Ça je suis au courant. Et par conséquent, les constructions n’ont pas pu aller plus vite et on a ce qu’on a aujourd’hui.
This is true.
Bon.
Je ne sais plus vraiment ce que ça vaut.
Mais j’ai entendu parlé d’une annonce en Juin.
À voir. Au moins le chantier avance.
Ils vont l’annoncer quand ils auront déjà creusé une station. Comme ça personne ne pourra dire que c’est encore un projet imaginaire
à la fin de cet article dans Le Devoir
De son côté, la STM devra trouver des noms pour au moins trois des nouvelles stations de la ligne bleue. Le comité de toponymie s’est engagé à accorder une grande place aux femmes en tenant compte des réalités multiculturelles et autochtones. Aucun nom n’a encore été retenu.
Si la station à l’angle de Langelier / Jean-Talon se nomme Elisapie, je pète ma crise!
Elisapie est encore bien vivante
Les règles de la Commission de toponymie commandent d’ailleurs que le nom d’une personne vivante ou décédée depuis moins d’un an ne soit pas attribué à un lieu.
Oui tant que le chantier avance c’est vraiment ce qui compte.
Le reste on s’en balance un peu.
Ce sera mon commentaire de gars blanc, hétéro et pas très woke… mais c’est quoi cette affaire là.
Pourquoi ne pas rester “neutre” avec des noms de rues, ou quartier, place publique genre Champs-de-Mars. Comme cela on évite la contreverse et c’est plus “inclusif”.
Personnellement, c’est ce que je pense aussi. Les noms des stations devraient refléter leur localisation
Si on veut des noms de femmes dans la toponymie des stations (il n’y en a aucune actuellement), il faudrait renommer les rues !
Can everybody please stop using the term woke to bundle together every single topic that isn’t right of center? Use the proper words.
Woke is the equivalent of aware, as in, “being aware of social inequities.” Saying one is “anti-woke” is like saying one isn’t aware that there are problems outside of their own insular world.
Woke derives from AAVE and was originally used almost 100 years ago by the African-American community when discussing outsiders’ awareness of racial injustice and social inequities. Both French and English have wonderfully descriptive and colourful vocabularies, we have no need to adopt a term that has been co-opted by the MAGA faction to label every single issue that doesn’t meet their bigoted ideals.
On peut faire les deux chose en même temps si on renom les rues d’après les femmes
(Je trouve que les rues sont trop souvent nommer d’après les hommes)
Parce que la toponymie n’est souvent pas neutre.
En matière de référence à des gens, elle est très largement masculine et blanche.
On peut renommer les rues autour pour que “ça fitte”. D’ailleurs, nos contemporains ne s’en ont pas privé : plusieurs stations ont changé de nom depuis leur création, ainsi que des noms de rue ou places.
Être inclusif, c’est prendre acte des déséquilibres, pas effacer et neutraliser.
BINGO
À l’ouverture du métro, Berri-De-Montigny est devenue Berri-UQAM, mais ma mère appelle encore la station Berri-De-Montigny puisqu’elle a grandi à l’époque de la construction du métro. La station Longueuil–Université-de-Sherbrooke s’appelait également Longueuil avant 2003.
Et en parlant de “ne pas effacer et neutraliser”, c’est une des raisons pour lesquelles j’étais hésitant de renommer la station Lionel-Groulx, sous pretexte que Lionel Groulx était un antisémite. C’est comme si on effaçait le nom de Lionel Groulx, l’antisémitisme allait disparaître de la surface de notre monde, alors qu’au contraire cette haine semble plutôt revenir, et Lionel Groulx n’a rien à voir avec notre époque actuelle puisqu’il est décédé bien avant notre naissance. C’est comme au lendemain de l’invasion de l’Ukraine il y a 3 ans, plusieurs voulaient bannir le mot “Poutine” qui caractérise notre plat national au Québec (frites, sauce gravy et fromage), et que cela allait sauver la vie de milliers d’Ukrainiens…
Mais en tout cas, retournons au sujet principal…
Avec l’arrivée du prolongement de la ligne bleue du métro de Montréal, l’arrondissement de Saint-Léonard se prépare à une transformation majeure de son territoire dans les prochaines années. L’administration s’est récemment dotée de nouveaux outils pour faire face à ces changements.
Des milliers de nouveaux résidents sont attendus dans l’arrondissement d’ici l’ouverture des cinq nouvelles stations sur la rue Jean-Talon Est prévue en 2031, dont trois sont projetées dans Saint-Léonard. Le chantier majeur ainsi que ses répercussions sur la vie quotidienne dans le secteur, notamment au niveau de la démographie, ont conduit les élus de l’arrondissement à approuver récemment la création d’un bureau de projet dédié au Projet de la ligne bleue (PLB) et à instaurer un poste permanent de conseiller en planification pour les projets de développement économique.
L’équipe sera constituée de cinq personnes, dont un chef de projet, trois ressources affectées au PLB et le nouveau conseiller en planification cité plus haut. À titre de présidente et vice-président du Comité consultatif d’urbanisme de l’arrondissement de Saint-Léonard, Mme De Larochellière, ainsi que son collègue, le conseiller de la ville Dominique Perri, participeront aux activités du bureau de projet. Un budget de 200 000 $, taxes incluses, sera alloué à la réorganisation des espaces de bureau dédiés à cette équipe.
Le mandat de ce bureau consistera à représenter les intérêts de l’arrondissement et de la Ville au sein des instances liées au PLB. En effet, plusieurs équipements collectifs devront être créés ou mis à niveau dans l’arrondissement pour répondre à l’éventuelle croissance démographique. « Nous avons la deuxième bibliothèque la plus fréquentée de Montréal et ça fait une décennie qu’on attend son agrandissement et sa rénovation. C’est sûr que lorsque les gens entendent qu’on va recevoir de 15 000 à 20 000 résidents avec une seule bibliothèque sur tout le territoire, ils ont beaucoup de craintes face à ces développements », illustre Arij El Korbi, conseillère d’arrondissement.
Le bureau du PLB devra aussi analyser les projets de développement immobilier et procéder à l’émission des permis de façon plus efficace et cohérente que le processus habituel. Des projections estiment à 7000 le nombre de nouvelles unités d’habitation qui pourraient accueillir environ 15 000 personnes dans l’arrondissement durant les prochaines années.
And that right there is the crux of the problem. The meaning of words changes over time. As far as I’m concerned, the term has become inextricably attached to bigoted politics. There’s just no extirpating it from that setting given the way that it is being widely used by the far right. Its old meaning has essentially been forgotten and erased.
Je suis d’un avis similaire. Je pense qu’il faut conserver ces vieux noms. Ça fait parti de nôtre passé. Si on ne veut pas répéter les erreurs du passé, il faut se rappeler de où on vient. Plutôt que d’effacer le nom, je pense qu’il faut exposer publiquement le personnage et son histoire. Si on ne fait que renommer, on condamne cette portion de l’histoire aux cercles académiques où il aura vite fait d’être oublié du reste de la population.
On pourrait neanmoins retirer le nom de la station de metro Lionel Groulx, qui donne une visibilité démesurée au personnage historique, tout en laissant la rue nommée à son nom. Il a d’ailleurs un cegep a son nom aussi. La memoire demeure - un lien demeure, mais le spotlight pourrait être mis sur quelqu’un d’autre.
EDIT : Javais parlé de Oscar Peterson mais cest plutot George-Vanier qui aurait du sens pour etre renommé par Peterson vu le parc a proximité.
Anyway!
Y’a conserver la memoire, mais ya une autre donnee qui entre en jeu pour des stations de metro vu leur “visibilité” par rapport a un petit parc de quartier ou une petite rue : il y a le facteur de la célébration. De l’honneur.