Montréal-Nord
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Quasiment toutes les fontaines du Plateau sont vides cet été. Je ne sais pas pourquoi elles sont hors service, on est à quelques jours de la St-Jean, c’est assez aberrant.
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The large one in Lafontaine has been off for about 6-7 years now i think.
Yes, that one is due to construction in/around the pond, but the others are a bit mysterious. Last year the one in parc Lahaie had a broken pump and the city wasn’t able to fix it until the end of June, but it seems very strange that a large majority of all the Plateau’s fountains are still not working. The situation seems fine in other boroughs.
Construction there finished two years ago. The fountain was off a year before construction started.
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There was still construction on the pond two months ago, not directly related to the fountain but to the retaining wall.
In any case I spoke with a Plateau councillor and apparently there’s a manpower issue. All of the fountains need to be turned on manually and for whatever reason they haven’t had enough people to get around to doing it.
Des rendus du parc des Cordonniers à Saint-Henri
Le parc des Cordonniers mieux chaussé] Le parc du quartier Saint-Henri situé sur la rue Bourget, à l’angle de Notre-Dame Ouest, bénéficiera d’une réfection complète. Le module de jeux désuet sera remplacé par une aire de rassemblement écologique intergénérationnelle et bien éclairée. Ce nouvel aménagement répond aux recommandations exprimées par la population et des organismes du milieu lors de la consultation réalisée en 2023. En savoir plus : Parc des Cordonniers | Ville de Montréal
Source : Arrondissement du Sud-Ouest
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J’adore l’empreinte de soulier géante!
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L’engagement de l’administration Plante d’offrir un accès baignable au fleuve dans l’est de Montréal a beaucoup de plomb dans l’aile, deux ans après sa date promise d’ouverture.
Résumé
Baignade au parc de la Promenade-Bellerive Le projet a du plomb dans l’aile
PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE
Les berges du parc de la Promenade-Bellerive
L’engagement de l’administration Plante d’offrir un accès baignable au fleuve dans l’est de Montréal a beaucoup de plomb dans l’aile, deux ans après sa date promise d’ouverture.
Publié à 1h40 Mis à jour à 5h00
Philippe Teisceira-Lessard Équipe d’enquête, La Presse
Le lieu choisi, le parc de la Promenade-Bellerive, est toujours fermé aux baigneurs, indique un panneau installé par la Ville. Et pour cause : la Santé publique locale craint que les baigneurs puissent se rendre malades et Ottawa s’inquiète des conséquences de leur présence sur une espèce de poisson menacée, selon des documents du printemps dernier obtenus par La Presse.
Tous ces acteurs ont discuté du dossier le 4 avril dernier parce que la Ville souhaitait pouvoir permettre la baignade dès cet été, révèle un compte rendu de réunion rédigé par un fonctionnaire.
« La direction régionale de santé publique [de Montréal] indique que, sur la base des informations soumises, un avis recommandant d’interdire la baignade en 2024 sera produit et diffusé », indique le document. « En effet, l’emplacement sur un ancien lieu d’élimination de déchets sans mesure de recouvrement des sols, la présence de composés organiques volatils et la présence d’un émissaire dont le clapet est défectueux immédiatement en amont du site sont quelques-unes des raisons qui justifient cette recommandation. »
Pêches et Océans Canada, pour sa part, a émis des réserves importantes quant au projet en raison de la présence à proximité d’herbiers fréquentés par le chevalier cuivré, un poisson qui « se trouve uniquement au Québec » et qui inquiète les biologistes. Le ministère québécois de l’Environnement s’est aussi inquiété d’« un nombre important de déversements au port de Montréal », juste en amont.
« Processus extrêmement laborieux »
En 2021, en pleine campagne électorale, Valérie Plante semblait pourtant confiante en convoquant les médias au parc de la Promenade-Bellerive.
« Projet Montréal s’est engagé à aménager un accès à l’eau et à la baignade au parc de la Promenade-Bellerive dès l’été 2022 », indiquait alors la formation politique. « Dès l’année prochaine, les Montréalaises et les Montréalais pourront s’y baigner en toute sécurité. Pour notre équipe, l’accès à nos berges et à nos cours d’eau est une priorité », promettait Mme Plante.
Jeudi, le maire de l’arrondissement local a indiqué que le dossier était plus complexe que prévu.
PHOTO JOSIE DESMARAIS, ARCHIVES LA PRESSE
Le maire de l’arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve, Pierre Lessard-Blais
Depuis plusieurs années, on déploie d’importants efforts pour obtenir les autorisations nécessaires auprès des autorités gouvernementales.
Pierre Lessard-Blais, maire de l’arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve, dans une déclaration transmise par son cabinet
« C’est un processus extrêmement laborieux qui implique plusieurs organismes gouvernementaux et ministères provinciaux et fédéraux, chacun ayant son mot à dire », a-t-il ajouté.
M. Lessard-Blais s’est dit déçu des critiques exprimées par la Santé publique envers le projet, dans la mesure où des baigneurs défient déjà l’interdiction de se saucer. « L’accès à l’eau existe, qu’on le veuille ou non », a-t-il dit. « On respecte les compétences de la direction régionale de santé publique, mais il faut dire que c’est décevant de se faire demander plus de travail, alors qu’on souhaite simplement améliorer la sécurité d’une situation déjà existante. »
Un projet de restauration complète de la berge est prévu pour le tournant de la décennie.
« Amateurisme total »
L’opposition officielle voit les choses d’une autre façon.
« Ça démontre l’amateurisme total de l’administration de Projet Montréal, tant en arrondissement qu’à la ville centre », a attaqué l’élu de Tétreaultville Julien Hénault-Ratelle, qui n’entretient plus l’idée de pouvoir se baigner à court ou moyen terme au parc de la Promenade-Bellerive. « Ils ont fait une promesse sans s’assurer que c’était réalisable. »
M. Hénault-Ratelle déplore d’ailleurs que l’équipe de M. Lessard-Blais ait commencé à aménager la plage, ce qui pourrait laisser croire à certains que la baignade est permise. Dans les documents d’accès, le ministère québécois de l’Environnement souligne d’ailleurs la tenue de « travaux qui auraient été réalisés sans autorisation ».
La direction régionale de santé publique a refusé la demande d’entrevue de La Presse pour le moment, expliquant qu’elle devait continuer son travail.
L’organisation « rendra public prochainement un avis sur les risques à la santé posés par le projet d’aménagement d’une plage publique dans le parc de la Promenade-Bellerive », a indiqué la conseillère en relations publiques Marianne Paquette. « Cet avis, en voie d’être finalisé, vise à informer les décideurs et la population des risques à la santé présents sur le site et à émettre des recommandations afin d’assurer un accès sécuritaire au site et à la baignade pour la population. »
L’histoire jusqu’ici
2021
Projet Montréal promet d’aménager un site de baignade au parc de la Promenade-Bellerive dès l’année suivante.
2023
Les lieux sont toujours fermés aux baigneurs, l’administration locale dit espérer pouvoir ouvrir l’année suivante.
2024
Les lieux sont toujours fermés aux baigneurs, la Santé publique et les ministères de l’Environnement des deux ordres de gouvernement émettent d’importantes réserves quant au projet.
Avec la collaboration de William Leclerc, La Presse
Est-ce qu’on sait ce qui se passe avec la tonte du gazon au parc du Bassin-à-Gravier dans Griffintown? Est-ce un nouveau pari de laisser la vêgétation pousser au naturel pour la pollinisation?
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Avec les tiques de plus en présentes présentent, j’espère que non
Au contraire, je trouve ça magnifique, j’espère qu’il n’y aura pas de coupes tout l’été. C’est bien beau le défi mai, mais réellement, il faudrait laisser la végétation pousser tout l’été avec un minimum de coupes.
Le paysage est tellement plus beau ainsi.
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Oui, mais pas dans un parc remplis d’enfants qui vont allez jouer dedans et être a risque de piqures de tiques. Oui visuellement c’est plus beau, mais les herbes hautes vont finir par cacher des déchets.
Ce serait une question intéressante à analyser par la santé publique. On parle beaucoup des tiques mais avoir des pratiques d’aménagement claires pour les villes pourrait aider à savoir quoi faire. Il y a probablement de bons gestes et d’autres inutiles.
Trop couper la végétation a aussi été critiqué d’un point de vue environnemental, ça influence aussi les décisions dans ce domaine.
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Est-ce qu’on a le pari actuel de la situation? Est-ce volontaire pour la pollinisation ou est-ce un manquement au niveau de la tonte?
Je ne sais pas spécifiquement pour ce parc mais le Sud-Ouest a un principe de zones de biodiversité. En général c’est donc une intention qui existe officiellement.
Je ne sais pas si c’est une liste exhaustive des espaces concernés. Dans le doute, c’est une question que le 311 pourrait répondre. Il y a des zones de ce parc qui me semblent conçus pour être naturalisés cependant.
Curieusement, l’an passé c’était tondu de façon régulière. Il semble donc y avoir eu un changement au niveau de l’intention cet été
Je remarque la même chose sur René-Levesque/Notre-Dame à l’est de Parthenais. Ils ont tondu pour la première fois cette semaine, mais quelques pieds seulement de chaque côté de la piste cyclable. Le reste c’est super long.
Les tiques sont des parasites du chevreuil alors les risques sont notamment dans les grands parcs de l’est où ils abondent, pas en ville comme tel. Alors laisser l’herbe pousser naturellement là où c’est possible, favorise la biodiversité autant au niveau des insectes, des oiseaux que des fleurs sauvages, Ces espaces deviennent de petites parcelles de campagne en ville où on peut apprécier la succession des fleurs selon les mois de l’été.
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Les tiques porteuses de la maladie de Lyme sont de plus en plus endémiques et ce partout au Québec et même en ville. Donc ce je n’est plus juste dans le bois qu’un chevreuil va être à risque.
Oui on peut laisser des parcelles plus naturalisées, mais pas directement dans un parc pour enfants