REM 2 (Est de Montréal) - Projet annulé

C’est justement mon point. Le gouvernement ne changera probablement pas. C’est leur projet maintenant, ce le sera dans six mois, ils seront redevables de respecter leurs échéanciers, ou de subir les critiques. On a une date, on va voir s’ils vont la respecter. Ils pourraient facilement mettre le frein sur les déclarations en termes de rapidité du projet, s’ils n’avaient nullement l’intention de livrer le projet.

La CAQ n’a aucune raison de saborder un projet avec la Caisse, simplement pour s’associer avec un nouveau projet qu’ils veulent torpiller, et être responsables de deux échecs. Je ne suis pas le plus fin des stratèges politiques, mais je ne vois vraiment pas ce serait quoi le jeu de la CAQ ici. Si le projet subit des retards, ce sera probablement plus pour des raisons différentes que la volonté politique, à mon avis.

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Ça devient un peu bizarre…

Tant qu’à y être vaut mieux donc recycler complètement le segment du Train de l’est sur la 640 qui a été construit exclusivement pour ce projet et qui n’est pas en partage avec le CN pour se rendre à Terrebonne qui est une ville beaucoup plus dense et populeuse que Mascouche qui en aurait de besoin, surtout si Mascouche aurait le métro Léger…

Sinon quoi, le REM va se rendre à Mascouche, pis après un Train de Banlieue jusqu’à Terrebonne…

Ou ils vont juste abandonner le segment et la gare/terminus Terrebonne en question et les rails qui s’y rendent, qui pourtant se transformerait très bien en Métro Léger…

Y’as-t-il de si Grande différence entre le REM Brossard et le Train de l’est sur la 640?

Lol encore une promesse de métro au travers des champs comme pour Chambly

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On va réaménager l’échangeur 40-640 et on va élargir les autoroutes 25 et 640! D’excellentes nouvelles!

Par contre, si je comprends bien, on va recycler le chemin de fer au milieu de l’A640. Je ne crois pas que ça soit une bonne idée. À mon avis, le métro léger/train léger devrait longer l’A25 jusqu’au terminus.

Sinon, et je me répète peut-être, déverser deux nouvelles ligne de métro sur la verte est une très mauvaise idée. On l’a vu avec la orange à Laval. N’a-t-on pas appris de nos erreurs?

Exactly, but we’ll definitely keep the CAQ accountable this time… right? :grimacing:

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D’accord avec toi que la ligne verte va souffrir. En même temps…

  • Mon avis est que la nouvelle mouture du projet va avoir des mesures d’amélioration de capacité de la ligne verte
  • Les usagers de la branche nord, advenant une panne de la ligne verte, peuvent aisément passer via la bleue puis le REM-A.
  • Pour les usagers de la branche Est, c’est plus long mais ils pourraient aussi continuer leur chemin vers la bleue.
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J’espère que t’as raison, mais je suis pas aussi optimiste. Je crois que si on doit absolument fier au ligne verte, les portes Pallières seront quasiment obligatoire. À voir!

Oui, le monde qui sont proches de la ligne bleue c’est pas grave, mais on ajoute un transfert en cas de panne (bleue + REM) à la place que juste une. Si on était proche de la ligne verte ou sur la branche est, je suis pas certain que faire le détour soit mieux qu’un bus.

Je sais c’est pas la fin du monde de ne pas avoir le tracé au CV, mais si on veut augmenter l’utilisation du TeC et on densifie l’est, j’ai peur que jammer tous ce monde sur la ligne verte serait un détriment pour la vitesse et le confort probablement les deux facteurs le plus important que le monde prennent leur chars. De plus on diminue la robustesse du réseau.

Anyway, here’s to hoping the right decisions are made!

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Sauf que rien n’empêche de construire la ligne avec une correspondance à la verte et de construire un lien vers le centre-ville plus tard, lorsqu’on aura épuisé toutes les autres options.

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Le ministre Bonnardel a brièvement mentionné au TJ 18h hier soir qu’un plan de match “précis” du REM de l’Est (…et de son prolongement vers la couronne nord) serait présenté après les élections (tiens… tiens… me semblait :unamused:)… et “souhaité” d’ici Noël ! :christmas_tree: :santa:

À voir à 12:35 (… jusqu’à 13:12) du clip suivant:

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Je viens de penser à ça, si la partie Mercier-Est Tetrautville devient en souterrain, comme la Mairesse insiste et l’une des raisons pourquoi elle voulait reprenne les Rênes du projet, ça veut dire que finalement la correspondance/embranchement entre les deux lignes à l’Assomption sera certainement Souterraine comparé à la Mouture de la CDPQ qui était en aérienne dès la première révision, après avoir été conçu comme ça initialement…

Yessss !

J’ai toujours voulu ça.

Également, il y a deux scénarios en souterrain connu pour ce secteur…

Soit il longe la ligne verte (Le tracé est sorti dans La Presse il y a quelques temps si quelqu’un veut le ressortir)… Ce qui agirait également comme dédoublement direct de la ligne et comme mesure de bonification de la Verte…

Ou par le bas, via Souligny ou Sherbrooke en souterrain pour remonter via Georges-Vanier à Contrecœur…

Désolé si mes noms de rue ne sont pas si précis que ça, on me corrigera…

Ce qui donnerait comme occasion de prolonger la verte de deux stations après Honore-Beaugrand, une vieille option qui traîne et qui agirait également comme Bonification de la ligne Verte…

Voilà, c’était mes pensées!

Ça serait environ 4km de souterrain dans une zone principalement industrielle entre la station Assomption et l’A25/Souligny, le long d’une emprise ferroviaire. Ça serait une bonne façon dans de rendre la réalisation de la ligne encore plus improbable.

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En fait la ligne deviendrait probablement aérienne rendu à l’A25.


Photo: Adil Boukind Le Devoir «Le Devoir» a rencontré la ministre responsable de la Métropole à bord de la navette fluviale qui relie sa circonscription de Pointe-aux-Trembles au centre-ville de Montréal.

Rouleau a déjà son plan pour le REM de l’Est 2.0

François Carabin

La ministre Chantal Rouleau a statué : le nouveau « REM de l’Est » sera un « train léger » qui roulera « en grande partie » en aérien dans l’Est. Il « faut » aussi qu’il se rende « plus profondément dans Rivière-des-Prairies ». Il reste pourtant six mois à l’équipe de travail mandatée par Québec pour présenter ses recommandations au gouvernement.

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En entrevue-bilan avec Le Devoir, la ministre responsable de la Métropole et déléguée aux Transports a fait part de ses plans pour le nouveau tronçon de transport collectif. Le mois dernier, son gouvernement avait confié les rênes du projet à un groupe de travail interdisciplinaire, formé par la Ville de Montréal, le ministère des Transports, la Société de transport de Montréal (STM) et l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM). Il a le mandat de faire, d’ici la fin de l’année, des recommandations sur le tracé, sur le mode à utiliser et sur les raccordements au réseau existant.

Or, Chantal Rouleau a déjà une bonne idée du projet final. « Ce n’est pas un tramway, ce n’est pas un métro, c’est un train léger », a dit l’élue caquiste dans un entretien accordé à bord de la navette fluviale qui relie sa circonscription de Pointe-aux-Trembles au centre-ville de Montréal.

Malgré les inquiétudes dans la population quant à la possibilité que le REM de l’Est circule en hauteur, il sera « en grande partie » aérien sur le tronçon qui rejoint Pointe-aux-Trembles. « Au sol, ça ne marche pas. […] Un tramway, ça irait aussi vite que le bus qui circule rue Notre-Dame. Ça ne marche pas », a dit la ministre, qui se représentera aux prochaines élections, dans à peine trois mois.

Avant même que le groupe de travail ait présenté ses scénarios au gouvernement, Mme Rouleau insiste aussi sur la nécessité que le REM « soit bien connecté aux lignes de métro » et « entre plus profondément dans Rivière-des-Prairies, parce que les gens le veulent ». En mai, le directeur général de l’ARTM, Benoît Gendron, avait dit en entrevue avec Le Devoir qu’il était « trop tôt pour dire quelle sera[it] la solution ».

« On le veut, ce projet-là. Et les dix milliards, on va les mettre », a souligné Mme Rouleau. Les discussions avec le fédéral doivent encore avoir lieu, ajoute-t-elle.

Revoir l’ARTM ?

Après quatre ans de mandat, la ministre sortante convient par ailleurs qu’il faut repenser le financement du transport collectif dans la grande région de Montréal. Une révision en profondeur de l’ARTM n’est pas exclue.

Elle admet que certaines pratiques de l’organisme chargé de financer le transport en commun dans la grande région métropolitaine étaient à revoir. « Peut-être que le prochain gouvernement pourra prendre des décisions sur la façon dont on peut améliorer, optimiser… » a dit Mme Rouleau.

Née en 2017, l’ARTM a eu cinq ans l’an dernier. Et ces cinq années n’ont pas été sans histoire. Dans un rapport déposé à l’Assemblée nationale, le ministre des Transports, François Bonnardel, critiquait en mai la « gestion brusque » et l’« opacité organisationnelle » qui règnent à l’ARTM.

« Ça manque un peu de transparence, il y a un petit problème de gouvernance, a résumé Chantal Rouleau. Peut-être que justement parce que c’est une “autorité” : “écoute et fais ce que ce je te dis”. »

« Quand tu parles comme ça à la STM, ça ne marche pas. Pas non plus avec la [Société de transport de Laval], le [Réseau de transport de Longueuil], Exo », a-t-elle ajouté.

En mai 2021, la STM avait des mots particulièrement durs à l’égard de l’organisme qui la chapeaute dans le cadre de la révision quinquennale de la Loi sur l’Autorité régionale de transport métropolitain. « L’ARTM ne semble pas […] disposée à défendre publiquement l’enjeu de sous-financement pourtant déjà amplement reconnu de toutes les instances gouvernementales », pouvait-on lire dans un document préparé par le transporteur montréalais.

La pandémie a creusé un trou dans les finances des organismes de transport collectif de la grande région de Montréal. Dans la dernière semaine du mois de mai 2022, la fréquentation du réseau de la STM était à 62 % des chiffres prépandémiques. Mme Rouleau assure que des « scénarios » seront soumis aux transporteurs pour qu’ils puissent sortir la tête de l’eau.

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Il y aura des sections au sol, ou il n’y en aura pas? Ce sera complètement grade-separated ou non? La ministre n’est pas claire dans ses explications, elle dit que ce sera ni un métro, ni un tram.

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Si on lit entre les lignes, quand elle dit que ce ne sera pas un métro, ça veut dire que ce ne sera pas grade-separated en entier. On peut s’attendre à quelque chose similaire au Eglinton LRT de Toronto.

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… ou elle fait référence au « métro » en parlant du modèle actuel du métro STM et du « train léger » comme du concept de métro léger du REM.

J’espère qu’on aura pas un modèle hybride comme le Eglinton LRT. C’est la même chose que ce qu’ils ont mis à Ottawa et c’est pas glorieux pour l’instant. (Même si Ottawa est entièrement en site propre en phase 1)

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Je pense plutôt qu’elle voulait dire qu’il ne sera pas entièrement sous terrain

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Je ne serais pas contre un LRT Style Eglinton ou Ottawa (mais on serait mieux de choisir High floor) si on décide de continuer la ligne au CV avec une possibilité de continuer vers Lachine et L’Ouest de Lasalle utilisant les rails de VH ou CA avec des passages à niveau au Centre-Ville sur R-L comme à Calgary (si le budget et max 10G$)

Mais si on est exclusivent à l’est où les coût seraient relativement bas tous le long et les distances sont longs, la vitesse est primordial, les passages à niveau devrait être évité le plus possible. Genre à chaque 1-2km minimum avec des barrières pour empêcher le monde de conduire ou marcher sur les rails.

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Une rencontre avait été organisée mardi soir par l’arrondissement de RDP-PAT afin de présenter l’étude réalisée par les équipes techniques concernant un prolongement du REM de l’Est dans RDP à ces citoyens. :slightly_smiling_face:

Voici la vidéo de cette présentation et un article résumant cette rencontre:

2022-06-21 REM : Présentation de l’étude pour le prolongement du réseau à Rivière-des-Prairies

Diffusé en direct le 21 juin 2022

Arrondissement de RDP-PAT - En direct


Ce n’est pas un «REM de l’Est s’il n’inclut pas RDP»


Si le REM de l’Est est prolongé à RDP, il y a de grandes chances qu’il soit réalisé en aérien sur Maurice-Duplessis | Photo: Gracieuseté, CDPQ Infra, Archive

Journal Métro | RIVIÈRE-DES-PRAIRIES | 22 juin 2022 à 14h18 | Clément Bolano

«Il faut que les trois lettres R, D, P soient associées à chaque fois qu’on parle d’un nouveau mode de transport collectif [dans la région métropolitaine de Montréal]», a à nouveau martelé Caroline Bourgeois, mairesse de l’Arrondissement de Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles.

L’Arrondissement avait organisé une rencontre avec les citoyens au centre récréatif de RDP, le mardi 21 juin, afin de présenter l’étude réalisée par les équipes techniques concernant un prolongement du REM de l’Est dans le district.

«On ne peut pas appeler ce projet REM de l’Est s’il n’inclut pas RDP», a soutenu la mairesse devant la cinquantaine de résidents présents ainsi que tous ceux qui suivaient la rencontre en webdiffusion.

Dans un mot d’introduction, elle a souligné que malgré les motions votées en 2021 et les démarches citoyennes, «on ne voyait toujours pas d’officialisation de prolongement de la branche [du REM de l’Est] vers RDP».

Alors que le projet initialement mené par CPDQ Infra «revient maintenant dans les mains du secteur public», l’Arrondissement de RDP-PAT souhaite saisir «les nouvelles opportunités» que cela implique. Cette soirée visait à présenter sa vision du projet, mais aussi à écouter la population et à prendre en compte leurs arguments.

Trois stations pour RDP

Le quartier «n’est pas un petit village» et «l’évolution de la population n’est pas terminée», rappelait Luc Castonguay, directeur du développement du territoire et des études techniques à l’Arrondissement.

Dans le scénario envisagé, le REM de l’Est serait prolongé le long du boulevard Maurice-Duplessis, du cégep Marie-Victorin au bout du district. Un axe qui permettrait de rejoindre à la fois les secteurs résidentiels, mais aussi les zones d’emploi de Rivière-des-Prairies.

Celles-ci, situées au sud du quartier, entre l’autoroute 40 et Maurice-Duplessis, comptent plus de 5500 travailleurs, sans même compter la zone Anjou, toute proche.

«On rencontre fréquemment des entreprises locales [confrontées à la] difficulté de transporter [la] main-d’œuvre jusque dans l’Est», précisait M.Castonguay.

En entrevue avec Métro, l’Association des gens d’affaires de RDP (AGARDP) indiquait en outre qu’«avec le REM, il y aurait une augmentation de population et de l’achalandage. Cela entraînerait plus d’achat local, plus d’argent pour les commerces, donc plus de variété de produits» pour les Prairivois.

La distance de 2 km serait celle retenue entre chaque station. L’Arrondissement propose ainsi trois stations du REM pour RDP, le long de Maurice-Duplessis: Armand-Bombardier, Rodolphe-Forget et Saint-Jean-Baptiste. Les deux premières permettraient de rejoindre, à distance de marche, 26 500 résidents (46% de la population) dans un rayon de 1 km, et 56% pour l’ensemble de ces arrêts.

Une «opportunité de développement à la fois pour les gens qui vont habiter» autour, et aussi pour les commerces «qui auront plus de clients à distance de marche» selon le département des études techniques.

Cela permettrait ainsi de réduire la part de l’automobile. Plus de 90% des logis possèdent au moins une voiture, contre 71% dans l’ensemble de Montréal.

La parole aux citoyens

À plusieurs reprises, M. Castonguay et la mairesse ont rappelé être «curieux d’entendre [la population]», et ne pas vouloir se précipiter dans un choix particulier.

Les résidents ont formé des groupes de paroles d’une dizaine de personnes afin de discuter des idées présentées et de faire ressortir leurs revendications et attentes concernant l’offre de transport collectif à RDP. Ils étaient invités à s’exprimer sur la zone à privilégier – commerciale, résidentielle ou industrielle –, et leurs diverses préoccupations.

Concernant ce premier débat, aucune position n’a fait l’unanimité, même si l’idée d’un REM le long de Maurice-Duplessis a semblé convaincre une majeure partie des personnes présentes.

Min, externe en soins infirmiers au CHUM et résident de RDP, pointait l’importance de se doter d’un transport collectif qui s’intègre bien dans le quartier, et ne crée pas «une fissure» en devenant «une autoroute métropolitaine» sur le boulevard.

«Entre aujourd’hui et la finalisation de ce projet dont on ne connaît pas la date […], on veut qu’il y ait des mesures prises entre-temps pour répondre aux besoins actuels» des Prairivois, a-t-il ajouté.

Sur l’épineuse question d’un prolongement souterrain, l’option largement préférée par les citoyens et l’Arrondissement, il paraît peu probable qu’elle soit retenue par l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM). En ce qui concerne les coûts, rappelons, à titre d’exemple, que le prolongement de la ligne bleue coûterait 1035 M$/km, contre 320 M$/km pour un REM de l’Est aérien.

Comme le résumait une citoyenne lors des échanges: «On préfère un REM aérien que rien du tout. Faudrait pas que le mieux devienne l’ennemi du bien.»

Quelques contraintes techniques

Certains éléments exposés par l’Arrondissement dans le cadre du prolongement du REM de l’Est à RDP font l’objet d’enjeux techniques. Parmi ces derniers, le franchissement de l’A-25, à la hauteur du cégep Marie-Victorin, jusqu’auquel on prévoit que le REM sera souterrain. L’axe routier étant en dessous du niveau du sol, cela pose un défi dans le cadre d’un prolongement sous terre. Pour une structure aérienne, c’est la ligne à haute tension qui peut poser problème, même si «rien n’est incontournable», soulignait Luc Castonguay, directeur du développement du territoire et des études techniques à l’Arrondissement. Des enjeux de cohabitation avec le Train de l’Est ont aussi été pointés, même s’ils n’étaient pas au centre des débats.

Relier PAT et RDP


Crédits: CDPQ Infra, Archive

Parmi les sujets évoqués, celui de relier le quartier de Pointe-aux-Trembles à celui de Rivière-des-Prairies est revenu à plusieurs reprises. Comme le soulignait Min, un jeune résident du district, cela prend près d’une heure de bus pour rejoindre le centre aquatique de RDP depuis PAT, contre à peine 15 minutes de voiture. La mairesse a rappelé que «malheureusement, toutes les enquêtes montrent que les déplacements nord-sud» sont bien trop rares pour envisager un raccordement à PAT. D’où l’importance, selon elle, de «relier l’ouest à l’est en priorité». L’option actuelle reste alors la ligne d’autobus 81, malgré son temps de voyage excessivement long.

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