois en un mois que le compteur continue dans l’application et à chaque fois je dois appeler le service à la clientèle. Le dernier incident, ça a pris 53 heures avant que le trajet termine.
Je ne suis pas très enthousiaste pour le reste de la saison.
BIXI Montréal, qui soufflera ce jeudi ses 15 bougies, se dotera à compter de l’an prochain de « mégastations » pour s’attaquer au problème récurrent de stations vides ou inaccessibles dans certains secteurs. De véritables carrefours contenant jusqu’à 400 points d’ancrage feront leur apparition en 2024 au cœur de la métropole, a appris La Presse.
Publié à 0h47 Mis à jour à 5h00
Henri Ouellette-Vézina
LA PRESSE
CE QU’IL FAUT SAVOIR
- BIXI Montréal fêtera ce jeudi ses 15 ans. Le nom du service de vélopartage avait été officiellement publié en septembre 2008.
- Pour répondre à la problématique des stations vides, vu le fort achalandage, l’organisme compte mettre sur pied d’ici 2024 des mégastations, avec jusqu’à 400 points d’ancrage.
- Cette année marquera par ailleurs la première saison hivernale de BIXI, ce qui laisse augurer plusieurs défis majeurs.
« Ça va être essentiellement des hubs où on pourra recharger les vélos électriques, en prendre de nouveaux, mais aussi faire des réparations sur place et offrir d’autres services liés au vélo de façon générale, en dehors de notre propre écosystème », confie le directeur général de BIXI Montréal, Christian Vermette.
Le service de vélopartage, qui fêtera ce jeudi ses 15 ans lors d’une cérémonie spéciale au square Victoria, n’a jamais été aussi populaire à Montréal. En date de la semaine dernière, plus de neuf millions de déplacements avaient déjà été enregistrés, surpassant ainsi le record de 2022. Cinq journées record de 70 000 déplacements ont même été enregistrées pendant l’été. « On se dirige vers une année de 11 millions de déplacements. C’est complètement fou », dit M. Vermette.
Malgré ces succès, BIXI veut maintenant passer à une « autre étape » de sa croissance. Parce qu’avec 500 000 utilisateurs uniques, le service de vélopartage est de plus en plus victime de sa popularité.
En juin, La Presse a rapporté que de plus en plus d’usagers dénonçaient le fait que la hausse de l’achalandage ne s’accompagne pas d’efforts suffisants pour améliorer l’infrastructure. De plus en plus de bornes sont souvent vides après la pointe du matin, et leur nombre ne suffit plus à répondre à la demande.
Le concept des « mégastations » pourrait donc être une solution à ce problème. « Les gens n’auront plus à se casser la tête : ils sauront que là, il y a de la place et des ressources. Ça nous permettrait aussi de limiter les déplacements de nos camions, puisqu’on pourrait remettre les vélos sur la route localement et ainsi réduire notre empreinte écologique », note M. Vermette.
Plusieurs endroits ont déjà été identifiés pour implanter ces futures stations géantes, qui devraient contenir entre 300 et 400 points d’ancrage. On ignore encore avec précision où elles seront situées, mais le directeur marketing de l’organisme, Pierre-Luc Marier, confirme que ce sera au centre-ville. « Il faut aller dans le cœur. C’est un peu comme si on donnait un poumon aux opérations », détaille-t-il.
De façon générale, l’organisme veut aussi « élargir sa gamme de produits », évoque M. Vermette. « En Europe, le modèle du vélo-cargo est déjà bien implanté depuis plusieurs années et ça marche. Ici, c’est encore peu présent ou en tout cas très timide. C’est un exemple de choses qu’on regarde. »
« C’est une année pivot où on veut passer d’un impact certain à très important, autant qu’un système d’autobus. On est dans huit villes dans la grande région de Montréal, et avec la perspective du REM sur lequel on veut s’accrocher, on a une impulsion », ajoute M. Marier.
Tout cela survient alors que pour la première fois de son histoire, BIXI tentera de livrer le service en hiver cette année. Environ 150 des 850 stations seront ouvertes après le 15 novembre, dans sept arrondissements. Les vélos seront équipés de pneus à crampons.
On a cinq mois de plus pour aller chercher plus de déplacements, surtout en novembre et en décembre quand il n’y a pas encore trop de neige. Pour nous, c’est une super occasion. Le plafond de croissance, on vient le remonter.
Pierre-Luc Marier, directeur marketing de BIXI Montréal
Mais les défis seront nombreux, avoue le directeur marketing. « C’est un projet pilote dans lequel, au fond, il y aura plusieurs essais, tant sur les vélos que les stations. C’est sûr qu’il y aura plusieurs défis », dit-il.
Selon Christian Vermette, « ce qui stresse le plus les équipes, c’est le déneigement ». « On va avoir un arrimage avec la Ville de ce côté, mais c’est sûr que c’est nouveau. Si on veut être reconnus et non étiquetés comme le système qui est juste plaisant l’été, il faut qu’on puisse être là 12 mois », affirme le DG.
BIXI s’attend à un achalandage certes plus modeste qu’en été. « En général, on parle d’une rétention de 10 à 13 % des cyclistes pendant l’hiver. Ça donne une idée du potentiel. Mais on arrive avec une offre où les gens n’ont pas besoin de dégraisser la chaîne, de nettoyer le vélo, de changer les pneus », soutient M. Marier. « Je pense qu’on risque d’avoir une belle surprise », ajoute M. Vermette.
Pour la suite, à la Ville de Montréal, on se dit « déterminés à étendre » l’offre de services de BIXI encore davantage dans les prochaines années. « BIXI, c’est un maillon essentiel du transport actif, qui permet de faire de Montréal une ville plus résiliente », fait valoir la responsable de la mobilité, Sophie Mauzerolle.
Chez BIXI, les hausses record d’achalandage surviennent au moment où l’organisme effectue une mise à jour importante de ses infrastructures, la plus importante des 15 dernières années. Au total, 1000 vélos seront remplacés chaque année durant les 10 prochaines années. Les plus vieux bolides, soit les vélos qu’on appelle « de première génération » et qui ont débarqué dans les rues de Montréal il y a 15 ans, devraient être remplacés de façon prioritaire, soit d’ici deux ou trois ans.
EN SAVOIR PLUS
92 %
C’est la proportion d’usagers se procurant un trajet ou un abonnement BIXI avec l’application mobile. Le reste le fait directement auprès des bornes physiques dans la rue.BIXI MONTRÉAL
Les vélos cargos seraient un game changer. J’ai plusieurs déplacements que je fais en bus faute de place sur mes paniers de vélo pour les trucs que je dois transporter (buanderie, vétérinaire, etc). Je pourrais me sauver tellement de temps et d’efforts si j’avais accès à un vélo cargo pour ces déplacements.
En attendant, il y les remorques LocoMotion qui sont disponibles dans certains quartiers centraux. Elles peuvent s’attacher à la tige du siège des Bixi
J’attends encore leur arrivée dans Centre-Sud. 
L’édition 15e anniversaire du Bixi
Je les avais vus lors de ma visite aux installation de Bixi au mois dernier.
Il y actuellement un événement pour fêter le 15e anniversaire au Square Victoria, avec un marche jusqu’au centre PHI
- 16 h : Accueil des invités au square Victoria au coin de l’avenue Viger et de la rue du Square-Victoria
- 16 h 15 : Prise de parole de Pierre-Luc Marier, Directeur marketing intégré, communications et affaires publiques de BIXI Montréal
- 16 h 30 : Inauguration d’une nouvelle flotte exclusive de BIXI et coup d’envoi du cortège
- 17 h : Arrivée au Centre Phi, situé au 407, rue Saint-Pierre, dans le Vieux-Montréal - des bouchées et du vin seront servis
- 18 h : 2e prise de parole
Je devais y aller, mais j’ai encore les effets du décalage horaire.
J’avais fait la remarque que c’était comme le rouge des Bixi d’Ottawa 
Je parie fort qu’il y aura une méga-station au métro Saint-Laurent
Bixi nous a présenté les plans de la méga-station près du Square-Victoria, c’est sur le terrain du MTQ, au dessus du tunnel Ville-Marie
En plus des centaines de points d’ancrage. Il y aura aussi un mini-atelier d’entretien des Bixi, ce qui éviterait de les transporter jusqu’à l’atelier de CycloChrome à Rosemont pour faire les réparations.
Bixi cherche d’autres emplacements dont un dans le Sud-Ouest. On leur a fait une suggestion près du marché Atwater. Ce sera à voir avec la direction de l’aménagement urbain de l’arrondissement pour valider ce qui est faisable,
La livrée rouge est 1000x plus belle que la livrée grise. Je trouve qu’ils s’agenceront beaucoup mieux avec les bixi électriques bleus.
Une méga-station devant le métro Mont-Royal serait vraiment pratique, j’espère que c’est dans leur plan.
Oui j’aime beaucoup aussi, ça met plus de couleur c’est vraiment bien
Petition pour rendre le rouge standard! En plus de rapporter de la couleur et de les rendre + visibles, ils match le logo de la ville de Montréal et de Bixi eux-même
(emphase mienne)
Tiens en remontant le fil je suis tombé sur ça, annonce avant l’heure des “mégastations” (terme beaucoup plus vendeur), je note surtout cette présence d’employés là pour mettre des vélos de côté quand c’est plein de plein, chose qui semble étonnante avec une station à 400 docks, mais qui confirme que effectivement ça sera jamais plein.
Ensuite j’imagine bien que ce “de côté” en question soit directement sur des remorques, ce qui simplifierait le nombre d’étapes dans la logistique du remontage de vélos aux stations en manque.
