Magnifique documentaire sur la Grande dame de Montréal, la Place Ville Marie, qui vient de fêter ses 60 ans. J’ai grandement apprécié son visionnement samedi soir dernier à Radio-Canada.
SAMEDI 26 NOVEMBRE 2022
Doc humanité - MTL : VUES DU CŒUR
MTL : vues du cœur, c’est 60 ans d’histoire autour d’un édifice emblématique du cœur de Montréal : Place Ville Marie, un lieu d’importance qui a transformé le tissu urbain de la métropole. Tandis que certaines personnes ne sont que de passage au centre-ville, d’autres y travaillent, l’habitent, le pensent, le conçoivent. Et qu’est-ce qu’un centre-ville, sinon des milliers d’histoires qui s’entrecroisent?
PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE La banderole d’une dimension de sept mètres par 14 mètres est séparée en deux illustrations. D’un côté, il y a des animaux vivants et en santé et de l’autre, une représentation de l’extinction, illustrée par des squelettes.
En pleine COP15 à Montréal, l’organisme écologiste Greenpeace a installé jeudi une large banderole sur l’Anneau, cette œuvre d’acier de 30 mètres de diamètre sur l’Esplanade Place Ville Marie, en appelant les dirigeants mondiaux à « protéger la nature ».
Publié à 8h19 Mis à jour à 9h28 Henri Ouellette-Vézina LA PRESSE
Dès le lever du jour, des activistes de Greenpeace ont suspendu « une bannière de 46 pieds de haut au centre de l’Anneau de Montréal », a confirmé le groupe sur ses réseaux sociaux, en disant vouloir « envoyer un message clair aux dirigeants mondiaux à la COP15 : protégez la nature, protégez la vie ».
Tout cela s’est déroulé au deuxième jour de la Conférence internationale sur la biodiversité, la COP15, qui se tient à environ un kilomètre de là, au Palais des congrès de Montréal.
« Les leaders de ce monde doivent nous faire quitter cette autoroute de l’extinction. Cette conférence est l’une des dernières sorties qui s’offrent à nous », a fait valoir jeudi la chargée de campagne Nature et Alimentation chez Greenpeace Canada, Marie-Josée Béliveau, en rappelant que plus d’un million d’espèces sont actuellement en danger d’extinction dans le monde.
An Lambrechts, experte en politiques de biodiversité chez Greenpeace International, a quant à elle estimé que « cette COP peut transformer ce point de rupture en un tournant pour le monde naturel ». « Il faut conclure un accord mondial ambitieux pour placer les peuples autochtones et les communautés locales au centre des efforts de conservation, avec au moins 30 % des terres et des eaux de la planète protégées d’ici 2030 », a-t-elle martelé.
Deux côtés, une banderolle
Mesurant sept mètres par 14 mètres, la banderole était séparée en deux illustrations. D’un côté, on pouvait y voir des animaux vivants et en santé et de l’autre, une représentation de l’extinction animale, illustrée par des squelettes et des ossements.
Aux alentours de 7 h 30, une dizaine de militants sont arrivés près de la Place Ville Marie. Coiffés de casques de sécurité et vêtus de vestes oranges, ils ont utilisé des lance-pierres fixés sur des bâtons télescopique afin de lancer des câbles sur l’anneau pour ensuite hisser la bannière.
Notons que l’opération de visibilité s’est déroulée sous la surveillance du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), qui y avait dépêché plusieurs patrouilleurs pour l’occasion. Aucun débordement n’était à signaler en début de journée.
Imaginez qu’ils remplacent la bande métallique délavée par du cuivre, qui deviendrait vert avec le temps. Il s’agencerait bien avec les verrières du podium du Montreal Trust, le toit de l’IA plus loin et même le 1501. Il pourrait passer de zéro à héros…
Il y a une plaque explicative au bas de l’escalier qui a été installée il y a quelques mois mais que personne n’a encore photographiée pour mettre sur le site; la voici.