A group of Chinatown residents say that despite an increased police presence, they still feel insecure in their neighbourhood and elected officials aren’t listening.
The new residents association, which will officially announce its launch on Wednesday, wants to ensure residents are heard and consulted on issues like addressing homelessness, said Fo Niemi, who will act an adviser to the group’s steering committee.
I single handedly saw last Sunday what these people are talking about. People screaming and etc and etc I felt unsafe and walked faster at western entrance
I would call this getting out of hand for real…
la cohabitation ne fonctionne pas lorsque nous n’appliquons aucune règle à un groupe et que nous appliquons toutes les règles à l’autre. Ensuite, nous reprochons aux gens de ne pas faire preuve de suffisamment d’empathie lorsqu’ils sont frustrés face à la population itinérant. Ce n’est pas de la cohabitation, c’est tolérer sans arrêt les abus, le harcèlement, la violence, les détritus, le vandalisme jusqu’à ce que les gens en aient assez. Le mot cohabitation est fondamentalement condescendant et insultant à ce stade.
le vagabondage existera dans une société avec un minimum de libertés. Au moins imposer un minimum de comportement à cette population comme nous le faisons pour tout le monde…
On peut voir ce qu’on veut là-dedans. Je vois plus une histoire de gentrification et des gens qui veulent avoir plus de droits que d’autres. Plus que la ville se densifie et se développe, plus les gens sont riches et moins tolérants. Moins les gens qu’on ne veut pas voir ont de place pour aller se cacher. Je me souviens à quel point le centre-ville était laid quand j’étais petit et qu’il y avait plein d’espaces vide et de lieux moins fréquentable.
Je veux être clair, je réponds à ce que tu dis vu que je trouve que c’est une généralisation, non pas au gars tout nu.
Ce n’est pas t’en de la gentrification de ne plus vouloir just accepter des comportements inacceptables en société. La tolérance a quand même une limite, quand on a perdu le contrôle sur des aspects. Oui aux centres d’injection, mais non aux junkies qui se battent, hurlent sur les gens et pitchent leurs déchets et excréments partout.
On m’excusera le manque d’empathie, mais si la personne veut s’injecter 3 fois, quelle le fasse, encore mieux si c’est supervisé et dans un environnement sécurisé et avec du matériel propre mais qu’elle commence pas a laisser ses seringues dans une entrée d’appartement ou dans un parc parce ce qu’elle s’en contre fou.
Devant la Gare Windsor il y a un refuge dans l’église St-Andrews. Temps mieux qu’on nourrisse les sans abris du secteur. Doivent-ils tous laisser sur vidanges dans la rue et sur le gazon de d’église ? Non, il y a des poubelles, qu’ils les utilisent et clairement ça va moins déranger les voisins qui on a marcher sur un trottoir remplis de déchets, qui devra être ramasser par la ville, au frais de la société…
Je ne devrais pas répondre davantage, mais c’est un sujet qui me touche.
Je pense qu’avoir une approche de l’altérité pour résoudre les problèmes liés aux frictions entre la population démunie de plusieurs types de capital et ceux qui en ont plus n’est pas constructive. Mon point avec la gentrification, c’est que premièrement, les problèmes liés à la consommation, la maladie mentale et la pauvreté existe depuis longtemps, mais il y avait une balance avec la confortabilité des gens en ville parce que Montréal a eu un bon taux d’inoccupation. La baisse de l’inoccupation des terrains et des logements, a nécessairement déménagé plusieurs personnes dans nos rues. C’est le retour de balancier de l’histoire récente de notre ville. Ces personnes sont des citadins à la même mesure que nous qui avons un toit garanti sur notre tête en ce moment.
Pour revenir à l’altérité, il faut faire attention aussi à ne pas faire d’amalgame. C’est facile de pointer quelques délinquants et de dire foutons ces gens dehors. Il y a deux problèmes logiques là-dedans. Premièrement, ces dites personnes problématiques sont une petite partie des gens dans la rue. Deuxièmement, pour revenir à leur manque de capital, ces gens-là ne peuvent pas offrir de réplique à ce qu’on dit d’eux dans les médias et au gouvernement. Je ne sais pas quel est leur taux de votation, mais je suis prêt à mettre ma main au feu qu’il est plus bas que la population générale. Ils se font continuellement organisé par d’autres personnes qui n’ont aucune idée de ce qu’ils ont vécu. Quand on y réfléchit deux minutes, tout dans la société est contre eux. En plus de manquer de tribunes, la plupart ne sont pas en moyen d’offrir des répliques constructives à leurs détracteurs.
Je rajouterais un troisième problème logique, on n’est pas dans deux groupes différents. L’itinérance, les problèmes mentaux, les problèmes de consommation et les problèmes d’argent, ce sont des spectres et on peut tous se ramasser à plusieurs niveaux du spectre sans être dans les extrêmes. Personne d’entre nous ici n’est à l’abri de tomber en position de vulnérabilité. On est obligé de cohabiter parce qu’on vit dans la même société.
L’approche policière de judiciariser tout le monde ne fonctionne pas (par-rapport à ce que les citoyens du quartier chinois demandent) et pèse beaucoup plus lourd sur l’état que demander à des cols bleu de ramasser les cochonneries devant l’église St-Andews. Dans ce cas, il y a peut-être des compromis acceptables pour tout le monde, comme mettre une poubelle proche d’où les gens jettent leurs déchets.
Petite note: il ne faut pas oublier que pour dynamiser les nouvelles et les rendre plus juteuses dans le but d’obtenir davantage d’argent de leur publicité, les journalistes et éditeurs doivent chercher à rejoindre nos sentiments et que celui de peur et de perte sont les plus faciles à aller chercher. Ce jeu peut créer des récits qui déforment la réalité.
La situation d’aujourd’hui et le passé est difficilement comparable. Il ne s’agit pas comme l’épidémie de crack des années 80, les drogues aujourd’hui sont nettement plus puissants et plus facilement accessibles que par le passé (ce qui inclut le crack). Cela nous amène à la deuxième chose, que de nombreuses personnes à l’origine des problèmes de « cohabitation » sont simplement victimes de la gentrification et loueraient autrement des chambres ou des appartements si le marché n’était pas si serré…Je n’accepte pas si facilement cet argument. Il y a beaucoup de gens qui sont techniquement sans abri sans être dans la rue, qui ne harcèle pas les autres, cause pas des dégâts etc. Ils sont les “invisible homeless”, et ils sont la majorité. Les gens dans la rue qui font ces choses sont souvent la parce que leur dépendance ou leur maladie mentale ne leur permet pas de travailler ou de faire partie de la société de manière normale. un loyer de 800 $ contre 1200 $ ne fera pas de différence pour un toxicomane qui ne peut pas travailler parce qu’il passe toute la journée à se droguer.
Ce dernier point est une grande partie du désaccord entre universitaires, militants et citoyens des quartiers touchés. Pour beaucoup de gens qui doivent gérer leurs vies autours des sans-abri, entendre qqn dire que les toxicomanes sont les vraies victimes de la société, en utilisant des mots comme capital, cela ressemble à un tas d’absurdités utilisées pour justifier un mauvais comportement. Surtout que la plupart d’entre nous travaillent comme des chiens, payent un loyer et doivent quand même mettre nos déchets à la poubelle…où il faut
Je peux certainement respecter les arguments que vous avez présentés, et ce sont souvent ceux que j’entends dans l’université que j’étudie. Mais l’expérience pratique de la ville a fait renoncer de nombreuses personnes à l’idée selon laquelle c’est à eux de faire fonctionner la cohabitation, et non aux gens qui font le désordre dans leur quartier.
Chinatown is in celebration mode.
It’s been one year since Quebec deemed the Montreal neighbourhood a heritage site.
“We want to celebrate ourselves, and most of all, we want to celebrate the diversity that makes up the unique Chinatown identity,” said May Chiu from the Chinatown Roundtable.
People who stopped by the area had the chance to try fortune cookies made in the heart of Chinatown and visit historic buildings normally closed to the public.
Sur le site Web de la Ville
Programmation été 2024
Du 22 au 25 août et du 29 août au 1er septembre
Marché asiatique, organisé par Mural, fera un retour bien attendu! Installations artistiques, kiosques culinaires et programmation variée au menu.
Venez avec nous au Marché de Nuit Asiatique ! | Festival Mural - Festival MuralJusqu’au 30 septembre
Le pavillon et la place Sun-Yat-Sen seront animés tout l’été! Une programmation de loisirs gratuite, diversifiée et inclusive sera mise en place par le Service à la Famille Chinoise du Grand Montréal, qui assurera les services de gestion, d’accueil et d’animation publique.
Place Sun-Yat-Sen | Ville de MontréalTout l’été
Exposition extérieure du MEM - Centre des mémoires montréalaises, étalée sur huit structures, est de retour cette année en plein cœur du Quartier chinois.
Lieux de mémoire du Quartier chinois | MEM – Centre des mémoires montréalaises
Un long article sur le site de Pivor sur l’itinérance, les maisons de chambres et des projets sociaux en attente dans le Quartier chinois
Deux articles dans La Presse sur les problèmes liés à l’itinérance dans le quartier chinois
Deuxième article : Excédés et sans ressources : suivi de l’histoire de la personne en situation d’itinérance qui s’est fait aspergée d’eau par un des commerçants du quartier chinois
le premier article est déprimant, car il montre au fond que la ville et la province n’ont pas de solutions. La seule chose évoquée est une plus grande mixité sociale (échec total) et plus de ressources (dont les habitants ne veulent pas). Ça poursuit en qualifiant les habitants du quartier chinois des «pas dans ma cour» . C’est un mépris éhonté envers les habitants du quartier.
En bout de ligne, sans les ressources pour sortir le monde de la rue, les gens vont rester dans la rue. C’est un peu un incontournable. Et si on veut éviter une concentration des services problématiques, faut assurer une répartition équitable des ressources, dans d’autres quartiers qui devront accueillir les ressources, avec le même manque d’acceptabilité (aucun quartier est moins “coupable” de cela qu’un autre).
Ça prend la capacité de vendre et de faire accepter un plan à la population. Et ce plan doit être encadré et avoir les ressources nécessaires. Une grosse part des dérapages existe par un manque éloquent de moyens de bien faire les choses, que ce soit en accompagnement, en sécurité publique, en aménagement, ou en ressources permanentes pour accueillir les gens de la rue.
La honte est que ce n’est pas une priorité nationale pour assurer le filet social qui évite une bonne part de cette situation, autant pour empêcher les gens de se ramasser dans la rue que de les sortir de là.
Communiqué de la Ville
Travaillant à la protection et à la mise en valeur du Quartier chinois, la Ville de Montréal annonce l’acquisition d’un terrain d’une superficie de 263 m² situé au 1100-1102 rue Clark au coût de 1,98M $. La Ville étant également propriétaire des deux lots adjacents, soit les 1092-1098 et 1104-1106 rue Clark, cette acquisition est particulièrement stratégique et permettra la réalisation d’un projet structurant de 45 à 60 logements.
La Ville entend procéder, au moment opportun, à la revente des lots dont elle est propriétaire, à un partenaire qui s’engagera à développer un projet d’habitation hors marché sur le site. L’objectif est de soutenir la vitalité du secteur et de l’îlot Clark en travaillant avec des partenaires prêts à y faire du logement tout en s’assurant de conserver le patrimoine de ce quartier emblématique de la métropole. Cette acquisition représente une nouvelle opportunité de loger des familles ou des personnes en situation de vulnérabilité. Cette stratégie vise aussi à donner un coup de pouce aux organismes d’habitation, en leur permettant d’acquérir un terrain à bon prix.
Vivement qu’un projet se réalise au sud de la ruelle Brady, jusqu’au 1088 Clark. Pour les besoins, quelque chose de plus d’envergure que 45 à 60 logements pourrait être réalisé. C’est quand même adossé au Travelodge, donc plus de hauteur ne défigurerait pas le coin. C’est pas comme s’il y restait quelque chose à sauver de ces immeubles abandonnés et en lambeaux.
Long article sur le site du Rover
Verdissement du trottoir Est de la rue Saint-Urbain entre René-Lévesque et de la Gauchetière !
Je ne sais pas quand ça a été fait, mais je ne me souviens pas de toute cette verdure quand j’ai passé par là en juillet
Avant, il n’y avait que des arbres dans des fosses octogonales et quelques bacs de plantation
C’est une belle initiative de la part de la ville dans Ville-Marie. Plusieurs trottoirs ont été partiellement construits avec des dalles faciles à retirer pour laisser place à des fosses végétales permanentes. Plutôt que d’attendre le prochain aménagement de la rue, ils ont fait ces installations. Ils ont fait la même chose sur la rue Ontario entre Lorimier et Papineau. Espérons que la ville continue cette initiative, car plusieurs autres rues offrent la même opportunité, notamment Frontenac et de Lorimier entre Sainte-Catherine et Ontario.