PL 96, débat sur les langues et discussions connexes

I agree it should be in French too, but this bill will eliminate documentation in all other languages, which is unacceptable. Quebec remains part of Canada and must abide by it’s bilingual status and people should obtain all their documents in French and English. There’s a fundamental difference between protecting French and barring every other language and adding red tape, which will not protect French and will drive everyone away regardless of what they speak.

1 « J'aime »

Tu te trompes la dessus, le Québec n’a pas a se conformer au blinguisme. La seule langue officiel au Québec c’est le français. Le jour où l’Alberta ou encore le Nunavut abide au blinguisme on s’en reparlera. Aujourd’hui parmis 400 millions d’anglophone il y a 8 millions de francophone, deal with it, le Québec c’est en français que ça se passe point.

2 « J'aime »

Lol I was hardly rude. There is an entire section conveniently made for debating this law, no need to hold unrelated sections of the forum hostage to this topic under the guise of “free speech”. There is plenty of free speech, but some of us don’t want to see people throw fists in the same language debate they have been having since 1973. Everything relating to the negative economic effects of this law is pure conjecture so far and hardly news. People leaving is anecdotal until it’s demonstrated in statistics. Until there is news of companies leaving, or official numbers on people leaving and it’s economic effects actually due to law 96, it isn’t news. I said that was my opinion and it was polluting the economic NEWS section of the forum.

2 « J'aime »

Juste une précision, je prends le blâme du fait que la discussion était mal classée. J’avais mis ce sujet sur PL 96 invisible il y a quelques temps, parce que la discussion dérapait et je voulais la modérer, mais j’ai oublié de rendre le tout visible par la suite. À ma défense, il y avait de l’activité dans le sujet (on peut répondre dans un sujet invisible, si on a un autre lien) et le bouton démontrant qu’un sujet est caché est petit :stuck_out_tongue:. La discussion est à sa place ici.


Franchement, cette discussion est une patate chaude constante ici. Les opinions sont polarisées, et je doute que personne ne soit capable de changer d’idée sur la question. Les perspectives divergent énormément. Nous avons ce fil précisément pour éviter que le débat déborde ailleurs, parce que c’est visiblement un sujet qui tient vraiment à cœur pour certains contributeurs, ce que nous respectons. C’est aussi un sujet actuel, qui va revenir de temps en temps.

Je tiens juste à souligner qu’on s’éloigne de la vocation du forum, le sujet demande une vigilance constante et de nombreuses interventions. Je vous demande de faire preuve de retenu dans vos contributions, et de ne pas attaquer les autres membres pour leurs positions. En retour, il faut avoir de la tolérance face aux opinions divergentes et critiques d’une position. SVP, j’aimerais ne pas avoir à stresser sur ce sujet chaque fois que je le vois actif. C’est un souhait fondamental de conserver le forum agréable, factuel et de haute qualité dans son domaine.

Pour ceux trouvant la discussion lourde, je vous invite à utiliser le bouton magique:

Sourdine

Le fait d’avoir un sujet dédié évite de voir le même débat dans d’autres fils, et rend le tout plus facile à gérer.

5 « J'aime »

"I was assured that all meetings are held in English and learning French … was optional and not expected.

Je comprend que l’industrie du jeu vidéo est dans un monde à part. Néanmoins, c’est quand même la démonstration claire que l’anglais n’a pas le même statut que le français de façon générale, encore moins au Québec.

L’article parle principalement de la fameuse limite de 6 mois, après quoi… le gouvernement va communiquer avec toi en français. Je suis d’accord comme bien d’autres que cette limite est probablement trop courte, mais je vois mal en quoi ça va changer de quoi au niveau de la langue de travail. Et je comprend pas très bien en quoi c’est si problématique. Le gars n’a vraiment AUCUNE intention d’apprendre un mot de français? Supposons qu’on lui donne un délai de 2 ans, il vient?

“Our fear is that this is sending out a message [that Quebec is] not inclusive to other cultures.”

Ouf. Celui-là il me passe au travers de la gorge.

Je travaille à tous les jours ou presque avec des gens d’un peu partout sur la planète. Ça se fait en anglais. Par contre, plusieurs de mes rencontres avec des collègues sont en français. C’est correct, c’est comme ça que ça marche, autant ici qu’en France ou en Turquie.

Mais moi je me souviens très bien de ce que ça avait l’air avant la loi 101. 90% des immigrants envoyaient leurs enfants à l’école anglophone. (Statistiques que j’ai vu dans un article de l’Actualité il y a quelques années) Dans les photos d’époque des années 50, à Longueuil, ville très francophone, plusieurs compagnies affichaient en anglais, parce que tsé, c’est la langue des affaires et ça faisait plus sérieux probablement.

Je veux que mes enfants soient bilingues ou du moins, se débrouillent bien en anglais. Mais je veux aussi que ma culture puisse être valorisée et non vue comme un truc folklorique de minorité.

On a pas besoin d’attendre que le français soit sur le respirateur artificiel à Montréal pour agir.

Notez que je me suis promené au centre-ville à quelques reprises durant la pandémie… 90% des gens que je croisais parlaient en anglais. Même chose dans le Vieux-Montréal, dans une moindre mesure, près du quartier international. Je suis aussi allé marcher sur le Mont-Royal à 3-4 reprises, même constat.

C’est vrai que le retrait des travailleurs du centre-ville change le visage de ces parties de la ville. Mais on est pas devant une langue de minorité avec l’anglais, même à Montréal ou au Québec.

Les autochtones sont en minorité et sont menacés de voir leur langue et leur culture périr. Ils sont les plus à risque.

Les franco-ontariens de Ottawa vivent dans une ville supposément bilingue dans lequel aucun immigrant ne sait parler français et pour lequel il est impossible de commander un burger en anglais.

Les Acadiens résistent mais habitent dans une province supposément bilingue dans lequel un parti officiel s’est dit que c’est normal d’avoir un chef de parti unilingue et qui de surcroit a réussi à devenir Premier Ministre.

Les franco-manitobains ne sont plus que l’ombre d’eux même.

Défendre la diversité culturelle, c’est aussi ça: S’assurer que notre minuscule peuple francophone en Amérique du Nord puisse continuer à offrir une façon différente de vivre. Pas supérieure aux autres. Juste différente.

Les gens voyagent en Thaïlande, au Japon, en France, en Italie, c’est pas pour manger des hamburgers de McDonalds et parler en anglais. C’est pour voir des cultures différentes de la leur. On a la chance d’avoir une façon différente de vivre l’Amérique ici. Essayons de s’assurer que ça demeure le cas dans 50 ou 100 ans.

9 « J'aime »

… et tiens, je vais en parler ici: notre français parlé tout croche mérite autant d’être protégé que n’importe quelle autre langue sur la planète. Il a sa propre histoire et sa propre culture.

Je le dis car avec les commentaires vus sur les médias sociaux du type: « Le Québec devrait être bilingue », l’autre commentaire qui revient souvent c’est que notre français c’est de la merde, comme si notre culture était un truc qui valait pas la peine de protéger.

Une exposition au musée Pointe-à-Callière sur le français au Québec? Réponse Facebook typique: « Leur français au Québec c’est même pas du vrai français et la France rit des Québécois. »

6 « J'aime »

et les enfants des travailleurs en stage ou séjour professionnel sont barré des réseaux d’écoles non-francophone. Simplement, 6 mois, c’est trop courte. Au début du projet de loi, 3 ans a été proposé, ce qui me semblait raisonable.

Je ne comprends pas trop cet argument. Une personne qui se fait envoyer en Allemagne ou en Suède pour le travail ne pourra pas envoyer son enfant dans une école publique qui n’est pas Allemande ou Suédoise, ça fait partie du deal. Les gens dans cette situation le savent et font en conséquence, en envoyant leurs enfant à l’école privée ou en les laissant au pays d’origine un certain temps s’il ne veulent pas les déstabiliser. En quoi ça devrait être différent ici?

Et que notons que les Canadiens anglais qui déménagent au Québec peuvent envoyer leur enfant dans le réseau anglophone. Il en va de même des travailleurs temporaires qui peuvent déjà obtenir une autorisation d’envoyer leur enfant à l’école anglaise publique le temps de leur séjour. Il reste donc les immigrants et ceux-ci n’avaient déjà pas accès à l’école anglophone, depuis 45 ans. Cette loi-là ne change absolument rien à cette règle.

4 « J'aime »

En regardant les détails du loi, j’ai des commentaires semblable à champdemars, mais il y a un problème plus fondemental.

Le débat sur les mesures de ce loi n’ont inclus que les besoins des francophones dans la définition du culture de cette nation / ces nations. La vision proposé est la conservation d’un Québec isolé en Amérique du Nord en ne privilégeant que les français de souche. Ça ne reconnait pas la nécessité à préserver des autres cultures uniques au Québec, en particulier les plusieurs cultures autochtones, juifs, ou ceux des refugiés au niveau scolaire.

L’idée d’interculturalisme, ou on peut tous joindre le débat politique et culturel en français en préservant nos cultures chez-nous, n’est qu’un mirage étant vu l’involonté de notre gouvernement actuel de s’expliquer aux membres des autres cultures du Québec.

Je suis peut-être confondu sur l’éligibilité pour les séjours. Je me souviens qu’il y avait un limit de 3 ans de sejour proposé, puis cette autre limit de 6 mois qui apparait dans le loi final. On est certain que la limite de 6 mois ne s’applique pas aux séjours?

Et les immigrants francophones? De l’Afrique, d’Haïti et d’Europe? Voyez-vous c’est un discours qui m’a toujours dérangé que le français c’est l’affaire des “pure-laine” et l’anglais du monde et des immigrants. Déjà que tu nous appelle “français”… Mais j’assume que c’est la barrière de la langue.

Et quelles sont les autres nations à protéger au Québec à part les autochtones? Les canadiens-anglais???

1 « J'aime »

Je suis parti en guégerre contre l’expert qui prédit l’exode apocalyptic de dévellopeurs sur twitter. À lire son twitter (et les commentaires qui m’ont été adressé), il a un énorme biais contre la loi 96 en raison de son aversion pour la loi 21. Cet article m’a tout l’air d’un self serving prophecy partagé pour faire peur, tel que fut le cas lors de la mise en place de la CQLF et les 2 référendums.

Oui, les Haïtiens, parmi d’autres.

Le loi 96 à très peu d’effet pour les Haïtiens. On ne fait pas apprendre le créole avec le loi 96, et peut-être c’est quelque chose à considérer.

En répondant à fmfrank, oui, le loi 21 est pire, et ma réaction est en contexte de l’existance de sa existance. Les deux font partie du programme de manipulation gouvernementale dans les affaires culturel des individuels, un programme dans son entier qui a besoin de plus de sensibilité à ceux les plus affectés.

Toutes les cultures ont droit d’existence au Québec car dans sa sphère personnelle chacun est libre de parler la langue de son choix, de créer une association et un lieu culturel spécifique comme on en voit partout à Montréal depuis longtemps.

C’est au niveau public que la culture et la langue française sont officialisées, parce que c’est historiquement la langue commune de communication des institutions, du gouvernement, des entreprises sous juridiction provinciale, des services à la population et de la majorité des québécois.es qui réunit tout le monde sous son parapluie. À ce chapitre nous ne sommes pas différents des autres nations dans le monde qui font la promotion de leur propre culture sur leur territoire, dont la préséance est reconnue et protégée par l’État.

3 « J'aime »

En réponse à cette nouvelle économique


Yikes to the 2 job offers for English speakers, which is not ideal in a labour shortage ( I get we’re in Quebec, but a labour shortage is a different beast). Which brings me to my next point about the labour shortage. Since I work at a uni and hear students concerns on a daily basis, they are getting screwed hard currently. The problem only amplified more with Bill 96, which made the crisis worse.

  1. A lot are English speakers, speak little French or are intimidated because of the current climate or how people mock their French. As the article demonstrated, it’s harder for them to find a good job, so they are unemployed or find work in unfavourable conditions and get exploited (under the table work, underpaid work, etc.)

  2. Then you have the issues of recent grads and those with lots of experience, but the same people who whine about not finding workers also never hire people who are fresh out of university (or close to being done), high gpa’s, smart, have experience at the university level and are hungry for a job. This just adds more pressure on all parties and hampers economic growth. Furthermore, Quebec has been losing a lot of talent since other provinces are hiring students, either remotely or on site. These jobs are also much higher paid than what you find in Quebec.

When you see that Quebec has a 4.3% unemployment rate, just realise almost 300,000 jobs are missing, talent is leaving, our brightest minds are looking elsewhere, there’s 60,000+ missing in the healthcare sector, etc… That 4.3% figure is pure bull. You want the economy to succeed? You have no choice but to hire anyone first come, first serve and cannot refuse a CV based on language, experiences or legal status. We’re in this mess due to the government failing at literally everything and businesses (for the most part) being cheap.

It’s unfortunate that a lot of English speakers aren’t comfortable speaking French, at least half of which in my direct personal experience is due to the complete incompetence and failure of the English language elementary and highschools. But it remains a right that people in Quebec can be served in their official language while shopping, and if a business wants to be flexible with its staffing, it’s a hard sell to hire someone missing what is one of the most fundamental skills in business: literally communicating with the client. If a store has a francophone call in sick the next day, and now there’s only a unilingual anglophone on the schedule working alone, they’re in a tough spot. It’s completely understandable in my view that it’s harder to be hired in those conditions. The solution to the labour shortage won’t come from relaxing people’s linguistic rights, bill 96 aside, the right to be served in french existed beforehand.

5 « J'aime »

Yes we can refuse a unilingual english speaker for a job that requires you to communicate with a client base that is majorly french speaking.

Funny, I never see you defending the rights of unilingual french speakers trying to find a job outside Quebec.

For your second point, that’s cause they either stay in their community, come here or learn English and go elsewhere… simple as that. Over here, a lot of students (international especially) do not speak French or know very little. You can still hire them and require them to take classes to learn French as a condition to working… Really that simple lol. Instead, workers say no and they end up leaving or getting jobs that exploit them. If people defend that and are okay with that, they have no soul and are vile people.

And hey, I’ve seen stuff in the U.S where people who speak Spanish get jobs in all English areas, sure it is harder to get served, but the economy benefits, jobs get created, businesses are fully staffed and you pick up new languages on the job. We’re in an economic crunch, so I say deal with English speakers in the short term, it’s not the end of the world lol.

The economy should exist to serve people, not the other way around. So I think some fundamental things like compromising the right to be served in french, just to alleviate a worker shortage, (which is not necessary a negative thing as it puts pressure to raise wages) are a non starter for most people, even if the economy will “benefit”. It doesn’t mean that non french speakers can’t be employed, it means that employers are less inclined to hire them as it’s going to cause staffing headaches if they have to work front of house or customer facing. working alone in retail happens really frequently, and even when you’re not working alone but every one else is busy, you might have to answer the phone or do something customer facing even if it’s not your role. No one is defending worker exploitation, that’s an absurd accusation to shut down arguments

4 « J'aime »

Un texte de la Presse canadienne

Investissements étrangers records à Montréal malgré des craintes linguistiques


L’annonce en avril de l’implantation de l’usine de vaccins de Moderna compte parmi les investissements majeurs.
PHOTO : AFP / JUSTIN TALLIS

La Presse canadienne
Publié à 18 h 13

Jusqu’à maintenant, le débat linguistique au Québec ne semble pas avoir nui à l’attractivité de Montréal, comme le craignaient plusieurs personnalités influentes du milieu des affaires.

La valeur des investissements étrangers à Montréal a atteint un record de 1,7 milliard $ au cours des six premiers mois de l’année, selon des données préliminaires de Montréal International. Cela suit une année 2021 record où les investissements avaient atteint un sommet de 3,7 milliards $.

Ça démontre l’extrême résilience de l’économie montréalaise par rapport à la pandémie, mais aussi par rapport à la situation postpandémique, indique Alexandre Lagarde de Montréal International.

« On a une économie qui est très diversifiée avec des secteurs de haute technologie, comme les sciences de la vie, les sciences informatiques, l’aérospatiale, dont certains ont été assez imperméables à la crise. »

— Une citation de Alexandre Lagarde, vice-président, Investissements étrangers chez Montréal International

Au total, un nombre record de 57 projets a été atteint pour la période de janvier à juin 2022. Cela se compare au précédent record de 40 projets réalisés pour la même période l’an dernier.

Usine de vaccins Moderna

Le secteur des sciences de la vie s’est particulièrement démarqué cette année avec sept projets d’une valeur de 321 millions $. L’annonce en avril de l’implantation de l’usine de vaccins de Moderna compte parmi les évènements marquants. À titre comparatif, cette industrie a généré des projets d’une valeur de 280 millions $ pour l’entièreté de l’année 2021.

« Avec les nuages économiques qui se profilent à l’horizon dans la foulée de la hausse des taux d’intérêt, la flambée de l’inflation et des restrictions sanitaires en Chine, la métropole pourrait bien ne pas parvenir à franchir un nouveau record pour l’ensemble de l’année 2022 », reconnaît M. Lagarde. « C’est sûr qu’il y a des éléments qui peuvent amener à penser qu’il puisse y avoir un risque de récession, mais pour l’instant le flot de projets se porte quand même assez bien. »

« La diversification de l’économie montréalaise fait en sorte que tous les secteurs de l’économie ne bougeront pas nécessairement dans la même direction », nuance M. Lagarde. Tandis que le secteur technologique a été résilient au plus fort de la pandémie, l’aérospatiale a souffert de l’effondrement de la demande de transport aérien. L’industrie connaît cependant une forte reprise.

Le fait français

L’attractivité de la métropole se manifeste en dépit du débat linguistique qui irrite des voix influentes du milieu des affaires.

En juin, une quarantaine de dirigeants d’entreprises, principalement issus du secteur technologique, ont envoyé une lettre au premier ministre François Legault pour le prévenir que la loi 96, adoptée en mai, pourrait créer d’énorme dommage à l’économie.

Des entreprises avaient également fait part de leurs interrogations à Montréal International l’an dernier lors de la présentation du projet de loi sur la langue française. L’organisation avait alors offert des séances d’information avec l’aide d’un cabinet d’avocats qui avait analysé le projet.

L’adoption du projet de loi 96, en mai dernier, a soulevé une nouvelle ronde de questionnements de la part des partenaires de Montréal International, raconte M. Lagarde.

Pour répondre à ces questions, Montréal International a organisé une série de rencontres entre les dirigeants d’entreprises et des représentants de l’Office québécois de la langue française (OQLF) pour expliquer la portée de la loi. La première rencontre a eu lieu la semaine dernière. « Je vous dirais que ce qui ressort, c’est que ça rassure pas mal les dirigeants d’entreprises. »

Au cours de ses presque 17 ans de carrière à Montréal International, M. Lagarde dit qu’il observe que la grande majorité des multinationales internationales respectent la législation linguistique au Québec.

« Il ne faut pas voir le fait français comme un frein à l’économie québécoise », pense le vice-président. « Nous, on le voit comme une force. Ça fait partie des avantages de venir faire affaire à Montréal. Le deuxième plus gros investisseur à Montréal, “après les États-Unis”, c’est la France. C’est sûr que l’aspect linguistique joue un rôle dans l’attractivité de Montréal pour les investissements français. »

7 « J'aime »