Îlot Voyageur Sud - ? étages

La Ville de Montréeal lance un appel à soumission pour développer un projet mixte pouvant atteindre une superficie de près de 650 000 pi² nets, permettant d’accueillir potentiellement plus de 700 unités, dont une forte proportion sera dédiée à des logements sociaux et abordables. Le projet devra également favoriser l’implantation d’activités commerciales et communautaires.

Information

Nom :
Emplacement: 505, boul. de Maisonneuve Est (Îlot Voyageur Sud), ancien gare d’autocar, sur de Maisonneuve entre Berri et Saint-Hubert
Lots au cadastre : 3 523 567 et 3 523 568
Hauteur :
Architecte :
Promoteur : Ville de Montréal
Début et fin de la construction : 2025/20XX

Date importantes :

Échéancier sommaire :

  • Lancement de l’appel à soumissions : Hiver 2024
  • Ouverture des soumissions : Printemps-été 2024
  • Choix du soumissionnaire retenu : Été- automne 2024
  • Signature de l’acte de vente : Hiver-printemps 2025

Autres renseignements :

  • La Ville de Montréal a acquis les terrains pour 18 M$ en 2018
  • Le projet devra avoir au moins 20 % de logements sociaux
  • 50 % des logements devraient être sociaux et/ou abordables
  • Des espaces de bureaux et commerciaux seront aménagés au RDC
  • L’organisme Les Valoristes et le mini-hub de livraison Colibri devront déménager

Sources de l’informations :

Autres images
Anciennes orientations du projet

Le projet pourrait accueillir un pôle civique avec la mairie d’arrondissement, les services à la population et les bureaux administratifs de l’arrondissement de Ville-Marie.

La Ville de Montréal devrait annoncé d’ici 2021 le développement du site. Le projet pourrait accueillir un pôle civique avec la mairie d’arrondissement, les services à la population et les bureaux administratifs de l’arrondissement de Ville-Marie, ainsi qu’un pôle de bureaux administratifs.

Sources des informations: https://ocpm.qc.ca/sites/ocpm.qc.ca/files/pdf/P109/3-1_ppu_des_faubourgs_vf2_web.pdf (page 27)

Dans les médias

Usage temporaire :

Les Valoristes s’installeront dans l’ancienne gare d’autocars de Montréal

La coopérative de récupération de contenants consignés a conclu une entente de deux ans avec la Ville.

Les Valoristes font partie du paysage montréalais depuis plusieurs années.

Les personnes qui ramassent les cannettes et les bouteilles vides au centre-ville pourront maintenant trier leur récolte au chaud.

La Ville de Montréal a annoncé vendredi matin qu’elle avait accepté de prêter un local de 1140 pieds carrés dans le bâtiment qui abritait autrefois la gare d’autocars de l’arrondissement de Ville-Marie à la coopérative de solidarité Les Valoristes, qui se spécialise dans la récupération de contenants consignés.

En outre, trois conteneurs seront installés à l’extérieur, dans la voie auparavant réservée au passage des autobus, à l’arrière de l’immeuble.

L’entente, d’une durée de deux ans, entrera en vigueur dans un peu moins de deux semaines, le mardi 17 novembre. Elle permettra aux Valoristes, habituellement installés sous le pont Jacques-Cartier pendant l’été, de poursuivre leurs activités pendant l’hiver.

On opère un dépôt depuis huit ans, pendant les étés seulement, sous le pont Jacques-Cartier, mais avec le temps froid qui arrive, on ne peut plus continuer à l’année longue. Ça va être vraiment la première fois qu’on va pouvoir continuer durant [toute] l’année, incluant les mois froids d’hiver.

Marica Vazquez Tagliero, coordonnatrice des Valoristes

La présence continue des Valoristes au centre-ville de Montréal aidera également la Municipalité à atteindre ses objectifs en matière de lutte contre la pauvreté, de propreté des espaces publics et de gestion des matières résiduelles, a souligné l’administration Plante dans son communiqué de presse.

Un

La Ville de Montréal a acquis en 2018 le 505 boulevard de Maisonneuve Est, mieux connu sous le nom de « Terminus Voyageur », pour en faire un projet de redéveloppement.

En attendant sa réalisation, l’immeuble fait l’objet d’« usages transitoires ». Il abrite actuellement trois entreprises de courrier associées à Colibri, un système de livraison urbaine écologique lancé en août 2019.

, a expliqué en entrevue Sophie Mauzerolle, conseillère de ville dans le district de Sainte-Marie.

Avec l’élargissement prévu de la consigne au Québec en 2022, les Valoristes voient l’avenir avec un certain optimisme.

Créée en 2012, la coopérative Les Valoristes est une entreprise d’économie sociale à but non lucratif qui offre des services de retour de contenants consignés à ceux et celles qui sillonnent les rues de la métropole sur une base régulière pour collecter les cannettes et bouteilles vides oubliées ou jetées dans les poubelles et les bacs à recyclage.

C’est actuellement la seule organisation du genre au Québec.

Les Valoristes permettent de récupérer chaque jour 25 000 contenants, mais ce total peut grimper à 80 000 certaines journées d’été. Sa clientèle, précise la Ville de Montréal, est composée de .

Cela étant dit, le point de collecte qui sera ouvert dans l’ancienne gare d’autocars de Montréal sera accessible à tous les particuliers et les entreprises qui souhaiteront pouvoir en profiter.

Jean-Paul Paquette, qui ramasse des dizaines de milliers de cannettes consignées chaque année, est ravi d’apprendre l’ouverture d’un dépôt spécialement pour les gens comme lui.

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Une excellente initiative, qui s’ajoute à celle de la livraison de colis en vélo. Avec un contrat de 2 ans pour cette activité, on peut supposer qu’il n’y aura pas de développement sur le terrain avant cette échéance. Ce qui ne condamne pas un futur complexe public (ou autre), toujours en phase de planification par la Ville.

Je me réjouis de la formule qui permettra davantage de récupération de contenants consignés qui autrement finiraient au dépotoir. En plus on donne une chance aux personnes en situation de vulnérabilité de se faire un petit revenu d’appoint, tout en améliorant au passage leur propre estime de soi par la reconnaissance de leur travail.
On gagnera ainsi une meilleure expertise dans la valorisation des matières avec un réseau mieux organisé, qui pourra ensuite être transférée sur un site plus permanent à la fin de l’entente avec la municipalité. J’encouragerai toujours ces actions communautaires qui font un grand bien à ceux à qui elles sont destinées et qui peuvent les aider dans la voie de la réinsertion sociale.

Donc ici on ne fait pas seulement de la valorisation matérielle, mais il y a aussi de la valorisation humaine. Une valeur ajoutée inestimable quand on pense aux multiples souffrances que ces gens ont dû endurer avant de se retrouver à la rue.
On ne le dira jamais assez, l’itinérance n’est pas un choix. On ne choisit pas le décrochage ni à la précarité, ils nous échoient quand on devient submergé par des situations adverses et qu’on a perdu les moyens de se relever.##

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https://www.tvanouvelles.ca/2022/09/12/lopposition-a-montreal-demande-la-fin-de-limmobilisme-concernant-lilot-voyageur

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L’opposition demande à la Ville des logements étudiants dans l’Îlot Voyageur

L’Îlot Voyageur est situé au coin de la rue Berri et du boulevard De Maisonneuve Est. Photo: Quentin Dufranne / Métro Média

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Quentin Dufranne

12 septembre 2022 à 12h11 - Mis à jour 12 septembre 2022 à 16h48 4 minutes de lecture

Ensemble Montréal souhaite que l’administration Plante développe des logements étudiants abordables et des logements sociaux dans la portion sud de l’Îlot Voyageur. L’opposition demande à la Ville la mise en place d’un plan de développement pour l’aménagement de ce projet d’ici 2023. Une motion sera déposée à cet effet au prochain conseil municipal.

Situé au coin de la rue Berri et du boulevard De Maisonneuve Est, l’Îlot Voyageur occupe une superficie d’environ 8500 m2. Selon l’opposition, le lieu pourrait accueillir 650 unités pour faire face à la crise du logement, laquelle touche notamment les étudiants.

«L’annonce qu’on fait aujourd’hui est pour dénoncer le statu quo et l’immobilisme de l’administration Plante dans le développement de ce site à très gros potentiel notamment pour la question du logement social et étudiant», explique le conseilleur de la Ville dans le district de Tétreaultville, Julien Hénault-Ratelle.

La Ville de Montréal a fait l’acquisition de la portion sud de l’Îlot Voyageur en 2018 auprès de Québec pour la somme de 18 M$. En 2019, elle avait mandaté la Société d’habitation et de développement de Montréal (SHDM) pour réaliser une étude de préfaisabilité. L’objectif était alors d’avoir une orientation quant au développement de ce projet.

L’opposition dénonce l’opacité de la Ville quant aux résultats de ladite étude. La Ville aurait refusé la demande d’accès à l’information de l’opposition, qui souhaitait connaître les conclusions de la SHDM.

«Cette étude-là n’est malheureusement pas publique et on refuse de nous la transmettre, explique Julien Hénault-Ratelle. On ne sait pas quelle est la vision qui va être préconisée par l’administration [Plante].»

Une «cicatrice» au cœur du Quartier latin

La conseillère de la Ville du district de Louis-Riel, Alba Zuniga Ramos a repris les mots qu’avait employés la mairesse en 2018 en qualifiant la partie sud de l’Îlot Voyageur de «cicatrice».

«Je pense que le mot qu’elle a utilisé est très exact, dit-elle. À l’époque, elle disait qu’il fallait agir très vite pour résoudre le problème. On est rendu ici presque cinq ans après puis le “très vite” n’est jamais arrivé, on voit toujours que la cicatrice est toujours là.»

L’Îlot Voyageur est un projet dans lequel nombre d’investisseurs ont laissé des plumes. En 2005, l’UQAM y a lancé un projet immobilier qui devait s’autofinancer. Le projet ayant connu de nombreux ratés, Québec avait dû couvrir une dette de 200 M$. L’édifice fut ensuite racheté en 2010 par la Société immobilière du Québec (SIQ). Cette dernière avait aussi perdu plus de 100 M$ dans le projet.

Trois ans plus tard, un groupe privé a fait l’acquisition de la partie nord de l’Îlot Voyageur. La portion sud avait alors été laissée à son sort avant que la Ville n’en fasse l’acquisition.

L’opposition dénonce aussi l’absence de construction de logements sociaux dans Ville-Marie depuis l’adoption en 2021 du Règlement pour une métropole mixte, alors que Valérie Plante en est la mairesse d’arrondissement. Depuis 2018, ce sont 176 unités de logements sociaux qui auraient vu le jour dans l’arrondissement.

Le cabinet de la mairesse explique que la motion proposée par l’opposition sera discutée lors du prochain conseil municipal.

«Nous sommes contents de voir que l’opposition se rallie derrière notre vision de logements sociaux, communautaires et étudiants dans l’arrondissement Ville-Marie, explique le cabinet de la mairesse Plante. Nous demeurons déterminés à développer l’offre de logements dans ce secteur, comme partout à Montréal».

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Probably the most strategic point in Montreal
It deserves a super tall iconic building

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Je comprends mal cette logique. Autre que le CHUM, il n’y a aucun édifice de plus de 100m dans les environs.

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La hauteur permise est de 44m avec surhauteur de 65m et COS de 7. Ça correspond à une insertion fidèle au contexte urbain environnant et ça permet une densité de type élevée. Il n’y a pas de raison d’aller au-delà de ces mesures.

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Au point ou on en est, je me fous bien de la hauteur de l’édifice, tout ce que je souhaite est la construction de ‘‘quelque chose’’. Un 10 étages de résidences étudiantes ferait bien mon affaire. Et sans oublier la portion de la rue Saint-Hubert qui n’est toujours pas terminé.

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Il y a clairement des besoins dans ce secteur et il faut y répondre, surtout qu’on est au principal point de convergence des lignes de métro. En plus une grande partie du site est laissée vacante dans un quartier qui a grandement besoin de développement résidentiel pour répondre aux demandes de diverses populations qui attendent un logement décent.

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The state of this part of town is an absolute embarrassment. The lack of access between the bus terminal and the metro is shocking.

The height on this lot is completely irrelevant, it needs to be developed in accordance to the needs of the neighbourhood and the city as a whole.

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I agree about the connection from the metro to the bus terminal.
This illustrate a weakness of the RESO pathway: If an intermediate location closes (old bus terminal), another location further away (new bus terminal) gets isolated from the trunk (STM Berri-UQAM).
Hopefully the new building will not only rehabilitate the old RESO connection but enhance it

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I definitely hope it will improve the previous connection… It was unnecessarily convoluted and the ups and downs were irritating to the point that I would walk outside instead when the weather was nice.

Ideally, they should also make it universally accessible, because even for people that do not need a wheelchair, it’s nice to have the option especially when you carry luggages (which is not unusual at the bus terminal!).

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Même quand la ville a des actifs, elle ne fait rien avec.

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Voici un magnifique site situé au dessus de 3 lignes de métro, à coté de la station centrale de bus, adjacent à la plus grande université au Québec, en face de la bibliothèque Nationale, en plein quartier Latin avec les rue Saint-Denis, Sainte-Catherine est et De Maisonneuve, des restos, des bars, des hôtels etc… Tout à fait désolant comme situation !

De plus, la ville devrait abandonner la volet familiale qu’elle demande au promoteur, pour la portion de la rue Saint-Hubert. Ce n’est pas un endroit idéal pour les familles. C’est un endroit pour étudiants, pour touristes, pour artistes, mais pas pour les petits enfants.

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Je le sais la Covid a le dos large, mais ces 3 années ont indéniablement eu un impact majeur sur le développement de plusieurs projets immobiliers, pas seulement dans les bureaux, mais aussi dans le secteur des logements sociaux et abordables.

Pour investir des sommes considérables en immobilier, il faut un tableau stable de la réalité pour éviter de couteuses erreurs d’aménagement. Un des éléments d’ancrage était un immeuble à bureaux pour loger certains services municipaux. D’abord une hésitation est apparue avec le télétravail obligatoire, qui s’est ensuite transformée après 3 ans en décision définitive, avec l’annulation de cet élément du projet.

Donc retour à la case départ, en réévaluant les besoins et en redessinant les plans. Pas étonnant alors qu’il y ait des délais et des attentes, car il faut aller chercher davantage d’argent auprès des gouvernements supérieurs afin de financer les nombreux logements sociaux et abordables. Avec comme conséquence que ce dossier traine malheureusement en longueur et concerne plusieurs autres projets un peu partout en ville.

Bien sûr que le site est idéal comme l’indique @SteveQ et on voudra en faire un développement favorisant la mixité sociale avant tout. Donc plusieurs formules d’habitations dont une partie (sinon le tout) pourrait être construite par le privé. On peut alors espérer que la Ville bougera plus rapidement face à la crise du logement abordable, maintenant qu’il est clair que la composante principale de ce développement sera résidentielle.

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Je suis en désaccord avec cela. Si c’était une section ou un édifice qui était bloqué/déraillé dû à la COVID, je serais enclin à accepter cet excuse.

C’est un bloc entier qui n’a pas avancé qui incluait des logements! La ville veut du logement social et possède un bloc entier! Qu’elle en construise au moins sur ce terrain! Prêcher par l’exemple n’est-elle pas une expression connue?

Non-seulement elle ne fait rien sur son terrain (pourtant le REM et les autres projets immobiliers eux ont avancé ces 3 dernières années), mais elle est la cause qui bloque les autres projets d’avancer.

Et pendant ce temps elle joue du violon avec les oh, il faut plus de logements! Si la pandémie est si problématique pour l’avancement de ce projet, pourquoi le REV elle avance à grand pas? Il ne faut pas chercher très loin pour connaitre les vrais priorités de la ville. De l’hypocrisie crasse.

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Des accusations gratuites qui n’apportent aucun éclairage. D’abord à propos de ce site particulier et ensuite face à la problématique des logements sociaux en général. Mais encore faut-il véritablement s’intéresser au dossier du logement social pour comprendre à quel point c’est complexe de développer des HLM depuis nombre d’années. Pas seulement à Montréal mais partout au Québec.

Parce que les gouvernements supérieurs se lancent la balle et s’opposent sur des détails qui retardent en bout de ligne l’ensemble des projets de logements sociaux et abordables.

D’abord le REM ou le REV ne sont aucunement comparables, ni même les projets de constructions privés parce qu’aucun de ces projets ne dépend du double financement fédéral -provincial pour aller de l’avant.

Je t’invite d’ailleurs à parcourir le fil dédié au Logements sociaux, communautaires et abordables - Actualités pour que tu te familiarises avec l’historique de cette saga qui dure depuis si longtemps entre les deux niveaux de gouvernement. Ça pue la mauvaise foi depuis des années et chacun renvoie la balle à l’autre sans égard aux gens qui attendent désespérément un logement décent. Pendant ce temps c’est la Ville que tu accuses injustement de ne rien faire.

Je te fais remarquer que je n’ai vu aucune intervention de ta part dans tout le fil dédié au logement social. Pourtant tu comprendrais certainement mieux la réalité et les faits. En plus tu verrais à quel point Montréal se débat constamment pour faire avancer sa politique de mixité sociale dont dépend la construction de milliers de logements abordables et sociaux.

Ce qui m’amène à dire que le responsable n’est pas toujours celui que l’on pense, encore moins si on ne se donne pas la peine de chercher au bon endroit.

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On pourrait viré ça sur un 10 cennes et dire que la ville s’obstine sur sa vision et est incapable (ou ne veut pas?) s’adapter aux autres joueurs. Donc des logements? Bah on en a tout simplement pas au final parce que la ville, comme les autres paliers du gouvernement et/ou les promoteurs, sont INCAPABLE de trouver un quelconque compromis, et au final, c’est les citoyens qui payent la notes. La ville est tout aussi responsable de ce gâchis que tout les autres joueurs.

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À ton tour je te dirais de bien lire les articles de journaux dans le fil correspondant aux logements sociaux, pour savoir que ces problèmes de financement datent de bien avant la nouvelle politique sur la mixité sociale. Cette situation dure depuis plus de 15 ans.Tu verrais que plusieurs promoteurs sont intéressés à développer des projets sociaux, mais que l’argent des gouvernements se fait toujours attendre au point de devoir annuler la plupart des ententes.

C’est moi qui ai ouvert ce fil pour justement informer les gens sur ce qui se passe vraiment et parce que je suis outré de constater l’incurie des gouvernements supérieurs en la matière et cela depuis trop longtemps.

Voici d’autres articles pigés sur internet sur le sujet:

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