REM - Discussion générale

Cela dit la couverture négative du tramway de Québec et du REM, même si elle n’est pas dû à une ligne éditoriale explicitement opposée au transport en commun et au développement durablement, aura eu le même effet ces dernières années.

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J’ai lu beaucoup d’articles en faveur du tramway chez les chroniqueurs du Journal de Québec pourtant.

Pour le REM, c’est autre chose.

La Presse et Le Devoir se sont fait un méchant party contre le REM.
J’ajouterais trois mots: Michel C Auger

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Je me demande si lui aussi va boycotter la ligne ou sera l’un des premiers présents à l’inauguration.

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Le site projet devient le site usagers Réseau express métropolitain | REM

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Le site Web clientèle est-il mis en ligne 30 jours avant la mise en service? :slight_smile:

Je remaque que la fréquence en période de pointe a été augmentée à 3 m 45 s

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c’était toujours 18min ? Je suis sûr qu’ils ont annoncé 16 minutes. . . cela ne fait pas une grande différence. Mais est-ce une réduction de vitesse pour des raisons de bruit ? ou peut-être juste après avoir fait des tests en conditions réelles c’est plus réaliste

Nouveau échéancier, on parle plus de printemps 2023, mais on donne pas de date

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Dans la FAQ sur la possibilité d’amener ou non un vélo à bord du REM, il est indiqué qu’à « partir de la mise en service du REM et jusqu’au 20 août 2023, le REM met en place un projet pilote afin de permettre les vélos en tout temps dans son réseau. ». Est-ce dire que si tout va bien, le REM ouvrirait à la fin du mois de juillet ou bien au début du mois d’août ?

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C’est exactement en phase avec le projet pilote sur les vélos de la STM.

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Before they said the first train from Gare Centrale was at 5:50, now they’re saying 5:35, so I might not go all the way to Brossard just to take a train 5 minutes earlier. Especially because it’ll be early and I don’t have a car, it’ll be a hassle, hopefully the Gare Centrale opening will be busy!

On the A-10 heading into Brossard there were signs added that point to the REM Brossard Station. It’s covered with white plastic so the REM logo isn’t visible, but underneath it says “Brossard.”

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I like how they’re calling it REM Sud

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Des correctifs pour réduire le bruit « dérangeant » du REM

PHOTO DOMINICK GRAVEL, ARCHIVES LA PRESSE

C’est la première fois que le PDG de CDPQ Infra réagit à la grogne suscitée par le bruit du passage du REM.

(Québec) Le REM fait trop de bruit dans Griffintown, Pointe-Saint-Charles et L’Île-des-Sœurs, reconnaît son propriétaire, CDPQ Infra. Cette filiale de la Caisse de dépôt et placement promet des correctifs pour réduire le niveau de décibels qui s’avère plus élevé que prévu à certains endroits.

Publié à 16h00

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Tommy Chouinard
TOMMY CHOUINARDLA PRESSE

En entrevue à La Presse, son PDG, Jean-Marc Arbaud, annonce l’ajout de murs antibruit, l’installation de pièces le long de la voie ferrée pour absorber les vibrations et des travaux de meulage sur les rails afin de les rendre plus lisses.

PHOTO D’ARCHIVES FLORIAN LEROY, COLLABORATION SPÉCIALE

Le PDG de CDPQ Infra, Jean-Marc Arbaud

Ces mesures n’entraîneront pas selon lui un nouveau report de la mise en service du REM entre Brossard et la gare Centrale de Montréal, prévue d’ici la mi-août.

C’est la première fois que le PDG de CDPQ Infra réagit à la grogne suscitée par le bruit du passage du REM. Les trains fonctionnent pour le moment en « marche à blanc », c’est-à-dire à une fréquence normale mais sans passagers.

« On est très sensible à la situation apportée par l’ensemble des riverains et on prend le dossier très au sérieux », assure Jean-Marc Arbaud. « Il faut absolument considérer le problème et amener des améliorations. »

CDPQ Infra réalise ses propres tests pour mesurer le bruit causé par le passage du REM dans cinq zones sur les territoires de Griffintown, Pointe-Saint-Charles et L’Île-des-Sœurs, là où la colère gronde. Elle ne veut pas divulguer les résultats pour le moment, ni donner un aperçu du nombre de décibels atteint dans les quartiers concernés. Ses conclusions sont toutefois claires.

« Les constats qu’on fait avec les tests, c’est qu’il y a certaines zones où on n’est pas satisfait du résultat […]. Dans certains endroits, on a des dépassements par rapport à ce qu’on avait prévu et donc potentiellement par rapport à certains règlements. »

Il laisse ainsi entendre que le REM ne respecte pas, à certains moments et à certains endroits, la règlementation du gouvernement du Québec qui lui est imposée.

Comme La Presse l’a déjà expliqué, cette règlementation permet au REM d’ajouter un nombre de décibels qui varie selon le niveau de bruit ambiant. Le calcul est basé sur une hausse moyenne de bruit sur une période de 24 heures.

« On ne veut pas qu’il y ait des dépassements par rapport aux règles imposées au REM. Aujourd’hui, il y a des réglages à faire pour qu’il n’y en ait pas. Et on veut que ce soit réglé », affirme Jean-Marc Arbaud. Il prend l’engagement de « faire mieux que la règlementation qui est imposée au REM ».

Il n’entre pas dans le détail des niveaux de décibels.

Je ne suis pas en train de débattre sur où est-ce qu’on va s’arrêter. Pour nous, il y a une situation, il y a quelque chose qui est dérangeant. Est-ce que c’est plus 1 ou plus 3, moins 1 ou moins 2 ? Ce n’est pas ça le véritable enjeu. Le véritable enjeu, c’est d’améliorer au mieux et de fournir un système de qualité.

Jean-Marc Arbaud, PDG de CDPQ Infra

Si le niveau de décibels dépasse les prévisions de CDPQ Infra à certains endroits, c’est entre autres parce que « l’environnement a bougé » depuis le lancement du projet, selon M. Arbaud. Dans Griffintown, « il y a des buildings qui n’étaient pas là au début du projet », plaide-t-il. Sur Peel, la Ville de Montréal a retiré une voie de circulation automobile pour installer son Réseau express vélo. Cela a réduit le bruit ambiant mais a du même coup baissé la marge de manœuvre de CPDQ Infra pour augmenter le volume avec son REM.

« Ça nous préoccupe vraiment »

« Dès les premières plaintes », CDPQ Infra « a mobilisé une équipe d’experts multidisciplinaires » afin de se pencher sur le bruit causé par le REM, soutient Jean-Marc Arbaud. « On est allé chercher des Européens pour résoudre des problèmes », insiste-t-il. « Ça nous préoccupe vraiment et on met tout ce qu’il faut en termes de compétences, d’études et de moyens pour amener la bonne solution à chaque secteur. »

Pour le moment, des murs antibruit sont aménagés sur seulement 0,9 des 16 kilomètres du tronçon de la première phase du REM entre la Rive-Sud et le centre-ville de Montréal. Il y en aura finalement davantage.

« Pour être sûr que l’on respecte vraiment nos engagements et qu’on fait de la qualité, on a lancé la conception préliminaire de murs antibruit », annonce Jean-Marc Arbaud.

Sans en préciser la longueur, CDPQ Infra évoque la construction de murs dans les trois secteurs où le problème est le plus important (Griffintown, Pointe-Sainte-Charles et L’Île-des-Sœurs). Les analyses sont en cours.

CDPQ Infra procédera également à l’installation d’« absorbeurs dynamiques » sur les rails, des pièces qui servent à diminuer les vibrations et donc le bruit. « On en a déjà commandé en urgence pour en installer d’ici 8-10 jours sur 240 mètres pour pouvoir mesurer exactement les impacts », précise M. Arbaud. « On a même pris une précommande pour être capable de couvrir toute la distance, entre L’Île-des-Sœurs et la gare Centrale. On va être capable de faire ça le plus rapidement possible. »

Enfin, CDPQ Infra achètera les machines nécessaires pour procéder au meulage des rails. « C’est pour rendre la surface la plus lisse possible pour diminuer les bruits qui sont liés à des rugosités », explique-t-il. Le crissement du train sera ainsi réduit. « C’est un paramètre qu’on a du mal à imaginer, mais c’est un paramètre vraiment important. C’est assez technique et ça demande aussi des essais et des erreurs. »

Ces mesures ne seront pas toutes en place au moment de la mise en service du REM. Elles feront l’objet d’une annonce lors de laquelle l’échéancier sera précisé.

Et quelle sera la facture de ces correctifs ? « On n’est pas là pour parler du coût, répond Jean-Marc Arbaud. Ce n’est pas l’enjeu. L’enjeu, c’est de corriger. »

CDPQ Infra n’entend pas modifier le nombre de trains ni la fréquence de leurs passages afin de réduire le bruit à certains moments de la journée. Le REM sera en service 20 heures sur 24. Il passera toutes les deux minutes et demie aux heures de pointe avec quatre wagons ; toutes les cinq minutes le reste de la journée (deux wagons la nuit).

Avec les mesures annoncées, « il faut avoir un effet à la baisse significatif » du niveau de bruit, soutient Jean-Marc Arbaud. « Maintenant, un train, c’est un système motorisé. Vous ne pourrez pas le rendre totalement silencieux. »

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Bonne nouvelle!

En Espérant que l’aspect esthétique soit tenu en compte, notamment pour le passage au dessous du Canal Lachine.

Intéressant, un autre avantage du REV peel.

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On attend juste après l’approbation du MTMD pour le retrait du camionnage de transit pour Peel, Wellington et de la Montagne.

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Considering they lied about the height of the initial walls, I wouldn’t expect a pretty solution. Their website stated that the wells would be under 2m height to preserve passenger views, while in reality, the wall hides the entire train.

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