Parc Jean-Drapeau - Discussion générale

Entente de 5 ans avec Piknic Électronik

Une entente quinquennale est conclue entre la Société du parc Jean-Drapeau (SPJD), qui célèbre cette année 150 ans d’histoire, et Piknic Électronik. Partenaires depuis les tout premiers débuts du légendaire festival en 2003, les deux organisations ont signé une convention d’occupation de site qui s’étend jusqu’au 31 octobre 2028. Au coeur de cette entente, de nouveaux éléments entourant l’inclusivité et l’exemplarité sont mis de l’avant, et ce en plus d’assurer une offre de programmation encore plus accessible et diversifiée.

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Je viens de découvrire l’Expo floralie 1980 à Montreal qui est une autre exposition du Bie mais horticulturelle et non international comme l’expo 67





Les tourbières créer pour l’expo


https://www.billcotter.com/misc/expo67/1980-floralies-sign.jpg




L’expo c’est aussi déroulé dans le vélodrome


Source:
Flickr
Bie
pinterest
archive de Montréal
Atelier Papineau

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On en est où avec l’interdiction des autos sur l’île et dans le parc?

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Une des plus importantes retombées des Floralies à Montréal en 1980 aura été l’incroyable expansion de l’industrie horticole qui a suivi en quelques années. C’est comme si les montréalais.es et québécois.es prenaient subitement goût aux aménagements paysagers plus audacieux et à l’embellissement de leur propre propriété. De nouvelles habitudes durables qui ne se sont jamais démenties depuis.

Comme tous les événements d’importance j’ai visité ce site merveilleux plusieurs fois notamment les jardins nationaux de différents pays, qui en mettaient plein la vue et rivalisaient d’imagination pour épater la galerie.

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Un projet pour le fort Saint Hélène


Plus de photos :arrow_down:

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MONTRÉAL, le 8 mai 2024 /CNW/ - La Société du Parc Jean-Drapeau (SPJD) est heureuse d’annoncer l’acquisition de trois œuvres emblématiques des Mosaïcultures internationales de Montréal (MIM). Cette initiative, qui s’inscrit dans le cadre du développement d’une offre spéciale pour le 25e anniversaire des Mosaïcultures Internationales® présentées pour la première fois à Montréal en 2000, contribuera à enrichir le patrimoine artistique et culturel du Parc, offrant ainsi aux visiteurs une expérience encore plus immersive et inspirante.

L'Homme qui plantait des arbres. (Groupe CNW/Société du parc Jean-Drapeau)

L’Homme qui plantait des arbres. (Groupe CNW/Société du parc Jean-Drapeau)

La Terre-Mère. (Groupe CNW/Société du parc Jean-Drapeau)

La Terre-Mère. (Groupe CNW/Société du parc Jean-Drapeau)

La Terre-Mère. (Groupe CNW/Société du parc Jean-Drapeau)

La Terre-Mère. (Groupe CNW/Société du parc Jean-Drapeau)

« Nous sommes ravis d’accueillir ces œuvres exceptionnelles au Parc Jean-Drapeau », déclare Véronique Doucet, directrice générale de la SPJD. « Ce partenariat reflète notre engagement à offrir des expériences uniques, accessibles et diversifiées à nos visiteurs, tout en ajoutant une dimension artistique remarquable à notre environnement naturel. Ces œuvres, qui viennent enrichir le continuum d’expériences paysagères, deviendront assurément des incontournables, enrichissant le parcours montréalais d’œuvres d’art public et renforçant notre statut de destination touristique et culturelle de premier plan. »

« Ce partenariat avec la SPJD marque un moment significatif dans notre histoire », explique Lise Cormier, Vice-présidente exécutive et directrice générale des MIM. « Les œuvres qui seront présentées au parc Jean Drapeau à partir de 2025, sont les icônes les plus appréciées et les plus spectaculaires de nos expositions qui ont émerveillé plus de 20 millions de visiteurs à travers la planète. Ce sont des œuvres de mosaïculture uniques qui sont restées gravées dans notre mémoire collective. Nous sommes fiers et heureux que la Société du parc Jean Drapeau rende ainsi hommage à la créativité montréalaise et que nos œuvres trouvent un refuge permanent au Parc, marquant ainsi le début d’une autre belle histoire. »

Trois oeuvres uniques

Les trois œuvres acquises sont la Terre-Mère, l’Homme qui plantait des arbres, ainsi qu’une œuvre sur mesure représentant six paires de « Y », en référence au logo du Parc. Les deux premières incarnent avec force la transition écologique qui est au cœur de la transformation du parc Jean-Drapeau alors que la troisième œuvre célèbre l’importance de la collaboration, soulignant le passé du Parc et sa vision d’avenir.

Les visiteurs pourront admirer les trois œuvres gratuitement dès 2025. Elles seront exposées de manière permanente dans un espace nature, urbain et public, et intégrées aux paysages culturels du parc Jean-Drapeau. La Terre-Mère et l’Homme qui plantait des arbres seront installées dans le secteur des jardins des canaux, ciblé dans les grands projets de réhabilitation et de réaménagement des espaces du Parc.

Cet investissement de 4,9 millions de dollars assure un foyer permanent aux œuvres, garantissant ainsi un héritage durable qui enrichira le patrimoine culturel et artistique du Parc pour les générations futures.

L’entente entre la SPJD et les MIM inclut également le transfert de l’expertise horticole entre les deux équipes, permettant de faire avancer les bonnes pratiques en horticulture et d’assurer une intégration harmonieuse et pérenne.

À propos de la Société du parc Jean-Drapeau

La Société du parc Jean-Drapeau a pour mission de conserver, d’aménager, de mettre en valeur et de développer ce grand parc urbain public, qui fête cette année ses 150 ans. Pour l’occasion, une programmation festive et diversifiée sera proposée tout au long de l’année, alors que plusieurs grands projets de réhabilitation et de réaménagement seront déployés dans le cadre de sa transformation. Offrant une expérience inédite à ses visiteurs ainsi qu’une diversité de paysages et d’installations, cette démarche audacieuse permettra de réaliser le plein potentiel de ce lieu inégalé pour faire du parc Jean-Drapeau un des parcs les plus emblématiques à l’échelle mondiale.

Pour tout savoir sur les activités du parc Jean-Drapeau, visitez le parcjeandrapeau.com ou suivez-nous sur les médias sociaux @parcjeandrapeau.

À propos des Mosaïcultures Internationales de Montréal

Considérée comme la leader internationale en matière de mosaïcultures, la corporation à but non lucratif Mosaïcultures internationales de Montréal a été créée en 1999. Depuis sa création, l’organisation a présenté cinq compétitions internationales, une dizaine d’expositions et a réalisé plus de 100 œuvres dans une vingtaine de pays, pour le plus grand émerveillement de plus de 20 millions de visiteurs, qui ont déclaré un taux de satisfaction frôlant les 100 %.

SOURCE Société du parc Jean-Drapeau

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Génial! Les deux premières oeuvres sont vraiment iconiques. Hâte de voir la troisième sur mesure. J’aurais bien aimé revoir celle qui imitait le skyline de Montréal aussi

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Je crois que c’est l’ancien pont de l’expo-express qui doit être converti en pont-promenade dans le projet de revitalisation du parc Jean-Drapeau

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Je pense que c’est mon projet préféré en ce moment dans toute la région. Je le trouve exemplaire.

Aménagement du paysage lié à la restauration des vespasiennes, un ensemble de valeur patrimoniale. Élimination d’un stationnement de 34 places laissant place à la réhabilitation du couvert forestier et la reconnexion des sentiers du parc. Aménagement de sentiers accessibles menant aux vespasiennes et d’une halte vélo, reconstruction des escaliers et des tracés historiques permettant des connexions vers le mont Boullé et les étangs de la grande Poudrière. Le secteur est ainsi massivement verdi, à travers des plantations forestières à trois strates qui permettent d’agrandir la forêt du mont Boullé ainsi que par des zones de transition de prairies où y dominent les graminées, accompagnées d’autres espèces herbacées, notamment des plantes mellifères qui attirent les pollinisateurs.

https://www.instagram.com/p/C7mzGmsP4b_/?igsh=MW5vNXY1d2d1bTRweg==

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Vue du Pont de la Concorde avec ses cônes oranges perpétuels :sweat_smile:

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Début des travaux de réaménagement du mont Boullé

Dans leur post sur LinkedIn, il y a quelques rendus

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:deciduous_tree: Bonne nouvelle! Les travaux de réaménagement dans le secteur du mont Boullé, sur l’île Sainte-Hélène, débuteront prochainement. Ils s’inscrivent dans la transformation déjà bien entamée au Parc, la plus grande de son histoire, portée par l’engagement continu de la SPJD à valoriser la diversité de ses paysages et à protéger son patrimoine naturel et bâti.

Plus concrètement, ces travaux incluent :
:herb: Naturalisation d’espaces verts dégradés
:chair: Ajout de mobilier
:walking_man: Mise en valeur et resurfaçage des sentiers
:classical_building: Restauration d’ouvrages patrimoniaux : abri de la colline, cimetière militaire, belvédère du mont Boullé et escaliers de pierre
:red_car: Conversion du stationnement P9 en espace vert favorisant la pratique du jeu libre et l’entraînement en plein air

Consultez notre communiqué de presse pour en savoir plus :arrow_right: Début des travaux de réaménagement au mont Boullé - Le parc Jean-Drapeau poursuit sa transformation

Crédit photos : Elise Beauregard et collaborateurs (ELBC) inc.

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Magnifique comme première impression :clap:t2:

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Un pavillon qui attend depuis trop longtemps une rénovation

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Le pavillon de la Corée du Sud est tellement triste ! Il me fais limite peur à cause des trous qu’il y a dans les poutres porteuses!

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Quelle histoire!!!

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Une vidéo promo pour les 150 ans du parc Jean-Drapeau

Le parc Jean-Drapeau célèbre cette année son 150e anniversaire

Le 9 février 1874, le gouvernement canadien accordait à la Ville de Montréal le droit de convertir une partie de l’île Ste-Hélène en espace public pour en faire le premier grand parc public de la métropole. Depuis, ce lieu unique au cœur du fleuve occupe une place importante dans le coeur des Montréalais et des Montréalaises, créant des expériences vibrantes et enrichissantes pour les visiteurs d’ici et d’ailleurs. En collaboration avec nos partenaires, une programmation festive et diversifiée sera déployée tout au long de l’année, incluant des événements inédits de grande envergure. Ne manquez pas cette occasion de vivre le plein de potentiel du plus grand parc insulaire de Montréal.

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On en parle pas suffisamment, bien que l’on puisse considérer le Parc Jean-Drapeau comme étant parmi les plus beaux grands parcs urbains dans le monde. Non seulement son histoire est impressionnante, mais son territoire est aussi unique grâce à l’immense chantier d’Expo 67 qui a de surcroit mis Montréal sur la carte du monde.

D’ailleurs on ne compte plus les événements d’envergure qui y ont pris place et qui continuent encore aujourd’hui à faire rayonner la métropole à l’international. Depuis on ne cesse de l’améliorer, de l’embellir, de mettre en valeur son patrimoine et son environnement naturel (comme celui naturalisé), qui représentent notamment des milliards en investissement depuis plus d’un demi siècle.

Et ce qui ne gâche rien son accès gratuit que ce soit en transports actifs, en transports publics ou automobile, permet à tout le monde (touristes inclus) de s’y rendre aisément et à peu de frais en toutes saisons. Vraiment on peut être fier de cet immense infrastructure publique qui n’a pas son pareil au Canada et qui contribue largement à l’excellente renommée de Montréal partout sur la planète.

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Justement, ils ne sont pas supposés d’interdire la circulation automobile dans le parc prochainement?

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