Parc Jean-Drapeau - Discussion générale

They should understand that that clientele means a different level of service is required…it might not be as disastrous in Montréal where they have a monopoly but in places with multiple nearby parks, they’re cooked

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Créer des ghettos de riches avec les parcs d’amusement est une idée pas drôle du tout. Vont-ils aussi suivre la même logique en engageant des jeunes de familles aisées pour leurs emplois mal payés?

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Agreed, but there’s also racial bias in his comments because a lot of African Americans who are poor go to their parks (along with other races who are poor). This CEO wants to basically make Six Flags a poshy place without the Disney amenities. The whole industry is scratching their heads, BoD members are pissed, and they’re alienating their base. And to your other point, it seems like they will give their jobs to poorer people (and with shit wages) while their product will be catered to higher income people. They want fewer people attending but a richer clientele so they can get more $$.

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Il y a effectivement danger de dérive raciale si l’entreprise pousse son concept jusqu’au bout. Toutefois je vois mal comment ils pourraient l’appliquer à Montréal, parce que cela serait contraire à l’inclusion et la mixité sociale si chère à la Ville de Montréal, comme aux montréalais.es. Je me rappelle d’ailleurs à l’époque de la gestion locale de La Ronde, que la Ville accordait des accès gratuits aux familles démunies pour qu’elles puissent profiter elles aussi de ce site merveilleux de divertissement.

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Le Parc Jean-Drapeau est une opportunité en or pour redonner le fleuve au Montréalais sans gérer toutes les contraintes du Vieux-Porte et ses grands quais de béton qui nous bloque de l’eau.

Très hâte de voir sa restructuration. J’y rêve de me baigner dans le fleuve avec une vue sur le centre-ville. Je sais que les images publiées montraient beaucoup de zones inondables, de kayak et de passerelles, mais qu’en est-il de la baignade? C’est une immense morceau qui manque à Montréal, l’accès à l’eau. Et la compétitivité des villes prends à désormais en compte ce critère.

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C’est impossible de se baigner autour des îles, les courants sont beaucoup trop puissants. De plus, les accès directs à l’eau en bordure des îles sont assez rares, ça reste quand même du remblais tout autour.

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Il y a plusieurs points d’accès clandestins très fréquentés autour des iles, au havre et sur l’estacade. Ceux qui veulent se baigner dans le fleuve le font et ils sont assez nombreux en fait.

Autour des iles, c’est vraiment dangereux, complètement différent du courant plus en amont ou près de la rive-sud. Peut-être près de la Ronde, au nord, ce serait possible, mais c’est difficilement faisable à mon avis. Il faudrait aménager une avancée d’eau dans les terres de l’ile pour permettre la baignade (peut être près des marais prévu à côté du pont Jacques Cartier).

Je suis un gran fan de baignade dans le fleuve, je m’y baigne plus souvent que dans ma piscine, mais ce n’est pas le meilleur endroit.

On prépare l’arrivée de Rammstein au Parc Jean-Drapeau en ce moment. C’est une préparation titanesque en ce moment. On doit débarasser le site de TOUT l’équipement festivalier pour faire la place à “l’armée” de Rammstein. Environ 200 personnes et une centaine de camions appartenants à Rammstein sont en route.

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Some SF parks are shutting down rides or the parks entirely for the rest of the operating season. Not sure if La Ronde is one of them yet.

Edit: also no new capital at ANY SF park for 2023 + 2024… yikes.

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Qui plus est, avec les changements climatiques, l’accès à l’eau en été sera primordial pour que ce soit vivable en ville.

J’entends le show de chez nous dans le Mile-End, et on voit les explosions illuminer le ciel. Ça doit être intense sur le site!

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Je suis à 10-12km au sud, on l’entend comme si c’était chez le voisin. (Hôpital Pierre-Boucher) Ça se rend jusqu’à Boucherville même.

Bizarrement, mon père habite au métro Longueuil… et il entend rien. Faut dire qu’il est au 12ieme étage d’un building en béton.

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Feux et lumières!

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In the never ending SF saga, parking rates have been bumped up to $40… $40 for parking. Has La Ronde followed suit or not yet?

Also heard rumblings of the monorail being removed this year and a few rides being closed for the rest of the operating season.

I mean the cost of parking should be that, you’re driving to an amusement park that has great public transit to it lol

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Via les médias sociaux de J-F Savaria :star_struck::

image jfsavaria

Dimanche dernier avant les compétitions d’escalades de @psicoblocopenseries , sur le beau site du @parcjeandrapeau :sunny::sparkles:

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Rapport du coroner sur le décès d’un cycliste sur le circuit Gilles-Villeneuve

Mort d’un cycliste sur le circuit Gilles-Villeneuve : la cohabitation en cause

Le décès était de nature accidentelle, précise la coroner dans son rapport.


L’important achalandage sur le circuit Gilles-Villeneuve pose des problèmes de cohabitation, écrit la coroner.
PHOTO : RADIO-CANADA

Hugo Prévost
Publié à 9 h 35

La mort, en mai 2021, de Philippe St-Hilaire, un cycliste victime d’une grave chute sur l’asphalte du circuit Gilles-Villeneuve, sur l’île Notre-Dame, à Montréal, est la triste conséquence d’une cohabitation difficile entre les différents utilisateurs de cette piste de formule 1, révèle le rapport du coroner sur cet accident.

S’il s’agit, jusqu’à présent, du seul accident mortel à survenir à cet endroit, écrit la coroner Stéphanie Gamache, la popularité croissante du circuit, dont l’asphalte de bonne qualité est très bien entretenu, pose des problèmes d’utilisation des lieux.

Le 2 mai 2021, un cycliste a coupé la route à un groupe d’autres cyclistes formant un peloton et qui s’entraînait à une vitesse variant entre 30 et 50 km/h. En souhaitant éviter un accident, les membres du peloton ont tant bien que mal tenté de freiner. M. St-Hilaire, qui faisait partie de ce groupe, est entré en collision avec le premier cycliste et a été projeté au sol, tête première.

Son visage a violemment percuté l’asphalte. La violence de l’impact le plongera par la suite dans un coma profond, et ses proches décideront de cesser les soins actifs le 22 mai. L’homme est mort trois jours plus tard.

Dans son rapport, Me Gamache évoque des problèmes en matière de cohabitation entre les cyclistes sportifs et ceux qui utilisent l’endroit pour se balader. Il est indéniable que le décès de M. St-Hilaire était évitable et que des mesures doivent être prises pour éviter qu’un tel événement ne se reproduise, lit-on dans le document.

Changements

À cette fin, la coroner précise que depuis l’accident, l’an dernier, plusieurs modifications ont été apportées à l’utilisation du circuit par l’équipe du parc Jean-Drapeau, notamment la décision de réserver la piste, pendant trois périodes entre 18 h 30 et 21 h, les mercredis, à la pratique du cyclisme sportif.

Ce programme, d’abord mis en place en 2021, a été répété cette année, entre le 29 juin et le 31 août, et les utilisateurs auraient été satisfaits de cet arrangement, mentionne le rapport.

Cette initiative est certainement celle qui peut permettre d’éviter un autre décès comme celui de M. St-Hilaire puisqu’elle élimine toute cohabitation entre cyclistes et autres baladeurs et cyclistes de haut niveau, mentionne la coroner, qui suggère de pérenniser le financement de cette initiative.

Il pourrait aussi être nécessaire d’établir un nombre maximal de cyclistes si cette activité devient trop populaire, suggère encore Me Gamache.

Cette dernière, après avoir constaté qu’il avait fallu plusieurs minutes pour que l’ambulance accède au lieu de l’accident, en mai 2021, recommande aussi que des techniciens ambulanciers paramédicaux se trouvent sur place lors des séances d’entraînement des cyclistes de haut niveau.

Enfin, la coroner recommande de continuer à améliorer la sensibilisation auprès de l’ensemble des utilisateurs du circuit Gilles-Villeneuve afin de faciliter la cohabitation et réduire les risques d’accident.

Le décès de M. St-Hilaire était de nature accidentelle, conclut Me Gamache.

La Ronde | Le Minirail d’Expo 67 à la casse


PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE
Le Minirail d’Expo 67 a circulé à La Ronde jusqu’en 2019.

Cinq ans après la fameuse Pitoune, c’est au tour d’un autre legs d’Expo 67 de faire de discrets adieux aux Montréalais. La Ronde procède actuellement au démantèlement du Minirail, qui compte près 60 ans de loyaux services.

Publié à 6h00
Philippe Teisceira-Lessard
LA PRESSE

D’abord destiné aux centaines de milliers de visiteurs de l’exposition universelle, le train léger faisait encore le tour du parc d’attractions en 2019. Il n’a cependant jamais été remis en fonction après la pandémie de COVID-19.

« C’était la fin de vie du manège, a expliqué Nathalie Béland, porte-parole de La Ronde, en entrevue téléphonique. C’était un manège qui contenait beaucoup de souvenirs pour beaucoup de gens. Mais malheureusement, on était rendus à ce point-là. »

C’est une inspection effectuée après la fonte des neiges, le printemps dernier, qui a signé son arrêt de mort. Un rapport d’expert a déterminé que la structure de plusieurs centaines de mètres n’était plus assez sécuritaire.

« Dans le temps de l’Expo, ces manèges-là n’avaient pas nécessairement été conçus pour durer 55 ans, surtout avec les hivers. On l’a entretenu tout ce temps-là, on a été chanceux de l’avoir tout ce temps-là, a dit Mme Béland. Les pièces n’existent plus depuis longtemps. Les équipes de La Ronde ont dû machiner des pièces pour le réparer. »


PHOTO PIERRE MCCANN, ARCHIVES LA PRESSE
Le Minirail au troisième jour d’Expo 67, en avril 1967

La porte-parole a souligné que l’aspect historique du Minirail avait été pris en considération avant de commencer le démantèlement. Le parc d’attractions réfléchit actuellement à un moyen de rendre hommage à cet attrait.

« La décision prise par La Ronde a été une surprise, a indiqué le cabinet de la mairesse Valérie Plante. Considérant l’importance historique du Minirail, qui a transporté des générations de Montréalaises et de Montréalais, nous aurions aimé être avisés en amont des enjeux relatifs à la préservation du manège afin de pouvoir discuter des possibilités de préservation du train. » Une réunion est prévue avec la direction du parc pour « réitérer » les préoccupations de la Ville quant à la sauvegarde du patrimoine.

« Ils effacent l’histoire »

Julie Bélanger, fondatrice d’un groupe voué à la mémoire d’Expo 67, accepte avec philosophie le sort du Minirail.

« C’est sûr que c’est dommage qu’il disparaisse, a-t-elle dit en entrevue téléphonique. C’est déjà exceptionnel qu’il se soit rendu à 58 ans d’existence […] avec nos hivers. »

Mme Bélanger a appris au début de novembre – par des employés de La Ronde – que la structure était en cours de démantèlement. Elle a aussitôt contacté le parc d’attractions afin de sauver tout ce qui pouvait l’être.

Elle a notamment pris contact avec Exporail, musée ferroviaire situé à Saint-Constant, sur la Rive-Sud de Montréal, afin d’explorer la possibilité qu’au moins une rame de train soit conservée. La porte-parole d’Exporail, Caroline Lebon, a confirmé que l’institution étudiait cette possibilité. « Le comité va étudier la requête cette semaine, on devrait avoir une réponse au courant de la semaine prochaine », a-t-elle dit à La Presse.


PHOTO FOURNIE PAR UNE SOURCE ANONYME
Une partie de la structure du Minirail en cours de démantèlement

Sur la page Facebook Expo 67, gérée par Mme Bélanger, des internautes sont autrement plus critiques.

« L’art de tout scraper… Ils effacent l’histoire d’Expo 67 », déplore l’un. « Disons que certains ont les notions d’Histoire assez loin, malheureusement », assène un deuxième. « Vraiment triste. Avec un peu de volonté, tout se répare », écrit un troisième.

« On peut questionner l’entretien de Six Flags. On peut aller jusqu’à remettre en question la décision de la Ville de Montréal de confier l’entretien de La Ronde à Six Flags. Mais le fait est qu’on en est là. […] Ce train-là a beaucoup d’histoire, c’est même très surprenant qu’il soit arrivé jusqu’à maintenant », leur a répondu Mme Bélanger. « On ne pourra pas tout sauver. On ne pourra pas. » Elle a souligné que les efforts des aficionados d’Expo 67 devraient se concentrer sur la restauration de la place des Nations, au parc Jean-Drapeau.

Un vrai réseau de transport

Le Minirail de La Ronde faisait partie d’un vaste réseau de transport imaginé pour déplacer les visiteurs jusqu’au site d’Expo 67 et à l’intérieur de celui-ci. Un métro de surface de cinq stations et 5,7 kilomètres (l’Expo Express) avait été bâti entre la Cité du Havre et l’île Sainte-Hélène. Une autre section du Minirail – beaucoup plus grande que celle de La Ronde – quadrillait les îles Notre-Dame et Sainte-Hélène.

Le matériel ferroviaire utilisé pour bâtir le Minirail de La Ronde avait été acheté de l’Exposition nationale de Lausanne, tenue en 1964. Il était donc déjà usagé au moment de son inauguration.

Lundi, Héritage Montréal a souligné les efforts faits par les citoyens comme Julie Bélanger et l’ouverture de La Ronde en vue de sauver des souvenirs du Minirail.

« C’est certain qu’on regrette qu’il soit démantelé. L’idéal, c’est qu’il reste sur le site et qu’il soit toujours en fonction », a affirmé Anthony Plagnes Payá. Mais « l’essentiel, c’est qu’il y ait soit une préservation sur le site lui-même ou que d’autres institutions puissent garder des parties du Minirail ». Quant aux déclarations des dirigeants de La Ronde voulant que le manège ait atteint la fin de sa vie utile, « on les croit », a-t-il dit.

Le ministère de la Culture et le cabinet du ministre de la Culture n’ont pas répondu à la demande de commentaire de La Presse.

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Entrevue ce matin à l’émission radio Tout un matin