Politique municipale banlieues de Montréal

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Court reportage très intéressant sur les élections à Terrebonne

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Élections municipales dans la région métropolitaine

Message pour suivre les élections dans les municipalités de la région métropolitaine, hors Montréal. Seules les municipalités dont le poste de maire(sse) est à élire sont inscrites. Le nombre entre parenthèse qui suit le nom de la municipalité représente le nombre de partis qui se présentent et l’astérisque suivant le nom d’un élu signifie que l’élu fut sortant(e) pour ce poste.

Les agglomérations sont situées en haut, les MRC sont classées par ordre alphabétique selon la couronne (Couronne Sud en premier, suivit de la Couronne Nord)


Agglomérations

Agglomération de Montréal (île)

  • Beaconsfield (2)
    Georges Bourelle*

  • Côte-Saint-Luc (2)
    Mitchell Brownstein*

  • Dorval (4)
    Marc Doret*

  • Hampstead (2)
    William Steinberg*

  • Kirkland (2)
    Michel Gibson*

  • Montréal-Est (3)
    Anne St-Laurent (sortante d’un autre poste)

  • Mont-Royal (2)
    Peter J. Malouf

  • Pointe-Claire (3)
    Tim Thomas

  • Sainte-Anne-de-Bellevue (2)
    Paola Hawa*

Agglomération de Longueuil

  • Longueuil (4)
    Catherine Fournier

  • Brossard (4)
    Doreen Assaad*

  • Saint-Lambert (4)
    Pascale Mongrain

  • Saint-Bruno-de-Montarville (3)
    Ludovic Grisé-Farand (sortant d’un autre poste)

Laval

  • Laval (8)
    Stéphane Boyer

Couronne Sud

MRC Beauharnois-Salaberry

  • Beauharnois (4)
    Alain Dubuc

MRC La Vallée-du-Richelieu

  • Beloeil (6)
    Nadine Viau

  • Chambly (2)
    Alexandra Labbé*

  • Mont-Saint-Hilaire (5)
    Marc-André Guertin

  • Otterburn Park (2)
    Mélanie Villeneuve

  • Saint-Basile-le-Grand (2)
    Yves Lessard*

MRC Marguerite-D’Youville

  • Contrecoeur (2)
    Maud Allaire*

  • Sainte-Julie (2)
    Mario Lemay (sortant d’un autre poste)

MRC Roussillon

  • Candiac (2)
    Norman Dyotte*

  • Châteauguay (3)
    Éric Allard (sortant d’un autre poste)

  • Delson (2)
    Christian Ouellette*

  • La Prairie (3)
    Frédéric Galantai

  • Léry (2)
    Kevin Boyle

  • Sainte-Catherine (3)
    Jocelyn Bates*

  • Saint-Mathieu (2)
    Lise Poissant*

  • Saint-Philippe (3)
    Christian Marin

MRC Vaudreuil-Soulanges

  • Hudson (3)
    Chloe Hutchison

  • Les Cèdres (2)
    Bernard Daoust

  • Pincourt (2)
    Claude Comeau

  • Pointe-des-Cascades (2)
    Peter Zytynsky (sortant d’un autre poste)

  • Vaudreuil-sur-le-Lac (2)
    Mario Tremblay


Couronne Nord

MRC Deux-Montagnes

  • Oka (2)

  • Pointe-Calumet (2)
    Sonia Fontaine*

  • Sainte-Marthe-sur-le-Lac (3)
    François Robillard (sortant d’un autre poste)

  • Saint-Eustache (2)
    Pierre Charron*

MRC L’Assomption

  • Repentigny (3)
    Nicolas Dufour

MRC Les Moulins

  • Mascouche (4)
    Guillaume Trembay*

  • Terrebonne (3)
    Mathieu Traversy

MRC Mirabel

  • Mirabel (2)
    Patrick Charbonneau (sortant d’un autre poste)

MRC Sainte-Thérèse-De Blainville

  • Blainville (2)
    Liza Poulin (sortant d’un autre poste)

  • Boisbriand (2)
    Christine Beaudette (sortante d’un autre poste)

  • Rosemère (2)
    Eric Westram*

  • Sainte-Thérèse (2)
    Christian Charron (sortant d’un autre poste)


Hors CMM

  • Québec (8)
    Bruno Marchand

  • Saint-Jean-sur-Richelieu (2)
    Andrée Bouchard

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Merci pour le travail avec les élus des banlieues!

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Va falloir mettre à jour pour Québec :stuck_out_tongue:

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Cette limitation devenait de plus en plus nécessaire pour cette municipalité… :roll_eyes:

Moratoire sur le développement résidentiel à Saint-Lin-Laurentides

15 décembre 2021

La Ville de Saint-Lin-Laurentides a adopté une résolution de contrôle intérimaire afin de limiter le développement résidentiel sur son territoire.

Cette forme de moratoire permettra au nouveau conseil un temps de réflexion pour l’adoption d’une stratégie d’approvisionnement en eau afin de régler les problèmes actuels du réseau d’aqueduc.

Le contrôle intérimaire est un mécanisme juridique qu’un conseil municipal peut mettre en place pour « geler » une situation, le temps de l’analyser et de prendre les décisions qui s’imposent. Il s’agit d’une mesure exceptionnelle et temporaire de 90 jours qui s’applique à tous les projets de quatre unités et plus.

Source : Ville de Saint-Lin-Laurentides

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La ville de Candiac mise sur la mobilité active et durable

Photo: Archives
Photo: Archives

FM103,3 | CANDIAC - Publié le 20 mai 2022 à 13h05 | Marie-Hélène Chartrand

La ville de Candiac veut encourager la mobilité active et durable sur son territoire en adoptant son premier Plan de mobilité active et durable intégré (PMADi).

La municipalité entend réduire son empreinte environnementale avec une série de mesures visant à abaisser l’utilisation de « l’auto solo ».

L’administration du maire Normand Dyotte compte donc bonifier la sécurité des déplacements actifs et bonifier l’offre.

De plus, le plan d’action proposé par la Ville prévoit améliorer l’accessibilité aux réseaux de transport actif et collectif des personnes à mobilité réduite.

Le PMADi fait suite à une série de consultations menée auprès de la population au cours de la dernière année.

Le document est disponible en ligne sur le site web de la municipalité.

https://www.fm1033.ca/la-ville-de-candiac-mise-sur-la-mobilite-active-et-durable/

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Sur cette page

Et une vidéo sur YouTube

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Hé boboy. Voilà que le maire de Saint-Bruno-de-Montarville continue de faire ses siennes. :roll_eyes:

Il faut croire qu’il ne se prend pas pour du 7up flat. :person_with_crown:

Saint-Bruno-de-Montarville Le maire veut que l’opposition lui soit loyale


PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE | Ludovic Grisé Farand, maire de Saint-Bruno-de-Montarville

La Ville de Saint-Bruno-de-Montarville s’apprête à modifier le code de déontologie qui s’applique aux élus pour introduire des critères de loyauté qui pourrait limiter de façon importante leur liberté d’expression.

10 juin 2022 | Publié à 5h00 | SUZANNE COLPRON, LA PRESSE

S’il est adopté, ce règlement prévoit quatre nouvelles dispositions « afin d’ajouter la loyauté à titre de règle de conduite ».

L’élu devra respecter « les résolutions, les politiques, les directives et les procédures prises par le conseil, malgré sa dissidence, en faisant preuve de modération à l’occasion de tout commentaire public concernant ces décisions ». Il devra également observer les décisions prises par le conseil s’il siège à des organismes ou des commissions de l’agglomération de Longueuil.

La quatrième disposition prévoit que le conseiller aura l’obligation de « s’abstenir d’influencer ou de chercher à influencer un élu d’une autre municipalité pour que celui-ci vote à l’encontre d’une décision prise par le conseil, notamment lorsqu’il siège à des commissions de l’agglomération de Longueuil ».

Le maire, Ludovic Grisé Farand, a expliqué à La Presse que ces changements résultaient d’une promesse électorale et qu’ils avaient principalement pour but d’empêcher un conseiller nommé par la Ville de « saboter » des projets en intervenant auprès d’autres instances municipales.

M. Grisé Farand note toutefois que le projet de règlement pourrait encore changer.

Après avoir déposé une première mouture, en mars, la Ville a accouché d’une deuxième mouture, plus détaillée, qui sera soumise à la séance du conseil dans quelques jours, le mardi 14 juin.

De nombreuses interrogations

Dans son libellé actuel, le règlement soulève de nombreuses interrogations.

« Je pense que ça va trop loin, que c’est exagéré, que ce n’est pas évident qu’on a tous ces pouvoirs-là et qu’on pourrait appliquer ce règlement », a réagi Danielle Pilette, professeure de gestion municipale à l’UQAM, interrogée par La Presse.


PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE | Danielle Pilette, professeure de gestion municipale à l’UQAM

« Et surtout, surtout, le climat politique changerait, et le climat institutionnel risquerait de changer et d’être moins collaboratif et plus axé sur la méfiance et l’extrême prudence. Peut-être qu’on perdrait en vigueur démocratique. »

Me Charles Turcot, avocat spécialisé en droit municipal, qui a été mandaté par un conseiller de l’opposition de Saint-Bruno pour analyser la première version de ce projet de règlement, croit qu’il « a pour but de faire taire l’opposition ».

Une fois qu’un conseil se prononce sur une question, il faudrait que le débat public soit terminé. Je ne pense pas que ce soit ça, l’essence de notre système démocratique.

Me Charles Turcot, avocat spécialisé en droit municipal

Me Turcot est aussi d’avis que ce projet va trop loin : « C’est définitivement contestable. Qu’est-ce qu’un tribunal déterminerait ? Je l’ignore, mais c’est sûr qu’il y aurait un point à faire valoir devant un tribunal, si un élu est muselé de la sorte. »

Suite de l'article

De son côté, le conseiller de l’opposition Vincent Fortier croit que « c’est une dérive autoritaire ».

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PHOTO TIRÉE DU SITE DU MONTARVILLOIS | Vincent Fortier, conseiller de l’opposition

« On veut mettre une règle déontologique dont l’objectif clairement avoué, c’est d’empêcher des élus qui ne font pas partie de la majorité du maire d’exprimer leur idée politique. Pour moi, c’est scandaleux », affirme-t-il.

« C’est une règle que je considère comme liberticide », ajoute le conseiller, qui est professeur d’éthique au cégep. « Je vois là-dedans une instrumentalisation d’une règle déontologique à des fins partisanes. L’unique objectif est de faire taire ceux avec qui on est en désaccord. Et ça, sur le plan démocratique, c’est extrêmement préoccupant. On utilise le droit pour régler des conflits politiques. »

Le maire soutient toutefois que son objectif n’est pas de brimer le droit d’expression des élus. « Ils peuvent dire ce qu’ils veulent », assure-t-il.

Le complexe sportif

L’idée de modifier le code d’éthique et de déontologie des élus s’explique en grande partie par un débat qui agite Saint-Bruno autour d’un projet de complexe sportif. La Ville tient jusqu’à samedi un référendum pour déterminer l’emplacement de ces futures installations. Deux choix sont sur la table : le site de l’école secondaire du Mont-Bruno, dans le centre-ville, et un terrain situé dans le parc industriel Marie-Victorin.


ILLUSTRATION TIRÉE D’UN RAPPORT DU GROUPE BC2 | Proposition d’aménagement du complexe multisport, déposé en 2019

Le maire Grisé Farand ne cache pas sa préférence pour le site du parc industriel. Mais les deux conseillers de l’opposition estiment que cet emplacement ne respecte pas le schéma d’aménagement et de développement, qu’il est trop loin du centre et mal desservi par le transport collectif.

Comme il est situé en zone industrielle, si cet emplacement est choisi par la population, il faudra changer le zonage, et ce changement doit être ultimement approuvé par l’agglomération de Longueuil, dont Saint-Bruno fait partie. Le maire ne veut surtout pas que des conseillers, opposés à ce choix, lui mettent des bâtons dans les roues en tentant d’influencer des élus de l’agglomération.

M. Grisé Farand précise que ce règlement, rédigé par des avocats, vise à lui donner des outils pour pouvoir porter plainte à la Commission municipale du Québec (CMQ) si un élu y contrevenait.

« Le code de déontologie est divisé en deux sections, explique-t-il. Vous avez les valeurs et vous avez les règles de déontologie. La CMQ n’agit pas lorsqu’une valeur n’est pas respectée. On l’a vu dans le passé. Elle agit seulement lorsqu’une règle est bafouée. Alors, nous, ce qu’on s’est dit, c’est : à quoi ça sert d’avoir un code d’éthique si vous ne pouvez pas le faire respecter ? Donc, on vient harmoniser les valeurs avec les règles déontologiques. »

Danielle Pilette, de l’UQAM, estime cependant que cet article est difficilement applicable.

« Le grand risque, c’est comment cela serait appliqué et par qui, précise-t-elle. Quel genre d’enquête on pourrait avoir pour démontrer, par exemple, qu’un élu a tenté d’influencer un autre élu d’une autre municipalité ? Est-ce qu’on va le faire suivre ? Est-ce qu’on va enregistrer ses conversations ? Quels moyens concrets on va prendre pour appliquer ça ? C’est là qu’est le véritable problème. »

Elle ajoute : « Je pense que ça encouragerait à la délation. On va peut-être se retrouver dans une culture municipale très malsaine. Pour moi, le risque, c’est d’altérer la culture municipale. »

EN SAVOIR PLUS

  • 26 873

Nombre d’habitants de Saint-Bruno-de-Montarville

  • 8

Nombre de conseillers municipaux, en plus du maire

SOURCE : VILLE DE SAINT-BRUNO-DE-MONTARVILLE

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Suite, la CMQ va enquêter:

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Fin des procédures. Dossiers clos. Personne ne sera muselé… finalement. :zipper_mouth_face:

La Commission municipale du Québec (CMQ) a mis fin à son enquête sur l’adoption d’une règle de conduite au code d’éthique de Saint-Bruno-de-Montarville, à la suite de l’abandon du projet de règlement par la Ville.

Le maire Grisé Farand s’est dit « soulagé et satisfait » de la décision de la CMQ.

« Il n’a jamais été question de museler des élus, a-t-il affirmé à La Presse par courriel. Il s’agissait d’un projet élaboré de bonne foi, en conformité avec un avis légal favorable. »

M. Grisé Farand a ajouté que cette modification était retirée de façon définitive.

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Tous les élus municipaux doivent adorer Ludovic Grisé Farand; ils ont la paix, présentement La Presse n’a d’yeux que pour ses faux pas.

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Et ceux du maire déchu de Sorel Tracy

Quand on fait le clown, faut s’attendre à une audience :stuck_out_tongue: .

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Un message a été fusionné à un sujet existant : Plan d’urbanisme de la Ville de Laval

VAGUE DE DÉMISSIONS À LA VILLE DE SAINTE-THÉRÈSE

FRÉDÉRIK-XAVIER DUHAMEL

Cinq hauts fonctionnaires de la Ville de Sainte-Thérèse, dans les Laurentides, ont démissionné depuis l’arrivée au pouvoir du maire Christian Charron, en novembre. L’un des démissionnaires et des conseillers municipaux dénoncent de l’ingérence excessive de sa part et craignent que les services aux résidants en souffrent.

Le directeur de l’urbanisme, Nicola Cardone, a remis sa démission en novembre. La directrice des communications, Mélissa Collins, a quitté la Ville en juin. Le directeur des travaux publics, Roch Arbour, est parti ce mois-ci. La directrice générale, Chantal Gauvreau, a aussi remis sa démission et doit quitter ses fonctions dans les prochains mois.

« Il est tout à fait normal que des personnes quittent pour accepter des responsabilités plus importantes ailleurs », a écrit le maire Charron sur sa page Facebook samedi dernier. « Ces départs sont synonymes de renouveau […] ce qui est toujours bénéfique pour une organisation. »

Tous ne voient pas les choses du même œil. « La saine gestion de notre ville et la sécurité des citoyens sont en péril », peut-on lire dans une missive adressée mercredi à la ministre des Affaires municipales, Andrée Laforest, que La Presse a pu consulter. « Nous sommes grandement inquiets de cette énorme perte au niveau de l’expertise et nous avons eu comme information que tout cela a été causé par l’ingérence du maire », poursuit le message signé par quatre des huit conseillers municipaux.

Le même jour, le directeur général adjoint de Sainte-Thérèse, Robert Asselin, a également remis sa démission dans un courriel obtenu par La Presse. « Ce maire refuse de travailler en collaboration avec moi dans un climat de respect et de confiance », y déplore M. Asselin, qui travaille pour la Ville depuis 24 ans. Il reproche notamment à M. Charron de l’avoir convoqué à deux reprises pour l’aviser qu’il ne pouvait pas « le contredire devant d’autres élus » .

En entrevue avec La Presse, le maire Charron admet qu’il a « dit à M. Asselin : “Quand je propose quelque chose, le mieux, c’est qu’on dise la même chose”», ajoutant qu’il est difficile d’obtenir un consensus avec un conseil municipal divisé. Outre le maire, quatre conseillers se sont présentés avec son parti. Les quatre autres sont les signataires de l’appel à l’aide à la ministre Andrée Laforest.

« Considérant ce que j’ai vu et entendu depuis l’arrivée de ce maire et de son conseil de Ville, je crains d’être victime, au cours des prochains mois, de gestes qui pourraient nuire à la prestation des services que je dois rendre. »

– Robert Asselin, directeur général adjoint de Sainte-Thérèse, dans son courriel de démission

M. Asselin craint par exemple de « recevoir des demandes abusives ou non fondées » et d’être « contourné lors de la transmission de diverses demandes » aux fonctionnaires.

« UN GRAND NIVEAU D’INGÉRENCE »

Nicola Cardone est le seul démissionnaire avec qui La Presse a pu s’entretenir. Il dit avoir entamé une réflexion sur son avenir professionnel il y a quelques années, mais que le « climat au travail » a précipité sa décision de quitter la Ville de Sainte-Thérèse. L’ancien directeur de l’urbanisme dénonce « un grand niveau d’ingérence dans toutes les sphères professionnelles de la Ville » de la part du maire.

M. Charron se défend de faire de l’ingérence, et parle plutôt d’un changement de culture depuis qu’il a défait la mairesse sortante, Sylvie Surprenant, qui était en poste depuis 2005. Dans l’ancienne administration, « c’était les fonctionnaires qui géraient la Ville », dit-il. Le maire soutient avoir une attitude de collaboration et d’écoute, ce que les conseillers de son parti avec qui La Presse s’est entretenue ont aussi répété. Dans sa réponse à M. Asselin, le maire l’accuse d’avoir « un style expéditif et tranchant » et de faire preuve « d’intransigeance, de rigidité et de fermeture ».

S’il décrit la vague de démissions comme normale sur Facebook, M. Charron admet en entrevue n’avoir jamais vu autant de départs en si peu de temps.

Celui qui était auparavant conseiller municipal estime toutefois que les remplacements ne poseront pas de problème, malgré la pénurie de main-d’œuvre qui touche pratiquement tous les secteurs de l’économie.

Le conseiller municipal Luc Vézina croit au contraire qu’il sera difficile de trouver des remplaçants à la hauteur de l’expertise des démissionnaires, et que les citoyens vont nécessairement en souffrir. Il craint aussi, comme les autres conseillers de son parti et M. Cardone, que d’autres fonctionnaires quittent aussi le navire.

Le ministère des Affaires municipales n’avait pas donné suite aux demandes de La Presse au moment de publier ce texte.

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et si les planificateurs à STM n’avait pas déjà assez de contraints …

Une taxe basée sur la valeur foncière est exactement le bon modèle. Les propriétés plus valables sont plus grands et donc plus difficiles à servir avec de transit efficace. D’en plus, tous ces régions reçoivent une amélioration majeure dans leur dessert de transit dans les prochaines années.

Or instead of using the Quebec model (I.e, lets keep adding more taxes) we should convince the province to give a portion of sales taxes to Montreal and decrease property and business taxes. This will not only give more money to the city (1% of sales tax is roughly equivalent to 15% of property taxes) but will ease the burden of people who live in the most taxed place in North America and one of the most taxed places in the world. Services will be improved if the province did this, along with the Feds + a % of marijuana sales ($25M extra) and more financial powers.

This approach will help all Montrealer’s in many ways, while increasing efficiency.

cette partie me fait rire

« Par exemple, on n’a pas le métro et on a beaucoup moins d’autobus dans nos secteurs. »

Beurre et l’argent du beurre

ils ne veulent pas de densification, mais de toute façon c’est censé de coûter une somme raisonnable pour fournir le service ? comment est-ce possible. La STM doit parcourir plus de kilomètres avec moins de passagers potentiels. ce sont les trajets les moins efficaces de toute la ville. Et s’ils voient leur contribution révisée à la baisse, lorsque la STM devra réduire son budget, nous savons tous que les lignes ciblées seront celles à haute fréquence dans l’est…

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