C’est le pointage des membres qui n’ont pas le droit de vote à Montréal :
Ayant moins de 18 ans (on peut devenir membre à partir de 16 ans)
N’ayant la la citoyenneté canadienne
N’habitant pas à Montréal
Je ne suis pas certaine si les deux premiers s’appliquent dans le cas du vote à la chefferie, mais définitivement le dernier oui. (Il me semble que Projet Montréal ait déjà prôner le droit de vote aux élections municipales à partir de 16 ans et aux personnes ayant obtenu leur visa de résidence permanente)
On ne voudrait pas que les non Montréalai(e)s aient le même poids que les Montréalai(e)s sur les résultats
Oui, selon les règles de la course à la chefferie :
« Les membres résidant à l’extérieur de la ville de Montréal ne peuvent représenter plus de 10 % des votes totaux lors du scrutin. Ce pourcentage sera ajusté en fonction du nombre total de votes valides reçus, afin de respecter cette limite tout en maintenant le droit de vote pour chaque membre. »
Montréal : Valérie Plante passe le flambeau à Luc Rabouin pour la chefferie de son parti
Luc Rabouin devient le nouveau chef de Projet Montréal. L’actuel maire de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal succède à Valérie Plante à la tête du parti en vue des élections en novembre prochain.
Luc Rabouin, qui est maire du Plateau-Mont-Royal depuis 2019, est également responsable du développement économique et commercial au comité exécutif de la Ville de Montréal. Parmi ses réalisations, comptons la piétonnisation de l’avenue du Mont-Royal pendant la période estivale, ainsi que le Réseau express vélo (REV).
En vue des prochaines élections municipales qui auront lieu à l’automne, le nouveau chef a d’ailleurs mis en garde samedi les membres du parti. « Avec la droite qui gagne du terrain partout dans le monde, on ne peut pas se permettre de reculer sur les droits sociaux et l’environnement », a-t-il déclaré lors de son discours.
Luc Rabouin succède à Valérie Plante : entrevue avec le chef de Projet Montréal
Le maire de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal, à Montréal, Luc Rabouin, a été élu chef du parti Projet Montréal avec 59,2 % des votes au quatrième tour, succédant ainsi à la mairesse Valérie Plante à la tête du parti municipal. Cette dernière avait annoncé il y a quelques mois qu’elle ne solliciterait pas de troisième mandat à la mairie de Montréal.
Le taux de participation au scrutin s’élève à 82 %, «un taux historique dans l’histoire du parti».
Lors de sa campagne à la chefferie de Projet Montréal, Luc Rabouin a placé le logement au cœur de ses priorités, comme la transition écologique, le développement de l’Est de Montréal et la gestion rigoureuse des finances publiques.
Patrice Roy l’a reçu en entrevue pour discuter de celles-ci.
Chronique de Michel C. Auger sur la course à la mairie de Montréal qui se dessine
L’affrontement de cette campagne électorale entre Luc Rabouin et Soraya Martinez pourrait être fort intéressant. Les deux candidats arrivent avec des expériences politiques pertinentes, au municipal pour M. Rabouin et au fédéral pour Mme Martinez.
M. Rabouin n’est pas précisément le plus charismatique, mais le maire du Plateau-Mont-Royal sera redoutable dans les débats. Mme Martinez a la réputation d’être rassembleuse et de mener des campagnes électorales efficaces.
Mais les deux candidats ne feront pas campagne seuls. Ils deviennent aussi, de facto, chefs de leurs partis politiques respectifs. Et il y a une grande différence entre la situation des deux formations.
Pour l’instant, les deux partis préparent une plateforme électorale plus élaborée en vue de la campagne de l’automne. On espère qu’ils trouveront des propositions audacieuses, mais aussi concrètes. Montréal en a bien besoin.
En attendant, une chose semble acquise : il y aura peut-être des candidats indépendants – il y en a presque toujours au municipal – mais il n’y aura pas de troisième parti sérieux et capable de présenter des candidats aux 65 sièges du conseil municipal.
Si le choix pour la Mairie de Montréal s’arrête là alors je serai grandement déçu. Non pas que je n’apprécie pas l’un ou l’autre mais plutôt par manque d’originalité, de diversité d’idées et surtout par manque de débat et d’opinion divergente.
Il a déjà dit que c’est un sujet qui doit être discuté au niveau de la CMM et pas seulement ville de Montréal. Et comme le maire de mtl devient automatiquement président de la CMM…
Note : il faut dire “tarification” de la congestion et non pas taxe car c’est ciblé et ça envoie un signal de prix.
Quel mensonge. Même après la révision et pendant la construction du REV il y avait encore de l’opposition. Si on avait vraiment écouté ces personnes anti progrès, on aurait jamais eu le REV ainsi que tous ces bénéfices qui en découlent aujourd’hui.
Les personnes sont contentes de ce projet car il était bon, pas pour d’autres raisons. Et malgré que c’était un bon projet, il a reçu beaucoup de résistance.