Préférence Montréal

Toronto est vraiment devenu une mégapole. C’est fou à quel point cette ville a évolué depuis 40 ans. En comparaison Montréal est devenu une banlieue.

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L’art de dire n’importe quoi…

Au cours des 40 dernières années, Montréal est devenue une métropole internationale, avec une économie diversifiée, des talents dans une grande variété de domaines comme la technologie et les produits pharmaceutiques, des universités de classe mondiale, le 8e plus grand centre financier en Amérique du Nord, et bien plus encore, tout en conservant un paysage culturel distinctif.

Ce n’est pas parce que Montréal est plus petite que Toronto qu’elle est insignifiante. I get it, tu es fan des tours condos, mais soyons réalistes.

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Désolé de de vous mettre en colère, mais Montréal n’est même plus dans la mire des évènements majeur. Quand on voit les Blue Jays et le Raptors de Toronto venir jouer ici, on voit bien que cette ville a perdu sa notoriété. Le grand prix du Canada de formule 1 a été un vrai désastre, les commerces du centre-ville disparaissent a vu d’œil. Je vous rappelle qu’il y a 40 ans, Montréal était la métropole du Canada

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Il s’agit d’une fausseté totale. Déjà lors de l’expo 67, Toronto avait surpassé Montréal en terme de capitale économique. Simplement on le savait pas encore car il faut du recul pour le voir. L’industrialisation s’est mieux faite en Ontario, l’économie y était plus forte, plus diversifiée, plus lourde. La tendance était déjà visible dès la fin du 19e siècle et elle était inévitable. Les grands personnages montréalais étaient plus intéressés par le développement de l’ouest que par celui des régions du Québec.

Quand je reviendrai chez moi, j’ajouterai des références et des exemples à mon propos.

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Tu es profondément mal informé ou t’essayes de provoquer une réaction, dans tous les cas je ne suis pas du tout en colère. En fait, c’est drôle, tu parles comme mon oncle qui vit à Saint-Apollinaire et qui n’est pas allé à Montréal depuis 1993.

Oui oui, pas d’événements majeurs, ni de conférences ou de concerts à Montréal, pas d’investissement à Montréal, personne ne va au centre-ville et tous les magasins ferment, pas d’emplois à Montréal, tout le monde a déménagé en banlieue et maintenant il y a un tas de maisons vides… Et les maudites piste cyclable!

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Il y a 40 ans, Toronto était déjà la métropole du Canada, take off your rose colored glasses. Vous avez déjà décidé que Montréal n’était plus sur la carte et donc vous cherchez des justifications. Montréal n’a pas eu d’équipe de baseball depuis des années, nous n’avons jamais eu d’équipe de basketball, et pourtant la population n’a jamais cessé de croître. les Blue Jays et raptors… Je ne vois pas de corrélation avec quoi que ce soit.

Le taux de chômage est plus bas que dans de nombreuses autres villes, y compris Toronto. L’économie est en plein essor, surtout au cours de la dernière décennie. Et c’est quoi l’histoire des événements internationaux ne se déroulent pas à Montréal ? Pourquoi continuons-nous à répéter cela tout d’un coup ? Parce que Taylor Swift n’est pas venue ici ? 0/10 ragebait

je ne peux pas imaginer comment vous auriez été satisfait du Montréal d’il y a 40 ans. Ravagé par la désindustrialisation, taux de criminalité élevé, sale, centre-ville rempli de stationnements et de terrains abandonnés. Vous rêvez vraiment, la réalité était autre chose

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Oui. Vraiment souvent! C’est arrivé plusieurs fois que des amis me disent qu’ils ont acheté des billets à un show qu’ils pensaient être au Centre Bell pour, finalement, se rendre compte que c’est à la Place Bell, à Laval. La seule raison pourquoi ils décidaient quand même d’y aller est parce que c’est juste à côté du métro.

Toronto était aussi mieux aligné aux grands centre urbains américains, à une période où les États-Unis devenaient la puissance mondiale, prenant ainsi le flambeau du Royaume-Uni, principal partenaire financier de Montréal.

Sur le plan événementiel, les principaux facteurs limitants de Montréal sont:

  • la main-mise des grands promoteurs événementiels et des grandes maisons de production qui négocient souvent des contrats d’exclusivité saisonniers. Les artistes qui viennent performer à nos festivals doivent souvent attendre minimum 6 mois pour revenir à Montréal. Dans le cas des tournées mondiales, on les décourage souvent de faire des arrêts à Montréal et Toronto. Faut en choisir 1.

  • le manque d’espaces événementiels de gabarits intermédiaires. On a d’énormes espaces qui peuvent accueillir des dizaines de milliers de spectateurs ou de petites salles de spectacles intimes, mais peu d’espaces qui accueillent confortablement les étoiles montantes. Toronto en a beaucoup plus et ça les avantage beaucoup.

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Ouf! Il y a du monde fâché là. Je traverse Montréal à chaque jour pour mon travail. Non je ne suis pas un vieux mononcle qui vie en campagne. Je dis simplement que cette ville ne s’améliore pas. Elle est comme son équipe de Hockey. En reconstruction perpétuelle.

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Et voilà :wink:

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Pourtant, vous aimez Toronto, mais ils n’ont pas gagné la Coupe Stanley depuis 1967! :scream: Vous dites que Montréal ne s’améliore pas, mais il y est toujours en construction. Vous avez quelques contradictions sur lesquelles vous devez réfléchir.

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po sur moi












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Sans être trop nostalgique, la perte du status de Montréal comme métropole du Canada dans les années 1960-70 est un sujet qui m’intéresse beaucoup.

Il n’y a pas d’exemples dans le monde où la capitale économique d’un pays déménage aussi rapidement: peut être au Brésil avec Sao Paulo et Rio et en Australie avec Melbourne et Sydney dans une moindre mesure et sur une plus longue période…

La peur de l’indépendance du Québec et l’exode des anglophones est souvent cité pour l’expliquer mais il y a plus selon moi:

  • Sièges sociaux déménageant de plus en plus à Toronto pour une meilleure fiscalité ce qui a créer un effet d’entraînement et aidé la Bourse de Toronto à supplanter (et avaler) celle de Montréal
  • Fiasco Dorval/Mirabel ce qui a permis à Pearson de devenir le hub aérien du pays
  • Usines automobiles dans le sud de l’Ontario
  • Fermetures des industries montréalaises telles que le textile
  • Favoritisme historique du gouvernement fédéral

Mais au final la dernière chose que je souhaite est que Montréal devienne comme Toronto, une ville trop américanisée et où je ne me sens pas chez moi.

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Montréal est la sixième ville en en termes de population en Amérique du Nord et n’a que deux équipes de sport majeur, si on prend en considération le CF Montréal. Une ville comme Boston qui est ma ville préfère, avec la moitié moins de population, en compte 5. Je n’aime pas Toronto mais c’est la seule référence au Canada.

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C’est faux, c’est BEAUCOUP moins violent maintenant que la période 1970 - 2000, avec 3 fois moins de meurtres par année, notamment.

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:joy: tu vis clairement pas à Montréal et ça parait

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Ça se passait entre groupe criminels avec effets collatéral , mais là ils s’en prennent directement a des gens qui n’ont aucun rapport.

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Je suis un grand fan de sport, mon cœur se serre quand je pense aux Expos, et je rêve la nuit que nous aurons une équipe de basketball un jour. Mais les équipes sportives ne font pas d’une ville une bonne ou mauvaise ville, c’est juste une autre option de divertissement.

Boston a son équipe de baseball depuis plus de 100 ans, elle a son équipe de basketball depuis 1940. Dans les années 1940, Boston était dans le top 10 des villes les plus peuplées des États-Unis, aujourd’hui elle est 25e.

On pourrait dire que Boston a ces équipes pour des raisons historiques. Si elle essayait d’avoir une équipe de la MLB ou de la NBA aujourd’hui, serait-elle toujours en lice? Who knows.

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Je suis issu d’une communauté multiculturelle qui a fait les manchettes plus d’une fois. Ce n’est pas le multiculturalisme qui est problématique, mais cela le devient quand le système échoue à accompagner les nouveaux arrivants. De mon côté, je suis arrivé dans un Québec qui m’a très bien accueilli, et je serai toujours reconnaissant. Aujourd’hui, je suis fier d’être Québécois. Si le Québec continue avec la même recette gagnante, nous n’aurons pas les mêmes problèmes que ceux rencontrés en France ou ailleurs en Europe.

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La population de la région métropolitain de Boston est de 4 941 632 (2020) alors que celle de Montréal est de 4 291 732 (2021).

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Comme si Toronto n’avait pas les mêmes problèmes de gangs aussi, tant qu’à se comparer…

J’imagine qu’à Toronto c’est moins grave qu’à Montréal :upside_down_face: