Ouvrages d'art Tronçon Central - Discussion

@SameGuy

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Entendu aux nouvelles d’ICI Première que l’électrification du tronçon de Brossard à la Gare centrale est terminée

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Yay! Let’s go les tests jusqu’à Montréal!

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So if that’s done, then the installation of the sound barriers and emergency platforms just need to be completed, and then test the trains. I’m just making a guess, with the construction holiday, testing will begin to downtown in late August maybe!

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Damn it. I forgot about construction holiday! :sweat_smile:

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On peut entendre le reportage sur la fin des travaux d’électrification dans les manchettes de 15h30 de l’émission Le 15-18

C’est le 2e reportage : Manchettes avec Samuel Rancourt, circulation et météo https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/le-15-18/episodes/642181/rattrapage-du-lundi-18-juillet-2022/3


Enfin le reportage écrit

Le REM mis sous tension entre Brossard et Montréal


Les trains du REM pourront rouler à 100 km/h, selon Nafaa Dhouib, directeur chez NouvLR.
PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-CLAUDE TALIANA

Jérôme Labbé
Publié à 16 h 44

Le Réseau express métropolitain (REM) devient réalité, lentement mais sûrement : les 16 kilomètres de l’antenne de la Rive-Sud ont été électrifiés pour la première fois dans les dernières semaines entre le terminus de Brossard et la gare Centrale de Montréal.

Pour les ingénieurs qui travaillent sur le projet, une étape importante vient d’être franchie. D’autant plus que l’électricité sera la seule et unique source d’énergie qui fera rouler les trains.

Le courant qui alimente le REM passe par une caténaire, aussi appelée « ligne aérienne de contact », explique Nafaa Dhouib, directeur chez NouvLR, le consortium responsable de la construction du réseau.

Cette ligne-là, quand on la met sous tension, il y a du 1500 volts en courant continu. C’est la borne positive sur la ligne. Le retour du courant se fait à travers les rails, et ça fait rouler le train sur la voie.

La première mise sous tension, pour laquelle sept sous-stations ont été mises à contribution, a eu lieu le jeudi 30 juin à 16 h 32 très exactement, se souvient M. Dhouib.

« C’était vraiment euphorique, on peut le dire. On était tous contents. »

— Une citation de Nafaa Dhouib, directeur chez NouvLR

Le moment est donc venu de passer à la phase subséquente, soit l’entrée en scène du groupe PMM. Cet autre consortium, composé d’Alstom et de SNC-Lavalin, sera responsable des opérations et de la maintenance du réseau pour les 30 prochaines années.

Eux maintenant prennent le relais pour les tests, les essais, s’assurer que le matériel fonctionne, que les systèmes sont dûment testés, parce que c’est l’élément critique qui va nous amener vers la mise en service, précise Jean-Vincent Lacroix, porte-parole de CDPQ Infra.

C’est une précision chirurgicale qui est demandée pour le système, souligne-t-il. Chaque élément est testé. On parle de millions de données qui sont traitées à chaque passage.

Tout le monde à bord

En théorie, les Montréalais devraient pouvoir monter en gare dans quatre mois et demi. L’entrée en service du tronçon de la Rive-Sud et de ses six stations est prévue pour le 1er décembre. D’ailleurs, l’Agence régionale de transport métropolitain (ARTM) a déjà mis à jour sa grille tarifaire en fonction de l’arrivée du REM.

À surveiller dans les prochains mois : la première traversée des trains électriques sur le pont Samuel-De Champlain. Pour commencer, les wagons rouleront à vide, le temps de s’assurer de la fiabilité et de la sécurité du réseau.

La mise en service des autres antennes, qui devait se faire de manière progressive à compter de 2023, a été reportée, le mois dernier. CDPQ Infra espère maintenant ouvrir simultanément les tronçons du centre-ville, de la Rive-Nord et de l’Ouest-de-l’Île à la fin de 2024.

Quant à la portion devant relier le REM à l’aéroport Montréal-Trudeau, un nouvel échéancier devrait être annoncé cet automne. CDPQ Infra a confirmé la semaine dernière que le tunnelier Alice était arrivé à destination.

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Sur la page FB du REM: :+1:

image Réseau express métropolitain - REM

⚡ Un jalon important vient d’être franchi par nos équipes: l’antenne Brossard/Gare Centrale a été officiellement mise sous tension en collaboration avec notre partenaire Hydro-Québec! C’est un tracé de plus de 16 km qui est maintenant électrifié, avec 7 postes électriques pour alimenter les systèmes du REM. Le prochain jalon est de taille: élargir la zone d’essais dynamiques de Brossard jusqu’à Montréal (traverser le pont Samuel-De Champlain!) et poursuivre les tests sur un territoire encore plus vaste. À suivre…

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J’ai trouvé ce vidéo qui explique le fonctionnement d’un système de caténaire. Ça explique toute la quincaillerie qu’il y a au dessus des voies du REM.

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Au sujet des ossements trouvés lors des travaux d’excavation du REM près du Black Rock dans PSC

Bone analysis provides window into lives of Montreal’s Irish potato famine migrants

After 2 years, lab finds signs of malnutrition, disease in bodies buried in mass graves

Rowan Kennedy
Erika Morris
CBC News · Posted: Jul 19, 2022 4:00 AM ET | Last Updated: 8 hours ago


Bio-archeologist Marine Puech said the analysis of the remains helps give a voice to Irish people. (Rowan Kennedy/CBC)

After analyzing bones found during work on a light-rail station in Montreal, an archaeological lab is revealing new details about the lives of Irish migrants who died there in 1847.

The 2019 archeological dig in Pointe-Sainte-Charles — where the Irish fleeing the potato famine were quarantined and, if they did not survive, buried — revealed 14 bodies including seven adults, three teenagers, and four children.

After two years of analysis, preliminary results were presented to the Irish community, who found them moving and “incredible,” according to Victor Boyle, president of the Montreal Irish Monument Park Foundation.

Fractures, bacterial infections, chronic diseases and signs of malnutrition provide a window into the lives of Irish migrants in the mid-1800s, said bio-archaeologist Marine Puech at the Ethnoscop lab in Boucherville, Que.

Puech says most were from rural southwestern Ireland, and the lab was able to pinpoint their time of death to between August and September of 1847.

Ethnoscop has had the bones for two years now. After cleaning them and collecting soil samples, they were able to estimate sex and age of individuals and identify pathologies.

The results showed unspecified stress and diet deficiencies like iron as well as notable lead levels.

Some diseases, like typhus, don’t leave marks on bones. But traces of malnutrition were found, which likely weakened people and made them more susceptible to illness.

A man dressed in a suit and wearing a black patch over his right eye stands in the foreground. Behind him, there is a large black stone on a footing. The stone is engraved with text.
Victor Boyle, president of the Montreal Irish Monument Park Foundation, said the lab results have made the remains feel more like people, not just bones. (Rowan Kennedy/CBC)

Irish migrants fleeing the famine faced poor conditions at home, said Puech, and once on the ships, things did not improve. The vessels were often so full that it wasn’t uncommon for more than 200 migrants to be in close quarters in humid summers — conditions that could easily have spread typhus. Many died at sea or shortly after arrival.

“It’s incredible. First they found coffin remnants, artifacts, then bones. But even as bones, they were just bones,” said Boyle.

“But to be shown at the laboratory, these bones being assembled as a full skeleton, hearing what their diet was, what part of Ireland they were probably from, now there’s a person lying on that table.”

Since the site was well-known, only a few steps away from the Black Rock monument marking a burial site for approximately 6,000 people, workers at the Réseau express métropolitain (REM) knew they would find remains.

The bodies were found in coffins that had been arranged to save space, often piled one on top of another.

The rail workers made sure to stay engaged in a dialogue with the Irish community while performing their excavations, said the REM’s deputy director of environment, Elizabeth Boivin.

“We have to take special care,” she said. “It’s a very sensitive matter.”

Montreal’s Irish community has insisted for years that bodies were interred in the area, but the REM excavations led to the first exhumations, said Boivin.

“I’ve never worked like this, so close to the community,” said Puech, who is happy to be “giving voice to people.”

The labs were surprised by one finding: two of the individuals most likely didn’t come from Ireland. The remains will soon be sent to a lab in Trois-Rivières where the DNA will be sequenced in the hopes of finding living descendants.

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Lu dans les commentaires sur la page FB du REM: :zap: :+1:

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Petite mise-à-jour de l’installation des murs antibruit dans Griffintown.

Le long de la Promenade Smith et au-dessus du viaduc De la Commune:

20-07-2022

Ce n’est pas encore commencé au “nord” de la station Griffintown - Bernard-Landry (entre William et Notre-Dame)…

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Un poste à temps plein de nettoyeur de graffitis dédié à ce segment est mieux d’être tout se suite ouvert chez GPMM!

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Ouin, j’avoue que sur mes 2 dernières photos, les taggeurs auraient un beau canevas… avec l’aide d’un bon escabeau… :upside_down_face: :art: :paintbrush:

On dirait presque que c’est fait exprès pour ça! Si c’était directement sur la place des aiguilleurs on pourrait y projeter des films le soir :wink:

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Ont-ils prévu une murale?

P-ê, le mur anti-bruit commence juste à l’est de la Tour d’aiguillage

Streeview avant les travaux du REM

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Vu que c’est un chantier prioritaire, je pensais que la caisse allait faire un roulement d’effectif et maintenir une équipe de base pendant les vacances de la construction.

Infolettres reçues du REM aujourd’hui

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La question aurait dû être « j’espère que le REM n’est pas la cause des pannes »
Parce que aux nombre élevés de pannes récentes à Brossard, les gens commence à ce poser cette question!

Hydro m’a déjà ecrit cette reponse suite à près d’une dizaine de pannes en 2 mois.

« Parfois, il peut s’agir d’équipements qui ne suffisent plus à la demande suite à l’ajout d’un nouveau quartier ou d’un nouveau développement, ou simplement de joints en difficulté à l’adresse du branchement ou au niveau du réseau d’Hydro-Québec. »

Postez des photos de la construction de cela ici ! @grimley

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