Je me suis posé la même question. Ça aide pas du tout à l’integration du quartier. Étrange d’ajouter ça 
C’est vrai que l’arche sera en bonne partie bloqué en arrivant du coté nord. C’est vrai aussi que toute cette structure accentuera l’effet ‘‘boxed-in’’ du quartier. Mais le secteur est déjà enclavé. Je crois qu’ai faut plutôt vivre avec cet état de fait et profiter de la situation pour demander une meilleure participation à l’identité du quartier.
Par exemple, sur le terrain ou il y aura la station, coin Saint-Laurent et René-Lévesque, pourquoi ne pas rajouter, au dessus, des logements sociaux ? Mais aussi, ou pourrait intégrer un centre communautaire chinois et pourquoi pas un espace muséal consacré à l’immigration asiatique au Canada. Et il y aurait aussi de la place pour une place publique qui servirait de passage jusqu’à la rue Saint-Dominique, rebaptisé en l’honneur d’un ou d’une personnalité de la communauté qui a marqué le quartier.
J’en profite aussi pour lancer l’idée d’un déplacement des activités du Centre d’hébergement Paul-Émile Léger. Je crois que le site ne convient plus à ce genre de mission. Il y a un manque d’espace pour les gens dans ce centre et l’accès, autant pour les services que les visiteurs y est plutôt compliqué. Et j’ai l’impressions que les patients ne profitent aucunement de ce lieu un peu restreint dans ce secteur. Un déménagement dans un endroit plus calme et plus accessible leur serait bénéfique. Et du coup cet immeuble pourrait devenir des logements sociaux plus en phase avec le quartier. Mais bon, là ce n’est qu’une vision de mon esprit !
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Au sujet du Swatow, il deviendra un hôtel sur tous les étages en dehors du rez-de-chaussée:
L’avis est favorable pour le changement de zonage.
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Un autre Hôtel … incroyable
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C’est peut-être une bonne chose pour le secteur. Je crois que les étages supérieurs n’étaient pas maximisés. Donc avec un hôtel et une clientèle précise, cela pourrait donner du souffle au quartier chinois.
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Il y a la consultation à venir sur la modication du plan d’urbanisme du Quartier chinois sur le site de l’OCPM
https://ocpm.qc.ca/fr/quartierchinois
Plein de documents intéressants
https://ocpm.qc.ca/fr/quartier-chinois/documentation
Le document sur l’histoire du Quartier chinois est particulièrement intéressant
https://ocpm.qc.ca/sites/ocpm.qc.ca/files/pdf/P119/3-2_lucelaf_quartierchinois_final_compresse.pdf
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On dit que l’œuvre sera situé sur un terrain vacant coin René-Lévesque et Saint-Laurent. Mais ce terrain est privé, non ? Et il sera développé, éventuellement je l’espère. C’est donc dire que l’œuvre sera temporaire ?
Ou peut-être qu’il y a quelque chose que j’ai manqué, soit l’acquisition du terrain par la ville ou quelque chose d’autre !
Je crois qu’il s’agit d’une installation temporaire, comme celle de l’année passé
Ah, merci de la réponse. Je ne sais pas si c’est dommage ou une bonne chose. Je n’aime pas trop ce qui est temporaire, mais j’espère que ce terrain sera développé plus tôt que tard alors dans ce cas là je suis ravi d’apprendre que ca sera temporaire.
Les rendus du Rem ne montre pas une place publique sur ce terrain? Je sais que c’est une vision, mais je ne serais pas surpris que ce soit le cas s’il y a une station à ce niveau, une place permettrait de dégager le volume de la station.
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Je suis d’avis que ce serait l’occasion d’établir un plan directeur pour l’aménagement de l’ensemble du quartier, dans la continuité de l’aménagement de la rue de la Gauchetière.
J’ai essayé d’imaginer ce que ça donnerait pour Saint-Laurent:
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Ce sera un hôtel de Sonfer dans la Plaza Swatow, avec commerces au RDC. En espérant que le restaurant à dim sum restera ouvert
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mentionné dans le Journal de Montréal / TVA Nouvelles aussi
UN 52e HÔTEL ?
Jean-François CloutierUn bail a été signé à la fin 2021 par Sonder avec la firme Swatow Developments pour la location de quatre étages dans la Plaza Swatow, dans le Quartier chinois.
Le premier actionnaire de Swatow est une compagnie à numéro québécoise comptant elle-même des actionnaires aux îles Seychelles et aux Îles Vierges britanniques.
« Il y a déjà 51 hôtels dans un rayon d’un kilomètre autour du Quartier chinois. Est-ce qu’on a vraiment besoin d’un 52e hôtel ? » déplore May Chiu, membre du Groupe de travail sur le Quartier chinois.
https://www.tvanouvelles.ca/2022/06/08/460--pour-deux-jours-dans-un-3-1-2
Si le zonage « hôtel » nécessite une réception, et que Sonder n’en fait pas comme pour plusieurs autres de leurs édifices, le zonage n’est-il pas respecté?
Je ne sais pas pour Ville-Marie, mais dans le Sud-Ouest, la règlementation a été modifiée dans ce sens pour limiter les AirBnB. Un hôtel doit absolument avoir une réception.
Il y a un + long texte sur les pratiques de Sonder ici
https://www.journaldemontreal.com/2022/06/08/des-millions-a-un-roi-dairbnb
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Une nouvelle place publique, dénommée Oasis du Quartier chinois et située à l’angle des boulevards René-Lévesque Est et Saint-Laurent, sera très animée et festive cette fin de semaine. 
Un Marché asiatique s’y tiendra également les vendredi et samedi, jusqu’au 1er octobre.
Les artistes asiatiques veulent être vus et entendus
Le chanteur Andy Khun, aussi connu comme Tobiruno sur TikTok, était en spectacle au Marché asiatiaque le 29 juillet dernier. Photo: Marché asiatique/Gracieuseté
Journal Métro | ARTS ET SPECTACLES | 11 août 2022 à 5h00 | Naomie Gelper
Les artistes d’origine asiatique, encore trop souvent dans l’ombre, prennent enfin les devants de la scène. La toute nouvelle Oasis du Quartier chinois, située à l’angle des boulevards René-Lévesque Est et Saint-Laurent, leur offre un espace culturel de diffusion tout l’été.
Pour sa deuxième édition, qui se poursuit jusqu’au 1er octobre, le Marché asiatique propose une programmation culturelle 100% asiatique avec près de 200 artistes et collectifs représentant plus de 10 pays de la communauté asiatique en prestations tous les vendredis et les samedis à l’Oasis du Quartier chinois.
La programmation réunit des artistes qui font de l’art traditionnel asiatique et d’autres plus contemporains.
Le Marché asiatique (crédit: gracieuseté)
Ce choix est venu du fait que les artistes d’origine asiatique locaux ont encore très peu de plateformes – voire aucune – qui les met en valeur, explique Winston Chan, membre du comité de programmation du Marché asiatique de l’Oasis du Quartier chinois.
«En faisant la programmation, on a remarqué qu’il y a beaucoup d’artistes d’origine asiatique qui cherchent un plateau de diffusion. On s’est dit qu’on allait leur donner une chance et une occasion de les faire connaître», explique-t-il.
«Il n’y a pas assez de plateformes où on peut s’exprimer de manière sécuritaire», témoigne Darleen Wong, artiste et designer québécoise d’origine chinoise et dominicaine qui se réjouit de la décision du Marché asiatique.
Le vendredi 12 août, au Marché asiatique, elle offrira Entrez dans le portail, darling, une performance durant laquelle elle récitera un poème dans un style ASMR (réponse autonome du méridien sensoriel). «Le but, c’est de transformer notre perspective qui a été conditionnée par le patriarcat et d’aller vers l’autre côté du portail pour vivre dans un monde où l’amour est inconditionnel», précise la militante féministe.
Darleen Wong et son poème
Invisibles
Les artistes asiatiques sont tellement peu visibles à Montréal que M. Chan a dû faire plusieurs recherches, dignes du travail d’un recherchiste, sur les réseaux sociaux et parmi son entourage pour en trouver. «J’ai passé des journées sur Instagram. Je n’ai jamais passé autant de temps sur Instagram», mentionne-t-il.
Parmi les jeunes artistes modernes, on compte la chanteuse Lørra, d’origine philippine, qui sera en spectacle avec son groupe de musique The Earthones le samedi 10 septembre au Marché asiatique de l’Oasis du Quartier chinois.
Lørra, qui fait de la musique jazz et R&B avec son band depuis le secondaire, reçoit si peu d’offres comme celle-ci qu’elle est tombée en bas de sa chaise lorsqu’on l’a approchée sur Facebook.
J’étais complètement choquée! Je ne savais pas si c’était une joke. Je ne savais pas que c’était quelque chose qu’on faisait à Montréal, mais j’étais vraiment contente d’être choisie.
Lørra
Or, elle a tout de suite accepté de participer, car elle considère qu’il manque toujours cruellement de représentation asiatique dans les programmations culturelles. «C’est difficile pour les gens comme nous de ne pas avoir quelqu’un qui nous ressemble qui fait des événements d’envergure», déplore-t-elle.
Bien qu’elle soit née à Montréal, Darleen Wong estime qu’elle n’a carrément pas le même traitement que les autres Québécois.es. «Je n’ai pas les mêmes droits juste parce que mon nom est Wong, à cause de la couleur de ma peau et parce que je suis une femme», précise-t-elle.
Briser les stéréotypes
Outre offrir une plateforme aux artistes d’origine asiatique afin de les rendre plus visibles, Winston Chan veut par-dessus tout briser les stéréotypes et créer des ponts entre ces créateur.trice.s. et le reste des Montréalais.e.s.
«Ma motivation, c’est vraiment de combattre la montée du racisme anti-asiatique avec la pandémie. Il y a eu toutes sortes de préjugés, toutes sortes de stéréotypes véhiculés envers les Asiatiques, donc c’est important de montrer une autre façade», souligne-t-il.
Lørra, qui a toujours été douée pour l’art à l’école, a souvent entendu des préjugés par rapport au fait que les Asiatiques n’étaient que bon.ne.s à faire des mathématiques. «C’est vraiment difficile pour nous, en tant qu’enfant asiatique dans la société, d’évoluer [dans les milieux artistiques] quand on se fait toujours dire non», poursuit-elle.
Pour consulter la programmation complète du Marché asiatique, surveillez le site internet Moments du cœur de l’île.
La programmation culturelle de la fin de semaine du 12 août.
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Tant qu’à parler du Quartier Chinois, je vais parler de mon expérience récente vis-à-vis un coin en particulier vu que je l’ai beaucoup fréquenté dernièrement (école).
La rue Clark entre LaGauchetière et René-Lévesque. Ce lopin d’asphalte est un désastre social et ça a énormément empiré depuis 2 ans. C’est tellement rendu grave que mon école va déménager.
La rue est rempli de toxicomanes, les façades sont en ruine, ça se bat, je me fais menacer et d’autres camarades se sont même fait attaqué. Quelqu’un s’est fait poignardé, un autre s’est faufilé dans l’école pour chier dans un couloir, ça fume du meth, ca se pique, ça vend, etc.
C’est vraiment dommage. Les organismes communautaires sont débordés et ça paraît. Plus triste encore, la majorité de ces toxicomanes itinérants sont soit autochtones/inuits, soit noirs et j’ai même commencé à voir de jeunes adolescentes…
Il y a une triste réalité qui empire dans le quartier et j’ai l’impression que c’est bien loin dans la liste de priorités de la ville.
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Je soupçonne la rue Clark du quartier chinois d’être un portail spatio-temporel qui nous aspire dans le New York des années 80.
Mal éclairée, enseignes fermées, bâtisses en état de décrépitude, détritus, drogue à chaque porte d’immeuble, c’est rendu suffisament infréquentable dans l’état actuel pour ne plus y voir de nouveaux projets commerciaux s’y installer.