REM 2 (Est de Montréal) - Projet annulé

Merci pour ton témoignage…

Ça fait longtemps qu’il y a rien comme infrastructures de transport en commun dans l’est… Il est temps de tout rattraper et de croire en son potentiel profond comme Jean-Martin Aussant !

34-35 KM de Métro Léger (Avec l’extension possible et non rejeté par la CDPQ après Marie-Victorin, contrairement au 32KM officiel) + les plus ou moins 6 km de Métro de la ligne bleue… + le 13 KM du SRB Pie-IX + les 10 km du MétroBus Henri-Bourassa + les 10 km du SRB Notre-Dame/Concorde à Laval… Entièrement financé et accéléré par la CAQ via la Loi 66…

Ça promets !!! :fire::smiling_face_with_three_hearts::yum::nerd_face::cloud::dark_sunglasses::fairy:

As-tu réussi à avoir les informations ou devrais-je aussi déposer une demande d’accès à l’information?

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C’est loin d’être la première fois que j’entends parler de la capacité résiduelle de la branche est de la ligne verte alors je peinais à rentrer dans un train sur l’heure de pointe, avant la pandémie. Leur réalité et la mienne ne concordent pas. Font-ils référence:

  • à la perception que la branche est était sous-utilisée en 2019;
  • au fait que la ligne orange était à un état plus critique que la ligne verte, donc elle a nécessairement une capacité d’accueil résiduelle; ou
  • à la capacité future de la ligne si la STM y déploie exclusivement des trains azur et parvient à les faire passer aux 90s au lieu de toutes les deux minutes sans interruptions de service supplémentaires?

Je serais beaucoup plus en faveur de l’argument que le tronc commun du REM de l’est devrait être éloigné de la ligne verte pour réduire un dédoublement de service (ex: ligne rose) que de prétendre que la ligne verte à assez de capacité excédentaire pour recevoir les utilisateurs sur SRB Pie-IX, plus les résidents de la branche nord du REM, plus les résidents de la branche PaT du REM.

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Très d’accord avec ça.

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Bien hâte de voir si il y aura une extension du Rem à Rivière des Prairies de 2 ou 3 km…ce serait tellement logique pour ces 58 000 habitants

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Juste pour mentionner, le SRB Pie-IX peut toujours être prolongé jusqu’au centre-ville. C’est ici où ça viendrait influencer dans la “capacité excédentaire” de la ligne verte.

L’article mentionne également la possibilité de faire des SRB et express à un coût qui serait beaucoup moins que le REM de l’Est.

Ce que je suis d’accord.

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Ça prend 20-30 jours… :upside_down_face:

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Événement : Rencontres citoyennes dans les parcs de l’Est de Montréal les 20 et 27 novembre

REM DE L’EST | MONTRÉAL, 12 NOVEMBRE 2021

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Les samedis 20 et 27 novembre 2021, de 10 h à 13 h, les citoyen(ne)s pourront rencontrer les experts du REM de l’Est dans différents endroits publics de l’Est de Montréal.

Dates et lieux des rencontres de l’automne 2021

L’équipe du REM de l’Est sera présente dans cinq lieux différents, les samedis 20 et 27 novembre prochain.

Samedi 20 novembre, de 10 h à 13 h

  • Saint-Léonard/Montréal-Nord : Parc Wilfrid-Bastien à proximité du chapiteau
  • Pointe-aux-Trembles : Place du Village-de-la-Pointe-aux-Trembles aux angles des rues Saint-Jean-Baptiste et Notre-Dame
  • Centre-Sud : Parc Charles-S-Campbell, à proximité des jeux pour enfants

Samedi 27 novembre, de 10 h à 13 h

  • Mercier-Hochelaga-Maisonneuve : Parc de la Promenade-Bellerive à proximité du chalet du parc
  • Mercier-Hochelaga-Maisonneuve : Place Simon-Valois aux angles des rues Valois et Ontario

Café, chocolat chaud et biscuits gratuits servis sur place! Venez vous réchauffer tout en posant vos questions sur ce grand projet de transport collectif qui améliorera la mobilité dans l’Est.

Repérez le chapiteau blanc et notre équipe qui sera identifiée avec des tuques et des brassards. De l’information sur le REM de l’Est et des cartes du tracé seront disponibles.

En cas de pluie, les événements seront remis au lendemain. Restez informé(e)s en direct sur nos événements Facebook :

Participer sur Facebook

Ceux qui croient fortement à la possibilité d’une station à Rivière-des-Prairies remarqueront peut-être l’absence d’évènements à proximité du quartier :no_mouth:

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En même temps Trudeau a augmenté le budget en TEC et la balance du pouvoir est au NPD… D’autant plus que la CAQ veut continuer sa conquête de l’est de Montréal pour les prochaines élections… Et que Codère et Plante l’ont promis… Donc sûrement que c’est un peu déjà dans les plans :wink:

Je me souviens avoir entendu Coderre parler de prolonger le projet du REM de l’Est vers RDP, mais Plante?

Considérant que la station de Dorval n’est toujours pas incluse dans le projet du REM initial, je ne donne pas cher d’un tel prolongement à RDP.

Une motion à RDP-PAT avait été adoptée en ce sens. Donc, je crois que c’est de cette manière que Plante l’a promis.

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Il faut faire attention, Plante n’a aucun pouvoir sur cette question.
Personne n’a promis de construire ce prolongement, la promesse vise à demander ou insister pour que ça se fasse, mais il n’y a aucune garantie.

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Quand elle a fait l’annonce du 500 millions pour les abords de la structure aérienne, elle a aussi promis le prolongement après Marie-Victorin !

Radio-Canada

25-10-2021

Le Devoir

Kind Of mais elle a surtout insister pour le Tunnel long au Centre-Ville avec une sortie aérienne après le Métro Frontenac… Juste avant Préfontaine…

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“Volonté” et “demande” n’égalent pas “promesse”.

La seule promesse ici c’est qu’elle va insister et pousser pour que cette addition se fasse, mais si ça ne fait pas, ce ne sera pas de sa faute. (Si la CAQ n’en fait pas la demande à CDPQi)

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En même temps la CDPQ n’a jamais été catégorique contre le projet comparé au tunnel C-V… Je suis un éternel optimiste et c’est évident que quand on pense aux jeux de coulisse, jamais la CDPQ aurait laissé les candidats à la mairie faire la promesse, sans montrer aucune tension de la sorte, s’ils étaient foncièrement contre…. Surtout que, comme j’aime le rappeler, on est dans une époque propice à ses projets, avec la fin de l’ère automobile individuel et le dévéloppement durable qui prend une ampleur dans le monde et surtout à Montréal qui va accueillir le Bureau de la Finance Durable, un nom comme ça !

Troisième lien et REM de l’Est Les leçons de Mirabel ne doivent pas être ignorées

PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE

La démolition de l’aérogare de Mirabel, en 2015

Pour ceux qui s’inquiètent de l’entêtement du gouvernement Legault dans les dossiers du REM de l’Est de Montréal et du troisième lien Québec-Lévis, l’année électorale qui s’annonce n’est guère réjouissante. De toute évidence, les deux projets s’inscrivent à l’intérieur d’un agenda politique auquel on n’entend pas déroger.

Publié le 20 novembre 2021 à 10h00

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Gérard Beaudet

Gérard Beaudet Urbaniste émérite et professeur titulaire à l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage de l’Université de Montréal

C’est du moins ce que suggère la manière avec laquelle on repousse du revers de la main toute forme de critique, qu’elle soit fondée sur des données difficilement contestables, des observations empiriques éloquentes ou une convergence d’études portant sur de longues durées. On sait, soutient-on, ce que la population veut, quoi qu’en pensent et quoi qu’en disent les opposants, qu’ils soient observateurs avertis, experts reconnus, citoyens concernés ou élus inquiets d’une utilisation discutable des fonds publics.

Cette attitude, dont le premier ministre entend s’assurer qu’elle est endossée sans réserve par tous les ministres concernés par ces dossiers, confine à l’arrogance. Or, il n’est pas inutile de rappeler qu’une telle arrogance a présidé, il y a quelques décennies, au lancement en grande pompe d’un projet qui a connu une triste fin, et ce, en dépit de toutes les garanties données au départ.

La construction de l’aéroport de Mirabel était annoncée en mars 1969 par le premier ministre d’un gouvernement qui disposait, soutenait-il, de toutes les données requises pour prendre une décision dont la nécessité et la légitimité ne faisaient aucun doute. Le gouvernement du Québec et tous ceux qui avaient des réserves et des objections devaient se le tenir pour dit. Conduit en mode accéléré, le chantier était complété en cinq ans, au coût de 500 millions de dollars (3,5 milliards en dollars d’aujourd’hui).

L’aéroport, construit au cœur d’un vaste domaine agricole de plus de 39 000 hectares dont les propriétaires avaient été sommairement expropriés, devait comporter à terme six pistes et six aérogares et accueillir, à l’horizon 2000, quelque 40 millions de passagers.

Plombé par les mésententes Québec-Ottawa, notamment en ce qui concerne la desserte autoroutière et ferroviaire, le projet sera également victime des conséquences du choc pétrolier de 1973 et des adaptations conséquentes de l’industrie aéronautique.

En 1975, Pierre Elliott Trudeau continuait malgré tout à affirmer qu’il avait eu raison envers et contre tous. L’aéroport de Dorval − ironiquement renommé Montréal-Trudeau − reste néanmoins en service et détrône Mirabel en 1997. La fin des vols passagers à Mirabel est décidée en 2004 et l’aérogare est démoli en 2015 et 2016.

Il faut reconnaître qu’il était difficile de prévoir dans toute son ampleur cet échec lamentable. Le projet surfait sur la vague de prospérité des Trente Glorieuses et sur des anticipations de croissance dont on reconnaît aujourd’hui la candeur. Personne ne pouvait anticiper les conséquences du premier choc pétrolier sur le trafic aérien international. Il n’en reste pas moins que la politisation extrême du dossier et l’assurance sans bornes de ses promoteurs n’ont guère été favorables aux ajustements qui seraient bientôt nécessaires. Chacun est resté sur ses positions, tant à Ottawa qu’à Québec, et on en a payé le prix.

C’est pourquoi l’entêtement dont fait preuve le gouvernement de la CAQ dans les dossiers du REM de l’Est et du troisième lien doit inquiéter.

Contrairement à ce qui s’est produit à Mirabel, on peut en effet d’ores et déjà prévoir les conséquences désastreuses de ces deux projets dont les justifications ont été très sévèrement critiquées.

En d’autres termes, l’enthousiasme insouciant dont on a fait preuve au moment de lancer Mirabel est aujourd’hui tout simplement indéfendable et irresponsable. On ne peut persister à affirmer haut et fort que ces projets sont bien fondés, tant du point de vue de leur utilité que de leur déclinaison, surtout quand on reconnaît du même souffle qu’un des deux n’est pas en ligne avec les objectifs de lutte contre les changements climatiques.

Les enseignements de Mirabel ne peuvent pas être ignorés. Ils le peuvent d’autant moins que, cette fois-ci, importe-t-il d’insister, on persiste à défendre en toute connaissance de cause des projets extrêmement controversés en raison même des nombreux impacts négatifs annoncés. John Kenneth Galbraith soutenait que si les économistes avaient plus de mémoire, ils se couvriraient moins souvent de ridicule. En cette année électorale, la pertinence du mot de l’éminent économiste ne fait guère de doute, toutes confréries confondues. Surtout quand le ridicule dont on s’entête à vouloir se couvrir se chiffre en dizaines de milliards de dollars.
https://www.lapresse.ca/debats/opinions/2021-11-20/troisieme-lien-et-rem-de-l-est/les-lecons-de-mirabel-ne-doivent-pas-etre-ignorees.php

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Corrigez moi si je me trompe mais l’aéroport de Mirabel a principalement été un échec parce que l’absence de lien ferroviaire le rendait encore plus difficile d’accès que YUL. De nos jours, ADM et la ville de Montréal sont en guerre constante avec les riverains de YUL à cause de l’intensification des activités de l’aéroport au fur et à mesure que Montréal prend de l’influence sur l’échiquier mondial. De ce que j’ai pu lire, la plupart des urbanistes s’entendent pour dire que les installations aéroportuaires devraient ne devraient plus être au milieu de milieux de vie.

Personnellement, Je doute que le statut quo de Montréal soit l’option idéale à moyen terme. Je ne serais d’ailleurs pas surpris qu’on cherche éventuellement à déplacer les vols internationaux hors de l’île. J’ignore si ce sera encore Mirabel ou un autre site.

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En effet, comme indiqué dans l’article d’opinion ci-dessus, l’aéroport a été victime de la première crise pétrolière qui a contraint les compagnies aériennes à exiger des constructeurs des avions plus performants. Trudeau et ses cadres envisageaient un avenir en plein essor de voyages aériens presque illimités, mais avec la plupart des avions des années 60 limités à une autonomie d’environ 4000 milles ou huit heures, devant s’arrêter quelque part dans le nord-est après avoir traversé l’Atlantique avant de continuer vers le reste de les Amériques, ou l’inverse. La crise pétrolière a précipité une vague de nouvelles conceptions et technologies de Douglas, Lockheed et Boeing, et du nouvel entrant Airbus, avec de gros porteurs à deux couloirs capables de voler sans escale de la côte ouest à l’Europe, ou du Midwest au Moyen-Orient – ​​sautant Montréal en somme.

Tous les autres problèmes — la pression politique pour garder Dorval ouvert, la manque de liaisons efficaces vers Mirabel, la réticence des compagnies aériennes à ajouter des vols à YMX s’il était difficile à atteindre — étaient secondaires à la mortinaissance de Mirabel en tant que point de cheminement international.

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Suite à la manifestation tenue hier contre le projet du REM de l’Est (et aux précédentes), voici un intéressant éditorial dont devrait lire CDPQ Infra et prendre en considération.

Des leçons pour le REM de l’Est


PHOTO GETTY IMAGES | « La structure aérienne la plus réussie est de loin celle de La Haye, selon notre éditorialiste. Il s’agit d’une structure légère, en acier, qui laisse filtrer la lumière. Le béton ne permet pas cela. »

Maintenant que la nouvelle administration Plante a prêté serment, et que la mairesse s’apprête à nous présenter son nouveau comité exécutif, le temps est venu de remettre le dossier du REM de l’Est en haut de la liste des priorités à l’hôtel de ville de Montréal.

Publié le 21 novembre 2021 à 5h00 | NATHALIE COLLARD | LA PRESSE

Notre collègue Maxime Bergeron revient d’Europe où il est allé constater par lui-même certains exemples cités par CDPQ Infra comme inspirations pour le REM de l’Est.

Il rapporte dans son bagage de nombreuses leçons qu’on devrait retenir.

Son constat pourrait se résumer en quatre mots : écoute, réflexion, planification, intégration.

Écoute

À La Haye, les promoteurs des projets de transport ont été à l’écoute des communautés. Ils ont organisé des tables de concertation où tout le monde a pu échanger : commerçants, propriétaires, architectes, urbanistes, etc. Les inquiétudes de chacun ont été entendues et prises en considération. C’est une étape importante. L’idée n’est pas d’imposer un projet à la population, mais bien de développer un projet auquel celle-ci adhérera.

Réflexion

Dans tous les projets visités, il y a une constante : on a réfléchi en amont. On s’est posé des questions primordiales, à commencer par la plus importante : quel est le meilleur projet pour chaque secteur d’une ville ?

À Copenhague, on a érigé une structure en hauteur dans une friche industrielle qu’on souhaitait requalifier et développer.

À Paris, où on a songé à ériger des structures en hauteur dans des quartiers habités, on a vite réalisé que cette idée, très populaire dans les années 1960, était dépassée. Comme le dit si bien un des intervenants : « Ce n’est plus dans l’air du temps. »

Partout, le même constat : oui à une structure en hauteur en lisière des villes ou dans les anciens quartiers industriels auxquels on veut redonner un nouveau souffle. Mais quand il est question du centre-ville et des quartiers résidentiels, la conclusion est unanime : il faut creuser ou encore, faire passer le train léger (ou tram-train, comme à La Haye) au niveau de la rue.

Planification

Toutes les villes citées dans le reportage de notre collègue ont en commun d’avoir planifié leur projet en se posant les bonnes questions : Quel effet veut-on créer dans un quartier ? Que retrouvera-t-on autour des stations ? Comment les développer ? Comment favoriser le transport actif pour s’y rendre plutôt que l’auto ? Ce sont des questions qu’il faut se poser avant la première pelletée de terre, pas après.

Intégration

Le passage d’un train léger, d’un tramway ou d’un tram-train n’est pas une mince affaire. Il faut qu’il s’intègre dans une trame urbaine, qu’il devienne un ajout positif. À Copenhague, on avoue qu’on s’y reprendrait autrement plutôt qu’ériger un mur qui scinde un quartier en deux, au grand dam des résidants. Une bonne planification permet d’éviter ce genre d’erreur qui laisse des cicatrices pendant des décennies. La structure aérienne la plus réussie est de loin celle de La Haye. Il s’agit d’une structure légère, en acier, qui laisse filtrer la lumière. Le béton ne permet pas cela.

Enfin, dans tous les projets visités, il est démontré que creuser des tunnels dans un centre-ville est tout à fait possible. Quand c’est bien fait, il n’y a pas d’effondrement, même dans des quartiers historiques.

Le projet du REM de l’Est n’est pas encore définitif, mais son tracé a tout de même été déterminé avant de consulter les résidants. Ils n’ont été rencontrés que le printemps dernier.

Une autre ronde de rencontres publiques a d’ailleurs lieu ces jours-ci dans plusieurs parcs de l’est de Montréal.

CDPQ Infra se dit à l’écoute des préoccupations des communautés touchées par le passage du REM. Mais le promoteur ne semble pas très ouvert à reconsidérer la portion aérienne du tracé qui inquiète au plus haut point. Il faudra attendre les audiences du BAPE, prévues pour le début 2022, pour vider cette question sur la place publique. On se souviendra que les audiences publiques pour la première portion du REM avaient donné lieu à beaucoup d’objections, ainsi qu’à un rapport qui ne recommandait pas le projet. On a fait fi de ces inquiétudes.

Peut-on espérer que CDPQ Infra soit plus à l’écoute des critiques cette fois-ci ?

Les exemples européens cités plus haut montrent que la consultation et l’adhésion sont deux ingrédients indispensables au succès d’un tel projet. On attend de la nouvelle administration Plante qu’elle fasse preuve d’un vrai leadership pour que cet objectif soit atteint.

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