Parc du Mont-Royal - Discussion générale

Descendre en peloton c’est dangereux en maudit. Imagine un qui freine trop sec et c’est tous les 15 autres qui se ramassent aux soins intensifs…

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Never thought I’d see the day where people are against trams on sloped routes that will no longer be (collectively) universally accessible. Talk about exclusion.

You can take several seats. This is not a position against trams, it’s just pointing out CEM-E’s VP pushing trams every chances he gets. It goes beyond discussions about eastern access to the Kondiaronk Belvedere.

N’oublions pas que la pente sera trop prononcée, autant pour convenir à la plus grande partie des promeneurs

La grande majorité des jeunes et adultes, et beaucoup de personnes plus âgées sont parfaitement capables d’attaquer un sentier de randonnée bien plus extrême dans nos parcs provinciaux. C’est une drôle de vision de l’activité physique “ordinaire” je trouve.

Si on veut que le chemin soit 100% accessible, c’est un but noble et c’est bien d’en parler, mais je ne pense pas qu’il faut agir comme si la normalité était d’avoir des contraintes à un exercice physique modéré.

que pour résister au ruissellement des eaux. Ses surfaces s’apparenteront probablement plus à celles observées dans les milieux densément urbanisés plutôt qu’au chemin Olmsted.

Point intéressant, ça donne le ton sur les matériaux qui seraient utilisés par les nouveaux sentiers.

les Montréalais ont répété inlassablement et avec une force toujours plus grande que tout geste posé sur le mont Royal devait atteindre l’excellence à tous points de vue.

Je pense que c’est le point de consensus universel.

Une autre solution serait d’implanter à nouveau un tramway roulant sur un tapis vert et de créer un chemin piétonnier plus sinueux, qui comporte des insertions alvéolées plantées de vivaces, permettant à un camion de pompier ou à une ambulance de répondre aux urgences. Le mont Royal mérite une discussion éclairée.

Je sais que le tram n’a pas bonne réputation ces temps-ci parce qu’on le lance comme solution pour tout projet structurant de TEC, mais simplement dans ce contexte particulier, l’idée d’un véhicule léger dans un parcours verdi n’est pas particulièrement aberrante.

Imaginez un véhicule électrique complètement vitré, dans un mince sentier verdoyant, ça serait beau, et peu invasif pour d’autres usages. Je suis très “pro aspect naturel” de la montagne, mais je serais ouvert à ça.

0 véhicules privés. Juste un trajet de plaisance pour ceux qui veulent monter tranquillement la montagne.

Le principal défaut de cette vision est que le projet devient beaucoup plus gros (implémenter un mode TEC de qualité, et pas juste un autobus sur une route, pas loin du statuquo), en prime si on veut vraiment bonifier d’autres usages. Un sentier piéton sinueux va demander beaucoup de travail à percer à travers le boisé.

Et pour les cyclistes, on a beau les mettre dans une petite niche “d’élites”, ils sont présents, ils utilisent la montagne, et si on décide de les expulser de la montagne sans un chemin cyclable sécuritaire, il faut aussi réaliser que c’est un gros aspect négatif d’un tel projet.

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Voici un mode de transport à Central Park que pourraient etre populaire ici.

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J’ai vu ce genre de taxi-vélo sur la rue Mont-Royal qui était fermée à la circulation cet été.

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Pourquoi bannir les autos de Camillien-Houde ?

PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE

La voie Camillien-Houde, sur le mont Royal


Stéphanie Grammond
Stéphanie Grammond La Presse

N’est-ce pas ironique ? Valérie Plante, qui promettait d’être la « mairesse de la mobilité », veut maintenant bloquer la voie Camillien-Houde aux automobilistes qui désirent accéder au mont Royal.

Publié à 0h43 Mis à jour à 5h00

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Comme l’opposition n’a pas manqué de le rappeler, cette idée va à l’encontre de la recommandation soumise par l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) qui était présidé, en 2019, par Dominique Ollivier… aujourd’hui numéro 2 de l’administration Plante.

Pour un virage en U, c’en est tout un.

Et tant pis pour les consultations de l’OCPM qui avaient permis à plus de 13 000 personnes de faire entendre leur voix ! Cette participation record avait démontré à quel point les Montréalais ont à cœur leur montagne, le joyau vert de la ville, le trait d’union entre les deux solitudes.

Après avoir épluché 1184 opinions en ligne et 689 mémoires – la majorité s’opposant à la fermeture de Camillien-Houde aux autos –, l’OCPM avait conclu que la solution la plus avantageuse était la mise en place d’un « chemin de plaisance » permettant aux véhicules de circuler à vitesse réduite pour profiter du paysage.

Cette idée avait reçu l’appui de plusieurs organismes qui ne sont pas exactement des lobbys de la voiture, à commencer par les Amis de la montagne.

Mais la Ville préfère transformer Camillien-Houde en promenade piétonne avec un espace désigné pour les cyclistes, même s’il faut être un sportif franchement motivé pour gravir cette côte longue et abrupte.

Mais pourquoi exclure complètement les autos ? Surtout qu’on ne peut faire autrement que de garder une voie ouverte pour que les camions de pompiers et les ambulances puissent circuler…

Pour certains, la réponse est simple : les voitures n’ont pas d’affaire dans un parc. Fin de la discussion. C’est un peu court comme explication.

Si l’objectif est de diminuer la pollution, on rate la cible.

Oui, il faut réduire le nombre de véhicules pour lutter contre les changements climatiques qui mènent l’humanité aux « portes de l’enfer », comme l’a dit le secrétaire général de l’ONU il y a quelques jours.

À l’heure actuelle, 10 000 véhicules roulent sur le mont Royal quotidiennement, dont 85 % sont en transit. Mais si on coupe la circulation, les véhicules ne vont pas disparaître par magie. À la place, ils contourneront la montagne, ce qui accentuera la congestion dans les quartiers périphériques, comme on l’a vu lors d’un projet pilote. Au bout du compte, on augmentera donc les émissions de CO2.

Si l’objectif est d’assurer la sécurité des cyclistes, on n’est pas obligé d’en faire autant.

PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, ARCHIVES LA PRESSE

Un cycliste gravissant la voie Camillien-Houde salue le vélo fantôme installé à la mémoire de Clément Ouimet.

Il est clair que la configuration actuelle reste dangereuse pour les vélos, même si on a sécurisé un peu la voie depuis la mort du jeune Clément Ouimet, frappé par un conducteur qui faisait demi-tour.

Désormais, des murets en béton et des bollards bloquent ce genre de manœuvre. Mais il y a encore des conducteurs pressés qui dépassent par la droite – en roulant sur l’accotement que les vélos empruntent – parce qu’ils n’apprécient pas que le conducteur devant eux respecte la limite de vitesse de 40 km/h.

Cela dit, il y a des façons d’aménager la coexistence, sans bannir complètement les véhicules. Des cyclistes qui s’entraînent régulièrement sur la montagne l’avaient eux-mêmes affirmé, lors des consultations.

Dans l’espace le plus étroit au sommet, là où la route est encaissée entre deux falaises, l’OCPM avait retenu l’idée de garder une seule voie pour les automobilistes qui circuleraient à tour de rôle avec des feux en alternance. Cette option laisserait suffisamment d’espace aux cyclistes et aux piétons. Et elle ralentirait les conducteurs qui confondent la montagne avec une piste de course.

Cela cadre bien avec l’idée d’un chemin de plaisance qui imposerait une vitesse réduite pour les véhicules. Un chemin avec une signalisation plus claire et sécuritaire, avec un véritable terre-plein fleuri au lieu des disgracieux bollards, avec un espace désigné pour les vélos et les piétons…

Bref, un heureux compromis qui ferait le bonheur de tout le monde.

Car si on ferme Camillien-Houde aux véhicules, y compris aux autobus, l’accès à la montagne sera plus compliqué pour la population de l’est de Montréal. Un barbecue en famille ? Un tour de ski de fond ? Désolé, il faudra faire le tour de la montagne et emprunter le chemin Remembrance, l’accès ouest du mont Royal qui restera ouvert, pour se stationner près du lac aux Castors.

Quant au belvédère de Camillien-Houde, une attraction touristique majeure, les véhicules ne pourront plus du tout y aller, ce qui privera d’une vue du sommet de la montagne toutes les personnes qui n’ont pas les jambes assez solides pour monter la côte.

Cela dit, la ville songe à établir une navette qui mènera les visiteurs du stationnement au belvédère actuel qui sera réaménagé ainsi qu’au nouveau belvédère qu’elle veut installer pour profiter de la vue du côté nord de la ville. Un bel ajout.

Le mont Royal est un symbole. Assurons-nous de trouver une solution qui préserve son accessibilité pour tous.

La position de La Presse

Il y a des façons d’aménager la coexistence sur le mont Royal et d’assurer la sécurité des cyclistes sans bannir entièrement les véhicules. Suivons cette voie au lieu de braquer les uns contre les autres avec une approche « tout ou rien ».

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J’ai publié cet article pour la valeur de son opinion, parce qu’il faut tenir compte de toutes les possibilités avant d’investir des sommes importantes dans des travaux, qu’il sera difficile de corriger après coup.

Je reviens donc à l’idée de compromis qui m’apparait la voie la plus sage dans ce dossier.

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Je trouve que son éditorial manque le focus du projet présenté qui est de mettre le piéton/promeneur au centre de la vision de réaménagement de Camilien-Houde. Je trouve un peu facile de dépeindre l’administration comme voulant prioriser le vélo dans toutes les circonstances. J’accorde bien que le projet soit conçu en réfléchissant aux cyclistes, mais à mon sens la “révolution” du projet c’est principalement de miser sur l’expérience de promenade du parc. Aspect qui n’est pas abordé dans son texte.

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Merci pour le partage, j’apprécie toujours ta revue d’actualité le matin.


Notons qu’il existe très peu de compromis à maintenir la circulation automobile. C’est le statuquo en termes d’aménagement du parc, un point qui à mon avis devrait occuper plus de place dans le débat.

Le compromis de garder la voie de circulation est celui de ralentir la circulation de transit pour sécuriser l’usage du vélo. Il ne concerne rien d’autre, vraiment.

Personnellement, je conserve les mêmes arguments:

  • La présence du trafic de transit massif est contraire à l’idée d’un chemin de plaisance, même ouvert à la voiture.
  • Une voie motorisée sera toujours un facteur d’enlaidissement de la montagne.
  • La présence de la circulation automobile est une nuisance visuelle et sonore invasive dans les sentiers actuels.
  • Il n’y aura jamais de marcheurs sur Camillien-Houde à quelques mètres de la circulation routière, et encore moins s’ils partagent la chaussée avec les cyclistes sportifs. L’activité principale des utilisateurs de la montagne est éliminée d’office.
  • La voie motorisée empêche à jamais de renforcer et créer de nouveaux liens à travers la montagne.
  • On oublie le nouveau belvédère sur Camillien-Houde, du moins pas directement sur cette rue, côté nord et donc de l’autre bord de deux voies de circulation pour la majorité des gens.

Qu’on considère ou non que la présence de la voiture soit justifiée (parce qu’il y a des arguments en faveurs) n’élimine pas les défauts. Ce n’est pas vrai que “tout le monde sera heureux” avec un statuquo bonifié.

Pour les utilisateurs de la voiture à travers la montagne, il faut réfléchir à l’expérience qu’on leur donne à absolument maintenir leur présence: un temps de parcours allongé, des restrictions sur les manoeuvres, une configuration routière moins efficace. On discute comme si faire le tour de la montagne est un chemin de croix, alors que vient un temps ou rouler 5 minutes sur une artère pour rejoindre Remembrance n’est peut-être pas plus terrible que de subir un feu de circulation au cycle long au sommet de la montagne.

Parlant du feu de circulation recommandé ici, je trouve que c’est une mauvaise idée. C’est assumer que les cyclistes et les piétons devront partager un sentier (si un piéton à le goût de marcher là), et les voitures vont avoir une infrastructure franchement inefficace, potentiellement problématique du moment qu’un zinzin brûlera son feu. À mon avis, c’est créer une zone d’écoeuranterie pour tous les utilisateurs.

Autant mettre la montagne à sens unique: ce sera un grand égalisateur. Qu’on habite l’est ou l’ouest, tout le monde aura un trajet rapide à travers la montagne, et un petit tour autour.

Au sujet de la circulation routière:

Si l’objectif est de diminuer la pollution, on rate la cible.

On la rate aussi en conservant la circulation là. On met collectivement beaucoup d’argent dans de nouveaux métros, du SRB, et même des REV structurants comme “carotte” pour convertir les déplacements. Mais la réalité que personne n’aime parler, c’est que le bâton est toujours nécessaire pour réduire la circulation automobile. C’est universel, et aucune ville n’a réussi autrement. Aucune ville n’a baissé sa circulation en conservant la même capacité routière. C’est un argument d’immobilité dans les habitudes de transport. Si collectivement nous choisissons que la montagne doit sacrifier sa vocation pour le transit, c’est un gros constat d’échec face à la crise climatique, et ce sera notre choix.

Le meilleur argument contre le projet présenté reste un d’accessibilité universel. Si on décide qu’il faut une approche sans compromis pour ce point, je préfère de loin l’idée du véhicule électrique moins invasif à travers la montagne que de ne pas faire évoluer le parc.

Et je souligne qu’encore une fois on considère le mont Royal comme un obstacle au sommet plutôt qu’une part de l’expérience. On commence seulement à jouir du parc quand on est rendu au stationnement sur la montagne. Ce qui implique qu’on a peut-être un problème à mettre en valeur tout le reste.

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Je suis moi-même un ‘cyclo-sportif’ avec le lycra et tout le kit, et je monte/descends Camilien-Houde (CH) plusieurs fois par semaine, seul ou avec mon club.

Je confirme que jamais, JAMAIS on ne descend CH en pleton. Je ne vois jamais personne d’autre le faire non-plus. Ça n’a aucun intérêt et ça serait dangereux en tabarnaque.

Je mets au défi quiconque de me sortir une vidéo crédible d’un peloton qui descends CH, excluant lors de compétition avec des pros et un circuit fermé, et excluant le très rare cas où deux idiots s’essayent.

Un peloton c’est utile sur le plat; le premier pousse le vent et les autres se reposent derrière avec une économie d’effort de 20 à 40%. On prends des relais devant pour partager le travail.
À Montréal vous verrez cela surtout sur le circuit Gilles-Villeneuve, sur la voie maritime, sur les routes de campagne tranquilles, sur certaines pistes cyclables larges, droites et peu achalandées, etc.

En montée un peloton ne sert à rien, on est trop lent pour que l’aérodynamisme soit un facteur. Au pire vous verrez 2-3-4 cyclistes ensembles qui s’encouragent ou se doublent, mais à la vitesse qu’ils vont (10-15km/h), ils ne sont un danger pour personne.

En forte descente, comme sur Camilien-Houde à 5 - 10%, un peloton est inutile car on ne cherche pas à être plus aérodynamique, on doit plutôt contrôler notre vitesse et notre position pour gérer les nombreux virages. CH est une descente technique donc on recherche plutôt une visibilité parfaite donc certainement pas avec un ou plusieurs autres vélo à 30 cm devant soi!

Et pour tout ceux qui croient que le projet actuel ‘donne’ CH aux cyclo-sportifs, détrompez-vous. L’accueil est très mitigé dans la communauté.

Oui, la montée sera bien plus plaisante et sécuritaire qu’actuellement, sans les voitures qui dépassent par l’accotement à droite, font des demi-tour illégaux (ça arrive encore constamment malgré l’affichage et les bollards), et les stationnements illégaux sur l’accotement (qui sont SYSTÉMATIQUES les beaux soirs de couché de soleil et la police s’en contre-christ), forçant les vélos à merger avec les voitures avec un gros écart de vitesse donc très dangereux en montée.

Par contre la descente sera un enfer sur une voie cyclable bidirectionnelle ‘étroite’ (considérant les écarts de vitesse montée vs descente) et la présence de nombreux piétons qui déambuleront sans faire attention.

La descente actuelle sur le CH est bien correcte, on ne s’en plaint pas hormis quelques sections où la chaussée pourrait être resurfacée.

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Moi aussi. On dirait que le l’auteur cherche a “fitter” le Mont-Royal a ses besoin personnelles, et en utilisant l’exagération et l’alarmisme il d’auto décrédibilise… du déjà vu avec le projet du REM de l"Est

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Exact, on invente un risque pour entretenir la peur et essayer de convaincre.

Ceci dit, l’article du Devoir mentionne des vélos qui vont plus vite que la limite de vitesse en descente. Ça, je le confirme et ça m’inclus personnellement. En condition idéale (de jour, sans voiture devant, chaussée sèche), j’atteins parfois les 70 km/h en descendant Camilien-Houde.

Mais bon, mon vélo et moi faisons 90 kg vs une voiture typique de 1500+ kg, donc l’énergie cinétique n’a rien à voir.

Évidemment je ne roulerai pas à cette vitesse si CH est refait tel que proposé avec une bidi de 5 mètres et des piétons autour.

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“Pour conclure, voici une modeste proposition. Jusqu’en 1918, un funiculaire permettait aux Montréalais de se rendre du monument à sir George-Étienne Cartier au sommet du mont Royal. Pourquoi ne pas le remettre en service ? Un funiculaire restauré, comme celui qui existe encore à Québec, deviendrait une attraction touristique à part entière, ainsi qu’un moyen de transport utile pour les personnes à mobilité réduite.”

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Bonne analyse! https://plus.lapresse.ca/screens/ee3cda6c-4339-432b-945d-ce5c8d1ca2dc__7C___0.html?utm_content=ulink&utm_source=lpp&utm_medium=referral&utm_campaign=internal+share

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Ça résume assez bien ma pensée sur bien des projets d’infrastructure de PM.

Un bémol pour le transport en commun sur le mont Royal

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Pour rétablir les fais sur ce que dit l’OCPM qui est contradictoire dans ces recommandations.

Extrait d’un article que La Presse a refusé de publier (à ce sujet, j’y reviendrai dans les prochains jours):

L’OCPM a énoncé 16 recommandations, dont 6 ne sont pas compatibles avec la première (qui suggère de garder le transit automobile). Comment respecter la sécurité des piétons et cyclistes, maintenir l’accessibilité entre les 2 forêts, créer un chemin de plaisance tout en maintenant l’accès en automobile : pour y arriver il aurait fallu bâtir un muret de béton et dynamiter le col qui fait 9 mètres de larges (12 à 14 mètres sont nécessaires) renforçant encore plus la fracture du parc. D’ailleurs l’OCPM parle bien « de limites au plan méthodologique en raison de leur caractère non scientifique » p.52 et « Toutefois, la conception d’éléments de design qui permettraient de rendre l’axe Camillien-Houde / Remembrance sécuritaire pour tous excède le mandat de la commission » p.67.

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Le sentier qui part de Duluth et qui longe les terrains des résidences de McGill a besoin d’investissements


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Juste une photo des belles couleurs et de la belle lumière sur la montagne par une journée pluvieuse d’automne.

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J’ai pensé à la même chose aujourd’hui, il est beau le mont en couleur, sous la bruine.

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