J’aimais trop aller boire un thé à Camélia Sinensis dans leur petit local. C’était toujours une aventure et on était donc content quand on arrivait et qu’il y avait une table de libre lol
Sinon, Dei Compari ne dérougi toujours pas.
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Moi je me balade dans le secteur à l’année longue et tout en gardant espoir que de meilleurs jours s’en viennent, je trouve la situation difficile avec toutes ces chaines de fast-foods, des air bnb et des locaux vacants, sans oublier les alentours qui sont aussi un peu désespérant.
Cela étant dit, il y a encore des joueurs solides dans le secteur comme les deux mentionnés plus haut mais aussi le Bordel comédie club, le Cheval Blanc plus à l’est, le Randolph jeu etc. J’ai aussi remarqué qu’il semble y avoir plus de monde au cinéma du Quartier Latin depuis quelques temps et les salles du Saint-Denis semblent bien se débrouiller. Par contre il est difficile de savoir comment se porte le Molière car on ne voit pas bien à l’intérieur mais chaque fois que j’y suis allé il y était moitié pleins.
Mais chose assez ironique, c’est qu’il m’est très difficile de trouver un endroit dans le quartier latin (quartier de la francophonie) qui diffuse de la chanson francophone, live ou non. Enfin, si, le bar Le Psy, dans la cote Saint-Denis en diffuse parfois, mais sans plus. Alors pour satisfaire mon désir de chanson je dois monter vers le nord et aller au P’tit bar qui en diffuse à 100%. Sinon il y a ensuite Le Barouf et Le Verre bouteille sur Mont-Royal qui font mention honorable.
Donc avis aux propriétaires de bar, l’idée de diffuser de la chanson francophone est peut-être une piste à regarder afin de vous différencier des autres, d’être original mais aussi d’être en phase avec la nature du quartier.
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Reportage-photo d’Urbania
Pour beaucoup d’entre nous, et je fais partie de ce nombre, le Quartier latin symbolise un premier baiser avec Montréal. Un lieu unique qui devient un rite de passage pour ces jeunes venus des confins de la province, à la recherche non seulement de l’ivresse des premiers verres, mais aussi de l’effervescence urbaine : l’énergie des rues, l’éclat des lumières, et les nuits imprévues où tout semble possible. Écoles, bars, et bouis-bouis exotiques s’entrelacent avec des cinémas, théâtres et scènes musicales, tissant une toile bohème où le savoir et l’art côtoient les marges et les sous-cultures, accessibles à ceux qui osent s’y aventurer.
Mais soyons honnêtes : aussi séduisante soit-elle, cette vision du Quartier latin appartient à un imaginaire désormais révolu.
Paragraphe tiré du reportage photo d’Urbania à propos du Quartier Latin.
Je trouve que c’est une bonne idée afin de favoriser les petits commerces indépendants mais, mais est-ce possible, juridiquement parlant et financièrement parlant?
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Nouveau restaurant à venir coin Ontario. J’espère qu’ils seront plus dynamique et plus invitant que le Anastasia !
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Ce n’est pas facile, mais ça s’est déjà fait!
San Francisco est l’exemple le plus courant. Dans certains quartiers, les chaînes (définies comme des commerces ayant 11 établissements ou plus dans le monde), doivent obtenir des «autorisations conditionnelles d’utilisation» pour s’installer. Le processus implique une consultation publique.
Reste à voir comment un tel règlement pourrait être appliqué dans notre cadre législatif.
L’autre manière possible, qui existe également dans certaines villes américaines, serait que la SDC devienne une sorte de coopérative qui appartient aux commerçants et qui fait l’acquisition des bâtiments du quartier. L’association de commerçants peut alors choisir les commerces qui s’installent et avoir un meilleur contrôle sur l’offre. Ça permet aussi de mieux contrôler le coût des loyers et de réduire le nombre de commerces vacants. Mais ça prend du temps et surtout beaucoup de collaboration de la part des commerçants.
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l’acquisition de bâtiments me semble une bonne idée!
De mon côté, j’ai une seule raison pour laquelle je ne vais pas au quarter latin : les rats. J’en vois à chaque fois que j’y vais. Ça a toujours été le cas dans le passé, mais là ça a pas mal augmenté j’ai l’impression. Les travaux autour plus la désuétudes de certains bâtiments sont la cause première. Le fait aussi que le quartier se trouve en bas d’une pente aussi n’aide pas. Faudrait un plan drastique pour enrayer ce problème à mon avis.
Je ne sais pas combien de gens sont dans la même situation que moi…
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Ça aurait aussi grandement si la ville n’aurait pas interdit les poisons à rats en 2022… une chance qu’elle s’est ravisée mais les exterminateurs disaient que ça pourrait prendre 10ans avant de pouvoir ré-contrôler la population de rats…
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Cela me parait comme la meilleure solution possible, surtout à long terme. D’ailleurs, il y a quelques bâtiments qui ont été acheté non pas par la SDC mais par des organismes plus enclins à travailler de concert avec la SDC, cela aussi pourrait jouer un rôle important dans la réappropriation du secteur.
C’est une chaîne montréalaise de souvlaki grec, un peu comme Amir et ses pitas libanais. Ils ont plusieurs localisations à Montréal et Laval.
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Il semble que la Ville avait au préalable avisé les commerçants qu’il n’y aurait pas de fermeture d’artère, pour ensuite se raviser sans préavis. Est-ce que l’évaluation des contraintes de départ ont été mal estimées? Dans un quartier qui est actuellement en déclin, c’est un choc de plus à absorber.
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Les commerçants du Quartier latin en ont marre des chantiers de voirie, qui se multiplient depuis des années — et ce n’est pas fini, d’autres travaux majeurs sont planifiés dans l’avenir prévisible. La fermeture annoncée à la dernière minute d’une des intersections les plus achalandées, celle des rues Saint-Denis et Ontario, pour des travaux de réfection d’un collecteur d’égout, ajoute à la grogne des gens d’affaires du secteur.
La Société de développement commercial (SDC) du Quartier latin a été avisée la semaine dernière que cette intersection névralgique serait fermée pour au moins deux semaines à compter du mardi 14 janvier. Le regroupement de 240 commerçants avait pourtant eu l’assurance que ce chantier se ferait sans entraves au croisement de ces artères achalandées.
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J’espère que les nouvelles institutions feront un effort particulier pour avoir un dialogue avec la rue. Par exemple, je ne serais pas contre le retrait des clôtures devant la future Maison de la Chanson, pour faire des activités devant la façade
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Oui, une chaine montréalaise c’est mieux qu’une chaine d’ailleurs, aucun doute. Et en espérant qu’ils offrent un cadre agréable.
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C’est assez incroyable la façon dont on traite non seulement les commerçants mais le Quartier Latin en entier. Je n’en reviens pas du manque de considération pour un quartier central qui devrait être un haut lieu du tourisme à Montréal. C’est très décourageant.
D’ailleurs, j’y ai passé quasiment toute la fin de semaine. Le Psy bar, l’Ile Noire, le cinéma du Quartier Latin, la bibliothèque etc.
J’ai été choqué de voir les équipements de construction être étalés un peu partout autour du site. Il n’y a aucune raison d’avoir les grosses turbines laissées aussi haut sur Saint-Denis au nord d’Ontario pendant toute une fin de semaine, et le tout devant des commerces. C’est du ‘je m’en foutisme’ carrément.
Mais j’ai aussi une critique à faire à l’endroit de la SDC, ou de la ville, je ne sais plus qui fait quoi ici. C’est que les trottoirs étaient remplis de gadoues et rendaient la circulation piétonne très difficile voire désagréable. Pour les jeunes qui peuvent facilement enjamber des bancs de neige ou marcher dans la slush ca va mais pour des personnes âgées, c’est très repoussant. 2 hommes auraient pu, en matinée, dégager les trottoirs avec de simples pelles.
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Sans vouloir excuser personne, les montréalais récoltent les conséquences des nombreuses années de négligence et de retards dans l’entretien et le remplacement des infrastructures souterraines. Incidemment le Quartier Latin fait partie des arrondissements qui souffrent le plus de ces vieilles installations en fin de vie. Malheureusement pour la SDC la nuisance est majeure tout autant que l’importance des travaux.
Je me demande en l’occurrence si le futur chantier de la station électrique d’Hydro-Québec n’entrainera pas à son tour d’autres chantiers secondaires dans le même voisinage?
Les travaux d’urgence sont imprévisibles, par leur nature. Et les travaux, on ne peut pas les repousser. De tels cas vont arriver en ouvrant le sous-sol.
La ville doit surtout concentrer ses efforts à mitiger les impacts: s’assurer un chantier le plus discret possible, que ce soit propre, que l’aspect visuel soit intéressant (surtout dans une zone commerciale). Il y a assez souvent des manquements là. J’ai l’impression que c’est une bataille constante avec les entrepreneurs pour imposer la moindre norme sur un chantier…
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Après avoir enduré pendant des mois les chantiers majeurs autour de la station de métro Berri-UQAM, les commerçants du Quartier latin n’ont été prévenus que la semaine dernière par la Ville que l’intersection des rues Saint-Denis et Ontario sera fermée à compter d’aujourd’hui, et ce, pour au moins deux semaines.
Selon la Ville, ces travaux sont nécessaires sous cette intersection, la plus fréquentée du quartier, pour assurer la réfection d’un collecteur d’égout vieillissant.
Pour la Société de développement commercial (SDC) du Quartier latin, le fait d’être prévenu quelques jours seulement avant la fermeture de l’une des plus importantes intersections du quartier est la goutte qui fait déborder le vase.
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