Propreté et entretien à Montréal - Discussion générale

Ouf, bien vu, ça m’a pris un moment avant de le repérer.

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Où ? Ça fait longtemps que je cherche.

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Ça reste un lieu de travail… il y a des choses appropriés dans un environnement de travail et d’autres non… l’autre extrême : F*ck la viande ! sur un poster serait tout aussi inapproprié, tout comme n’importe quel autre partie politique ou autre.

C’est un lieu de travail, pas le garage personnel de chaque employé

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Pour contexte, les cols bleus de Ville sont malheureusement reconnu pour un environnement de travail disons, au mieux… décomplexée. Dénoncer les dérives gauchistes je veux bien, mais c’est tellement bizarre s’époumoner parce qu’il y en aurait pour sourciller à un porte-étendard de ce genre, dans le genre d’environnement de travail qu’on connaît.

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Les joies du printemps :smiling_face_with_tear: :bouquet:

https://www.tvanouvelles.ca/2023/03/29/apres-la-neige-le-retour-des-megots-de-cigarettes-sur-le-sol-montrealais#cxrecs_s

https://www.tvanouvelles.ca/2023/03/30/pourquoi-retrouve-t-on-autant-de-rats-a-montreal#cxrecs_s

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La ville a commencé à sortir les camions balais, j’en ai vu un travailler sur Saint-Patrick dans le sud ouest :ok_hand:

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Bon, une autre chronique qui mentionne la négligence de la ville concernant la saleté et le manque d’entretien général, pour ne pas dire le manque d’amour. Je ne suis pas tout à fait d’accord avec tous les points de cette chronique mais force est d’admettre qu’il y a du vrai là dedans. Et cela à au moins le mérite de soulever, encore une fois, la problématique de la saleté en ville. Mieux vaut des journalistes qui en parlent, plutôt que d’avoir une complète indifférence, ce qui serait le pire des scénarios selon moi.

Maintenant, il reste à l’administration actuelle de prouver le contraire, de s’attaquer au problème et de faire mentir les détracteurs une fois pour toute.

Montréal aux soins intensifs | Le Journal de Montréal (journaldemontreal.com)

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Je penses que le fait que les bureaux de Qub radio, soient juste à coté de la place Emilie-Gamelin affecte considérablement l’image que Martineau à de Montréal. La place Émilie Gamelin est excessivement dégueulasse. L’été dernier j’étais allé avec ma fille qui venait d’avoir 2 ans voir ‘‘Montréal complètement cirque’’ et j’ai profondément regretté: aucunes toilettes, les toilettes chimiques recouverte de merde de bord en bord (c’était mieux de la laisser dans sa couche souillée que de la changer dans ces conditions). Des junkies qui se piquent devant tout le monde .

Mais, le reste de Montréal n’a absolument rien avoir à ceci. Dans Mercier-Est et Ouest c’est très bien (avec la fonte du printemps, il y a un peu de déchet mais, généralement ça se règle rapidement) . Sur le plateau aussi c’est très bien.

Donc, faut pas généraliser sur toute la ville avec juste le secteur Émilie-Gamelin

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Pour citer Kate de Montreal City Weblog :

Richard Martineau got the we hate Montreal job this week at the Journal.

Martineau n’est pas un journaliste. Il n’est même pas un bon chroniqueur.

Denise Bombardier avait écrit la même chose, pratiquement mot pour mot, il y a quelques semaines. D’un registre extrêmement pauvre, des opinions sans soutien, aucune information pertinente. On se souviendra que le Conseil de Presse blâme souvent les chroniques du Journal de Montréal pour leur manque de rigueur, et la réponse a été de poursuivre le Conseil plutôt que d’élever la qualité.

C’est dommage, parce qu’on pourrait avoir une discussion intéressante sur la propreté en ville. Ce n’est pas des textes aussi pauvres, dont l’objectif est purement émotif, qui vont y mener de belle façon.

Les rues sont beaucoup moins nettoyés en hiver à Montréal, et les graffitis ne sont pas retirés, et cela depuis pas mal toujours pour des raisons évidentes. La ville ne fait pas moins de nos jours par rapport à avant, au contraire. Mais la ville a tendance à être plus sale ces dernières années. On peut chercher les raisons: dégels hâtifs, par exemple? les dégels sont aussi plus courants pendant l’hiver, ce qui expose plus souvent les déchets accumulés. S’adapter aux changements climatiques, c’est de réfléchir et s’adapter à cela.

Je connais l’échéancier précis du “ménage du printemps” dans le Plateau, ainsi que les équipements disponibles. Ça prend un mois et demi, avec des priorités claires. Comment faire plus vite? Est-ce qu’on pourrait accélérer avec plus d’équipement, à un prix raisonnable? Plus de main d’œuvre? Des équipes mobiles plutôt que du gros matériel pour les secteurs problématiques?

Les graffitis: je sais que mon arrondissement à beaucoup augmenté les montants pour lutter contre ces dernières années. Qu’est-ce qui pourrait améliorer la chose? Est-ce que les propriétaire sont trop laxes à demander le service de retrait gratuit? Est-ce que la ville de Montréal devrait étendre à ton son territoire le droit de retirer les graffitis du domaine privé sans autorisation, et assumer les frais que cela pourrait engendrer (pas juste le retrait, mais les dommages potentiels à certains revêtements)? Est-ce qu’il existe des méthodes pour nettoyer en hiver et éviter d’accumuler plusieurs mois de graffitis?

En général, est-ce que la ville devrait réfléchir à imposer des contenants rigides pour tous les déchets pour les collectes? Avoir des inspecteurs derrière les collectes des ordures problématiques où de nombreux déchets se ramassent sur la chaussée plutôt que dans la camion?


Toutes les questions que je pose plus haut, c’est le genre de réponse que Martineau aurait dû chercher. Peut-être pas tous, mais quelques chose. Il dit que le centre-ville est désert. Il en a parlé avec le directeur de la SDC? Des commerçants? On a des données d’achalandage avec un portrait différent, pourquoi ne pas en parler avec Glenn Castanheira? Les graffitis, il a contacté la ville pour savoir comment ça se passe pour le retrait? La police pour savoir si les actes de vandalisme sont plus nombreux (plutôt que blâmer… les wokes ou un équivalent)? Est-ce qu’il sait comment se déroule le ménage printanier pour les ordures?

Je crois que j’ai déjà utilisé l’expression ici, mais c’est de la chronique de bol de toilette. Parce que ça peut être écrit sur un bol de toilette, isolé du monde, en quelques minutes, sur une feuille de papier et un crayon. Rien besoin d’autre.

J’ai pris plus d’effort à écrire cette réplique que ce que Martineau a mis dans cette chronique. Et c’est un peu déprimant. Je répète que l’enjeu de la propreté est important et doit gagner plus de traction à mon avis, mais c’est en cherchant des causes et des solutions qu’on arrive à des résultats, pas en étant polarisant juste pour être polarisant.

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Pour le nettoyage, les cols bleus sont actuellement occupés à ramasser les branches d’arbres tombées dûes au verglas.
Le Sud-Ouest a été dûrement affecté, du renfort (le personnel saisonnier) a dû être appelé pour commencer une ou deux semaines plus tôt que d’habitude.

La Ville devrait bientôt lancer le programme de corvées de nettoyage citoyennes.. Par contre, ça n’a pas empêché certains citoyens et citoyennes de nettoyer les rues de leur quartier. Par exemple, un citoyen de Griffintown a lancé « J’adopte ma rue » où les gens intéressés indique quel bout de rue ils adoptent pour le nettoyer. Ça marche bien! (malgré qu’il y a tjs des gens qui disent pourquoi on devrait le faire quand nos taxes payent pour ça… mais il n’y aura jamais assez de cols bleus ni de poubelles pour contrer la malpropreté de certaines personnes.)

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En parlant du sud-ouest, il y’avait hier des petit camion qui nettoyait les trottoirs de la rue notre-dame.

J’ai travaillé toute ma vie au centre-ville de Montréal, et aussi loin que je peux me souvenir, la dernière fois que le centre-ville était vraiment propre c’était lorsque Pierre Bourque était maire de la métropole. Ensuite c’est la débandade complète depuis les règnes de Tremblay, Coderre et Plante.

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Ce n’est pas juste une question de ramassage apres coup. C’est aussi une question d’application plus severe des reglements – les gens qui mettent les dechets a l’heure inapprorpriee…des bacs de recyclages qui sont ouverts (hier devant la residence de l’ETS sur de la Montagne etait un bel exemple, les dechets volaient partout cars ils ont mis des contenants pleins ouverts), des devantures d’appartements sales (ahem la rue Rioux), les crottes de chiens partout de ceux qui ne ramassent ou qui ne prennent pas la peinde de mettre les petits sacs dans les poubelles, etc. Il faut plus d’inspecteurs et plus d’amendes, et pas juste du ramassage apres coup. Avec des immmeubles residentiels, suffit de passer l’amende au proprietaire ou au syndicat…

Mais aussi, pourquoi le nettoyage arrête t il en hiver? Il y a souvent des périodes ou il y a pas de neige sur les trottoirs et aucun ramassage n’est fait. Pourquoi ne vide-t-on pas les poubelles pleines? Plein de fois durant l’hiver les poubelles autour du parc canin Olier etaient pleines, et laissees pleines pendant plusieurs jours – les gens en rajoutent tout simplement et ca deborde et ensuite ca se promene a cause du vent.

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Montréal | Les branches tombées retardent le grand ménage municipal


PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE
La mairesse de Montréal, Valérie Plante, a demandé aux citoyens qui se rendent dans les parcs de la ville d’être vigilants, puisque des branches restées accrochées aux arbres pourraient encore tomber et causer des blessures.

Le ramassage des branches tombées à la suite de la tempête de verglas occupera les employés municipaux pendant encore un certain temps, ce qui ralentira le grand ménage du printemps dans les rues et espaces publics de la métropole.

Publié à 10h06
Isabelle Ducas
LA PRESSE

La mairesse de Montréal, Valérie Plante, demande à la population de faire preuve de patience quant au ramassage des déchets qui suit habituellement la fonte des neiges, puisque les cols bleus en ont plein les bras.

« Toutes les équipes de la Ville sont mobilisées à nettoyer, et ça va prendre du temps pour ramasser toutes les branches », a-t-elle souligné, mercredi matin, lors de la rencontre du comité exécutif. « Le ménage du printemps avait déjà débuté, mais le grand nettoyage des rues et des trottoirs va être un peu retardé parce qu’il faut y aller par priorités. Je demande aux gens d’être conscients de cette réalité, mais bien sûr, le ménage va se faire. »

Les quartiers centraux s’enrichiront d’ailleurs d’une escouade de propreté supplémentaire, a annoncé en comité exécutif la responsable de la concertation des arrondissements, Maja Vodanovic. Les secteurs du Quartier latin, du Vieux-Montréal, de la rue Ontario, du boulevard Saint-Laurent et de la rue Berri pourront en bénéficier.

« On vient à la rescousse avec une brigade de plus dans Ville-Marie, a dit Mme Vodanovic. Ils vont ramasser les papiers, passer le balai, enlever l’affichage illégal et ramasser les mauvaises herbes, du 1er mai jusqu’à la fin octobre. »

Mme Plante a par ailleurs demandé aux citoyens qui se rendent dans les parcs de la ville d’être vigilants, puisque des branches restées accrochées aux arbres pourraient encore tomber et causer des blessures.

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Très bon point. Il est situé en face de l’un des pires endroits à Montréal et en cela ca affecte surement sont jugement. C’est pour cela que je ne suis pas d’accord avec lui sauf que pour ce secteur précis, et bien il a raison et j’aurais pu écrire la même chose.

D’accord, mais c’est quand même une opinion, faible, il est vrai, mais que plusieurs partagent. Certains par haines de Montréal mais d’autres par frustration.

Et comme je l’ai mentionné, la réaction de Martineau, bien que très exagéré, a le mérite de parler de Montréal, de brasser la cage et de nous forcer à faire mieux. J’aimerais une chronique plus détaillée et surtout plus nuancée mais en la postant ici, je savais, enfin j’espérais, que des membres (je pensais entre autre à toi) en profiteraient pour remettre les pendules à l’heure et opposer de très bons arguments à Martineau lui démontrant pourquoi la ville semble plus sale au printemps, par exemple. Mais aussi, et surtout, qu’il a tort de dénigrer l’entièreté de la ville en se basant sut un petit secteur précis. Il fallait donc lui répondre.

Et voilà que ta réponse n’a pas tardé et est plus que bienvenue. Nous avons besoin, ici sur Agora comme dans les grands médias, de gens qui prennent la parole pour défendre Montréal et ainsi renverser la déprime que l’on peut avoir en lisant ces trop nombreuses chroniques et opinions négatives. Ca fait du bien de lire du positif et des interventions, comme les tiennes, sont exactement ce que l’on a besoin pour pouvoir répliquer à ceux qui dénigrent la ville. Alors en ce sens merci pour ton effort et ta ‘‘chronique’’.

Non pas pour le défendre mais pour etre plus juste, Martineau a en effet eu un entretien la semaine passée avec Castanheira et hier avec Bumbaru. En entrevue il est beaucoup plus nuancé et admet que Montréal est une ville spéciale et qu’il l’aime beaucoup, sauf que je sens une frustration en constatant le laisser aller qu’il perçoit et ses frondes sont, d’après moi, pour choquer, pour provoquer la ville à faire mieux.

La chronique avec Glenn Castanheira:
https://www.qub.ca/radio/balado/richard-martineau?audio=1097297006

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Je suis personnellement en faveur du retour des contenants rigides. L’été dernier, j’en ai acheté un pour mon appartement parce que mes sac se faisaient détruire par les ratons-laveurs quand je les déposais la veille au soir. Je pense que ça peut aussi aider à maintenir l’accessibilité de nos trottoirs. Le bac, que je partage avec mon voisin, occupé moins de place que nos deux sacs mis en tas.

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Entièrement d’accord

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Le pire, c’est que dans le fil de son tweet, y’a des gens qui ont l’air d’être d’accord avec le livreur. C’est ahurissant! Ces gens critiques la ville et semblent même comprendre le livreur car ‘‘ça ne donne pas le goût de faire un effort’’!.. En effet, critique pas quelque chose pour ensuite en rajouter par-dessus. On va jamais s’en sortir sinon! Goddamnit…

C’est aussi de notre responsabilité en temps que citoyen.nes de garder notre ville propre, pas juste la ville!

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