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Laval : le Projet Régénération complété en 2024

Portail Constructo | 20 avril 2023 | Par Émilie Lavergne

Laval : le Projet Régénération complété en 2024. Crédit : Ædifica

Le chantier en cours dans le secteur Val-Martin à Laval permettra de clore la phase 1 du projet de revitalisation avec la livraison du nouveau centre communautaire Simonne-Monet-Chartrand et des 75 derniers logements prévus.

Cet immense projet qui s’est amorcé en 2017 et qui prendra fin en 2024 aura permis de rénover et de construire un total de 359 unités d’habitation à prix modique répartis dans six bâtiments.

Un quartier qui rajeunit

Les Immeubles Val-Martin ont été convertis en logements sociaux dans les années 1970 et ceux-ci présentaient des lacunes de structure et de salubrité avec les années. Dans un premier temps, en collaboration avec l’Office municipal d’habitation (OMH) de Laval, la Société d’habitation du Québec (SHQ) et la Société canadienne d’hypothèque et de logement (SCHL), c’est un total de 28,2 millions de dollars en investissements qui a permis de donner un nouveau visage aux trois premiers bâtiments qui sont tombés sous les pics des démolisseurs. Pour ce projet, nommé Projet Régénération, ce sont 124 logements qui ont été reconstruits, mais une portion du site est demeurée libre afin d’y aménager un parc urbain.

Dans un second temps, trois autres bâtiments ont été érigés dans le même quadrilatère, au moyen du programme Accès Logis, qui ont permis d’ajouter au secteur 160 unités locatives en 2021. Finalement, le chantier en cours viendra conclure le projet, en ajoutant un dernier bâtiment comprenant 75 logements, aussi financés avec Accès Logis et d’autres partenaires, et également par le Centre communautaire Simonne-Monet-Chartrand. La Ville de Laval a d’ailleurs investi 47 M$ dans le redéploiement du secteur Val-Martin pour sa portion située au sud du boulevard Notre-Dame.

Certification LEED pour le centre communautaire

Sous l’œil de la Ville de Laval, le Centre communautaire Simonne-Monet-Chartrand vise une certification LEED-NC Or ainsi que l’aménagement d’un espace vert. D’ailleurs, c’est la firme d’architecture Ædifica, qui se spécialise dans la création de milieux durables, qui est responsable des plans, alors que Groupe Geyser est le bâtisseur avec plusieurs autres partenaires dont Thermeca en génie électromécanique, L2C en génie structural, Vinci Consultants en génie civil et Groupe Rousseau Lefebvre en architecture de paysage. L’entrepreneur général Sidcan est quant à lui responsable de la construction des 124 unités locatives du Projet Regénération.

Un autre chantier à venir

D’ici la fin de l’été 2023, l’Office municipal d’habitation de Laval devrait procéder à un nouvel appel d’offres pour d’importants travaux à réaliser sur un immeuble du secteur nord-est du quartier Val-Martin. « Nous allons garder uniquement la structure et la fondation de l’immeuble présent, nous allons reconstruire les logements pour améliorer le confort des locataires », affirme Marc-André Nantel-Gauvin, responsable des services techniques à l’OMH de Laval. La SHQ s’est déjà engagée envers l’Office à lui verser un budget de 25,5 M$ pour financer des travaux qui comprendront de la décontamination puis la réfection de 74 logements du bâtiment d’habitation à loyer modéré.

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Pénurie de logements Des groupes avancent leurs solutions

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

D’ici 2031, les besoins en logement s’élèvent à 130 000 logements, selon Aviseo, dont plus de la moitié hors de la région montréalaise.

Mardi, un regroupement de propriétaires met de l’avant 24 propositions pour sortir le Québec de la crise du logement. Jeudi, ce sera l’organisme Vivre en ville qui lancera un registre des loyers à la disposition du public. De quoi nourrir la réflexion du gouvernement de François Legault sur des pistes de réforme.

Publié à 10h24 Mis à jour à 10h24

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André Dubuc
André Dubuc La Presse

La Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (Corpiq) a mandaté la firme économique Aviseo Conseil pour poser « un regard sur le marché locatif qui évite les clichés », soutient-elle.

Au chapitre des constats, l’étude mentionne qu’un ménage locataire sur deux est formé d’une seule personne au Québec. Elle rappelle que c’est au Québec où les loyers sont les moins élevés au pays et que le ratio loyer/revenus y est bien inférieur qu’en Ontario.

Le document propose 24 pistes de solutions. Sans surprise, 5 propositions portent sur la réforme du règlement sur la fixation des loyers, le cheval de bataille de la Corpiq depuis des années. Le but est de rendre l’environnement réglementaire attrayant à l’investissement immobilier.

Le rapport d’Aviseo s’intéresse longuement à la construction de logements. Il estime à 16 300 unités le déficit de logements requis pour retrouver un taux d’inoccupation au seuil d’équilibre, soit 3 %.

D’ici 2031, les besoins en logement s’élèvent à 130 000 logements, selon Aviseo, dont plus de la moitié hors de la région montréalaise. En conséquence, les efforts de construction devront être mieux répartis à travers la province, insiste son auteur l’économiste Jean-Pierre Lessard.

Cela dit, le nombre de 130 000 logements paraît faible dans le contexte migratoire actuel où les travailleurs temporaires affluent dans la province.

« Les besoins d’ici 2031 représentent une moyenne de moins de 13 000 logements par année, soit l’équivalent de 62 % de l’ajout au marché primaire entre 2012 et 2021 », lit-on dans les faits saillants du rapport dévoilé mardi.

À priori, ce chiffre détonne avec le constat formulé l’an passé par la Société canadienne d’hypothèques et de logement qui estimait que le nombre de mises en marché devait doubler dans les prochaines années pour que le marché résidentiel redevienne abordable.

Autrement, le rapport commandé par la Corpiq suggère de mieux encadrer les évictions de locataires, de créer un programme d’aide à la rénovation des immeubles locatifs, à hausser les seuils de remboursement de la TVQ et TPS pour les logements neufs, à éliminer les exigences minimales de stationnements qui font augmenter le coût du logement et à mieux encadrer l’hébergement temporaire de type Airbnb. Quatre propositions s’intéressent aux logements sociaux. L’étude suggère notamment de louer les terrains au lieu de les vendre.

« Ces 24 mesures contribueront à rendre l’immobilier locatif attractif, à faciliter l’ajout d’une offre diversifiée et à aider ceux qui en ont le plus besoin », soutient Aviseo.

Jeudi, on en saura davantage sur le registre des loyers de Vivre en Ville. Sa mise en ligne sera accompagnée d’un sondage Léger faisant le portrait exhaustif des locataires québécois en 2023.

Le document propose 24 pistes de solutions. Sans surprise, 5 propositions portent sur la réforme du règlement sur la fixation des loyers, le cheval de bataille de la Corpiq depuis des années. Le but est de rendre l’environnement réglementaire attrayant à l’investissement immobilier.

Ridicule. Cela résultera par des loyers plus chers, ce n’est pas la solution.

Elle rappelle que c’est au Québec où les loyers sont les moins élevés au pays et que le ratio loyer/revenus y est bien inférieur qu’en Ontario

Il me semble que c’est une bonne chose. Un ratio loyer/revenu plus élevé ne ferait que creuser le fossé entre les locataires et les propriétaires. Personne ne gagne à avoir une population qui dépense 50% de ses revenus sur son habitation.

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Au contraire pendant longtemps le locatif a été abandonné au profit du condo parce que c’est très peu rentable. C’est donc une des nombreuses causes du manque de logements. C’est pas vrai que les loyers vont doubler du jour au lendemain si on ne les fixe plus de façon aussi contraignante. Et ce n’est pas logique non plus que quelqu’un paye juste 800$ pour un 5 et 1/2 à Montréal en 2023. Ça aussi il faut l’accepter.

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Lol où sont ces 5 1/2 à $800, j’en cherche :sweat_smile:

Les loyers ont considérablement augmenté déjà, vous n’avez pas à vous soucier des gens qui vivent dans un logement qu’ils peuvent se permettre !

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Jusqu’au jour où la demande de condos baisse et que le locatif redevienne plus rentable, comme c’est le cas présentement.

Quand le marché du condo reprendra, il deviendra bien plus rentable que celui du locatif, même avec un relâchement des règles et ce sera encore majoritairement ça qui se construira.

Est-ce vraiment si courant que ça? Je vois davantage des studios à ce prix là. Si ce quelqu’un paie si peu puisqu’il y demeurt depuis très longtemps, tant mieux, mais ça reste exceptionnel.

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Je parle de gens qui ont leur logement depuis des decennies et qui payent bien en deça du prix du marché. Ça existe. Tout augmente mais on veut que les loyers restent bas c’est pas logique.

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En principe, si c’est le même propriétaire depuis longtemps, les coûts qui augmentent devraient être couverts par l’augmentation du loyer selon les règles.

Le problème, c’est lorsqu’un nouveau propriétaire achète et que les loyers sont bas. Les loyers ne sont généralement pas assez pour couvrir les coûts du nouveau propriétaire. Ça ne me fera pas pleurer. Si un investisseur veut avoir le privilège de posséder des logements, qu’il fournisse un cash down en conséquence. Ce n’est pas au locataire à subir.

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Tu parles d’investisseurs (comme si c’était de gros riches qui achetaient tous les triplex) mais la plupart des batiments à Montréal sont détenus par des petits propriétaires. Et c’est pour cela que je ne serais jamais d’accord avec ce discours.

Les histoires d’horreur impliquent généralement un gros investisseur comme propriétaire, pas monsieur madame tout le monde.

Les triplex aujourd’hui c’est très souvent racheté par des propriétaires occupants, et ça ce n’est pas du tout pareil, vu que ces propriétaires vont quand même être appelés à payer une partie des couts pour leurs besoins.

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Ça cadre parfaitement avec ce que je dis parce que de nos jours tu achètes un triplex à un coût énorme avec des locataires présents depuis des décennies qui payent très peu. Des taxes élevées. Et tu ne peux rien y faire. Ça touche monsieur madame tout le monde. Mais on les écoute pas parce que c’est mieux vu de faire comme s’ils étaient tous des richards donc qu’ils assument.

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Non, ce n’est pas du tout ce que je me dis. Il y a une énorme différence entre quelqu’un qui achète pour occuper et quelqu’un qui achète pour investir.

Quand tu est propriétaire et que tu occupe l’une des unités, c’est vraiment un moins gros impact que le loyer soit bas, parce que c’est clair dès le départ que le proprio assumera une partie des couts. Toutes les personnes que je connais qui ont fait ça n’ont jamais du augmenter les loyers de façons drastiques. En plus, un avantage pour eux c’est qu’ils ne se gênent généralement pas pour passer plein de dépenses dans l’immeuble qui ont rapport avec leur unité (tant mieux pour eux!).

Un propriétaire investisseur, par contre, voudra que 100% des coûts de l’immeuble soient couverts par les loyers, et c’est là qu’on a un problème, parce que la pression va être plus importante sur eux que sur un propriétaire qui habite un tiers de l’immeuble.

Je ne dis pas qu’il n’y a pas de bons investisseurs ou de mauvais propriétaires occupants, mais disons que les chances de dérapes sont beaucoup plus élevées chez l’investisseur que chez un propriétaire qui habite son triplex.

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À cela j’ajouterais que le propriétaire occupant qui apprécie ses bons locataires voudra les encourager à demeurer plus longtemps, en limitant les hausses de loyer, tout en s’ajustant sur les recommandations publiques. La paix d’esprit a aussi une valeur économique non négligeable qui favorise de surcroit la qualité de vie en général.

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Concernant la discussion sur l’abordabilité et l’augmentation des loyers: https://www.24heures.ca/2023/05/09/1686-pour-un-3-12-ca-coute-236-de-plus-par-mois-pour-se-loger-a-montreal-quen-mai-2022?fbclid=IwAR35SoiNdYyJj750XeteW9NbCjdkjdvD5jb9mPv8oFrFzbB_ykS5pzYPgaw

En ce moment, il faut débourser en moyenne 1686$ par mois pour louer un 3 1⁄2 non meublé à Montréal, selon le rapport mensuel de la plateforme liv.rent. C’est 66$ de plus que le mois précédent et 236$ de plus qu’en mai 2022.

Un 3 1⁄2 au centre-ville (1947$), un des secteurs de la métropole où c’est plus cher pour se loger, coûte en moyenne 634$ de plus par mois qu’à Ahuntsic-Cartierville (1408$), le secteur le plus abordable pour ce type de logement.

Les 4 1⁄2 et les 5 1⁄2 non meublés les plus chers se situent dans le centre-ville. Ils coûtent respectivement 2842$ et 3610$ en moyenne par mois. Les logements de cette taille qui sont les moins chers se situent dans Hochelaga-Maisonneuve (1633$ et 2226$ par mois).

Les secteurs où les prix des logements non meublés ont le plus augmenté entre avril et mai sont Westmount (+14,46%), Saint-Henri (+11,14%), Saint-Laurent (+7,14%) et Villeray–Parc-Extension (+5,71%). Les prix ont légèrement diminué dans Hochelaga-Maisonneuve (-1,07%) et à Ahuntsic-Cartierville (-0,07%).

Le prix moyen pour un logement meublé est quant à lui resté plutôt stable à Montréal, selon le rapport.

Chaque mois, liv.rent publie un rapport sur le prix moyen des logements dans plusieurs grandes villes canadiennes en se basant sur les annonces disponibles sur son site web et sur d’autres sites de petites annonces.

Même si le prix des loyers ne cesse d’augmenter à Montréal, il serait toujours plus bas que dans d’autres grandes villes canadiennes, comme Vancouver et Toronto.

Voici le prix moyen par secteur

Pour un logement non meublé:

Ahuntsic-Cartierville

  • 3 1⁄2: 1408$
  • 4 1⁄2: 1807$
  • 5 1⁄2: 2232$

Côte-des-Neiges

  • 3 1⁄2: 1487$
  • 4 1⁄2: 2098$
  • 5 1⁄2: 2726$

Centre-ville

  • 3 1⁄2: 1947$
  • 4 1⁄2: 2842$
  • 5 1⁄2: 3610$

Hochelaga-Maisonneuve

  • 3 1⁄2: 1479$
  • 4 1⁄2: 1633$
  • 5 1⁄2: 2226$

Notre-Dame-de-Grâce

  • 3 1⁄2: 1641$
  • 4 1⁄2: 1949$
  • 5 1⁄2: 2450$

Saint-Henri

  • 3 1⁄2: 1848$
  • 4 1⁄2: 2055$
  • 5 1⁄2: 2795$

Saint-Laurent

  • 3 1⁄2: 1605$
  • 4 1⁄2: 2059$
  • 5 1⁄2: 2596$

Le Plateau-Mont-Royal

3 1⁄2: 1749$

4 1⁄2: 2294$

5 1⁄2: 3424$

Verdun

  • 3 1⁄2: 1778$
  • 4 1⁄2: 2206$
  • 5 1⁄2: 3086$

Villeray-Parc-Extension

  • 3 1⁄2: 1565$
  • 4 1⁄2: 1882$
  • 5 1⁄2: 2506$

Westmount

  • 3 1⁄2: 2042$
  • 4 1⁄2: 2723$
  • 5 1⁄2: 3286$

Pour un logement meublé:

Ahuntsic-Cartierville

  • 3 1⁄2: 1628$
  • 4 1⁄2: 2066$
  • 5 1⁄2: Aucune donnée

Côte-des-Neiges

  • 3 1⁄2: 1422$
  • 4 1⁄2: 2163$
  • 5 1⁄2: 3809$

Centre-ville

  • 3 1⁄2: 1869$
  • 4 1⁄2: 2783$
  • 5 1⁄2: 3416$

Hochelaga-Maisonneuve

  • 3 1⁄2: 1603$
  • 4 1⁄2: 2173$
  • 5 1⁄2: Aucune donnée

Notre-Dame-de-Grâce

  • 3 1⁄2: 1404$
  • 4 1⁄2: Aucune donnée
  • 5 1⁄2: Aucune donnée

Saint-Henri

  • 3 1⁄2: Aucune donnée
  • 4 1⁄2: 2017$
  • 5 1⁄2: Aucune donnée

Saint-Laurent

  • 3 1⁄2: 1510$
  • 4 1⁄2: 2046$
  • 5 1⁄2: 2644$

Le Plateau-Mont-Royal

  • 3 1⁄2: 1854$
  • 4 1⁄2: 2666$
  • 5 1⁄2: 2976$

Verdun

  • 3 1⁄2: Aucune donnée
  • 4 1⁄2: 2721$
  • 5 1⁄2: Aucune donnée

Villeray–Parc-Extension

  • 3 1⁄2: 1704$
  • 4 1⁄2: 2260$
  • 5 1⁄2: 2626$

Westmount

  • 3 1⁄2: 1896$
  • 4 1⁄2: 2486$
  • 5 1⁄2: 4017$
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Quand je vois ces moyennes je me questionne sur la méthodologie utilisée. Est-ce qu’on parle uniquement des logements présentement disponible? Et seulement sur des plateformes web?
Mon expérience de recherche de logement ne ressemble vraiment pas à ces chiffres. 1686$ pour un 3½ me semble plutôt élevé. Il y a beaucoup de logements neufs/rénovés qui se louent cher, c’est vrai, mais dans une ville comme Montréal où l’âge des logements locatifs est vraiment varié (le montant du loyer étant souvent tributaire de l’âge du logement), il me semble qu’un 3½ peut se trouver pour beaucoup moins que ce montant-là.

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Je trouve ces chiffres exagérés. Après c’est de l’anecdote mais j’ai une amie qui vient d’emménager dans un 3 et demi rénové limite luxueux en plein CDN qui paye 1000$. Un autre qui a déménagé dans Ahuntsic paye 850$ son 3 et demi. Je dis pas que c’est des mensonges mais c’est pas nécessairement 100% représentatif de la réalité.

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Je suis allée voir la méthodologie, et effectivement, les sources sont un peu biaisées:

For Montreal, we use PadMapper, Centris, and DuProprio, looking at available basement suites, apartments, condos, townhouses, semi-detached houses, and single-detached houses for each area.

Ils ne tiennent pas compte de Kijiji et MarketPlace. Mais je pense quand même que c’est intéressant pour voir l’évolution dans le temps, et aussi les différences entre les quartiers.

@OusmaneB Il y a quand même une nuance à faire avec la moyenne. Il est possible que tes amis ont des loyers qui se situent sous la moyenne.

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Ah ça explique beaucoup les chiffres que ça donne.
Mais tu as raison, c’est intéressant de voir le changement dans le temps et les quartiers.
Je serais curieux de savoir c’est quoi le loyer moyen en considérant les locataires qui renouvellent leurs baux d’année en année.

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Je dois me vanter un peu simplement parce que je suis si heureux, mais pendant la pandémie, j’ai emménagé dans un immense 5 1/2 avec une cour au centre-ville. Mon loyer? $930!

Je peux marcher jusqu’au travail, je suis aussi à 5 minutes du métro. Et oui je comprends à quel point je suis chanceux, je vivrai probablement ici pour le restant de mes jours!

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