Premièrement, ce n’est pas une mentalité que j’ai, je ne fait qu’exposé les faits de cet espace. Suffit d’aller sur Streetview et voir que cette terrasse n’a jamais été accessible, alors faudrait se demander pourquoi, probablement à cause de conditions existantes. La ville l’a acceptée depuis 2008…
Si c’est le cas, alors est-ce que le côut des travaux just pour rendre la surface plane pour une terrasse dépasse le coût et les revenues de la dites terrasse ? Probablement.
Dans un mon parfait on ferait toutes les modifications possibles pour rendre un espace universellement accessible. Mais la réalité est que malheureusement, certains ne peuvent pas être transformé, à moins de tout refaire.
Ici, on a 4 marches, dans un monde idéal on aurait un chair-lift et un ouvre porte et une toilette universellement accessible dans le commerce. Je ne sais même pas s’il y a des marches ou paliers à l’intérieur… Alors on fait quoi?
La majorité des locataires n’auront pas le budget pour ce genre de travaux de grande ampleur, même chose pour les propriétaires.
Oui une personne a mobilité réduites pourrait aller juste sur la terrasse, mais pour cette personne, elle est un client de seconde zone ? S’il commence à mouillée, elle va restée dehors… si elle doit aller a la salle de bain, too bad… si la caisse est à l’intérieure ou s’il n’y pas de service au table on fait quoi ?
C’est mon travail d’aménager les espaces, et je deal avec ce genre de problématique souvent, et des fois c’est juste impossible de rendre l’espace complétement accessible.
Si on enlève les trois marches et on met la terrasse au sol, on est obligé je mettre 4 marches devant la porte ce qui risque de rendre la terrasse pas très pratique pour les serveurs qui risque de trébucher avec leurs assiettes.
Pas de ce cas-ci, mais une vraie bonne solution de l’accessibilité des terrasses et que le régis des alcools enlèvent ses règles et autorise des tables devant les commerces sans clôtures ni aménagement comme ca se fait partout en Europe.
Désolé, mais je pense que vous vous trompez. @twix24 et @Dom723
Je suis passé quand ils ont enlevé la terrasse, la partie bétonnée du sol est au niveau du trottoir, il y a des marches pour entrer au local : j’avais exactement la même configuration pour mon commerce sur Saint-Denis et j’avais réussi à le rendre 100% accessible, pour la terrasse et l’intérieur, donc je sais de quoi je parle . La pente était plus raide que la norme pour entrer à l’intérieur, mais ça a marché avec le fauteuil roulant électrique d’une amie. Pour l’extérieur, il aurait fallu soit:
Option 1 : faire une terrasse en bois et une rampe à partir du trottoir s’il tenait à l’avoir en bois
Option 2 : réparer le socle en béton et laisser la terrasse au niveau du trottoir (plus couteux).
Au passage du Devoir dimanche après-midi, une foule de tous âges discutait avec les artistes, observait diverses bandes dessinées et expositions ou participait à l’un des ateliers offerts : au grand soleil, la rue Saint-Denis bourdonnait de vie en raison du festival en plein air auquel l’accès était gratuit.
Une réalité qui n’était pas applicable pour le reste de la fin de semaine, qui fut marqué par de la pluie et un temps gris. « Vendredi c’était pire, il faisait froid », raconte Anne Paquet, bénévole pour le festival. « Aujourd’hui [dimanche], c’est plus agréable, il y a plus de gens, puis grâce à ça, les vélos n’osent pas rouler sur le site », poursuit-elle.
Festival passant oblige, ce ne sont pas seulement les participants aux festivals qui en bénéficient. Situé rue Saint-Denis, le magasin de jeux de société Le Valet d’cœur voit un achalandage plus important qu’à la normale. « C’est vraiment le fun, dit l’employée Lucie Emard. C’est une belle fin de semaine, il y a beaucoup de monde, beaucoup d’enfants, c’est très positif. » Constat semblable un peu plus loin dans la rue Saint-Denis au magasin Planète BD, où l’achalandage est « semblable à celui du temps des Fêtes ».
pas une actualité commerciale, mais l’événement a sûrement affecté les commerces
Pendant environ trois heures, la rue a été fermée entre le boulevard Saint-Joseph et la rue Rachel, dans les deux directions. Seuls les vélos avaient le droit de passage.
« C’est de la désobéissance civile 101 », a déclaré Marcel Paré, militant du groupe. « On réclame une agence de protection face au désastre climatique. Actuellement, on voit au Canada une augmentation des incendies de forêt chaque année et une augmentation des inondations. C’est 25 000 personnes qui sont déplacées en ce moment au Manitoba et en Saskatchewan », illustre M. Paré.
Sauf que ce n’était pas le but visé, donc on ne peut pas dire que ça a fonctionné. Ils veulent la création d’une agence gouvernementale. Dans ce cas, c’est une décision politique, qui aura plus de probabilité de se concrétiser si la proposition a l’appui du public. Je ne crois pas que leurs actions favorisent l’atteinte de cet objectif.
. La pente était plus raide que la norme pour entrer à l’intérieur, mais ça a marché avec le fauteuil roulant électrique d’une amie. Pour l’extérieur, il aurait fallu soit:
