Réseau cyclable montréalais - Discussion générale

Au conseil d’arrondissement du plateau Alex Norris a dit que c’était l’objectif à moyen terme, mais qu’en raison de la saillie et du feu de circulation au coin nord-ouest de l’intersection Milton/University ce n’était pas possible de le faire dès cette année. Cette année ils se limitaient à ce qui était faisable dans le cadre du planage de la rue (donc peinture seulement).

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It’s not a scramble but people use it like a scramble :joy: curious to see how they’ll handle that.

Des photos de manif et de la contre-manif devant la mairie d’arrondissement

Source : https://twitter.com/ReneSaintLouis/status/1709337949840511340

Ça a bardé au conseil d’arrondissement

https://www.journaldemontreal.com/2023/10/03/video-affrontements-entre-manifestants-autour-de-nouvelles-pistes-cyclables-a-montreal

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Sur les pancartes : “MON stationnement”, “OUR parking”…

Il y a encore trop de monde qui considère la rue comme un espace d’entreposage de véhicules privés qui leur est dû.

On est en ville, on partage l’espace. Sinon, il y a la banlieue comme milieu naturel pour l’auto.

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Nouvelles pistes cyclables | Manifestation contre le retrait d’espaces de stationnement dans Parc-Extension


PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE
Les opposants à ces aménagements dénoncent le fait qu’il n’y a pas eu de consultation sur la disparition de ces espaces.

Un important groupe de manifestants opposés au retrait d’espaces de stationnement pour permettre l’aménagement de pistes cyclables dans le quartier Parc-Extension se sont bruyamment fait entendre mardi soir, avant la réunion du conseil d’arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension.

Mis à jour hier à 21h04
ISABELLE DUCAS
LA PRESSE

Tandis qu’ils scandaient « on veut nos stationnements ! », en français et en anglais, sur les marches de la mairie d’arrondissement, un groupe de cyclistes, moins nombreux, leur répondaient « on veut nos pistes cyclables ! ».

Plusieurs policiers à vélo séparaient les deux groupes pour éviter les échauffourées.

De nouvelles pistes cyclables sont en cours d’aménagement dans ce quartier multiethnique et densément peuplé, notamment dans les avenues Ball, Querbes et de l’Épée. Il s’agit de voies unidirectionnelles, dans chaque direction, qui nécessitent le retrait du stationnement sur rue sur tout un côté, soit environ 260 espaces pour les véhicules motorisés.

Les opposants à ces aménagements dénoncent le fait qu’il n’y a pas eu de consultation sur la disparition de ces espaces.


PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE

« Nous voulons des consultations publiques. Oui, nous voulons des pistes cyclables sécuritaires, mais en gardant nos stationnements », a lancé devant les manifestants Sia Spanoudakis, une des porte-parole du groupe.

Vandalisme

Il y a quelques jours, des punaises ont été répandues sur la voie cyclable. Il y a quelques semaines, c’est de la peinture et de l’huile qui avaient été versées sur la chaussée, avant que les employés municipaux ne fassent les travaux d’aménagements nécessaires pour la nouvelle piste.

La conseillère du district de Parc-Extension, Mary Deros, qui fait partie de l’opposition, a dénoncé ces actes de vandalisme, au début de la séance du conseil d’arrondissement. Mais dans la foulée, elle a demandé aux élus de Projet Montréal, dont la mairesse d’arrondissement Laurence Lavigne-Lalonde, d’écouter les opinions des opposants.

« Ça fait 25 ans que je suis élue et je n’ai jamais vu un tel mécontentement », a affirmé Mme Deros.

Questions du public

La mairesse d’arrondissement a été prise à partie par plusieurs citoyens lors de la période de questions du public, lors d’interventions très émotives. « Honte à vous tous ! », a lancé Manon Descarries, jeune mère vivant dans l’avenue Querbes. « Pourquoi vous refusez d’écouter les gens ? Il y a d’autres solutions possibles. Ma communauté est multiethnique, composée de gens qui ne sont pas riches et qui travaillent fort, mais qui sont ignorés. »


PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE

Laurence Lavigne-Lalonde a répondu aux nombreuses questions en affirmant que, étant donné la largeur de la rue, il était impossible d’aménager une piste cyclable sécuritaire en gardant tous les espaces de stationnement sur rue.

« Lors des consultations sur des mesures d’apaisement de la circulation, plusieurs citoyens ont mentionné leur désir d’avoir des axes cyclables plus sécuritaires dans le quartier, a dit la mairesse d’arrondissement. Notre travail, en tant qu’élus, c’est de trancher, et c’est ce qu’on a fait. »

Mme Lavigne-Lalonde a réitéré, comme elle l’avait affirmé lors de la précédente séance du conseil, que la Ville de Montréal n’avait pas la responsabilité de trouver un espace de stationnement pour chaque véhicule sur le domaine public.

Les nouvelles pistes cyclables font cependant des heureux parmi les cyclistes. « Enfin, en tant que cycliste, je peux me déplacer dans le quartier sans risquer de me faire tuer », s’est réjouie Julie Nadeau-Lavigne, lors de son intervention au conseil d’arrondissement.


Deux manifestations s’opposent à propos de voies cyclables dans Parc-Extension


Adil Boukind,Le Devoir
Manifestation contre la suppression de 250 places de stationnement dans Parc-Extension pour la création de pistes cyclables

Florence Morin-Martel
3 octobre 2023
Société

Deux groupes de manifestants se sont opposés mardi dans Parc-Extension, à Montréal, au sujet de l’aménagement de pistes cyclables dans leur quartier.

« On veut du stationnement », ont scandé en boucle les protestataires qui déplorent le retrait de centaines d’espaces où se garer, dans la foulée de l’implantation de voies cyclables. Au son des tambours, trompettes et clochettes, la foule a brandi des pancartes où l’on pouvait lire « Nous ne sommes pas contre les vélos, nous avons besoin de notre parking ». Dans la chaleur du début de soirée, des centaines de personnes étaient réunies devant les bureaux de la mairesse de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension, Laurence Lavigne Lalonde.

Une ligne de policiers séparait le premier groupe d’un autre rassemblement, plus petit, celui-ci en soutien au projet d’infrastructures cyclables. « Même la police est à vélo », ont entonné les participants à la contre-manifestation, sourire aux lèvres, en regardant les agents se déplaçant à deux roues. Des gens de tous âges munis de casques de bicyclette agitaient des affiches réclamant « des pistes partout ».

En tout, « 198 espaces » de stationnement seront retirés cette année dans le quartier, a précisé Rachel Vanier, chargée de communication à la Ville de Montréal. Sur l’avenue Ball, entre la rue Durocher et l’avenue Stuart, 39 places ont été enlevées. Les travaux sur l’avenue Querbes, entre le boulevard Crémazie et l’avenue Ogilvy, ont débuté le 20 septembre dernier et supprimeront 159 cases.

Il y a « beaucoup d’inconfort et de frustration » parmi les résidents à propos du retrait de places de stationnement, a indiqué Mary Deros, conseillère du district de Parc-Extension et membre du parti d’opposition Ensemble Montréal. « Ils se disent : “Comment je vais vivre cet hiver, déjà qu’il y a moins d’espace avec la neige ?” » a-t-elle illustré, en entrevue au Devoir.


Photo: Adil Boukind,Le Devoir
Des manifestants étaient rassemblés devant les bureaux de la mairesse de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension pour protester contre le retrait de cases de stationnement dans leur quartier.


Photo: Adil Boukind,Le Devoir
Des contre-manifestants se sont également rassemblés pour soutenir la construction de voies cyclables, qui prendront la place de certains stationnements du quartier.

« On devrait avoir un mot à dire »

Présents sur les lieux, deux membres de La Coalition pour la démocratie de Parc-Extension, Olivier Lamanque Galarneau et Valérie Bourget-Robitaille, ont réclamé la tenue de consultations publiques au sujet du retrait des cases de stationnement. « On dit que ce sont des stationnements publics. Or, le public, ça appartient aux citoyens. On devrait avoir un mot à dire », a lancé M. Lamanque Galarneau, qui habite le secteur depuis deux ans.

Le 14 juin dernier, une séance d’information concernant l’aménagement de ces voies cyclables a eu lieu à la mairie d’arrondissement.

Mme Bourget-Robitaille estime cependant qu’il est inacceptable, en 2023, « d’imposer des choses comme ça à des gens dans un très court calendrier ». Elle remet en question la hâte de la mairesse à réaliser ce projet plutôt qu’à chercher un autre scénario qui, selon elle, conviendrait mieux au quartier, peuplé de « familles nombreuses et de personnes âgées ».

De son côté, Laurence Lavigne Lalonde réitère se préoccuper des citoyens ayant des besoins particuliers, dont ceux à mobilité réduite. « On va les accompagner pour trouver des solutions, comme on le fait déjà », assure-t-elle, dans une déclaration transmise au Devoir.

Elle dit comprendre que « l’arrivée des pistes cyclables va chambouler les habitudes de certains résidents ». « Mais ma responsabilité, c’est d’offrir des options de mobilité sécuritaires à l’ensemble des citoyens, peu importe la manière dont ils se déplacent. Et j’ai un devoir supplémentaire envers les usagers les plus vulnérables que sont les piétons et les cyclistes », a affirmé la mairesse de l’arrondissement.

« Si la largeur de la rue nous permettait d’implanter une piste cyclable protégée tout en conservant le stationnement, bien sûr qu’on l’aurait fait », a-t-elle ensuite ajouté.

Un « clivage » dans le réseau cyclable

La métropole doit se doter d’une stratégie pour rendre son réseau cyclable plus équitable, a soutenu Sophie Lavoie, une participante à la contre-manifestation. Il y a un « clivage », selon elle, entre les endroits centraux, mieux pourvus en termes d’infrastructures cyclables, et des secteurs comme Parc-Extension.

Entourée de cyclistes, la femme de 28 ans s’est désolée de la mobilisation contre le projet, car elle estime qu’il a le potentiel d’être rassembleur. « Il pourrait faire plaisir à toutes sortes de personnes, pas juste les jeunes Blanches comme moi, mais aussi n’importe qui, autant les plus vieux résidents, les personnes âgées ou les familles avec quatre ou cinq enfants », a-t-elle souligné.

L’étudiante de deuxième cycle en études urbaines avance d’ailleurs qu’en ces temps d’inflation, le vélo représente un mode de transport peu coûteux. « Je pense que dans ce quartier-là quand même défavorisé socio-économiquement qu’est Parc-Extension, la bicyclette est une solution très adaptée pour tout le monde : les étudiants, les personnes en situation de précarité. »

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Reportage vidéo de la CBC

Montreal A to V: Le Sud-Ouest’s ‘velorution’

  • 19 hours ago
  • News
  • Duration 6:43

When you think of boroughs to cycle around in Montreal, Le Plateau-Mont-Royal is a clear leader. But another is catching up. Some call it Le Sud-Ouest’s ‘velorution’. Thanks to some community-led initiatives, sport and leisure is becoming secondary to using a bike to get around.

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Armed assault!
Ces gens sont vraiment fous avec leur stationnement de rue!

En passant, j’ai appris que Mario di Chiaro est l’ex-mari d’Anie Samson qui s’était présenté à la mairie de VSP. Il a même été son directeur de campagne… Donc, un très proche d’Ensemble Montréal. Je ne sais pas si c’est pour ça que les opposants sont aussi virulents, mais j’ai l’impression que lui et Mme Deros jettent de l’huile sur le feu.

Mischief and armed assault in Montreal as residents protest new Parc-Extension bike lanes


Mario di Chiaro stands next to the bike path he is fighting to have removed in the densely-populated neighbourhood of Park Extension, Friday, Sept. 29, 2023 in Montreal.THE CANADIAN PRESS/Ryan Remiorz

By Thomas MacDonald, The Canadian Press
Posted Oct 4, 2023, 8:29AM EDT.

MONTREAL – Xavier Richard says he was taking a stroll through his Montreal neighbourhood last week when he noticed a pedestrian hunched over in one of the area’s new bike lanes.

Richard approached to offer assistance. That’s when he saw the thumbtacks _ more than 100 strewn across the path. He spent the next few minutes helping the stranger, who had stopped to pick them up.

“The climate is tense,” Richard said of recent politics in the Park Extension neighbourhood, northwest of downtown. He said he doesn’t know how the thumbtacks got there, or who may have dropped them, but he suspects it was a deliberate act.

“There’s animosity that’s particularly brought on by opponents of bikes or the bike path.”

In bike-friendly Montreal, opposition to new cycling lanes in Park Extension and the nearby St-Michel neighbourhood has been notably fervent: groups of residents have organized protests, and police have reported instances of mischief, armed assault and obstruction of civil servants or peace officers at some of the demonstrations.

The Villeray_St-Michel_Parc-Extension borough is redesigning sections of multiple streets to install new, protected bike lanes. In Park Extension, that work includes the elimination of 250 on-street parking spaces. But some residents say the removal of parking in the dense neighbourhood will diminish their mobility.

Sia Spanoudakis is among those who say they have taken part in peaceful protests against the removal of parking. A former resident of Park Extension, she says she worries how the changes will affect her elderly parents who live in the neighbourhood and rely on their vehicle.

“No one is against secure bike paths,” Spanoudakis said in a recent interview. “The point of contention is why does this need to be done with the removal of 250 parking spots, which (is) going to impact the quality of life in the neighbourhood?”

Spanoudakis distanced herself from the acts of vandalism targeting bike paths, but said the borough’s plan to eliminate parking for bike paths has polarized the community. “We clearly feel that we are being pitted against the needs of the cyclists and it shouldn’t be that.”

Montrealers for and against new bike lanes in Parc-Extension come out to protest

Mario Di Chiaro, a Park Extension resident who has organized a handful of protests, said the city has been obstinate in the face of what he described as residents’ reasonable concerns. The goal of the protests, he said, is to “marry” the needs of cyclists and drivers, but borough administrators “don’t want to talk.”

Di Chiaro, Spanoudakis and others, including 25-year Park Extension Coun. Mary Deros, accuse the borough of imposing the bike paths with little notice or consideration of residents’ needs.

“I have never in 25 years seen such disregard for our citizens,” Deros said in a recent interview. “Where are these people going to park?” she asked. “How are these people going to go to work? How are these people going to manage?”

The expansion of Montreal’s cycling network _ which stretched more than 900 kilometres as of May 2023 _ has been a priority for Mayor Valerie Plante since she took office in 2017. Among her administration’s signature achievements is the creation of the Reseau express velo, a 191-kilometre lattice of protected bike lanes through some of the city’s densest neighbourhoods. In November, the city announced plans to create at least 200 kilometres of new protected bike lanes by the end of 2027.

Proponents of the protected bike path plan challenge the notion that the elimination of parking spots will have a widespread negative impact on Park Extension.

Fifty per cent of households in the neighbourhood did not have a car as of 2018, according to the latest data from the Montreal-area transit authority, supplied by McGill University department of geography post-doctoral researcher Jerome Laviolette.

“From an equity perspective, keeping parking spaces for car owners means we are depriving half the population (in) that neighbourhood from using that space,” said Laviolette, who studies sustainable mobility.

Jean-Francois Rheault, president of cycling advocacy group Velo Quebec, says protected bike lanes expand transportation options for all residents. “The biggest barrier for more people to be able to choose cycling as a mode of transportation is the lack of infrastructure,” he said.

In a phone interview, borough Mayor Laurence Lavigne Lalonde, who is a member of Plante’s political party, acknowledged the removal of parking spaces may inconvenience some drivers, but said the goal of the new bike lanes is to increase safe mobility options for all residents in a neighbourhood historically underserved by cycling infrastructure.

The mayor said people have a right to protest, but insisted the borough will move ahead with its bike path plans for Park Extension.

Opponents have vowed to continue to voice their dissent. A group of residents calling themselves the Coalition for Democracy Park Extension is raising funds for possible legal action against the city.

But Rheault expects opponents will come to realize the value of protected bike lanes. “I trust that ? by next year people will realize the benefits that it brings to their mobility and to their neighbourhood and that people will be much happier.”

This report by The Canadian Press was first published Oct. 3, 2023.
https://montreal.citynews.ca/2023/10/04/parc-extension-bike-lanes-paths-mischief-armed-assault/

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C’est d’un ridicule et d’une hypocrisie crasse… Les manifestants anti-vélos ne veulent pas d’un meilleur partage de la voie publique… Tout ce qu’ils veulent c’est empêcher le changement, c’est la même histoire que sur St-Denis et Bellechasse, sauf que cette fois-ci on se permet même de mettre des punaises sur la voie cyclable tsé histoire de blesser du monde pour sauver son parking.

Mary Deros devrait se garder une gêne… Se vanter que rien n’a changé dans son quartier en 25 ans, c’est pas ce que j’appelle une réussite…

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Partis pris, la police est corrompue par les extrémistes radicaux pro lobbyistes vélo !!!1!11!

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Ils ont pris le contrôle du SPVM !!!1!11!

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Entrevue au Téléjournal avec la mairesse Laurence Lavigne Lalonde au sujet des pistes cyclables dans Parc-Ex

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Le pic de l’intelligence toujours…


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Les commentaires sur X/Twitter sont toxiques. J’utilise une extension de Chrome pour faire du blocage de masse. On peut bloquer d’un coup les gens qui aiment un tweet Likers Blocker - Chrome Web Store

Version plus longue de l’entrevue au Téléjournal : Reportage + Entrevue sur YouTube

Mary Deros qui dit qu’enlever du stationnement = éviction :roll_eyes:

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Même si je suis pour ce projet, je trouve que le ton utilisé par la mairie est un peu condescendant envers la population du quartier. Ça ne sert à rien de dire que les gens doivent changer leurs habitudes, que 50 % de la population n’a pas de voiture, ça reste qu’une famille avec 3 enfants qui doit faire des courses va pas pouvoir se débarrasser de son auto du jour au lendemain.

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Peut-être qu’il y a beaucoup plus de gens qu’on croit qui vivent dans leur auto et n’ont pas accès à un logement :thinking: la crise du logement à Parc-Ex serait plus intense que je pensais. Ça ou alors Mary Deros a perdu toute perspective.

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Hein?? Comment ils sont arrivés à 191km de REV ? Saint Denis c’est 8km, Bellechasse 6, Viger 5, Peel 1. Même en comptant double avec un voie de chaque côté, on est juste à 40km.

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Le changement d’habitude n’est pas nécessairement de se débarasser de sa voiture, mais accepter que la place de stationnement sera peut être un peu plus loin de chez soi et pas devant la porte ou sur le tronçon de rue immédiat.

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J’ai de la misère à compatir avec les résidents du quartier… On retire 250 cases de stationnement et ça manifeste comme si l’automobile avait était rayée du secteur. C’est frustrant de voir le même argument égocentrique, MON stationnement pour MON char. Quand est-ce qu’ils vont réaliser que 50% des résidents du quartier n’ont pas d’automobile et qu’eux aussi ont besoin de se déplacer (grosse surprise ici).

Je donne le défi à ceux qui s’opposent à ces pistes cyclables de sortir ne serait-ce qu’un argument valide. Car à date, je n’ai entendu que des anecdotes ou arguments émotionnels.

Comme on le dit bien : When you’re accustomed to priviledge, equality feels like opression.

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" When you’re accustomed to priviledge, equality feels like opression." ça vient de qui cette citation?? elle est excellente

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Mary Deros devrait parler avec sa collègue d’Ensemble Montréal, Christine Black, qui a donné une excellente réponse quand des citoyens se sont présentés au conseil pour s’opposer aux aménagements cyclables dans Montréal-Nord

Ça a été rapporté dans le reportage radio au 15-18

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