C’est vraiment la guerre des “low-cost”. Je suis surpris qu’IGA n’a pas de bannière low cost. Super C appartient à Metro et Maxi à Loblaws.
Exact, pourquoi pas de low cost québécois du côté d’IGA? C’est vrai que la bannière principale de la marque IGA est Empire, une compagnie canadienne des maritimes. Le positionnement d’un 3e low cost au Québec semble vraisemblablement un enjeu pour eux.
IGA has lots of stores in western Canada, and have launched a few FreshCo stores there too. I’m not sure why they aren’t opening in Quebec. I doubt they would create a new brand specifically for Quebec either but perhaps they think the market for low cost options is covered between Super C and Maxi, and don’t want to take revenue from Quebec IGA stores.
Very interesting. The supermarket share in Canada is fascinating and its huge game between behemoths.
ça s’ajoute à celui de marché St-Jacques sur Ontario. C’est rare qu’on voit une bannière avec deux succursales si proches.
Les quelques fois où je suis allé sur Ontario c’était l’asile tellement il y avait du monde. Je suis pas mal sur que celui là va bien marcher avec tout les nouveaux développements qui se font autour.
C’est trois gros problèmes que le conseil de la concurrence essaie d’attraper, mais un est toujours à l’avance sur l’autre. Je ne vous dis pas lequel
Je me questionne sur la viabilité du Métro dans le secteur, avec l’ouverture d’un Maxi et d’un Super C, qui offrent de meilleurs prix et répondent mieux aux besoins de la clientèle locale. Il s’agit d’un choix calculé de la part de Métro de cannibaliser sa propre clientèle afin de ne pas la perdre au profit de Maxi.
Bien que le Métro ait été récemment rénové, je me demande s’il n’est pas prévu de consolider les ventes au Super C et de vendre le terrain du Métro, qui serait exceptionnel pour le développement d’un projet mixte de qualité.
Quelques changements sur l’ilot 4. Les deux volumes en surhauteur sont rehaussés de 1 étage, chacun. Le basilaire est plus bas.
La cour anglaise est aussi éliminée, donc la cour sera de plain-pied au niveau du jardin.
Il y a d’autres changements ici et là sur les volumes. Les conditions prévues du CCU ont aussi été intégrées.
Modifications proposées
La présente demande vise à modifier le volume en surhauteur adjacent à la rue Falardeau. Celui-ci compte désormais 22 étages, soit 59 mètres. La hauteur du basilaire rouge adjacent à l’avenue De Lorimier et à la rue Falardeau a également été réduite de 3 mètres, passant de 30 m à 27 m, et son volume a été affiné. La hauteur du basilaire blanc adjacent à l’avenue De Lorimier, égale à 20 m dans la version initiale, a été réduite à 18.5 m. Un étage a également été ajouté au volume en surhauteur blanc, mais sa hauteur en mètres demeure toutefois inchangée. Finalement, le basilaire vert adjacent à la rue Tansley et au parc public a été réduit d’un mètre. Sa hauteur est par conséquent égale à 19 m dans la nouvelle proposition.
Les modifications volumétriques proposées n’ont que peu d’impact sur l’ensoleillement.
Aussi, la cour anglaise est remplacée par une cour de plain-pied. Elle est désormais au même niveau que le parc public adjacent. La programmation des toits présentée à la séance du CCU du 14 novembre 2024 est également retravaillée. Des modifications sont notamment apportées aux constructions hors toit, impliquant la suppression de l’escalier reliant les deux volumes en surhauteur, la modification de la volumétrie des appentis ainsi que le déplacement de l’équipement mécanique situé sur le toit du basilaire adjacent à la rue Tansley dans la cour adjacente au parc public.
De plus, des modifications sont apportées au traitement architectural des fenêtres pour l’ensemble des volumes. Pour le basilaire vert adjacent au parc public et le basilaire rouge adjacent à l’avenue De Lorimier et à la rue Falardeau, des meneaux ont été ajoutés et certaines persiennes ont été retirées. Des juliettes ont également été retirées dans les volumes blancs adjacents à l’avenue De Lorimier et les volumes gris donnant sur la rue Falardeau. Des modifications ont également été apportées à l’alignement des ouvertures dans la portion du volume gris donnant sur l’avenue De Lorimier.
Les accès, les ouvertures ainsi que les espaces techniques du rez-de- chaussée des basilaires rouge et gris adjacents à la rue Falardeau ainsi qu’à l’avenue De Lorimier ont également fait l’objet de modifications.
Finalement, plusieurs conditions prévues par le CCU à la séance du 14 novembre 2024 sont intégrées à la présente proposition :
• le contraste entre les deux couleurs de matériaux du volume adjacent à la rue Falardeau a été atténué.
• le local commercial adjacent au parc public et à la rue Tansley bénéficie désormais d’une entrée donnant sur la rue Tansley, permettant ainsi de contribuer à l’animation de la rue.
• les motifs ajourés des ouvertures du rez-de-chaussée du basilaire adjacent à la rue Falardeau ont été retirés.
• le traitement architectural des deux derniers étages du volume en surhauteur adjacent à la rue Falardeau a été retravaillé de façon à être plus distinctif.
• la distinction entre le volume en surhauteur adjacent à la rue Falardeau et son basilaire a été accentuée. Le traitement architectural du basilaire présente désormais un fini plus lisse. Ce dernier a également été avancé de façon à ce que le volume en surhauteur ait un recul plus important, passant de 1,34 m à 2,04 m
Avis favorable avec des conditions (en image):
En plus il y a IGA et Rachel Béry dans le village. Le Métro a-t-il un parking? peut-être plus une clientèle de transit vers Longueuil.
Le Metro vient combler les gammes de produits qui ne sont pas ou peu disponibles du côté des low-cost. Les low-cost ont beaucoup moins de marques ou de variétés que les Metro et IGA de ce monde.
Le fournisseur alimentaire pour lequel je travaille, par exemple, a environ 300 produits listés chez Metro contre une petite centaine chez Super C. Certains de ces produits sont exclusifs à Metro et sont donc indisponibles chez Super C, tandis que d’autres ne trouveraient pas leur clientèle du côté des low-cost.
Vrai que le Metro est à risque de devenir redondant dans le secteur, mais une stratégie 100% low-cost, qui impliquerait la fermeture du Metro, pourrait avoir une influence sur les mentalités des fournisseurs et des consommateurs.
À mon avis, le plus gros défaut des low-cost est l’absence quasi-totale de prêt-à-manger. Au Maxi, lorsque que j’ai demandé s’ils avaient une section de plats préparés on m’a enligné vers un petit étalage de sandwichs sous-vide de type dépanneur “Couche-Tard”, ou bien les fameux poulets rotis entiers Je dois avouer apprécier énormément les sections prêt-à-manger des épiciers classiques.
Il y a ça, aussi. Les sections PAM des épiceries offrent des alternatives bien plus abordables que la plupart des restos. Et cette prtie du Village n’est pas celle où l’on retrouve le plus grand choix de restos, non plus.
Moi qui a une alimentation restreinte, le lowcost, ça enlève totalement mon plaisir de manger. Je serais vraiment déçu qu’il n’y ait plus de métro dans le secteur. C’est le seul sur mon chemin qui n’est qu’un petit arrêt agréable en été. À part à Frontenac, il n’y a pas d’épiceries à côté d’une station de métro de Berri jusqu’au bout de la ligne verte.
Le lowcost, ça facilite aussi une meilleure consolidation de l’industrie. Les gros épiciers aiment beaucoup ça à cause que ça leur donne beaucoup de contrôle sur les chaînes d’approvisionnement. Ça ne se traduit pas par des meilleurs prix pour le consommateur au bout du compte. Adam Conover de Adam ruins everything avait reçu Austin Frerick sur son podcast pour parler des épiceries justement, c’était assez intéressant.
Quand les épiciers prennent le contrôle d’un produit en en achetant des tonnes pour leurs bannières low-cost, ils marchandent des meilleurs prix pour les produits en question. À un certain point, des compagnies comme Loblaws (Maxi) et Métro (Super-C) commandent tellement d’un produit chez un fournisseur qu’ils menacent de ne plus acheter ce produit du fournisseur s’ils ne vendent pas en bas de leur cost. Pour que ça marche, Le fournisseur est obligé de refiler la facture à ces autres clients. Les petites épiceries ne peuvent pas survivre à ça parce que les gens n’ont plus d’incitatif à magasiner chez eux. Ça a déjà été illégal de faire ça, mais nous avons assoupli nos lois pour accommoder des multinationales comme Walmart. À un certain point, ce cycle crée des monopoles chez les founisseurs parce que les épiciers ont le pouvoir de vie ou de mort pour certains des compagnies avec qui ils font affaire. Lorsqu’ils décident de larguer une compagnie, ça laisse champ libre à une plus grosse compagnie pour les acheter.
Pour avoir travaillé pour une bannière low-cost quand j’étais plus jeune, je peux aussi dire qu’ils ont beaucoup de trucs dans leur poche pour faire payer le même prix que les banières plus hautes gammes, mais en qualité ou en quantité moindre.
Cest la première fois que je vois une marche pour accéder à un supermarché. Ça me semble un pari téméraire pour la clientèle. Est-ce normal?