Montréal - Politique municipale

I like that idea. Maybe have a bike to work challenge or something like when Plante invited Bonnardel on the orange line :joy:

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J’ose espérer que lorsque je développe des points les lecteurs se font leur opinion sur l’ensemble de mon discours et par sur 3 lignes citées hors contexte, car non, encore une fois, ce n’est pas mon point.

Je suis d’accord que si on reste sur 3.5m de largeur de voie automobile, le REV Bellechasse ne peut pas accommoder une voie de stationnement en maintenant les largeurs de voie cyclable mandatées.

Ma réflexion est basée sur une réduction de la largeur de la voie de circulation de 3.5m à 3m. Bellechasse au plus étroit fait 11m de large. 3m de voie de circulation, 2.5m de voie de stationnement (pour être généreux), et 2* 2,7m de REV (2.3 m de voie + 0.4 de tampon) ca fait 10.90m. Réduit le stationnement à 2.3 ou 2.1m, et tu peux placer le surplus sur n’importe quelle voie qui te tente. On peut aussi ne pas avoir de stationnement du tout, et au moins restreindre la largeur de voie de 5m à 3.5m par du marquage.

Je regrette que l’arrondissement, et de manière générale les autorités municipales, ne sortent pas de leur carcan de 3.5m mini de largeur pour des voies de circulation, surtout dans des rues apaisées. Si réflexion fut prise plus globalement, en prenant en compte d’autres paramètres qu’installer deux voies cyclables de largeur prédéterminée autour d’une voie de circulation à 3.5m de large, on aurait pu faire quelque chose répondant à plus de problématiques. Elle est ici ma critique du REV Bellechasse.

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Avoir su que de te répondre sur une affirmation bien précise provoquerait un échange de ce genre, je ne l’aurais jamais fait. Passons à autre chose (ou poursuivez sans m’interpeller).

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Est-ce que tout le monde est grosso-modo d’accord avec ça? Je peux faire le sujet demain pour le lancement des élections :slight_smile: .

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2 messages ont été fusionnés à un sujet existant : Élections municipales 2021

Le sujet des élections est créé! Je vous invite à parler de la campagne électorale municipale ici:

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Donc l’enjeu de l’habitation est capital mais on veut abolir le règlement 20-20-20 et le remplacer par l’ancienne méthode?!

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Pourquoi ne pas réorienter une partie des sommes dédiées aux travaux d’infrastructure à l’habitation ?
Premièrement, je crois qu’on en a tous un peu marre des travaux et que sans tout arrêter, seulement réduire un peu ferait du bien. Et deuxièmement, l’urgence du moment est plutôt du coté du manque d’habitation abordable alors au lieu d’attendre le fédéral et le provincial la ville pourrait être plus proactive.

On a un déficit d’infrastructure de plus de 3 milliard et des conduites d’eau majeures qui ont failli exploser il y a à peine un an… Je penses pas qu’on peut se permettre ça

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Promesses de Valérie Plante: quel bilan en fin de mandat?

Rosanna Tiranti

28 septembre 2021 à 7h16 - Mis à jour 28 septembre 2021 à 8h34
9 minutes de lecture

Un débat sur le thème du tourisme, organisé avec ESG-UQAM et l’organisme Tourisme Montréal, s’est tenu au Palais des Congrès. Les candidats à la mairie de Montréal pour l’élection municipales, Valérie Plante de Projet Montréal, et Denis Coderre d’Ensemble Montréal ont débattu. / Josie Desmarais/Métro Photo: Josie Desmarais/Métro

À presque un mois du scrutin municipal, l’heure du bilan 2017-2021 de Valérie Plante a sonné. Métro dresse le portrait de ce qu’avait promis la mairesse avant d’accéder au poste ainsi que l’atteinte de ses principaux objectifs.

Métro a analysé les promesses liées aux cinq principaux chantiers énumérés par la mairesse lors de son discours d’assermentation, soit la mobilité, la sécurité urbaine, l’habitation, l’efficacité des services publics et le développement économique. Parmi les 64 promesses analysées, lesquelles ont été tenues/non tenues? Lesquelles sont en cours? Métro a sollicité l’éclairage de 3 experts.

62,5% de promesses tenues

En un coup d’œil, la mairesse affiche: 40 promesses tenues (62,5%), 11 promesses non-tenues (17,2%) et 13 promesses en cours (20,3%).

C’est en mobilité et en sécurité urbaine que la mairesse affiche le meilleur bilan de ses promesses (soit 19 promesses tenues sur 23), suivi par l’habitation et le développement économique (10 promesses tenues et 5 en cour sur 17). En revanche, c’est du côté de l’efficacité des services publics que le bilan est le moins positif avec 11 promesses tenues sur 24 (7 promesses non tenues et 6 en cours).

À noter que les promesses et les réalisations en matière de sécurité urbaine relèvent beaucoup de la sécurité des déplacements. Elles ne portent pas nécessairement sur la criminalité ou les armes à feu.

Des experts notent le mandat des promesses

La politologue et professeure à l’UQÀM Danielle Pilette s’est prononcée sur les promesses en matière d’habitation et d’efficacité des services publics.

Jean Philippe Meloche, professeur à l’école d’urbanisme et d’architecture de paysage à l’Université de Montréal, a quant à lui commenté le bilan en mobilité et en sécurité urbaine.

Enfin, Myriam Lavoie-Moore, chercheuse à l’Institut de Recherche et d’informations socio-économiques (IRIS) a commenté le bilan des promesses de la mairesse en développement économique et fiscalité.

Note en habitation :

4,5/5

Promesses tenues

  • Remboursement de la taxe de bienvenue
  • Programme d’achat de terrains en rive

Promesses en cours

  • Création d’un quartier familial sur le site de l’hippodrome
  • 300 unités d’hébergement ou de transition par année
  • Assurer la construction 12 000 logements sociaux et abordables

Promesses non tenues

  • Minimum de 20% de logements familiaux dans les nouveaux projets immobiliers

Commentaires de Danielle Pilette : L’importation d’un règlement 20/20/20, que l’on trouve dans certaines métropole où le marché est peu accessible (comme Paris et Vancouver), est assez novatrice. Par ailleurs, il est difficile de mesurer l’avancée des 12 000 logements, les projets de construction de logements dépend de plusieurs paliers de gouvernement.

Note sur l’efficacité des services publics :

3/5

Promesses tenues

  • Rénover les chalets des parcs
  • Multiplier les brigades propreté
  • Réduire le nombre de bureaux crées par Denis Coderre
  • Réduire les dépenses de chauffeurs du maire
  • Ligne d’appel pour ressources communautaires
  • Publier un registre des invités
  • Publier l’agenda de la mairesse
  • Favoriser la participation citoyenne
  • Service de permis en ligne
  • Pression sur gouvernement provincial pour la rénovation des écoles
  • Protéger les milieux humides
  • Intégrer des membres de l’opposition au comité exécutif

Promesses en cours

  • Un poste de maire dans Ville-Marie
  • Soumettre les OBNL crées par la Ville à la loi d’accès à l’information
  • Place publique rue Peter-McGill
  • Quatre écoles dans l’Est de Montréal
  • Créer un premier parc national urbain
  • Rénover la piscine
  • Henry William Morgan

Promesses non tenues

  • Réintroduire le poste de gardien de parc
  • Créer une commission pour la reddition de comptes pour les grands projets
  • Élargir le statut d’électeur
  • Un bain portuaire au Vieux-Port
  • Ouvrir des biergarden en plein air
  • Vote libre au sein du caucus de Projet Montréal

Les commentaires de Danielle Pilette: Au niveau micro, les promesses sont bien réalisées (ex: propreté, création de ligne d’appels). La création d’un poste de maire dans Ville-Marie est importante, elle pourrait changer l’efficacité des services publics de l’arrondissement et améliorer la représentation politique. Le dernier mot revient à Québec. L’efficacité organisationnelle est très inégale entre la ville-centre et les arrondissements. Le plus grand problème, c’est la question de la reddition de compte pour les grands projets (échéances et budget). Il est difficile de mesurer la performance organisationnelle dans plusieurs domaines (ex: les 12 000 logements). Il y a un problème d’arrimage entre les arrondissements et la ville-centre et entre les services qui sont dans le périmètre financier de la ville et qui dépendent aussi d’autres instances.

Note sur la mobilité :

4/5

Promesses tenues

  • Commander 300 bus hybrides
  • Créer un bureau de la ligne rose
  • Consultation et début des travaux du REV
  • Stations de métro accessibles aux personnes à mobilité réduite d’ici 2030
  • Accès au centre-ville des véhicules en autopartage et règles de stationnements assouplies
  • Pourparlers avec le gouvernement du Québec pour le prolongement de la ligne bleue
  • Étendre le service de bus et offrir une desserte plus rapide

Promesses en cours

  • Réduire les tarifs de 40% pour les 65 ans et plus et les jeunes

Promesses non tenues

  • Début des travaux de la ligne rose
  • Promenade sur l’Île Sainte-Hélène

Les commentaires de Jean-Philippe Meloche: Le REV, c’est la réalisation phare du mandat de Valérie Plante! La vision était là et dans ce contexte, les bottines on suivi les babines. Ils ont bousculé, mais c’était très cohérent avec ce qui avait été dit. Avec la ligne rose, on a vendu du rêve, on ne construit pas un métro en 4 ans. C’est facile à prolonger sur le papier, mais ça prend une décennie. Ne pas réaliser certaines promesses, ça peut être aussi un signe de bonne gestion. Concernant les tarifs de la STM (promesse de réduire les tarifs de 40% pour les 65 ans et plus et les jeunes), on peut promettre de le suggérer, mais la Ville à moins de contrôle sur la tarification.

Note sur la sécurité urbaine :

4,5/5

Promesses tenues

  • Créer l’Escouade mobilité pour la fluidité automobile durant des travaux
  • Créer la brigade des chantiers lors de travaux de voirie
  • Sécuriser des intersections dangereuses et abolitir la politique de quatre accidents avant d’agir
  • Allonger les temps de traverse
  • Sécuriser l’ensemble des zones scolaires
  • Modifier la règlementation sur la largeur minimale des trottoirs
  • Réduire la circulation sur le Mont-Royal
  • Créer des saillies de trottoirs, réduire la vitesse, rétrécir les voies et créer des pistes cyclables protégées
  • Réclamer un bilan annuel du SPVM sur le profilage racial
  • Créer un protocole de communications avec SPVM
  • Embaucher des agents spécialisés en médiation culturelle
  • 6 à 10 rencontres publiques de la Commission de la sécurité publique

Promesses en cours

Aucune.

Promesses non tenues

  • Nids-de poule: meilleur équilibre entre les mesures temporaires et la reconstruction
  • meilleur équilibre entre les mesures temporaires et la reconstruction

Les commentaires de Jean-Philippe Meloche: En matière de sécurité routière, la Ville a saisi les opportunités nécessaires (pistes cyclables, saillies). Chaque fois qu’il y avait un accident, l’administration était du côté des victimes et pas du côté de la fluidité automobile. Ils ont pris le levier de la mobilité durable. Quand il y a trop de mesures, ça peut enrager les automobilistes quand ça allonge les trajets.

Note sur le développement économique:

2,5/5

Promesses tenues

  • Révision de la taxation commerciale et résidentielle (collaboration Québec et Ottawa)
  • Vérification des états financiers du 375e
  • Deux premiers hubs start-ups dans des édifices publics ou vacants
  • Révision des règles de taxation commerciale
  • Soutien aux commerçants durant des travaux majeurs
  • Transférer la Formule E au circuit Gilles-Villeneuve ou renégocier l’entente
  • Mise en place «Véritable plan commerce»

Promesses en cours

  • Moratoire conversion en zonage résidentiel, d’ateliers d’artistes/artisans
  • Taxation foncière pour OBNL et certains usages culturels
  • Centre d’art amateur et du loisir

Promesses non tenues

  • Ne pas augmenter les taxes au-delà de l’inflation

Les commentaires de Myriam Lavoie-Moore: Soutenir les commerçants affectés: ça a bien fonctionné, idem dans le plan commerce et la revitalisation des artères commerciales. Au courant du mandat, il y a eu des mesures pour soutenir les commerces de proximité. Pour la hausse des taxes au-delà de l’inflation, je ne blâmerais pas Projet Montréal, car ça fait partie du modèle de fiscalité des municipalités centré sur les taxes foncières. Pour financer des services, ils n’ont pas le choix. Mais il y a eu beaucoup plus de soutien au niveau des grandes entreprises en innovation (start-ups). Pour moi, c’est quelque chose qui est presque en contradiction avec l’aide aux petits commerçants car cela participe à la gentrification (par exemple dans le Milex). Les ateliers d’artistes demandaient une réduction de taxes. Ce que la Ville a choisi de mettre en place, c’est des programmes de subventions à la rénovation, qui affectent la valeur du local et qui fait augmenter en retour les taxes foncières.

Quelques promesses phares

Promesses tenues

  • Début des travaux et mise en place du REV, réseau express vélo (2 axes)
  • Rendre les stations de métro accessibles aux personnes en mobilité réduite d’ici 2030 (18 sur 30)
  • Ouverture de deux premiers hubs pour start-ups dans des édifices vacants ou publics

Promesses en cours

  • Assurer la construction de 12 000 logements sociaux et abordables en 4 ans : la Ville affirme avoir atteint 11 564 logements, contrairement à la promesse, il ne s’agit pas uniquement de nouvelles constructions, des logements existants qui ont été rénovés sont comptabilisés.
  • Créer un poste de maire élu dans Ville-Marie : à l’automne prochain, un comité d’experts rendra public ses scénarios pour une meilleure représentation démocratique.

Promesses non tenues

  • Permettre le vote libre au sein du parti Projet Montréal
  • Ne pas augmenter les taxes au-delà de l’inflation
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Je suis d’accord, sauf qu’on a aussi un déficit de logement abordable. Pour l’Instant le choix de tout mettre dans les infrastructures nous a privé d’argent pour le logement, entre autre, ce qui à mené à la crise d’habitation que nous connaissons aujourd’hui. C’est un choix !

La crise d’habitation existe depuis que le fédéral a quitté le domaine du logement social. C’est eux qui, selon moi, devraient réinvestir. Le municipal fait sa part.

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Consensus autour du mont Royal pour les candidats à la mairie

Photo: Pascal Gaxet, Métro

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Pascal Gaxet - Métro

30 septembre 2021 à 20h38 - Mis à jour 30 septembre 2021 à 21h50 5 minutes de lecture

Le mont Royal ne sera pas forcément le sujet qui pourra départager les candidats à la mairie de Montréal. Le chef de Mouvement Montréal, Balarama Holness, la cheffe de Projet Montréal, Valérie Plante, et le chef d’Ensemble Montréal, Denis Coderre, ont exprimé leur consensus pour ce qui est de la protection de la montagne, jeudi soir, au pavillon du Lac-aux-castors, sur le mont Royal, à Montréal.

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À tour de rôle, ils ont pu répondre chacun à des questions sur l’avenir du mont Royal dans le cadre d’échanges avec l’organisateur de l’événement, Les amis de la montagne, l’organisme de conservation de la montagne.

M. Holness propose d’élargir la zone de protection de la montagne. Il souhaite créer une «ceinture verte» autour du mont Royal, c’est-à-dire une zone protégée pouvant aller «jusqu’à 500 mètres» qui imposerait des règles de zonage, notamment sur la construction future d’immeubles, édifices ou tout autres projets.

Cependant la hauteur des immeubles et la largeur de cette ceinture verte seraient définies avec des consultations auprès «des architectes et des organismes comme Les amis de la montagne». Cette zone fonctionnerait sur le réflexe «mont Royal», c’est-à-dire que toutes les actions sur le mont Royal miseront sur «la protection et l’intégrité écologique» de celui-ci. «L’aménagement du territoire doit être fait en cohésion avec l’environnement», précise-t-il.

M. Coderre a réitéré son envie d’une densité «douce et intelligente». «On peut trouver des compromis, car on ne peut pas faire de développement économique sans développement écologique, et on ne peut pas faire de développement écologique sans développement économique. L’Hôtel-Dieu peut avoir plus de logement sociaux, mais il faut respecter l’histoire des lieux comme les sœurs le demandent. Et le Royal Victoria a besoin de mixité, c’est-à-dire en s’assurant qu’il y ait des espaces publics», explique M. Coderre. Le chef d’Ensemble Montréal assure que les vues du mont Royal seront protégées. «On peut avoir des immeubles signatures.»

En politique, il faut assumer. Les bottines suivent les babines. On ne peut pas dire les choses et ne rien faire pendant quatre ans. Les démarches d’inscrire le mont Royal au patrimoine de l’UNESCO n’ont pas été faites pendant les quatre dernières années.

Denis Coderre, candidat à la mairie de Montréal

Cohabitation des usages

La démocratisation des activités sportives comme le vélo de montagne ont des répercussions graves sur l’intégrité des milieux naturels de la montagne. «Le vélo de montagne est interdit, mais il faut aller plus loin car il y a des abus. Cela fragilise des milieux déjà en surdemande. On va travailler avec Les amis de la montagne sur la signalisation et la sensibilisation», a indiqué Valérie Plante pour sa part. La mairesse sortante ajoute que tout nouveau sport ou activité sur le mont devra respecter une stratégie de préservation, «l’un ne va pas sans l’autre».

M. Coderre s’engage à faire respecter l’interdiction de cette pratique quitte à solliciter le Service de police de Montréal (SPVM), «qui manque présentement d’effectif». Il aimerait aussi sécuriser les sentiers formels existant par de la signalétique ou des lumières et éliminer les sentiers informels qui fragmentent les milieux naturels.

En accord avec son réflexe «mont Royal», M. Holness privilégiera l’aménagement d’infrastructures sportives ailleurs que sur le mont. «Il y a d’autres lieux pour cela, la montagne, c’est pour préserver.»

L’organisme de conservation du mont Royal dit faire face à une augmentation de défis naturels comme avec l’agrile du frêne ou la spongieuse [chenille]. Les candidats se sont positionnés en faveur de moyens supplémentaires. «Il faut une approche curative face aux changements climatiques, et on va investir dans ce sens», a dit M. Coderre.

Marc Desjardins ne faisait pas partie de l’échange, car celui-ci a fusionné avec le candidat Holness. C’est ce dernier qui porte la parole cette union pour l’événement du soir.

Les priorités de la montagne

Bon nombre de candidats de Projet Montréal et de Mouvement Montréal à des postes de conseillers ou maires d’arrondissement ont signé l’engagement sur les cinq priorités. Valérie Plante, Denis Coderre et Balarama Holness font eux aussi partie des signataires.

  • Le mont Royal, un bien commun : renouveler l’engagement envers la protection du mont Royal en reconnaissant son caractère distinctif et essentiel dans le paysage de la métropole. Réviser les hauteurs des immeubles et les distances séparatrices entre les immeubles pour protéger les vues vers et depuis la montagne.
  • Restaurer le Royal Victoria : Il s’agit d’un site d’une grande qualité paysagère et architecturale. Préserver la propriété du sol au domaine public et agrandir le parc du mont Royal.
  • Le poumon vert de Montréal : Adopter une stratégie pour rehausser l’intégrité des milieux naturels et des paysages par de la signalétique, une règlementation spécifique à la montagne et de la sensibilisation auprès des usagers. Augmenter les budgets aux projets de conservation et de restauration.
  • Un lieu accueillant et sécuritaire : assurer une cohabitation harmonieuse entre les activités autorisées et les milieux naturels, ainsi qu’en aménageant des parcours conviviaux et sécuritaires. Rendre la montagne plus accessibles à tous et toutes, notamment via une offre de transport en commun et actif accrue.
  • Concertation des pouvoirs publics et des citoyens : poursuivre la reconnaissance du lieu à titre de site du patrimoine mondial de l’UNESCO et s’assurer que tous projets d’envergures soient soumis à la participation citoyenne.
    https://journalmetro.com/actualites/2703804/mont-royal-fait-consensus/
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Je crois qu’on peut revenir ici!
Mais on connaitra la composition du CE aujourd’hui!

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Effectivement!

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Une majorité de femmes!!! :smiley:

Petit déséquilibre géographique, et je m’attendais à un élu du nord-est comme responsable de la sécurité publique :thinking:

COMPOSITION DU NOUVEAU COMITÉ EXÉCUTIF

● Valérie Plante, mairesse, responsable des relations internationales, de la réconciliation avec les peuples autochtones, de la relance du centre-ville et du développement économique international ;

● Dominique Ollivier, présidente du comité exécutif, responsable des finances, des ressources humaines, des relations gouvernementales, de la lutte au racisme et aux discriminations systémiques et de la langue française ;

● Benoit Dorais, vice-président du comité exécutif, responsable de l’habitation, de la stratégie immobilière et des affaires juridiques ;

● Ericka Alneus, responsable de la culture et du patrimoine ;

● Robert Beaudry, responsable de l’urbanisme, de la participation citoyenne et de la démocratie, ainsi que des grands parcs, du mont Royal, des sports et des loisirs, d’Espace pour la vie et du parc Jean-Drapeau ;

● Josefina Blanco, responsable de la diversité, de l’inclusion sociale, de l’itinérance et de l’accessibilité universelle ;

● Éric Alan Caldwell, président du conseil d’administration de la STM ;

● Marie-Andrée Mauger, responsable de la transition écologique et de l’environnement ;

● Sophie Mauzerolle, responsable du transport et de la mobilité ;

● Magda Popeanu, responsable de la performance organisationnelle ;

● Luc Rabouin, responsable du développement économique et commercial, du savoir, de l’innovation et du design ;

● Émilie Thuillier, responsable des infrastructures, des immeubles et du maintien des actifs ;

● Alain Vaillancourt, responsable de la sécurité publique ;

● Maja Vodanovic, responsable de la concertation avec les arrondissements et de l’eau.

Conseillères associées

● Alia Hassan-Cournol, conseillère associée à la mairesse et à la réconciliation avec les peuples autochtones ;

● Marianne Giguère, conseillère associée aux transports actifs ;

● Despina Sourias, conseillère associée à la condition féminine, à la diversité, à la jeunesse et aux personnes aînées.


● Alex Norris, leader de la majorité, qui participera aux séances du comité exécutif en tant que membre non-votant.

Je suis quand même étonné de l’absence d’élu·e·s dans VSMPE.
J’aurais vu Martine dans le CE et évidemment Sylvain.
Peut-être que Martine sera nommée présidente du Conseil municipal?

EDIT: J’avais pas mal raison, Martine Musau Muele a été nommée présidente du Conseil municipal.

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