C’est en effet aberrant et illogique. Par contre, si la limite n’est que technologique, je verrais bien une demande en ce sens à Québec… On est en campagne électorale, et je suis certain que si l’ARTM recevait les sommes appropriées, le système changerait plus facilement et plus rapidement.
Malheureusement, OPUS était déjà plutôt archaïque dès son arrivée… Le tap-in tap-out devrait être, à terme, la solution privilégiée (et des portes battantes plutôt que les tourniquets. C’est vraiment dommage que le REM semble s’en aller vers les tourniquets aussi (à moins que je me trompe?)
There’s nothing limiting the technology with the fare machines, those support all support ISO 14443 (contactless cards), the cards should instead use MIFARE which allow for storing card data on the cards and more options, instead of Calypso which limits only a certain amount of fares on a card. Even Calypso themselves know this is an issue
The ticketing systems were all part of a scheme now known as “closed loop”, with a card-centric architecture. If an operator chose a contactless system, the only questions to be asked were the choice of the card, Calypso or Mifare, and whether to use a mixed magnetic/contactless or a full contactless system.
Twenty-five years later, the context is totally different. The needs and the ticketing ecosystem have evolved:
There are multiple choices between technologies (radio, NFC, QR Code, Bluetooth, …) and architectures (card centric, system centric or ABT),
Open payment is an alternative to closed loop systems,
Many new players are now on the ticketing market, banking operators, Visa, Mastercard, Gafa, startups, etc.
Peut-on arrêter de niaiser sur la tarification des TeC?
À mon avis, pour sortir de ce bourbier:
Compléter l’installation des lecteurs aux portes des bus
Instaurer le tap-in-tap-out dans les bus, métro/train à prix fixe
Instaurer les équipements dans les métro/train
Implémenter le tap-in-tap-out à la grandeur du réseau, et permettant le paiement par carte
Tarification devrait être selon la distance et période de la journée. La zone pourrait être inclus. Prix minimum (indexé) à genre 2.50$ pour une distance minimale (genre 2km), et graduellement augmenter.
Et dire que l’ARTM a passé des années à pondre ce qu’on a…
Dans les rendus plus vieux, il y avait la mention que les “infrastructures de validateurs” étaient à titre indicatif et qu’ils seraient fournis par l’ARTM.
Que le système de billetterie ne puisse pas savoir s’il devrait utiliser un titre Bus, A ou AB en zone A, je peux comprendre. Ils se chevauchent tous et on n’a toujours pas de valideurs à la sortie des stations de métro et des gares de train.
J’aimerais cependant que l’ARTM fasse preuve de plus de transparence et explique la nature des problèmes technologiques qui l’empêche de maintenir les titres « tous modes C » alors que je peux bénéficier d’un titre « tous modes A » pour mes déplacements.
Pendant la consultation, on nous avait présenté une tarification basée sur le nombre de zones traversées. Nous arrivons à la phase 2 de la refonte tarifaire et le modèle se compare regrettablement à l’ancienne tarification concentrique de l’AMT avec moins de paliers de zones et des titres BUS, une grille tarifaire complètement mésadaptée aux nouvelles réalités de déplacements métropolitains. D’un côté, ils affirment baser leurs décisions sur les résultats de leurs enquêtes origine-destination; de l’autre ils on dirait qu’ils agissent de façon à décourager de nouvelles habitudes de déplacements en transport collectif. Pour rappel, les titres « tous modes C » existaient l’année dernière et n’existent plus maintenant. Je ne comprends juste pas.
Ça fait des mois que j’essaie de savoir auprès de l’ARTM et la STM s’ils ont une ligne d’horizon pour la mise en place de valideurs à la sortie des gares de train et des stations de métro. Tout ce que j’ai comme réponse est qu’ils n’ont aucune estimation de date à communiquer et qu’une fois que les réflexions avec tous leurs partenaires métropolitains aura abouti, ils pourront en informer la population. En tant qu’utilisateur, ça me donne l’impression que cette situation ne sera pas corrigée d’ici la fin de l’implémentation de la réforme et que ça pourrait devenir semi-temporaire. Je me répète, mais je pense que l’ARTM devrait offrir les titres « tous modes » manquants et absorber de fraude pour les déplacements multi-zones, quitte à faire plus de contrôles dans les trains ou en station.
Quand le REM va ouvrir à Brossard, s’ils ne mettent pas en place de tarif « B tous modes », il sera impossible de prendre le bus RTL jusqu’à Panama et ensuite aller à la station Du Quartier, pour aller au Dix30, sans devoir payer en double pour un aller-retour AB…
Un gros turn-off alors qu’on parlait il y a pas longtemps à Longueuil de vouloir développer l’achalandage à l’intérieur de l’agglomération.
Le nouveau bus “ROME” devrait permettre le service à Dix30 depuis le Panama, mais malgré cela, je suis d’accord qu’il devrait y avoir un All Modes B. Un point majeur de l’intégration tarifaire est de permettre aux gens de prendre n’importe quel mode de transport en commun sans avoir besoin de choisir le plus lent parce que c’est moins cher.
En fait si je comprend bien, c’est qu’on achète un billet de bus. Valide dans n’importe quelle zone. Donc, en conflit avec des billets zone A tous modes.
Maintenant que les nouveaux lecteurs peuvent « lire » les cartes de crédit et téléphones intelligents, il me semble qu’une application avec une OPUS virtuelle pour gérer tout ça serait plus pratique que plusieurs cartes OPUS physiques avec des limitations techno…
Bien entendu, les personnes n’ayant pas de téléphones intelligents n’en profiteront pas.
