Par rapport aux refus du CCU, comme mentionné dans l’article, les fonctionnaires ont déconseillés les propriétaires de le présenter et ils l’ont quand même fait.
Dans d’autres villes, les fonctionnaires travaillent avec le propriétaires pour arriver à une proposition qui sera presque certainement autorisée par le CCU, ce qui évite du temps et des coûts à tout le monde. Malgré ça, certains propriétaires ne veulent rien savoir et se présentent quand même au CCU, où ils se font presque toujours refusé, ayant perdu des mois de travail.
Dans ce cas-ci, je pense qu’il y a un peu des problèmes des deux bords. L’arrondissement devrait vraiment être plus clair sur les documents à fournir et les démarches à suivre, mais les propriétaires aussi sont un peu de mauvaise foi quand ils se comparent avec leurs voisins sans tenir compte de l’évolution des règlements et des objectifs. Pareil pour leur commentaire sur la nécéssité de faire une étude patrimoniale (elle ne servirait pas nécéssairement à conserver le shoebox, mais elle aurait pu, par exemple, obliger d’inclure certains volumes ou certains matériaux dans le nouvel édifice).
J’ai toujours un peu de la difficulté avec ce genre d’articles (comme celui pour des rénovations sur le Plateau il y a quelques semaines), puisque parallèllement à leur aventure, il y a des dizaines de projets qui avancent rondement.