Propreté et entretien à Montréal - Discussion générale

I wonder how much money could be saved long term if the city started using permeable pavers for parking along residential streets. Parking takes up about half the road, that way there would be much less asphalt needed to repave, and they’re better for collecting rain water too.

In Deux-Montagnes when checking out the REM they had a parking lot that was permeable and it works really well, it would be cool to see it along streets.

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je pense que la solution pour Montréal est de limiter la présence des gros poids lourds sur les réseaux locaux.

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Looking into it, Portland Oregon in the United States did this as a pilot project and it was highly successful. It also makes the street visually more interesting, differentiates the road better (so motorists wouldn’t confuse this with a newer bike lane like like in Griffintown):

I’d like to see a project like this done in Montréal, or at least tested! Pavers last over 20 years, so the parking on streets would rarely need to be redone, just the asphalt in the middle.

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D’après ce que je comprends, ce sont principalement les gros camions qui endommagent les routes, pas les VUS et les chars (qui devraient également être réduits en ville bien sûr)

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Je pense qu’on peut aussi réduire nos infrastructures routières, qui sont largement trop développées pour notre tite population du Québec, comme ça on peut à la fois protéger les tites grenouilles de 1 cm et avoir de belles routes (moins nombreuses) :blush:

Aussi, j’ai de la difficulté à voir comment la protection des tites grenouilles en dehors de l’ile est en corrélation avec la qualité des rues appartenant à la ville de Montréal

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Tout de même les VUS sont environs plus de 1.5 à 2x dommageable pour les routes qu’une voiture et les pickups 4x plus.

Un camion vide endommage environs 4000x plus la route qu’une voiture et un camion à sa capacité maximale l’endommage environs 100000x plus.

Un poste que j’avais fait sur cela: L’état de l'automobile au Québec - Habitudes, constats et tendances - #34 par Aricie

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Et quand même le gouvernement gagne encore des élections avec des promesses de pont/route. Comme si on n’en avait pas assez. La promesse d’une nouvelle infrastructure est toujours bien mieux que de seulement remettre en état ce que nous avons. Du moins c’est plus vendeur au niveau de l’électorat.

L’opposition à l’hôtel de ville demande à l’administration Plante de prendre une série de mesures pour améliorer la propreté et la salubrité partout à Montréal, au moment où l’arrivée du printemps révèle les détritus qui ont passé l’hiver sous la neige.

Résumé

Montréal L’opposition demande des gestes concrets pour la propreté

PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE

« L’enjeu de l’insalubrité se voit partout à travers la ville, dans les quartiers centraux et périphériques, et ça prend des mesures très concrètes pour y remédier », a souligné le conseiller Julien Hénault-Ratelle, du parti Ensemble Montréal.

L’opposition à l’hôtel de ville demande à l’administration Plante de prendre une série de mesures pour améliorer la propreté et la salubrité partout à Montréal, au moment où l’arrivée du printemps révèle les détritus qui ont passé l’hiver sous la neige.

Publié hier à 14h56

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Isabelle Ducas
Isabelle Ducas La Presse

« L’enjeu de l’insalubrité se voit partout à travers la ville, dans les quartiers centraux et périphériques, et ça prend des mesures très concrètes pour y remédier », a souligné le conseiller Julien Hénault-Ratelle, du parti Ensemble Montréal, mercredi en conférence de presse dans le quartier Villeray.

« Ça concerne la collecte des ordures et du compost, le nettoyage des rues, mais également toute la question des rats », a-t-il ajouté, en faisant particulièrement référence à la situation dans le quartier Parc-Extension, où des demandes répétées ont été faites à l’administration pour combattre la prolifération des rongeurs.

L’opposition a demandé plusieurs fois des changements pour rendre la ville plus propre, affirme Stéphanie Valenzuela, porte-parole de son parti en matière d’environnement.

PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE

Stéphanie Valenzuela, porte-parole d’’Ensemble Montréal en matière d’environnement en compagnie du conseiller Julien Hénault-Ratelle d’Ensemble Montréal

Parmi les solutions proposées par Ensemble Montréal, on retrouve :

  • Remplacer les poubelles ouvertes dans les lieux publics par des poubelles fermées et augmenter leur nombre ;
  • Augmenter la fréquence de la collecte des déchets dans les parcs ;
  • Déployer les brigades de propreté toute l’année ;
  • Implanter des puces RFID sur les bacs de compostage, d’ordures ménagères et de recyclage, comme l’a fait l’arrondissement de Saint-Laurent, permettant de suivre la performance de la collecte et de cibler les activités de sensibilisation ;
  • Offrir davantage de toilettes publiques ;
  • Installer plus de cendriers urbains et augmenter la fréquence des collectes de mégots ;
  • Mettre en place, lors de travaux nécessitant l’ouverture du système d’égouts, une procédure de gestion des rats systématique pendant la durée des travaux ;
  • Lancer une campagne de sensibilisation auprès des commerçants du secteur de l’alimentation pour le respect des règles d’hygiène et mieux documenter la présence de rats.

L’opposition demande aussi que la Ville mette se dote d’un règlement pour obliger les propriétaires à habiller la vitrine de leurs locaux commerciaux vacants, et à entretenir et nettoyer la façade de leur immeuble.

Quand on décide d’espacer la fréquence de collecte des déchets, comme il est prévu de le faire dans le quartier Parc-Extension pour les immeubles de neuf logements en plus, il est nécessaire d’offrir un meilleur accompagnement aux citoyens pour qu’ils s’adaptent au changement, réclame également Ensemble Montréal. La collecte des ordures s’effectue actuellement deux fois par semaine dans les grands immeubles de ce quartier, et elle doit être réduite à une seule fois en mai.

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Vous pensez que ca fonctionnerait à Montréal. Si ca fonctionne aussi bien que l’article prétend, ce serait une révolution.

Il aurait été bien que tu puisses publier l’article en copié-collé dans masquer le texte pour que nous puissions en prendre connaissance sans devoir accepter toutes les conditions attachée à la lecture dans Geo.fr.

Honnêtement je ne sais pas comment faire.

:money_with_wings:

Le “béton autochauffant”, avenir du déneigement ?

Le sel que nous utilisons finit sa vie dans la terre, dans l’eau et dans l’air. Les sels de déneigement répandus sur la voirie dans les régions enneigées peuvent se transformer en aérosols. Problème : ces particules volatiles de chlorure et de sodium accélèrent la fonte des neiges. Une situation qui menace l’approvisionnement en eau douce des humains, mise en lumière dans une étude dirigée par le professeur de géologie à l’université du Maryland Sujay Kaushal, et publiée à l’automne dernier dans la revue Nature Reviews Earth & Environment.

Et si, dans le futur, les opérations de salage et de pelletage n’étaient plus nécessaires ? Cette ambition est portée par une étude publiée dans le Journal of Materials in Civil Engineering, et dont les conclusions ont été relayées dans un communiqué de presse diffusé lundi 18 mars par l’université Drexel (Philadelphie, Pennsylvanie). Aucun tour de magie n’est nécessaire pour faciliter le déneigement, mais une technologie méconnue : le “béton autochauffant”.

Des tests menés sur le terrain par les chercheurs américains du Collège d’ingénierie de Drexel prouvent que ce matériau est en mesure de se réchauffer dès lors que les températures chutent, approchant du point de congélation, ou que la neige tombe. La promesse d’un avenir sans gel ?

Un dispositif respectueux de l’environnement

La technologie du béton autochauffant, comme celle conçue par les experts de Drexel, vise à instaurer des infrastructures plus respectueuses de l’environnement et plus résilientes. Et cela, notamment dans les régions du nord des États-Unis, où la National Highway Administration, une agence fédérale américaine des États-Unis chargée de la sécurité routière, estime que les États dépensent, chaque année, 2,3 milliards de dollars pour les opérations de déneigement et de déglaçage. Une somme à laquelle s’ajoutent plusieurs millions de dollars nécessaires à la réparation des routes qui ont été endommagées par les conditions hivernales.

"Une façon de prolonger la durée de vie des surfaces en béton est de les aider à maintenir une température de surface supérieure au point de congélation tout au long de l’hiver, a déclaré, dans le communiqué de presse, le professeur Amir Farnam, affilié au College of Engineering et dont le laboratoire a dirigé les recherches. Empêcher le gel et le dégel, tout en faisant disparaître le besoin de pelleter, de gratter et de saler, constitue un bon moyen d’empêcher la détérioration des surfaces."

Une expérience concluante

Longtemps, les qualités de ce béton développé par les scientifiques au cours des cinq dernières années – et capable de faire fondre la neige et d’empêcher ou de ralentir la formation de glace pendant une période prolongée – n’avaient été démontrées que dans un laboratoire.

La nature prend son temps…
comme cette publicité !

Mais au cours des derniers mois, les experts ont franchi une nouvelle étape en prouvant sa viabilité dans un environnement naturel. Discrets, ces dispositifs protègent, à eux seuls, contre la neige, le grésil et la pluie verglaçante. "Notre béton autochauffant utilise l’énergie thermique diurne de son environnement, poursuit Amir Farnam. Il convient aux régions montagneuses et du nord des États-Unis, comme le nord-est de la Pennsylvanie et Philadelphie, où il existe des cycles de chauffage et de refroidissement adaptés en hiver."

Les secrets de cette technologie

Mais, concrètement, comment ça marche ? Le secret du réchauffement du béton se trouve dans la paraffine liquide à basse température. Ce matériau, dit à changement de phase, va libérer de la chaleur dès lors qu’il passe de son état de température ambiante (sous forme liquide) à un état solide, quand les températures baissent. Dans un article précédent, l’équipe de chercheurs expliquait, déjà, que l’incorporation de paraffine liquide dans le béton déclenchait un échauffement au moment où les températures chutent.

Les experts ont coulé des dalles à changement de phase et, depuis décembre 2021, ces dispositifs sont exposés aux éléments. À l’aide de caméras et de capteurs thermiques, ils ont surveillé leur température et leur comportement lorsqu’elles sont confrontées à de la neige et du gel. Ils ont constaté qu’elles maintenaient une température de surface comprise entre 5 °C et 12 °C pendant dix heures maximum, dès lors que la température de l’air descendait en dessous de zéro. Un “chauffage” qui suffit à faire fondre quelques centimètres de neige.

Les chercheurs se disent convaincus du fait qu’empêcher la surface de descendre en dessous du point de congélation contribue à prévenir la détérioration. Ils ont fait part de leur volonté de continuer à collecter des données pour mieux comprendre à quel point cette méthode peut prolonger la durée de vie du béton.

GEO (avec 6medias)

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Merci d’avoir publié l’article qu’avait trouvé @Luvtrain, une technologie qui pourrait évoluer en permettant à nos latitudes d’en profiter aussi même si nos hivers sont plus froids qu’au sud de la frontière. C’est sûr qu’au niveau environnemental ce serait une amélioration substantielle, en évitant de polluer davantage la nature, en limitant le déneigement tout en rendant nos routes beaucoup plus sécuritaires. Mais cela ne vas pas sans coût puisqu’il faudrait resurfacer nos routes et autoroutes qui sont principalement à base d’asphalte. Je pense notamment aux nids de poule qui sont une véritable plaie à Montréal. Pour le moment on peut toujours rêver :smiley:

Je crois que ca n’enlèverait pas le tassement de la neige. Mais, si on réussit à enlever les produits pour faire fondre la glace , ce serait révolutionnaire pour notre environnement.

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https://twitter.com/guillaumefrnr/status/1773384606638608550?s=46&t=O16kWKo3_V7n5GnDyYATuA

(Quelqu’un peut m’expliquer comment intégrer un Tweet au forum?)

Un bel exemple du problème récurent de propreté sur le REV St-Denis. C’est vraiment inacceptable. Même si la ville devrait nettoyer plus rapidement, je ne comprends pas aussi les commerçants de laisser ça aller, il me semble que la devanture du commerce fait partie de l’expérience client. Si chaque commerçants s’occupait de son bout de trottoir, la pression sur le Ville serait moins intense.

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À cause des changements apportés par Elon Musk, on ne peut plus intégrer les Tweets dans le forum. La meilleure option est de prendre des captures d’écran. Personnellement, j’utilise le navigateur Arc parce qu’il y a un outil pour prendre des captures d’écran qui est intégré au navigateur et ça s’ajuste automatiquement aux bordures des éléments sur les pages.

Je regarderais aussi du côté de la compagnie qui ramasse les déchets, il y a définitivement un problème là aussi. La moitié du contenu des détritus se ramasse dans la rue après leur passage, c’est systématique toutes les semaines à mon observation. J’ai déjà assez chialé contre le monde qui font des tour Jenga avec leurs déchets plutôt que d’avoir un contenant, mais ça n’aide pas d’avantage quand la collecte ne va pas dans le camion dans son entièreté.

Aussi, je crois que le REV serait un endroit facilement nettoyable à l’année avec des balais… Pas de voiture dans le chemin.

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Début officiel du grand nettoyage

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Tempête d’avril…

et pourtant, le manque de neige tout l’hiver n’a pas fait que la Ville ait nettoye durant l’hiver…je commence a etre las de la neige comme excuse pour la salete qu’on laisse trainer partout. Rien n’a ete fait pendant des mois…

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