Dans ce cas-ci, il y avait un prêt de 140 millions du fédéral, pour construire un édifice de 200 millions, déjà plus cher que le coût prévu il y a quelques années au début du projet. À mon avis le budget a été le simple facteur qui a sculpté le projet.
Sculpte? Ce verbe fait référence à des courbes et une certaine harmonie des formes.
Dans ce cas-ci, je le qualifierais d’un projet mal équarri en faisant référence à un billot de bois coupé à la hache à angle droit 
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En fait, vous avez raison! Mes excuses.
Montréal a l’air si belle quand on approche du pont Champlain, et voilà: le premier bâtiment que l’on verra au centre-ville sera cette affreuse dalle… Même pas jolie laide, juste…laide.
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Les promoteurs ont payé une info-pub dans La Presse… avec un rendu de la vue au sud de Farine Five Roses
Ivanhoé Cambridge | Projet Haleco : réinventer la vie en ville
Rendus 3D à titre indicatif
Sur le site où s’érigera le complexe immobilier Haleco, rue de la Commune, à l’intersection du Vieux-Montréal et de Griffintown, une cérémonie de première pelletée de terre a donné le coup d’envoi à un projet dont le caractère innovant a été récompensé à l’international. Au-delà de la certification LEED® Platine qu’il vise et des paramètres de conception durable qu’il repousse, Haleco promet de devenir un espace de vie unique en son genre.
Publié à 7h30
C’est grâce à un investissement de près de 200 M$ d’Ivanhoé Cambridge, de Cogir Immobilier et de Pomerleau que le projet Haleco, dont la livraison est prévue en 2024, peut voir le jour. Ce complexe, conçu par ACDF Architecture et L’OEUF Architectes, transformera la cour du garage municipal de la Commune – situé à la jonction des deux quartiers – en un espace de vie urbain, durable et pensé pour l’avenir des communautés qui y habitent, y travaillent et le fréquentent. À terme, les 31 442 m2 du projet Haleco accueilleront notamment 327 appartements locatifs, 40 logements communautaires, des espaces de bureaux et commerciaux, un marché public, une ferme urbaine, un verger ainsi que des locaux consacrés à diverses initiatives citoyennes.
Pour Stéphane Villemain, vice-président, Responsabilité sociale d’entreprise chez Ivanhoé Cambridge, par son exemplarité, ce projet s’inscrit parfaitement dans l’ambition de l’organisation de générer un impact environnemental et social positif.
Surpassant les standards en matière de durabilité et de sobriété énergétique, tant dans sa conception que dans son exploitation, Haleco contribue à repenser la façon de vivre en ville, et de vivre la ville.
— Stéphane Villemain, vice-président, Responsabilité sociale d’entreprise, Ivanhoé Cambridge
Densifier le cœur de la ville
La mixité des usages et des communautés qu’accueillera Haleco forge le caractère distinctif du projet. « Le volet résidentiel locatif et communautaire a été pensé avec l’intention de créer un milieu inclusif où des ménages différents se côtoient sous un même toit », souligne Stéphane Villemain. Le complexe accroîtra le nombre de logements abordables et accessibles sur le territoire de Montréal, et ce, à proximité du centre-ville.
Cette vision misant sur l’inclusivité et la diversité des usages est d’ailleurs l’un des éléments qui a séduit le jury du concours international Reinventing Cities parrainé par l’organisation C40. Réunissant les maires et mairesses des 100 plus grandes villes du monde, C40 encourage la création de projets d’habitation innovants et à faible empreinte carbone en réponse aux défis d’urbanisation posés par les dérèglements climatiques. Grand gagnant du concours, le projet Haleco s’est avantageusement distingué parmi les nombreuses initiatives de grand calibre sur le territoire montréalais, selon Hélène Chartier, qui évolue au sein de C40.
Le projet Haleco ne crée pas juste un bâtiment bas carbone, mais un lieu où les gens seront encouragés à adopter un mode de vie plus respectueux de l’environnement et, surtout, où ils seront équipés pour le faire.
— Hélène Chartier, directrice de l’urbanisme et de l’architecture, C40
Rendus 3D à titre indicatif
Biodiversité urbaine et économie circulaire
Ferme urbaine, espace maraîcher, arbres fruitiers, jardin communautaire, généreux espaces verts : tout cela contribue à faire de Haleco un endroit qui favorise la biodiversité, en plein cœur de la métropole. Accessibles au grand public, ces espaces verdiront le secteur et offriront une production alimentaire hyper locale et renouvelable.
L’économie circulaire est également au centre des valeurs environnementales et sociales du projet Haleco, ce qui se traduira dans la mission des commerces qui s’y installeront et les initiatives citoyennes qui y verront le jour. La vision est qu’autour de Haleco, une communauté puisse se rassembler pour enseigner et apprendre à réparer, à modifier et à adapter l’existant, et ainsi éviter de produire et de consommer de nouvelles ressources. C’est dans cette optique qu’un Fab Lab, aménagé sur place, permettra aux participants d’échanger leurs connaissances.
HALECO EN BREF
- Alimenté à 100 % par de l’énergie renouvelable
- À proximité du transport en commun et d’une piste cyclable
- 327 appartements locatifs et 40 logements communautaires
- Grand marché public
- Espace d’agriculture urbaine d’environ 500 m2
- Fab Lab, un lieu de revalorisation et de réparation
- Certification LEED® Platine
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J’espère que le revêtement a des particularités environnementales vraiment incomparables, parce que esthétiquement ça fait vraiment COOP Montagne verte.
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Dans le texte, on mise essentiellement sur l’aspect social et environnemental du projet, en évitant soigneusement de faire référence à sa valeur architecturale. L’ensemble du projet de par ses formes simplistes et une finition externe absolument affreuse est loin de constituer un atout pour l’entree du CV. Heureusement, en arrivant par l’autoroute Bonaventure, l’oeil est attiré par l’ensemble de la BNC et le VSP en premier et on n’aura pas trop le temps de contempler ce gâchis architectural. Par contre, si on est piéton ou cycliste, cet immeuble va cacher un belle vue du CV pour la remplacer par une vision beaucoup plus austère marquant le conservatisme dans la conception même de l’immeuble. Ce n’est pas ce projet qui fera de Montréal, une ville de design…
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Pas capable de cette publicité déguisé dans ces articles. Ce concours devait être pour un projet exemplaire en tout point, il est peut-être exemplaire sur ces composantes énergétiques et environnementales mais un projet ne peut être célébrer dans son entièreté si SON ARCHITECTURE est elle-même réduite à quelque chose d’aussi banal et médiocre. C’est la base du design, allier la forme et la fonction dans un tout cohérent.
Extrêmement déçu de ACDF et tous les partenaires. J’ai vraiment l’impression qu’on ce fait jouer dans le dos avec ce concours. On veut des explications sur le changement de design qui a été promis. J’ai l’impression qu’on essai de passer ça sous silence et de nous cacher tout le processus qui a eu lieu entre le concours et le résultat final, ça manque de transparence à mon avis. Et ça fait très pitié pour le concours C40, les projets qui se font dans les autres villes sont beaucoup plus audacieux et leur architecture diffère du look “hôpital des années 70 recouverts de panneaux métalliques en 2012”
Désolé pour l’arrogance mais cette situation me fâche vraiment.
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C’est un texte XTRA, ils sont identifiés comme étant un texte écrit pour ou par un annonceur. C’est directement de la publicité, même pas caché!
J’aimerais aussi bien connaître les raisons du design. C’est fort probablement une simple explosion des coûts (ça cause problème partout en ce moment), mais de la transparence et une confirmation serait les bienvenus.
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J’ai remarqué aujourd’hui qu’il y a deux grues fonctionnelles sur le site
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Ça va tellement refermer le centre-ville du fleuve et bloquer les perspectives et l’ouverture de Bonaventure… je suis tellement négatif mais ce projet ne m’inspire absolument rien de bon.
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Ça va en tout cas permettre d’animer ce secteur qui fait présentement une triste coupure entre le Vieux-Montréal et Griffintown.
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Cette remarque est tout à fait pertinente.
J’imagine qu’on se référe surtout à l’aspect extérieur qui déçoit pour un projet qui est supposé devenir une référence architecturale à la sortie du centre-ville. Pour le visiteur ou le banlieusard, voir une muraille plate pourvue d’une finition banale, laisseras une impression négative alors qu’ils ont peut-être apprécié tout le reste. Ca ressemble étrangement aux immeubles bâtis le long de l’autoroute 15 près de Sauvé. Déprimant mais apparemment, on devrait s’en réjouir… Sur une échelle 0-10, je dirais un beau gros 3 en étant généreux 
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