Une question taraude le monde agricole depuis des décennies : même si des terres sont protégées par le zonage, comment empêcher que des spéculateurs les laissent en friche pendant des années dans l’espoir d’un éventuel dézonage ?
La Ville de Laval croit détenir une partie de la solution. Dans ce qui semble une première au Québec, la municipalité s’apprête à mettre en place une redevance pour encourager les propriétaires de terres agricoles en friche à les remettre en culture ou à les vendre au bénéfice d’agriculteurs, a appris La Presse.
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La zone agricole représente 7055 hectares à Laval, soit 29 % du territoire. La moitié environ de ces terres est cultivée à l’heure actuelle. Les experts de la Ville ne s’attendent pas à ce que les quelque 3400 hectares non cultivés le soient un jour.
Il y a dans le lot des milieux humides (1576 hectares), des terrains boisés, des terres avec contraintes… Ces terrains ne seront pas visés par la redevance. En tout, la Ville pense que 1108 hectares de terres en friche pourraient être remis en culture.
Catherine Fournier: Révolutionner la politique québécoise
Catherine Fournier, la plus jeune femme élue à l’Assemblée nationale, n’a pas chômé depuis son arrivée sur la scène politique québécoise. En plus d’être élue mairesse de Longueuil en 2021, elle a écrit trois livres, et anime désormais Pas nées pour un petit pain, un balado produit par URBANIA où elle parle d’ambition avec des femmes qui nous inspirent par leur confiance en elle.
Dans cette édition spéciale du Micromag, Catherine Fournier prend la place de l’interviewée, et dans une grande entrevue accordée à la journaliste Laïma A. Gérald, elle nous confie son admiration pour les femmes « ordinaires », celles qui se sont battues pour que les femmes occupent ces places qui leur étaient autrefois refusées.
Nouvelle procédure entourant la période de questions lors des séances du conseil municipal.
Pour permettre aux citoyennes et aux citoyens d’avoir la chance de poser leurs questions aux membres du conseil dans les 90 minutes allouées à la période de questions, les personnes souhaitant poser une question seront invitées à leur arrivée à mettre leur nom sur la liste. Un membre du personnel sera à l’entrée de la salle pour aider les personnes à s’inscrire. Lors de la période de questions, les personnes pourront demeurer assises jusqu’à l’appel de leur nom. Notez que les résidentes et résidents de Pointe-Claire auront la priorité. Les non-résidents présents pourront poser leurs questions par la suite ; si le temps n’est pas écoulé.
C’est la même règle avec toute les autres villes sur l’île
Donc oui tu peut participer mais vue que tu est non-resident si tu as une question as poser, elle est mise à la fin de la liste
Il me semble que la Ville de Montréal et les arrondissements n’exigent pas de connaître le lieu de résidence pour poser une question.
Au conseil municipal, c’est un tirage au sort parmi les personnes présentes qui détermine qui peut poser une question. Sinon, n’importe qui peut soumettre une question en ligne.
Pourquoi demander l’orientation sexuelle d’une personne ou son niveau d’éducation? Il me semble que ce n’est pas nécessaire… d’ailleurs, ça irait à l’encontre de la Loi sur la protection des renseignements personnels si on demande aussi le nom et l’adresse d’une personne
Au moins aucune de ces questions ne sont obligatoires, j’imagine que c’est pour des besoins de statistiques
Update sur mon aventure pour visiter l’Île Dorval. Je viens d’envoyer un courriel pour m’informer sur comment m’y rendre et je devrais recevoir une réponse dans les cinq jours ouvrables. En pièce jointe, mon courriel et l’accusé de réception de la greffière.
J’aimerai bien voir Brossard entreprendre une même démarche.
Les districts de Repentigny ont dorénavant des noms de quartiers
La Ville de Repentigny est fière de dévoiler les nouveaux noms de ses districts, fruits de la Fabrique à quartier, une démarche de consultation citoyenne qui a mobilisé la communauté repentignoise pendant deux ans. Ce projet innovant, qui a permis de recueillir près de 400 propositions, a vu la participation active de près de 2 000 citoyens, reflétant ainsi l’identité unique de chacun des 12 quartiers de la ville. Le dévoilement officiel a eu lieu le mardi 9 juillet avant la séance mensuelle du conseil municipal, dans une ambiance festive ponctuée de lectures de poèmes par Paul Laurendeau, spécialement écrits pour l’occasion.
Les nouveaux noms seront progressivement intégrés dans chacun des districts au cours des prochains mois. Cette intégration se fera à travers des capsules vidéo, de l’affichage public et plusieurs autres initiatives pour s’assurer que chaque citoyen[1] se sente connecté à son nouveau nom de district. La Fabrique à quartier, alliant art et médiation culturelle, a réussi à mobiliser les citoyens autour de valeurs communes d’innovation sociale, de vivre-ensemble et d’audace. « Nous voulions proposer à notre population une démarche qui sortait des sentiers battus. Une démarche innovante, audacieuse, vivante, de proximité et qui est alimentée par les Repentignoises et Repentignois et qui incarnent les valeurs qui sont chères à notre organisation, soit l’innovation sociale, le vivre-ensemble et l’audace », a déclaré le maire Nicolas Dufour.
Le processus de la Fabrique à quartier comprenait plusieurs phases, telles que des ateliers créatifs, des consultations publiques en ligne et des rencontres. Chaque étape a permis à la population de s’exprimer et de contribuer à la réflexion collective sur l’identité des quartiers. Pour en savoir plus sur ce projet unique et découvrir les nouveaux noms de districts, consultez le repentigny.ca/fabrique-quartier.
District 1 - Repentigny-les-Bains
District 2 - L’Hôtel-de-Ville
District 3 - Centre-ville
District 4 - Du Fleuve
District 5 - Des Moulins
District 6 - Félix-Leclerc
District 7 - Valmont-sur-Parc
District 8 - Jean-Baptiste-Meilleur
District 9 - Du Boisé
District 10 - Le Gardeur
District 11 - Le Bourg-Neuf
Observation: Le futur centre-ville — aux abords du terminus Repentigny — ne sera pas dans le quartier « Centre-ville ».
This Quebec mayor had a brick thrown at his car. Politicians say violence against them needs to stop
The mayor of Saint-Paul-de-Montminy, Que., says he never thought he’d be physically attacked when he got into politics. He and others are warning that the increased violence against elected officials could deter people from seeking office.
L’homme soupçonné d’avoir lancé une brique dans le pare-brise de la camionnette du maire de Saint-Paul-de-Montminy, Alain Talbot, fait l’objet d’un mandat d’arrestation.
Le Directeur des poursuites criminelles et pénales a confirmé à Radio-Canada mardi qu’un mandat avait été lancé contre Nicolas David lundi.
L’homme de 40 ans, qui réside à Saint-Paul-de-Montminy, dans la MRC de Montmagny, pourrait faire face à des accusations d’agression armée et de méfait.
Certaines petites villes du Québec envisagent de réduire la taille de leur conseil municipal en raison des difficultés de recrutement de candidats pour se présenter aux élections.
Le gouvernement du Québec a récemment adopté un nouveau règlement permettant aux municipalités de 2000 habitants ou moins de réduire leur nombre de conseillers municipaux de six à quatre, à partir des élections de l’année prochaine.
Le président de la Fédération québécoise des municipalités affirme que ce changement a été demandé souvent par certaines villes qui doivent composer avec des postes vacants persistants dans leur conseil municipal, et parfois même à la mairie.
Si la machine à saucisses n’est pas capable de faire des saucisses, arrêtons de penser à faire des gâteaux. Il faut d’abord qu’on soit bons à livrer notre mission principale auprès des citoyens.
Stéphane Boyer, maire de Laval
Son but : offrir des services plus rapides et efficaces à ses citoyens, pour moins cher. Des trucs bien terre à terre, comme le colmatage des nids-de-poule, le déneigement des rues ou le remplacement des lampadaires brûlés.