Nouvelles culturelles

L’Orchestre métropolitain (OM), mené par Yannick Nézet-Séguin, s’installe au pied du mont Royal mardi soir pour son neuvième concert extérieur annuel.

Le directeur artistique souhaite partager son amour de la musique avec le plus de personnes possible. C’est un de mes moments préférés dans l’année, a-t-il déclaré en entrevue avec Maxime Coutié à l’émission Tout un matin. Communiquer cette musique et la partager avec des dizaines de milliers de personnes, c’est quelque chose d’unique.

Résumé

Yannick Nézet-Séguin et l’OM en plein air pour « partager l’amour de la musique »

On voit des gens qui regardent un concert en plein air.

Près de 60 000 personnes ont assisté au concert de l’Orchestre métropolitain au pied du mont Royal l’an dernier.

Photo : Orchestre métropolitain/Denis Germain

Publié hier à 16 h 29 HAE.

L’Orchestre métropolitain (OM), mené par Yannick Nézet-Séguin, s’installe au pied du mont Royal mardi soir pour son neuvième concert extérieur annuel.

Le directeur artistique souhaite partager son amour de la musique avec le plus de personnes possible. C’est un de mes moments préférés dans l’année, a-t-il déclaré en entrevue avec Maxime Coutié à l’émission Tout un matin. Communiquer cette musique et la partager avec des dizaines de milliers de personnes, c’est quelque chose d’unique.

Le concert annuel de Nézet-Séguin et l’OM s’adresse à tout le monde, et c’est la partie la plus importante du spectacle. On a une perception qu’il faut être initié, qu’il y a un décorum. Des gens pensent tout simplement qu’ils n’aimeront pas ça parce que ça ne s’adressera pas à eux, explique le chef d’orchestre, convaincu qu’un spectacle gratuit en plein air est un excellent véhicule pour montrer à l’ensemble des citoyens et citoyennes de sa ville qu’ils possèdent absolument tout ce qu’il faut pour embrasser la musique classique.

On voit le chef d'orchestre de profil, en train de diriger l'ensemble de musiciens et de musiciennes.

Yannick Nézet-Séguin voit dans les concerts au pied du mont Royal une occasion de décloisonner la musique classique.

Photo : Orchestre métropolitain/Denis Germain

L’Orchestre interprétera la Danse villageoise de Claude Champagne, ainsi qu’une ouverture du compositeur montréalais Maxime Goulet inspirée par la devise des Jeux olympiques, Citius, altius, fortius, puis des extraits du ballet Fancy Free de Leonard Bernstein, qui a inspiré le film Maestro pour lequel Yannick Nézet-Séguin a été consultant.

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Selon le chef d’orchestre, ce menu musical n’est pas différent de ce qui propulse les instruments de sa troupe en temps normal. On va jouer ce qui est la signature de l’Orchestre métropolitain : des grands compositeurs comme Georges Bizet, mais aussi des compositrices comme Amy Beach, une pionnière.

La Symphonie gaélique d’Amy Beach est d’ailleurs la première symphonie américaine composée par une femme. L’OM interprétera également la Juba tirée de la Symphonie n o 3 de la compositrice afro-américaine Florence Price.

Magnifier les sons pour qu’ils imitent le paysage

La pianiste néoclassique Alexandra Stréliski sera de la partie en tant qu’invitée spéciale de l’OM cette année. Il s’agira de sa première collaboration avec Yannick Nézet-Séguin. Les deux artistes souhaitaient travailler ensemble depuis longtemps.

C’est vrai que c’est de la musique très intime, mais on prend les instruments d’orchestre déjà présents dans ses pièces, comme un violon ou une flûte, et on va les magnifier, les rendre plus vastes. Quand j’écoute la musique d’Alexandra, je pense à de longs paysages et à des ciels à perte de vue. Avec le soleil qui se couche, ce sera magique.

Une citation de Yannick Nézet-Séguin, directeur artistique de l’Orchestre métropolitain

Soucieux de démocratiser la musique orchestrale, Yannick Nézet-Séguin assure que toutes les manières d’accueillir le concert sont encouragées et acceptées. On présente les pièces et les gens écoutent très bien, assure-t-il. Ce concert-là est un lieu où les gens peuvent décider comment ils vont aller voir la musique. Que ce soit en groupe d’amis avec de la nourriture ou en famille pour que les enfants découvrent le plaisir de la musique et dansent s’ils le veulent.

Il ajoute que chaque personne possède sa propre façon de se lier à la musique et en respectant la méthode de chacun, cela permet d’offrir un concert des plus décontractés. Le silence de la Maison symphonique permet de goûter à la musique encore plus, mais ce soir, on n’essaie pas qu’il y ait 50 000 personnes en silence. On espère seulement que les gens seront à l’écoute.

Le concert de l’OM se déroule au pied du mont Royal, mardi soir à 19 h 30.

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La nouvelle mouture de Starmania – dont la première médiatique avait lieu mercredi soir à la Place Bell de Laval –a rempli ses promesses.

Dès le premier accord, on savait que nous allions assister à un grand spectacle. Après plus de deux heures, je n’avais qu’un seul mot à écrire et en lettres majuscules: MAGISTRAL.

Résumé

Une Starmania magistrale

Par Mario Boulianne, Le Droit

8 août 2024 à 04h00|

Mis à jour le8 août 2024 à 07h14

L'opéra-rock <em>Starmania</em> est présenté jusqu'au 18 août à la Place Bell de Laval.|800x533.1645569620254

L’opéra-rock Starmania est présenté jusqu’au 18 août à la Place Bell de Laval. (Anthony Dorfmann)

CRITIQUE / On s’attendait à du spectaculaire et on a été servi!


La nouvelle mouture de Starmania – dont la première médiatique avait lieu mercredi soir à la Place Bell de Laval –a rempli ses promesses.

Dès le premier accord, on savait que nous allions assister à un grand spectacle. Après plus de deux heures, je n’avais qu’un seul mot à écrire et en lettres majuscules: MAGISTRAL.



Comment vous dire sans avoir l’air d’un agent de promotion: la proposition du metteur en scène Thomas Jolly est tout à fait spectaculaire.

La scénographie, les chorégraphies, les éclairages et les décors, tout est forgé dans la perfection.

Il a quelques longueurs dans cette ode futuriste proposée en deux actes, dont un entracte qui n’en finissait plus. Mais rien pour nous endormir, bien au contraire. Cela nous permet de souffler un peu tellement l’énergie sur scène est affolante!

Les décors font presque office de personnages dans la nouvelle mouture de Starmania. (ANTHONY DORFMANN/Anthony Dorfmann)

Et qui dire de la livraison.

Les artistes sur cette immense scène ont été sans faille.

J’ai eu un véritable coup de foudre pour William Cloutier qui nous livre un Johnny Rockfort coulé dans le rock et la nuance. Son interprétation de S.O.S. d’un terrien en détresse, entre autres, était parfaite. Et des heures plus tard, j’ai toujours ce refrain de Quand on arrive en ville qui m’a fait revivre la géniale interprétatioin de Balavoine dans la mouture originale.

Mais ma vedette de la soirée fut l’interprète de Sadia, Miriam Baghdassarian, qui a déchiré la scène à plusieurs reprises, et tout spécialement sur Ce soir on danse à Naziland.

D’ailleurs, j’attendais ce numéro avec impatience autant pour la chanson, bien sûr, que pour la mise en scène imaginée par Jolly qui nous a transportés dans la discothèque installée sur le toit de la grande tour de Zéro Janvier.

Je pourrais énumérer comme ça toutes les chansons de l’opéra rock tellement la prestation des interprètes était à la hauteur.

Alex Montembault a livré une grande performance sur Le monde est stone. (Anthony Dorfmann)

Mais je veux souligner à grands traits le numéro final.



Seule survivante de l’effondrement de la grande tour, Marie-Jeanne sort des décombres pour nous offrir Le monde est stone magnifiquement interprétée par Alex Montembault. Cette vision apocalyptique rappelant étrangement Manhattan après l’effondrement des tours jumelles est saisissante.

D’ailleurs, la foule très difficile de cette première médiatique a bondi d’un seul élan pour applaudir à tout rompre cette conclusion plus qu’efficace.

Plusieurs numéros ont d’ailleurs eu cet effet, du moins, sur l’auteur de ces lignes.

Les éclairages sont tout simplement spectaculaires. (Anthony Dorfmann)

Scénographie

Les décors et les éclairages font également œuvre de personnages dans cette nouvelle lecture.

Tout est en mouvement sur l’immense scène, ce qui offre une perspective dynamique largement accentuée par les éclairages.

On n’a pas souvent l’occasion de voir ce genre de jeux de lumière qui utilisent les effets monochromes s’inscrivant dans les teintes de gris, de rouge et de jaune.

Le résultat est tout à fait stupéfiant.

La vingtaine de danseurs sont, à mon avis, une valeur ajoutée à ce spectacle. Les chorégraphies sont très efficaces.



Je m’en voudrais de passer à côté de la prestation de six musiciens sur scène. Et oui, il y a de vrais musiciens qui interprètent toutes les pièces de l’opéra rock. On entend des pistes préenregistrées pour certains passages, mais la force de la musique live ajoute une couche de plus à la qualité de cette immense production.

Malaika Lacy a pris les traits de Gourou Marabout. (Anthony Dorfmann)

Les étoiles

Il est temps de distribuer les étoiles à mettre dans le cahier des interprètes.

Gabrielle Lapointe est fabuleuse dans le rôle de Cristal, tout comme Maag dans celui de Stella Spotlight. D’ailleurs, cette dernière me rappelait étrangement la grande Diane Dufresne à certains moments, elle qui reprenait le rôle que la diva québécoise avait assuré dans la version originale. On colle donc quatre étoiles dans leur cahier.

Adrien Fruit dans la peau de Ziggy m’a ému à quelques reprises, au même titre que Malaika Lacy dans le costume de Gourou Marabout et Miriam Baghdassarian, la nouvelle Sadia à la crinière bleue. Allons-y pour trois étoiles chacun.

William Cloutier interprète un Johnny Rockfort très intense. (Anthony Dorfmann)

Je suis resté un peu indifférent au jeu de David Latulippe qui interprète Zéro Janvier, malgré une grande livraison du Blues du businessman. J’avoue avoir complètement oublié la version de Claude Dubois. Il mérite quand même deux étoiles.

Quant au «couple maudit» formé de William Cloutier, dans le rôle de Johnny, et de Gabrielle Lapointe, dans celui de Cristal, je leur accorde cinq étoiles. Ils m’ont soufflé tout au long de la soirée.

Pour la mise en scène, la scénographie, les éclairages et les chorégraphies, la nouvelle mouture de Starmania est un must. Ajoutez le jeu des interprètes et il faut absolument voir ce spectacle qui ne reste que quelques jours au Québec. L’opéra rock composé par Michel Berger et écrit par Luc Plamondon – qui était présent mercredi soir à Place Bell – tiendra l’affiche jusqu’au 18 août.

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Montréal commémorera vendredi les 40 ans du spectacle marquant Magie rose, que Diane Dufresne avait offert au Stade olympique devant des dizaines de milliers de spectateurs.

Résumé

Magie rose au Stade olympique Montréal commémorera les 40 ans du spectacle de Diane Dufresne

PHOTO PIERRE CÔTÉ, ARCHIVES LA PRESSE

Le 16 août 1984, 55 000 personnes vêtues de rose s’étaient rassemblées pour voir Diane Dufresne, qui est devenue la seule et unique artiste québécoise à offrir un concert de cette envergure au Stade olympique.

Montréal commémorera vendredi les 40 ans du spectacle marquant Magie rose, que Diane Dufresne avait offert au Stade olympique devant des dizaines de milliers de spectateurs.

Publié à 13h17

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Vicky Fragasso-Marquis La Presse Canadienne

Le 16 août 1984, 55 000 personnes vêtues de rose s’étaient rassemblées pour voir la diva québécoise, qui est devenue la seule et unique artiste québécoise à offrir un concert de cette envergure au Stade.

Pour marquer les 40 ans de cet évènement, la Tour de Montréal sera illuminée de rose.

Magie rose, qui avait été produit par le grand Guy Latraverse, avait un budget de 400 000 $ et avait été filmé par dix caméras, dont une installée dans un hélicoptère. La mise en scène était assurée par Dufresne elle-même, assistée de Mouffe.

Le spectacle avait été enregistré pour la télévision et un album, qui est d’ailleurs toujours disponible sur les plateformes d’écoute en ligne.

À l’époque, les 55 000 spectateurs présents sur place avaient payé 10 $ pour leur billet d’entrée. Tout le Québec avait pu voir le résultat spectaculaire à la télévision aux Beaux Dimanches, à Radio-Canada, en novembre de la même année.

« Ce spectacle fait partie de l’imaginaire collectif québécois et nous ne pouvions passer cet anniversaire sous silence », a souligné par communiqué Nicolas Lemieux, président de GSI Musique et producteur de Diane Dufresne.

« L’équipe du Stade olympique a rapidement accepté la proposition et illuminera la Tour de Montréal tout en rose afin de souligner les 40 ans de cette soirée mémorable. »

Dans le même communiqué, Diane Dufresne dit conserver de bons souvenirs de cet évènement « porté par le public ».

« C’est une des plus belles choses que j’ai vues dans ma vie ; quand je suis entrée dans le Stade et que j’ai vu que tout le monde était vêtu de rose, il y avait une sorte de magie, de joie dans tout le Stade », a-t-elle relaté.

Le lendemain, les médias rendaient compte d’un spectacle marquant, de cette « coulée rose » qui avait déferlé sur le Stade, pouvait-on lire dans Le Soleil.

« Il fallait tous les courages, toutes les audaces et tout le talent d’une star internationale pour relever ce défi démesuré… et Diane a réussi. Qu’on le dise, qu’on l’admette enfin », écrivait le journaliste de La Presse Jean Beaunoyer.

Le journaliste du Soleil Léonce Gaudreault avait pour sa part rendu compte de l’ambiance dans le public : « Faute de pouvoir sentir la diva de près, c’est dans cette magnifique foule que le plus beau du spectacle passait. Pour beaucoup de gens, là où on pouvait se toucher, s’embrasser. Sous la pulsion provocante de la diva. »

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Et le mat n’était pas encore complété!

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À l’instar de l’année dernière avec Les Fééries et son cirque, le complexe Hôtel-Casino de Charlevoix attire les foules en ce mois d’août, avec Charlevoix fait son ComediHa!. Samedi soir, c’était au tour d’Alexandre Barrette de faire rire une salle comble.

Résumé

L’humour fait salle comble dans Charlevoix

Par Félix Lajoie, Le Soleil

25 août 2024 à 14h00

Samedi soir, c’était au tour d’Alexandre Barrette de faire rire une salle comble à La Malbaie.|800x532.4

Samedi soir, c’était au tour d’Alexandre Barrette de faire rire une salle comble à La Malbaie. (Sylvain Foster/Loto-Québec)

À l’instar de l’année dernière avec Les Fééries et son cirque, le complexe Hôtel-Casino de Charlevoix attire les foules en ce mois d’août, avec Charlevoix fait son ComediHa!. Samedi soir, c’était au tour d’Alexandre Barrette de faire rire une salle comble.


Avant même l’ouverture des portes, une file de spectateurs qui semblait interminable attendait l’humoriste, samedi soir à La Malbaie.

La formule «show mystère», gratuite comme tous les autres spectacles de l’évènement, est particulièrement populaire puisqu’elle offre habituellement des performances d’humoristes très connus. Des «grands noms de l’humour québécois», comme aime dire Sylvain-Parent Bédard, président et chef de la direction de ComediHa!.



Est-ce qu’Alexandre Barrette est un «grand nom»? L’humoriste a lui-même abordé la question dès son entrée sur scène: «J’ai vu des visages déçus dans la salle!» a-t-il lancé.

Si certains spectateurs avaient des doutes au départ, il y a fort à parier que l’humoriste originaire de Québec est remonté dans leur estime, puisqu’il a livré une performance tordante.

Loto-Québec diversifie son offre culturelle dans ses casinos depuis quelques années, et le festival Charlevoix fait son ComediHa! s’inscrit dans cette initiative. (Sylvain Foster/Loto-Québec)

Avec le naturel qu’on lui connaît, Barrette a fait rire toutes les générations avec des gags sur les petites choses de la vie, sur ses amis… ou encore sur le prénom Steeve! En préparation pour son prochain spectacle solo*,* la performance abordait également des thématiques beaucoup plus osées… jeunes oreilles s’abstenir.

Le Ha!ngar, salle de spectacle faite en partie avec des conteneurs recyclés, offre une belle proximité entre l’humoriste et la foule. Les spectateurs qui veulent en profiter pour voler la vedette risquent toutefois de finir comme un certain André, qui s’est fait «rincer» par Alexandre Barrette tout au long de la soirée.

Déjà une réussite

«On n’est pas rendus au bilan, mais si ça continue comme ça, on peut vraiment dire que c’est une réussite. C’est salle comble tous les soirs», se réjouit Sylvain Parent-Bédard, président et chef de la direction de Comediha!, qui se dit agréablement surpris de la réception «très, très favorable» du public charlevoisien.

«J’étais là jeudi soir et le plafond voulait lever tellement ça riait», ajoute M. Parent-Bédard.


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ComediHa! courtise Charlevoix
Sylvain Parent Bédard, président fondateur et chef de la direction de ComediHa!

Loto-Québec diversifie son offre culturelle dans ses casinos depuis quelques années, et elle a visé dans le mille avec ComediHa! comme partenaire, lance Renaud Dugas, directeur des relations médias chez Loto-Québec.

«On est vraiment content de notre partenariat, mais surtout de voir que les gens sont au rendez-vous. Les petites familles et les étudiants sont vraiment heureux de venir voir de gros noms gratuitement», soutient M. Dugas.

Vu le succès de l’évènement, M. Dugas invite les gens à arriver plus tôt que tard, puisque c’est premier arrivé, premier servi. Le «show mystère» du samedi soir est particulièrement populaire.

Le spectacle — et l’ambiance — étaient également présents à l’extérieur du Ha!ngar. (Sylvain Foster/Loto-Québec)

«Le spectacle est à 20 h et les portes ouvrent à 19 h 30, mais les gens peuvent arriver avant. La semaine dernière, il y avait près de 750 personnes, alors qu’il y a environ 400 places assises», note M. Dugas, alors que Michel Barrette était l’humoriste mystère.



Afin d’accommoder ceux qui ne peuvent arriver à temps pour avoir une place, M. Parent-Bédard indique qu’un écran géant et des tables ont été aménagés à l’extérieur du Ha!ngar.

Charlevoix fait son ComediHa! se poursuit jusqu’au 1er septembre, avec la formule «ComediHa! club» jeudi et vendredi, un spectacle mystère samedi et le Gong show pour finir dimanche.

Aucune annonce n’a été faite pour un retour de l’évènement l’année prochaine, mais le président de ComediHa! croit que l’humour est en train de faire sa place dans Charlevoix, alors des spectacles de la relève avaient fait leur apparition l’année dernière.

«Définitivement! On voulait faire une première édition, mais avec la réception des gens et le public qui est au rendez-vous, c’est très prometteur pour le bilan qu’on va faire à la fin de l’évènement», conclut M. Parent-Bédard.

For Linking Park fans that might have missed this today… they had a really big announcement day!

They have announced two new members:

  • Emily Armstrong, as co-vocalist (replacing the late Chester Bennington)
  • Colin Brittain, as drummer (replacing Rob Bourdon)

They have announced a new album called From Zero, releasing on 2024-11-15, and a world tour.

From:

And they released a new single and music video, The Emptiness Machine:

Un geste symbolique

Denis Villeneuve n’a pas voulu préciser le montant d’argent versé au programme de parrainage fiscal du Conseil des arts de Montréal. « Grâce à ce don, le Conseil des arts pourra mieux soutenir les activités du Cinéma du Parc, dans la poursuite de sa mission d’accroître l’audience du cinéma d’art et d’essai à Montréal, tout en favorisant le rayonnement du septième art dans la communauté », a indiqué la direction de l’établissement.

Résumé

Le « don majeur » de Denis Villeneuve au Cinéma du Parc

PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE

Le réalisateur Denis Villeneuve, dans le hall du Cinéma du Parc

(Toronto) Le cinéaste Denis Villeneuve a fait un « don majeur » au Cinéma du Parc. La direction du complexe de trois salles en a fait l’annonce en primeur à La Presse ce week-end, trois jours avant le dévoilement de ses nouveaux espaces, après d’importants travaux de rénovation. Notre journaliste a rencontré le réalisateur dimanche, à Toronto, où il participait à deux évènements au TIFF.

Publié à 1h12 Mis à jour à 6h00

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Luc Boulanger
Luc Boulanger La Presse

À 56 ans, Denis Villeneuve a envie de partager sa passion et son amour du cinéma avec les cinéphiles du futur. Or, pour le réalisateur de Dune, le meilleur endroit pour le faire demeure les salles de cinéma. « C’est là que l’expérience cinématographique s’épanouit le mieux », explique Villeneuve, rencontré dimanche dans le lobby d’un hôtel torontois.

Le cinéaste québécois est dans la Ville Reine pour deux raisons. Il a participé dimanche soir à la cérémonie d’un prix hommage à son amie, l’actrice Amy Adams. Puis mardi, il assistera à la projection en IMAX de son diptyque Dune. Les deux films, d’une durée de 400 minutes, seront présentés de suite. La projection sera suivie d’une conversation du cinéaste avec le public, modérée par le directeur du Festival international du film de Toronto (TIFF), Cameron Bailey.

Un geste symbolique

Denis Villeneuve n’a pas voulu préciser le montant d’argent versé au programme de parrainage fiscal du Conseil des arts de Montréal. « Grâce à ce don, le Conseil des arts pourra mieux soutenir les activités du Cinéma du Parc, dans la poursuite de sa mission d’accroître l’audience du cinéma d’art et d’essai à Montréal, tout en favorisant le rayonnement du septième art dans la communauté », a indiqué la direction de l’établissement.

Notons que ce don s’ajoute à un autre fait par le réalisateur d’Incendies au Cinéma Beaubien, en 2023.

PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE

Le réalisateur Denis Villeneuve et la directrice générale du Cinéma du Parc, Roxanne Sayegh

L’idée, ce n’est pas de me faire de la publicité avec ça, mais de sauver les anciennes salles pour la pérennité de mon art.

Denis Villeneuve

C’est Roxanne Sayegh, directrice générale du Cinéma du Parc et des cinémas Beaubien et du Musée, qui a convaincu Villeneuve que l’annonce publique pouvait inciter d’autres gens à investir dans la philanthropie et le patrimoine culturel.

Sauver le patrimoine cinématographique

Denis Villeneuve souhaite qu’on protège mieux les vieux cinémas, qu’il voit comme des joyaux du cinéma. En février dernier, à l’initiative du réalisateur Jason Reitman, il s’est joint à un groupe de mécènes hollywoodiens pour acheter et restaurer le Westwood Village Theater, à Los Angeles. Ce cinéma historique, datant de 1930, avait été mis en vente l’an dernier. Outre Villeneuve, Reitman a réuni une trentaine de cinéastes célèbres, dont Damien Chazelle, Alfonso Cuarón, Christopher Nolan, Alexander Payne, Steven Spielberg et Chloé Zhaom…

« Le Village Theater est un magnifique cinéma vintage, que Jason a fréquenté dans sa jeunesse, raconte Denis Villeneuve. Il avait peur que le lieu soit transformé en condominiums… Et ça lui brisait le cœur. Je me suis dit : si je l’ai fait à Los Angeles, je dois aussi le faire à Montréal !

— Et pourquoi le cinéma du Parc ?

C’est un cinéma que j’ai toujours aimé. Avec son côté underground, sa programmation de films d’auteur en version originale. C’est aussi un cinéma fréquenté par des jeunes, des étudiants. En France, il y a un retour de la jeunesse dans les salles de cinéma. J’espère que le phénomène se produira au Québec, car on a besoin d’amener la nouvelle génération vers la vraie expérience en salle. C’est sûr que la compétition avec le streaming est forte. Mais on l’a vu avec la pandémie, l’isolement des jeunes fixés à leurs écrans est malsain. »

Cinéma Paradiso

Au fil du temps, plusieurs cinémas indépendants et de quartier ont disparu à Montréal. Cela attriste Denis Villeneuve. Il évoque entre autres le travail de Roland Smith et de Claude Chamberlan. Ce dernier s’occupait du Parallèle, minuscule salle derrière le Café Méliès, boulevard Saint-Laurent. Il déplore la fermeture de l’Excentris… le projet abandonné par Daniel Langlois.

« Ces salles étaient des lieux où les cinéastes, les cinéphiles et les futurs cinéastes se réunissaient pour célébrer et discuter collectivement de leur art, dit-il. Or, il faut leur donner les moyens pour garantir des conditions de projection parfaites, avec des écrans et un son de qualité. »

Les gros films comme je fais désormais ont accès aux multiplexes géants. Or, c’est important que les films indépendants aient aussi accès à des salles de qualité.

Denis Villeneuve

Denis Villeneuve se souvient très bien « du choc esthétique » qu’il a eu en voyant Lawrence d’Arabie, en copie 70 mm, tout seul dans l’immense salle du cinéma de la Place du Canada. Il se souvient aussi de la trilogie du réalisateur Krzysztof Kieślowski (Bleu, Blanc, Rouge), vue à l’Élysée, rue Milton. Sans oublier les films de son adolescence qu’il savourait dans l’obscurité du Cinéma de Fleur de Lys, à Trois-Rivières. « Il n’y a rien de tel que de regarder un film au cinéma avec d’autres cinéphiles. L’expérience humaine du cinéma en salle favorise le partage des émotions, des idées. De plus, les salles demeurent l’écrin le plus spectaculaire pour montrer un long métrage ! »

PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE

Les nouveaux espaces du Cinéma du Parc, qui a investi plus d’un million pour se refaire une beauté

Pour Roxanne Sayegh, le don de Denis Villeneuve va donner des ailes au Cinéma du Parc. « Son geste témoigne de son engagement sincère envers la communauté cinématographique montréalaise, se réjouit la directrice. Nul doute que ce don renforcera la position du Cinéma du Parc, qui aura bientôt 50 ans, et lui servira de tremplin. »

Exécutée au coût de 1,3 million durant un an, la transformation du cinéma du Parc a été réalisée par la firme de design et d’architecture blanchette archi. design, en collaboration avec les firmes d’entrepreneurs Modulor et Manovra. « L’équipe de design a puisé dans l’ADN du Cinéma du Parc pour concevoir le nouveau design des espaces, en s’inspirant notamment de l’œuvre de David Lynch et ses ambiances feutrées », souligne la directrice générale.

Une programmation spéciale de films ayant marqué l’histoire du Cinéma du Parc sera présentée du 12 au 15 septembre.

Le Cinéma du Parc en 7 dates

28 avril 1977 : Ouverture officielle des Cinémas La Cité par les Cinémas Unis, filiale québécoise de Famous Players.

Novembre 1984 : Exploité sous le nouveau nom de Place du Parc*.* Trois ans plus tard, sous la direction de Roland Smith, il deviendra le Cinéma Bogart. En 1988, Smith quitte l’endroit qui redevient le Cinéma du Parc.

1994 : Vente par Famous Players à Thierry et Éric Martin. Début de la programmation d’art et d’essai et de répertoire.

1999 : Faillite. Acquisition par Don Lobel, programmateur de spectacles rocks et de films indépendants au Théâtre Rialto. Il fait du nouveau Cinéma du Parc un OSBL.

2001 : Don Lobel vend le cinéma à Daniel Langlois et demeure programmateur. Plus d’un demi-million d’investissements dans la rénovation des trois salles. Virage dans la programmation pour présenter plus de primeurs (à l’instar d’Excentris).

2006 : Après une fermeture de quelques mois, Roland Smith redevient propriétaire. Il programme un plus grand nombre de films francophones et internationaux, avec un équilibre entre répertoire et films de genre. En 2013, Smith cède la propriété à l’équipe du Cinéma Beaubien, dirigée par Mario Fortin.

Septembre 2022 : Arrivée de Roxanne Sayegh à la tête des cinémas du Parc, Beaubien et du Musée.

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Le Cirque Eloize doit suspendre ses spectacles en raison des dommages causés par le bris d’aqueduc sur René-Lévesque

Circus company facing millions of dollars in damage after Montreal’s water main break

Cirque Éloize was forced to suspend touring for six months. Its storage units were near the site of a major water main that burst in Montreal in August — flooding its sets, equipment and costumes.

Le Cirque Éloize a perdu de l’équipement, des costumes et des archives lorsque l’eau a inondé au mois d’août le local d’entreposage qu’il loue sur la rue Notre-Dame. La compagnie de cirque basée à Montréal estime les dommages à des millions de dollars.

Le 16 août dernier peu avant 6 h, un bris d’aqueduc a causé un immense geyser sur la rue René-Lévesque à Montréal. Des inondations, des interruptions de courant et des avis d’ébullition d’eau sont parmi les conséquences de la fuite.

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La Ville de Toronto étudie la possibilité d’envoyer une œuvre d’art exposée depuis 1975 dans la station de métro Spadina au Musée des beaux-arts de Montréal en vue d’une exposition qui aura lieu en 2025.

Dans son rapport, le personnel de la Ville demande au conseil municipal d’autoriser le directeur général responsable du développement, de la culture et du tourisme à louer temporairement l’œuvre intitulée Barren Ground Caribou au Musée des beaux-arts de Montréal et au Musée des beaux-arts de l’Ontario.

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Le Cinéma du Parc fait peau neuve grâce à un don majeur du cinéaste Denis Villeneuve et une contribution financière de 230 000$ de la Ville de Montréal dans le cadre de notre programme d’acquisition/rénovation d’immeubles occupés par des entreprises d’économie sociale.

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Le milieu des arts vivants ne s’est jamais vraiment remis de la pandémie, rappelle une nouvelle étude. L’assistance observée en 2023, toutes disciplines confondues, se situe à 19 % en deçà du niveau de 2018. La proportion de Québécois qui disent n’assister à aucun spectacle est aussi en hausse.

Selon un coup de sonde réalisé par le Groupe de travail sur la fréquentation des arts de la scène (GTFAS), 43 % des Québécois de plus de 16 ans déclarent n’avoir assisté à aucun spectacle dans la dernière année. C’est 8 points de pourcentage de plus que cinq ans auparavant.

Et parmi la faible majorité de Québécois qui disent avoir vu au moins un spectacle, le nombre de billets achetés dans l’année tend à baisser. En 2018, les spectateurs québécois avaient assisté en moyenne à près de cinq spectacles dans l’année. En 2023, la première véritable année de reprise post-pandémie, la moyenne annuelle était estimée à 4,36 représentations par personne.

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L’OSM a publié une vidéo sur les ses cloches

Des cloches de carillon pour l’OSM

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Résumé

Une immersion dans l’univers flamboyant de Diane Dufresne à l’Arsenal

L'artiste sur scène, les bras étendus à l'horizontale, portant une grande robe bouffante à partir de la taille.

Diane Dufresne dans l’une de ses robes légendaires.

Photo : Site web de l’exposition Aujourd’hui, hier et pour toujours

Publié à 4 h 00 HAE

Depuis plus de 50 ans, Diane Dufresne marque les esprits avec son audace et son extravagance. L’exposition immersive Aujourd’hui, hier et pour toujours, présentée jusqu’au 13 octobre à l’Arsenal art contemporain, à Montréal, nous plonge dans son univers créatif, entre ses concerts mythiques, ses robes excentriques et plusieurs œuvres créées de sa main.

La présentation de l’exposition coïncide avec le 80e anniversaire de Diane Dufresne, qu’elle fêtera le 30 septembre prochain. Le commissaire de l’exposition, son mari Richard Langevin, a voulu offrir au public une vision exhaustive des multiples talents de l’artiste, au-delà de la musique.

À l’entrée de l’exposition, les visiteurs reçoivent un audioguide qui diffuse les plus grands succès de l’artiste pendant le parcours. Les projections murales dans la première salle font revivre au public les grandes prestations de Diane Dufresne, comme le spectacle Magie rose présenté devant 55 000 personnes au Stade olympique en 1984.

Entre les bars roses récupérés de ce concert, au centre de la pièce, se dresse la fameuse robe-orchestre portée par la chanteuse ce soir-là, conçue par le couturier Mario Di Nardo. Plusieurs autres robes imaginées pour la scène sont présentées dans l’exposition, comme celle de Michel Robidas pour le spectacle Symphonique N’Roll (1988).

L'artiste pose avec les cheveux coiffés vers le haut dans une longue robe, tenant un masque pour les yeux.

Diane Dufresne, chanteuse, comédienne et artiste visuelle

Photo : Site web de l’exposition Aujourd’hui, hier et pour toujours

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Rolls-Royce et cahiers de de notes

Diane Dufresne ne fait pas que chanter; elle a toujours gardé un grand contrôle sur l’univers visuel entourant sa musique. Plusieurs de ses cahiers de notes sont d’ailleurs exposés à l’Arsenal. Ils contiennent ses idées de mise en scène, d’éclairage, de costumes et d’effets spéciaux.

L’exposition présente également plusieurs œuvres de Diane Dufresne, l’artiste visuelle : des peintures, des sculptures et des installations qui révèlent une autre facette de son talent. Certains objets font un clin d’œil à la vie privée de l’artiste, comme la Rolls-Royce rutilante que son ami Yvon Deschamps lui a offerte.

Une exposition consacrée à Diane Dufresne à l’Arsenal art contemporain.ÉMISSION ICI PREMIÈRE.Tout un matin.

Une exposition consacrée à Diane Dufresne à l’Arsenal art contemporain

Tout un matin, avec Patrick Masbourian.

En fin de parcours s’érige un grand cercueil recouvert de végétation, triste rappel de notre finalité. Mais Diane Dufresne affirme qu’elle a déjà fait la paix avec la mort. À bientôt 80 ans, elle travaille d’ailleurs à un nouvel album, qu’elle considère peut-être comme le meilleur de sa carrière.

Oui, tout le monde a peur des cercueils et des têtes de mort, mais moi, je vois ça un peu de la même manière que les Mexicains [et leur jour des Morts]. Ce n’est pas nécessairement une fête, mais ça enlève un peu de la peur.

Une citation de Diane Dufresne, en entrevue avec Louis-Philippe Ouimet

Avec les informations de Louis-Philippe Ouimet et de Claudia Hébert

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Plusieurs artistes de l’international feront une escale à Montréal pour la 30e édition du Festival de films Cinemania, qui se tiendra du 6 au 17 novembre, dont Monica Bellucci, Tahar Rahim, Grand Corps Malade, Romain Duris et Franck Dubosc.

L’icône du cinéma Monica Bellucci sera de passage pour présenter le documentaire Maria Callas, lettres et mémoire de Tom Volf et Yannis Dimolitsas. Le film retrace la tournée mondiale de la pièce du même nom sur la légendaire cantatrice grecque Maria Callas, incarnée par l’actrice italienne.

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Résumé

Saison 2024-2025 de la TOHU Les 7 Doigts pour boucler la boucle

PHOTO MARIKA VACHON, COLLABORATION SPÉCIALE

La troupe des 7 Doigts a présenté un extrait de sa pièce Duel Reality à l’occasion du lancement de programmation à la TOHU.

Pour célébrer son 20e anniversaire, la TOHU a programmé sept pièces acrobatiques créées par des compagnies d’ici, mais aussi de Belgique, d’Australie, de France et du Mozambique. Quelques créations, plusieurs reprises et, bien sûr, le traditionnel spectacle des finissants de l’École nationale de cirque de Montréal.

Publié le 15 août

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Jean Siag
Jean Siag La Presse

L’évènement

PHOTO MARIKA VACHON, COLLABORATION SPÉCIALE

La troupe des 7 Doigts a présenté un extrait de sa pièce Duel Reality à l’occasion du lancement de programmation à la TOHU.

Duel Reality

Ce spectacle des 7 Doigts a été créé pour le premier navire de croisière du groupe Virgin en 2019. Relecture acrobatique de Roméo et Juliette, la production de Duel Reality a malheureusement été suspendue pendant la pandémie avant de renaître sous forme de spectacle théâtral et d’entamer une tournée américaine. La pièce des 7 Doigts mise en scène par Shana Carroll (Traces, Passagers, Mon île, mon cœur) sera présentée à la TOHU en mode bifrontal (le public se faisant face) comme lors de la création marine originale. Cette production des 7 Doigts marque non seulement les 20 ans de la TOHU, mais aussi ceux de la compagnie, qui a présenté en 2004 son premier spectacle, Loft, en ces murs circulaires de la métropole.

Du 16 octobre au 17 novembre

PHOTO PASCAL BOUCLIER, FOURNIE PAR LA COMPAGNIE THOMAS GUÉRINEAU

Le spectacle Maputo-Mozambique est l’une des productions les plus intrigantes de la TOHU cette saison.

On est intrigués

Maputo-Mozambique

On nous explique que ce spectacle de la Compagnie Thomas Guérineau a été créé à la suite d’un stage de jonglage organisé en 2011 au Mozambique, dans le but de former de jeunes artistes. Mais voilà, ce spectacle au croisement du jonglage, du chant et des percussions semble avoir été victime de son succès puisqu’il tourne un peu partout dans le monde depuis. « Improvisations dansées, jonglage de balles ou de sacs plastiques, rebonds sur percussions et autres manipulations de rhombes créent des images sonores, corporelles et plastiques aussi spectaculaires qu’insolites », écrit la TOHU dans son texte de présentation. Intrigant.

Du 19 au 23 février 2025

PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Xavier Bouvier et Benoît Devos ont présenté HA HA HA à la TOHU il y a 13 ans. Ils seront de retour pendant les fêtes.

Et aussi

HA HA HA

Parmi les reprises programmées par l’équipe de la TOHU, celle-ci attire notre attention : HA HA HA. Créée en 2001 par la compagnie Okidok, formée des Belges Xavier Bouvier et Benoît Devos, cette pièce clownesque a déjà été présentée ici deux fois : en 2006 et pendant les fêtes de l’hiver 2011. Ce duo, que nous avons découvert avec Slips Inside, forme une paire délirante. Avec HA HA HA, ces deux clowns-acrobates hyper attachants nous proposent un spectacle théâtral à la fois poétique et totalement absurde qui mise essentiellement sur leur relation amicale. Si vous ne les avez encore jamais vus sur scène, assurez-vous de ne pas les rater ce coup-ci.

Du 18 décembre au 5 janvier 2025

Consultez la programmation complète de la TOHU

30 septembre 2024

La Commission sur la culture, le patrimoine et les sports souhaite consulter la population montréalaise sur le projet de Politique de développement culturel de Montréal 2025-2030.

Le projet de Politique de développement culturel 2025-2030 sera présenté au cours d’une séance d’information publique :

Date et heure : Lundi 30 septembre 2024 à 13h30
Lieu : Salle des Armoiries (salle multifonction), Hôtel de ville de Montréal
275, rue Notre-Dame Est, Montréal (Québec) H2Y 1C6, RC-100
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C’est en direct sur YouTube

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