Politique provinciale

It’s almost comical how quickly Coderre’s campaign exploded. Rodriguez is such a more measured, thoughtful persona to present to the public, but THOROUGHLY untested in the theatre of the National Assembly.

In a race with a “hot, young separatist” doing miracles for the PQ Polls, a beleaguered billionaire that is not letting a supermajority stop him from failing across every mandate, and QS’s revolving door of female leadership… Rodriguez is a very standout federalist candidate.

At least it isn’t boring, like the upcoming Ontario election where the average Ontarian would struggle to name Doug Ford’s main opponents…

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pendant que le même ministre met sur pause la Politique du 1% pour l’art public

Panem et circenses :baguette_bread: + :ice_hockey:

Le gouvernement de François Legault pose un autre geste à saveur patriotique, cette fois dans le but de faire en sorte que le hockey sur glace devienne officiellement le « sport national du Québec ».

Un bref projet de loi à cet effet a été déposé jeudi au Salon rouge par le ministre de la Culture, Mathieu Lacombe.

La pièce législative, qui portera le numéro 90, fera notamment du « premier samedi de février » la « Journée nationale du hockey sur glace ».

Elle introduit aussi la notion de « référent culturel national », « soit un élément de la culture québécoise forgé dans la tradition, qui caractérise et évoque de manière singulière un aspect de l’identité culturelle du Québec, constitue un repère largement partagé par les individus de la société et renforce les liens entre eux ».

Sondage Léger : Dégringolade solidaire, compétitivité libérale

Article LaPresse sur le sujet :

L’élection de Trump gonfle les appuis au PLQ et plombe la souveraineté

Le chef par intérim du parti, Marc Tanguay, s’est néanmoins retenu de festoyer jeudi, estimant que le temps n’était pas à la réjouissance. « On n’est pas heureux de ce qui se passe au Québec : les menaces tarifaires, les Québécoises et Québécois qui souffrent qui n’ont pas les services publics ».

L’impact de l’élection de Donald Trump se fait sentir jusqu’en politique québécoise où il gonfle la popularité libérale provinciale et plombe l’appui à la souveraineté.
Publié à 13 h 52

Vincent Larin
Vincent Larin La Presse

C’est ce qui ressort d’un sondage Léger–Le Journal–TVA paru jeudi et réalisé à l’aide d’un panel en ligne entre le 31 janvier et le 2 février, soit juste avant l’annonce de la suspension des tarifs du président américain pour un mois.

Même s’il est toujours à la recherche de son prochain chef, le Parti libéral du Québec (PLQ) y enregistre un bond surprenant de ses intentions de vote de 5 %, pour se retrouver à égalité avec la Coalition avenir Québec à 21 %.

Mais le chef par intérim du parti, Marc Tanguay, s’est retenu de festoyer jeudi, estimant que le temps n’était pas à la réjouissance. « On n’est pas heureux de ce qui se passe au Québec : les menaces tarifaires, les Québécoises et Québécois qui souffrent qui n’ont pas les services publics ».

Il décèle tout de même dans ces résultats « la nécessité d’un marché économique canadien fort, la nécessité d’un Québec au sein de la fédération canadienne qui joue son rôle ».

Mauvaise nouvelle toutefois pour les partis indépendantistes alors que l’option de la souveraineté enregistre un creux en cinq ans, à 29 % d’appuis.

Ce qui ne plombe pas le moral des troupes péquistes, aux dires du député Pascal Bérubé, dont le parti trône toujours au sommet des intentions de vote à 30 %.

Il insiste d’ailleurs sur le fait qu’il « reste bien du temps » pour convaincre les Québécois qu’ils seraient tout aussi bien outillés pour affronter Donald Trump même en dehors du Canada.

« On est des optimistes, on croit à l’indépendance du Québec pour le peuple québécois et on est des gens de conviction. Alors, on ne va pas dévier, on va continuer de faire la promotion de cette option, quelle que soit la conjoncture », a-t-il fait valoir en l’absence de son chef, Paul St-Pierre Plamondon, qui n’était pas présent à l’Assemblée nationale jeudi.

Dur réveil également pour les solidaires qui récoltent un maigre 10 % d’intentions de vote et se retrouvent ainsi doublés par le Parti conservateur du Québec, d’Éric Duhaime.

Leur cheffe parlementaire admet qu’il s’agit d’un résultat « décevant », mais refuse de se dire « découragée ». Son parti reste une « voix forte à l’Assemblée nationale » sur des sujets comme la crise du logement, un enjeu plus important que jamais avec l’élection de Donald Trump selon elle.

Nouvelle de dernière heure entendue à la radio : le PLQ rejette la candidature de Denis Coderre !!

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On en a soupé de ces candidats opaques intoxiqués par la politique et l’attrait du pouvoir, bien plus intéressés à se faire valoir que pour vraiment servir démocratiquement la population avec des idées rassembleuses. Coderre n’a que lui-même à blâmer, car son sont attitude démontre qu’il n’est même pas capable de respecter des règles élémentaires de candidatures. Malheureusement pour lui son égo ne passe plus dans les portes et son style largement dépassé ne convainc plus personne.

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Ceci me fait peur : Les députés Parti québécois refusent d’appuyer une motion contre l’homophobie, Manon Massé perplexe | Le Devoir

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L’excuse selon laquelle leur abstention vient du fait que PSPP était pas présent et qu’ils sont pas tout à fait d’accord avec la partie sur l’éducation sexuelle…on se fait le jeu de la droite qui instrumentalise les enjeux transidentitaires pour monter les membres de la communauté LGBTQ+ l’un contre l’autre.

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apparemment il avait reçu 0$ en don :sob:

Dans une lettre envoyée récemment aux premiers ministres des provinces et à Doug Ford, qui préside le Conseil de la fédération, Medtech Canada et son homologue américain AdvaMed rappellent que les médecins et les patients dépendent largement de la technologie médicale, que ce soit pour l’imagerie diagnostique, les prothèses orthopédiques, les stimulateurs cardiaques, les technologies liées au diabète, les produits de soin des plaies. Sans oublier les équipements de protection individuelle, comme les masques et les gants.

Il est crucial de répéter avec insistance que le secteur des technologies médicales pourrait devenir non viable (…) avec des conséquences négatives majeures sur les systèmes de soins de santé provinciaux et sur les patients.

Une citation de Extrait de la lettre de Medtech et AdvaMed au Conseil de la fédération

Selon les données de l’industrie, le Canada exporte environ 3,1 milliards de dollars de technologie médicale et en importe 8,6 milliards de dollars, dont près de 40 % des États-Unis.

Un lit d’hôpital vide avec de l’équipement médical et un écran.

Photo : CBC / Jessica Doria-Brown

Comme l’explique M. Bourbeau, ce qu’on craint, c’est qu’il y ait une mesure de représailles des provinces elles-mêmes en disant : on ne laisse pas soumissionner des entreprises américaines sur des contrats gouvernementaux, ou on mène nous-mêmes des pénalités ou des tarifs.

Un exemple au CHU de Québec…

Bien sûr Denis Coderre blâme les autres pour sa propre mauvaise préparation à cette course à la chefferie. Il ne pouvait pas ignorer les règles et en même temps cacher un squelette dans son placard. Il est donc l’auteur de ses propres malheurs, lui qui sait pourtant qu’en politique on ne fait pas de cadeau.
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Dans un message-fleuve où il cite Mandela, maintient qu’il n’y aurait pas eu de course sans lui et rappelle les grandes lignes de sa vision, l’ex-maire de Montréal Denis Coderre annonce qu’il ne fera pas appel de la décision du Parti libéral du Québec (PLQ) de rejeter sa candidature à la chefferie. Du même souffle, il affirme avoir été « victime de fuites » et que les « dés étaient pipés d’avance ».

Québec) Après le Parti libéral (PLQ), c’est au tour de Québec solidaire (QS) d’accuser le gouvernement caquiste de sevrer les Ressources intermédiaires (RI), ces milieux d’hébergement pour clientèle vulnérable qui accueillent près de 20 000 personnes au Québec.

Publié à 17 h 03

Patrice Bergeron La Presse Canadienne

Le réseau des RI est chancelant, selon l’association qui les représente, en raison de l’augmentation constante des coûts depuis la pandémie, et près de la moitié de ces lieux d’hébergement songent à fermer d’ici trois ans s’il n’y a pas une bonification substantielle du financement.

À la période de questions, le député Guillaume Cliche-Rivard, de QS, a affirmé que les gens sur le terrain souffrent, dans l’attente du renouvellement d’une entente avec le gouvernement.

Le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, a fait savoir qu’une rencontre devait avoir lieu la semaine prochaine et que les négociations reprendront avec le Conseil du trésor à la fin du contrat, le 31 mars.

Mercredi, la porte-parole libérale dans le dossier des RI, la députée Linda Caron, soutenait qu’un scénario catastrophe risque de se produire si des RI ferment, puisque cette clientèle n’a nulle part où aller.

Les RI reçoivent près de 1,2 milliard en financement par an, a précisé le ministère de la Santé et des Services sociaux.

Un autre projet de loi questionnable de la CAQ

Excédé par les conflits de travail qui perturbent les services publics, le gouvernement de la CAQ déposera mercredi un projet de loi pour en limiter la durée en invoquant le « bien-être de la population », a appris Radio-Canada. Les centrales syndicales n’ont toutefois pas dit leur dernier mot et accusent le gouvernement de s’attaquer au droit de grève.

Selon des sources ayant requis l’anonymat pour pouvoir s’exprimer librement, le ministre du Travail, Jean Boulet, déposera un projet de loi qui tiendra compte de ce que le gouvernement définit comme la sécurité économique, sociale et environnementale lors de conflits de travail.

Le projet de loi viendra donner deux nouveaux outils au gouvernement.

Dans un premier temps, le Conseil des ministres pourra dorénavant adopter un décret pour renvoyer un conflit au Tribunal administratif du travail (TAT). Les parties auront alors 15 jours pour trouver une entente sur les services à maintenir, faute de quoi c’est le TAT qui tranchera. Pour justifier le recours à un décret, le gouvernement devra déterminer qu’une grève ou un lock-out a des répercussions importantes pour la population.

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J’ai un autre idée pour éviter les grèves, mais le CAQ ne l’appréciera pas… :stuck_out_tongue:

Une commission d’enquête

Le Parti québécois et Québec solidaire réclament pour leur part une commission d’enquête « publique et indépendante ».

Le chef du parti, Paul St-Pierre-Plamondon, n’a pas mâché ses mots en qualifiant les ratées de la SAAQ et sa plateforme SAAQclic « de plus gros scandale de l’histoire du Québec ».

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE

Le chef du Parti québécois, Paul St-Pierre Plamondon avec le député Joël Arseneau

Il estime que la ministre des Transports, Geneviève Guilbault, tente de se « laver les mains en matière de responsabilité ministérielle » en commandant différentes enquêtes, notamment à l’Unité permanente anticorruption (UPAC) et à l’Autorité des marchés publics (AMP).

Tous les projets de transformation numérique du gouvernement devraient faire l’objet de cette commission d’enquête, estime de son côté Québec solidaire.

Sa cheffe parlementaire, Ruba Ghazal, affirme que le coût total de ces projets est estimé à 8 milliards, un montant qui pourrait exploser à la vue de ce qui s’est produit à la SAAQ, s’inquiète-t-elle. « Est-ce que ça va finir par nous coûter 14 milliards ? C’est énormément d’argent. »

La députée de Mercier rappelle que le ministre de la Cybersécurité et du Numérique, Éric Caire, avait demandé une telle commission d’enquête sur les contrats de transformation numérique du gouvernement en 2015, alors qu’il siégeait dans l’opposition. « Il devrait être d’accord avec nous », dit-elle.

Éric Caire était au courant, selon le directeur de SAAQclic, François Legault le défend

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE

Éric Caire, ministre de la Cybersécurité et du Numérique.

(Québec) Visé par de nouvelles allégations à l’effet qu’il était bien informé des déboires du projet SAAQclic, le ministre Éric Caire garde la confiance de François Legault.

Publié à 10 h 00 Mis à jour à 10 h 52

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Vincent Larin La Presse

](La Presse | Vincent Larin)

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Fanny Lévesque La Presse

](La Presse | Fanny Lévesque)

Dans une entrevue accordée au Devoir mercredi, l’ancien directeur du programme CASA, Karl Malenfant, un acteur central dans le rapport explosif de la vérificatrice générale (VG), affirme avoir rencontré le ministre de la Cybersécurité à plusieurs reprises pour l’informer notamment des dépassements de coûts.

« Je lui ai fait de la reddition de comptes : tout n’était pas toujours vert », indique le vice-président de la SAAQ aujourd’hui retraité. Ce que n’a pas nié le ministre Éric Caire, mercredi matin, tout en affirmant que l’information que lui remettait alors Karl Malenfant était erronée comme le démontre, selon lui, l’audit de la VG.

« Les rapports qu’il nous faisait, c’était des rapports que tout allait bien », s’est-il défendu.

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE

François Legault

Une défense semblable à celle présentée la veille par le premier ministre François Legault qui répétait que la VG était « arrivée à la conclusion que le gouvernement avait mal été informé ».

Or, Guylaine Leclerc a beau avoir confirmé, dans son rapport, que le PDG et le C. A. de la SAAQ s’étaient fait remettre de l’information « non complète ou erronée », elle ne statue pas sur ce que les ministres savaient des problèmes de la société d’État.

François Legault répand donc de l’information « inexacte », a déploré le chef de l’opposition officielle, Marc Tanguay, mercredi. « Il ne peut plus plaider cette excuse. »

L’opposition maintient la pression

Le Parti libéral du Québec va jusqu’à demander la démission des ministres François Bonnardel, Geneviève Guilbault et Éric Caire. Selon le chef intérimaire, les trois élus n’ont plus la légitimité d’agir comme ministre.

« S’ils n’assument pas leurs responsabilités ministérielles, la conséquence, c’est qu’ils quittent, clairement », a lancé Marc Tanguay. « De un, leur version n’est pas crédible, on n’a jamais rien su, on nous a cachés… C’est comme s’ils étaient absents. À quelle heure ils commencent à être responsables ? De deux, ils cachent la vérité. Puis quand je dis ça, c’est un fait, caviarder, c’est cacher la vérité », a-t-il ajouté.

Les libéraux réclament au gouvernement de rendre publics des extraits de procès-verbaux du conseil d’administration de la SAAQ qui ont été largement caviardés en réponse à une demande d’accès à l’information.

Pour Québec solidaire, le ministre Éric Caire doit aussi être démis de ses fonctions. « Il faut rentrer dans le fond des choses […] Éric Caire ferait bien de partir, il est d’une incompétence terrible, il pourrait au moins commencer par une commission d’enquête ça lui permettrait d’être utile pour quelque chose », a décoché le député Haroun Bouazzi.

Selon le Parti québécois, le témoignage de M. Malenfant donne une raison de plus pour tenir une commission d’enquête publique.

« Ce qu’on croyait comprendre, c’est qu’Éric Caire n’avait jamais été en contact avec quiconque dans ce dossier-là. Là, on apprend qu’ils se sont parlé, ils se sont rencontrés. Quelle a été la nature des rencontres, la fréquence ? Quelle est l’information qui a été partagée avec Éric Caire pour qu’aujourd’hui il se lave les mains de l’ensemble de l’œuvre ? » a lancé Joël Arseneau.

Il reste 1 an 7 mois et 9 jours a ce gouvernement. Ou 586 jours.

La CAQ va surement prendre une bonne débarque le 5 octobre 2026.

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Éric Caire a remis sa démission!!

Le ministre de la Cybersécurité et du Numérique, Eric Caire, démissionne à la suite du fiasco SAAQclic. Le premier ministre François Legault vient de l’annoncer.

Le ministre de la Cybersécurité et du Numérique, Éric Caire, quitte ses fonctions dans la foulée du fiasco SAAQclic, qui domine les échanges depuis une semaine à Québec.

C’est François Legault qui, en personne, a annoncé la démission de M. Caire, jeudi après-midi, alors qu’il était de passage à La Tuque, en Haute-Mauricie, pour y renontrer des acteurs de l’industrie forestière.

On ne sait pas encore si le principal intéressé demeurera député de La Peltrie.

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