Vidéo de CBC Montréal
Why is Montreal’s social housing waitlist so long?
Montreal’s auditor general slammed the nearly six-year wait to get a social housing unit. And once tenants do get a place, their apartments are often in poor condition.
Vidéo de CBC Montréal
Why is Montreal’s social housing waitlist so long?
Montreal’s auditor general slammed the nearly six-year wait to get a social housing unit. And once tenants do get a place, their apartments are often in poor condition.
Dans le journal local d’Ahuntsic-Cartierville
Deux immeubles de Cartierville voués aux « rénovictions » après un incendie ont été transformés en logements abordables. Un organisme d’habitation à but non lucratif (OBNL), Interloge, a pu soustraire ainsi 79 logements au marché spéculatif.
L’OBNL avait fait l’acquisition des deux bâtiments mitoyens, le 11945 et le 11955, rue Lachapelle, au printemps 2023. Ces édifices avaient été au centre d’un drame pour les locataires après un incendie survenu en 2020. Une quarantaine de ménages s’étaient retrouvés à la rue.
Le 7 avril 2020, le feu avait pris dans le garage, détruisant l’installation électrique. Par ailleurs, quatre appartements avaient été fortement endommagés.
à CityNews
Montreal welcomes new transitional housing for Indigenous community
“It’s really hard to address your addictions when living on the street,” says Matthew Biddle, housing manager at La Maison Annagiarvik. The facility will provide a home to 14 people who are exiting detox. Anastasia Dextrene reports.
Pendant qu’Ottawa essuie les critiques, il finance discrètement environ 70 % de la facture du logement social et abordable au Québec, ai-je constaté en fouillant dans les documents publics.
En 2023-2024, le gouvernement du Québec a investi 374 millions de son propre argent pour financer la construction, la rénovation ou l’achat de nouveaux logements sociaux et abordables.
Le gouvernement fédéral, lui, a investi 958 millions par une dizaine de programmes au Québec.
7 messages ont été fusionnés à un sujet existant : 7290, rue Hutchison - ? étages
Parmi les dix villes choisies pour accueillir les résidences pour aînés à bas prix de l’homme d’affaires Luc Maurice, neuf sont bien en selle. Et à part quelques petits bémols, elles sont toutes emballées par les projets et ont déployé des moyens inédits pour les réaliser.
[…]VILLES PARTICIPANT À UNITAÎNÉS
- Drummondville
- Granby
- Lévis
- Longueuil
- Montréal
- Québec (écartée récemment du projet)
- Rimouski
- Saint-Hyacinthe
- Shawinigan
- Terrebonne
Un message a été fusionné à un sujet existant : Habitations Loge-Accès IV - 3 étages (2023)
à CityNews
Demand at all-time high for Montreal transitional housing shelter
“There’s no place anywhere,” says Marie-Noëlle Perron of Maison Tangente, a Montreal transitional housing shelter for young adults, as the 21 spots there are always full and workers are forced to turn away people daily. Alyssia Rubertucci reports.
Vidéo sur le site de CBC
Are social and affordable housing that different? Housing crisis fact check
- 2 days ago
- News
- Duration1:23
When it comes to housing policy, Quebec often groups social and affordable units together. But some advocates say one is much more important than the other. CBC’s Erika Morris explains the difference in this second video in a series unravelling Quebec’s housing crisis.
L’entreprise de maisons préfabriquées Bonneville s’est associée à la firme d’architecture ACDF pour concevoir des multilogements préfabriqués afin d’accélérer la construction de logements abordables
Reportage radio à l’émission Le 15-18 : Construire des logements abordables plus vite grâce à la préfabrication
Site web de l’initiative : MULTILOGEMENTS - Maisons Bonneville
Sur le compte X du journaliste Philippe-Antoine Saulnier
Les fabricants d’habitations modulaires mettent les bouchées doubles pour construire des logements abordables plus vite et moins cher.
La Société d’habitation du Québec s’intéresse à la préfabrication depuis plusieurs années. J’en parlais en 2022
La préfabrication permet de standardiser et mieux contrôler le produit final. En plus on construit généralement à l’intérieur donc à l’abri des éléments. Donc beau temps mauvais temps l’assemblage se poursuit à la même cadence. Plus facile aussi de contrôler la qualité et la formule en module vient avec l’électricité, la plomberie, tandis que les cuisines et salles de bain sont normalement déjà installées.
Je serais content si on construisait en même temps les structures multi-étages en bois d’ingeniérie qui sont aussi solides que les éléments coulés en béton, bien que plus légers et aussi résistants au feu.
Nous avons l’expertise au Québec depuis nombre d’années et on pourrait exporter le surplus de nos produits à l’étranger. D’ailleurs ce genre de construction est bien plus résistant aux séismes, donc beaucoup plus sécuritaire que les constructions conventionnelles.
The federal government has announced more than $59 million in contributions and low-cost loans through the Affordable Housing Fund (AHF) to help build and repair 1,952 affordable homes in the Montreal metropolitan area and in many Indigenous communities across Quebec.
The federal funding announced Tuesday will help create a total of 672 new homes and will lead to the repairs of 1,280 homes.
Un texte qui rectifie certains faits véhiculés par l’IEDM
Depuis quelques semaines, profitant du repos estival touchant à la fois le monde médiatique et politique, > l’Institut économique de Montréal (IEDM) ouvre le feu sur les politiques montréalaises en habitation. S’opposant à l’objectif de la Ville de Montréal de développer plus de 160 000 nouveaux logements hors du marché privé d’ici 2050, l’IEDM remet en question la capacité de la Ville à développer et gérer du logement social sur son territoire.
L’argumentation de l’Institut repose d’abord sur l’illustration du mauvais entretien des « HLM » de Montréal, puis sur le Règlement pour une métropole mixte (20-20-20), censé forcer les promoteurs à inclure du logement social, abordable et familial dans leurs projets et qui aurait, selon eux, des effets nocifs sur le développement immobilier dans la métropole.
Ces arguments font écueil à plusieurs niveaux.
Merci le Pivot . Les journalistes des grands médias n’ont pas très tendance à defier les think tanks et malheureusement ces-dernières ont souvent un pouce sur la balance dans les débats publics. Je dirais même qu’elles sont une structure de gouvernance alternative et qu’il n’est pas rare des gens lié au think tanks qui s’impliquent dans les médias ou dans la politique. Je ne connais pas bien Pivot, mais ils ont bien fait leur recherches. L’article est un bon rapport de comment les think thanks peuvent dévier la vérité et les faits. Ce sujet touche pas mal ce forum parce que ces ordures sont financés par les industries pétrolières et des intérêts privés, et n’aiment surtout pas l’infrastructure publique. Il y a des traces (des taches) d’eux dans la majorité des articles/reportages à propos des infrastructures et des politiques publiques. Malheureusement, il faut regarder les titres et les employeurs de chaque intervenants quand on lit la presse (dans La Presse ils publient des articles verbatim de l’iedm) et il faut faire attention parce que le think tanks choisissent souvent des noms qui sonnent officiel comme l’institut économique de Montréal ou l’institut du Québec.
De quoi tu parles, plusieurs journalistes de La Presse n’hésitent pas à confronter l’IEDM.
On l’a vu pendant la pandémie, et on l’a vu précédemment aussi.
Tiens, dans cet article, Isabelle Hachey dénonce l’opacité de l’IEDM quant à ses donateurs:
https://plus.lapresse.ca/screens/b91c7134-cefd-4d10-8928-977ddd8d8805|KI3uPFkkCFwv.html
Et puis dans cet autre article, André Dubuc est dubitatif de leur arguments quant au logement:
Crise du logement | Un groupe de droite recommande la construction d’habitations | La Presse
Deux articles dans le Devoir sur le financement des projets de construction de logements abordables
Au moment où le Programme d’habitation abordable Québec (PHAQ) peine à donner les résultats escomptés, les fonds fiscalisés, plus souples dans leurs critères de financement, sont responsables de la construction d’un nombre croissant de logements sociaux et abordables au Québec. Leur contribution dans la lutte contre la crise du logement a d’ailleurs explosé l’an dernier.
En 2022, la Corporation Mainbourg avait été sélectionnée par la Société d’habitation du Québec (SHQ) dans le cadre du PHAQ pour un projet d’une cinquantaine de logements locatifs abordables qui devaient voir le jour sur la rue Notre-Dame, dans le Vieux-Pointe-aux-Trembles. Or, ce projet est depuis « tombé à l’eau » en raison de la lourdeur du PHAQ, raconte le directeur général de l’organisme, François Claveau.
Deux ans après le lancement du Programme d’habitation abordable Québec (PHAQ), les organismes et les promoteurs dont les projets ont été sélectionnés dans le cadre de celui-ci dénoncent le « parcours du combattant » auquel ils sont soumis et qui retarde, voire menace la survie de projets immobiliers, a constaté Le Devoir. État des lieux.
Six. C’est le nombre de logements financés par le PHAQ qui sont actuellement « exploités », et donc construits et occupés, a confirmé la Société d’habitation du Québec (SHQ) au Devoir. Il s’agit de logements sociaux situés à Mont-Laurier.
Québec a pourtant investi 300 millions de dollars dans ce programme en 2022 en se donnant pour cible d’accélérer la création de milliers de logements sociaux et abordables dans la province pour contrebalancer le programme AccèsLogis, voué à disparaître.
L’Unité de travail pour l’implantation de logement étudiant (UTILE) s’allie à un acteur important de l’industrie de la construction afin d’accélérer la livraison de ses chantiers. L’organisme annoncera ce jeudi à Rimouski un nouveau partenariat avec Les Industries Bonneville, une entreprise d’ici spécialisée en maisons et appartements préfabriqués.
PHOTO MORGANE CHOQUER, ARCHIVES LA PRESSE
Une résidence étudiante en construction de l’organisme UTILE, dans l’écoquartier Angus à Montréal, en 2022
L’Unité de travail pour l’implantation de logement étudiant (UTILE) s’allie à un acteur important de l’industrie de la construction afin d’accélérer la livraison de ses chantiers. L’organisme annoncera ce jeudi à Rimouski un nouveau partenariat avec Les Industries Bonneville, une entreprise d’ici spécialisée en maisons et appartements préfabriqués.
Publié à 1h21 Mis à jour à 5h00
Henri Ouellette-Vézina La Presse
C’est ce qu’ont indiqué plusieurs sources à La Presse, à la veille de l’annonce. L’UTILE est une entreprise d’économie sociale spécialisée dans la construction de logements étudiants.
Fondée en 2013, dans la foulée des grèves étudiantes, l’organisation a lancé à ce jour 13 projets immobiliers, dont quatre ont déjà été livrés — deux à Montréal, un à Québec et un à Trois-Rivières. Les autres sont encore en développement.
Or, l’UTILE veut maintenant livrer davantage et plus vite. Pour y arriver, l’organisation propose notamment une approche de « fabrication modulaire », afin de tirer parti du logement étudiant « en tant que produit standardisé pouvant générer un volume élevé », lit-on sur le site de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL).
Sur son site web, cette agence fédérale a rendu publique dans les derniers jours la liste des demi-finalistes du cinquième cycle de son concours Défi d’offre de logement, dont l’UTILE fait partie. Chacun de ces demi-finalistes a obtenu une subvention fédérale d’un million de dollars pour financer son projet.
L’UTILE compte surtout utiliser ces fonds pour faire de la recherche et du développement autour de ce nouveau projet, dont le but avoué est de « former un consortium de parties prenantes pour éliminer les obstacles et améliorer les processus dans l’ensemble de la chaîne de production de logements modulaires ».
Une alliance avec Les Industries Bonneville, spécialisées dans le logement modulaire et préfabriqué, était donc toute naturelle. Cette entreprise familiale de Belœil fondée en 1961 avait déjà fait part l’an dernier de son intention de « revoir intégralement » son approche de la construction dans le contexte de la crise du logement au Québec.
Les immeubles d’appartements préfabriqués « émergent comme une solution à cette problématique », avait alors plaidé l’entreprise, en annonçant la livraison d’un immeuble de 24 logements, baptisé Le Cohab, avenue Carmen-Bienvenue à Belœil.
À ce moment, Les Industries Bonneville avaient aussi plusieurs autres projets multilogements en cours, dont un de 48 appartements dans Lanaudière et un autre de 115 appartements dans les Laurentides.
Quant à l’UTILE, ses projets livrés ou en cours totalisent jusqu’ici quelque 2000 appartements à prix réduit, avec un total d’un peu plus de 554 millions de dollars d’investissements.
L’an dernier, l’organisation s’était notamment hissée dans le top 100 des sociétés qui connaissent la plus forte croissance au Canada, selon le prestigieux classement de Report on Business.
Nouvelle reprise par Radio-Canada
L’Unité de travail pour l’implantation de logement étudiant (UTILE) veut construire et livrer plus rapidement. Pour ce faire, l’OBNL spécialisé dans la construction de logements étudiants s’unit avec Les Industries Bonneville, l’entreprise de Belœil qui mise sur la fabrication de maisons et d’appartements modulaires.
Avec cette formule, les deux entités font le pari de pouvoir livrer un projet par année en environ la moitié du temps requis. Cela permettra la standardisation des processus et des méthodes d’arrimage, qui se traduiront en retour par des gains en efficacité lors de la réalisation de futurs projets de construction modulaire, certifie l’UTILE par voie de communiqué.
Le communiqué
C’est officiel. L’achat est terminé. Mission Bon Accueil est propriétaire du 2222 Ontario Est. Cette bâtisse, deviendra une « nouvelle façon de fournir des services d’urgence axés sur le logement » aux personnes dans le besoin de notre ville.
Merci à nos donateurs et à nos partenaires. Ensemble, nous aiderons plus de gens à Montréal.