Espaces piétonniers

Dans ces cas, ils devraient mettre un marquage sur le poteau hydro, alors, comme du ruban adhésif réfléchissant, au lieu d’un autre objet bloquant plus d’espace sur le trottoir.

1 « J'aime »

Les bollards sont utilisés pour délimiter des espaces et signaler des obstacles, particulièrement en hiver, et ils sont largement utilisés à cette fin.

La visibilité du poteau d’Hydro n’est pas un problème, mais l’opérateur de la chenillette a besoin d’une indication claire et rapide concernant le manque d’espace à cet endroit pour éviter d’endommager son véhicule, le poteau d’Hydro ou même une partie du mur, ce qui pourrait entraîner des réclamations coûteuses. Ainsi, le tronçon n’est généralement pas déneigé (selon mon expérience sur de Lanaudière) et probablement impraticable après une tempête, qu’il y ait des bollards ou non.

Face à ce genre d’observation ou de questionnement, ne présumons pas que personne n’y ait pas déjà réfléchi ou envisagé des solutions avant nous. En cas de doutes, ou pour obtenir des explications ou une réponse personnalisée, il est toujours possible de poser la question à son élu(e). :slight_smile:

1 « J'aime »

Sauf que le type d’installation est un peu ironique, indiqué l’étroitesse du passage en le rendant plus étroit…

4 « J'aime »

Ou encore, hear me out, on enterre cette section de filage.

2 « J'aime »

Ahhh l’éternelle discussion sur l’enfouissement des fils. On en rêve tous (et d’une enveloppe illimitée)! :wink:

1 « J'aime »

Except that bureaucracy has prevented other things happening such as simple signage being added. This feels like an example of bureaucracy stating rules that don’t clearly define when a sidewalk has limited space to use alternative solutions that don’t make the sidewalk literally smaller

3 « J'aime »

La “bureaucratie” que tu pointes du doigt, ce n’est pas juste un concept abstrait et dépersonnalisé.

La planification du territoire et des opérations implique des centaines de professionnels aux compétences diverses (ingénieurs, urbanistes, agents techniques, etc.) qui travaillent et réfléchissent quotidiennement sur le territoire. En plus de cela, il y a les élus qui posent des questions et y répondent, les agents de communication qui traitent les requêtes, les opérateurs et les gestionnaires des travaux publics qui sillonnent le territoire, etc.

Pour ma part, quand j’observe une situation que je ne peux pas expliquer à première vue, j’ai le réflexe de me dire qu’il me manque des informations et que la solution n’est sûrement pas aussi simple que je peux l’imaginer.

Je trouve qu’on a trop souvent le réflexe, surtout dans un contexte de cynisme ambiant croissant envers les élus et les institutions, de présumer de la simplicité des enjeux et des solutions et de l’incompétence de ceux qui doivent y répondre. :slight_smile:


AJOUT : Je propose de nouveau : les élu(e)s peuvent également constituer de bonnes sources d’informations si l’on souhaite véritablement obtenir des explications sur une situation observée.

3 « J'aime »

:smile:

4 « J'aime »

On monday, they were so many people in old Montreal that they naturally took over the streets, however as it was not pedestrianized yet, it resulted in lots of chaos and confusion with cars stuck for a very long time and honking on pedestrians in the street. I think that the city should’ve exceptionally blocked traffic off these streets in prevision of the eclipse.




12 « J'aime »

Even when it’s not pedestrianized, that part of St-Paul is a pedestrian priority street where drivers are meant to yield to people on foot. Unfortunately there’s very little signage and drivers here are generally ignorant of the concept of a shared street.

5 « J'aime »

des rues-écoles dans MHM!

Dès ce printemps, trois écoles bénéficieront de certaines mesures de sécurité routière pour renforcer la protection des écoliers durant trois jours respectivement :

  • Saint-Clément (rue Théodore);
  • Guillaume-Couture (rue Du Quesne);
  • Saint-Fabien (rue Lescarbot).
3 « J'aime »

La transformation du Vieux-Montréal en « royaume des piétons » devrait débuter par les secteurs de la basilique Notre-Dame et de la place Jacques-Cartier, mais le projet suscite de l’opposition locale, a appris La Presse.

Un sondage effectué jusqu’à la semaine dernière par la Société de développement commercial (SDC) locale montre que 54 % des commerçants, habitants et travailleurs sondés sont défavorables ou très défavorables au plan de l’administration Plante.

Celui-ci consisterait, selon les images de la Ville de Montréal datant de la fin de mars intégrées au rapport de sondage, à piétonniser totalement ou partiellement des tronçons des rues Saint-Paul, de la Commune, Place d’Armes et Saint-Sulpice. Par endroits, les véhicules pourraient encore passer à basse vitesse.

D’autres rues verraient leurs voies de circulation être réduites pour laisser plus de place aux piétons avec une « bonification du mobilier urbain et du verdissement » à la clé.

La Presse a toutefois appris que l’organisation s’est officiellement retirée des ateliers de concertation menés par la Ville de Montréal, il y a un mois. Les services municipaux mènent depuis plusieurs semaines des rencontres de ce type avec des commerçants et institutions du secteur, plutôt que de procéder à des consultations publiques traditionnelles.

Reprenant les données des sondages successifs de la SDC, elle a fait valoir que l’accueil pour le projet s’améliorait dans le quartier. « Le travail de consultation est piloté par la Ville de Montréal, et a contribué à augmenter de près de 20 % l’adhésion des commerçants au projet depuis un an », a-t-elle ajouté. « La version finale du projet est toujours en cours de bonification dans le cadre des rencontres qui se déroulent actuellement avec les commerçants, en vue de la présentation du projet au cours des prochaines semaines. »

2 « J'aime »

Nouveau sondage de la SDC du Vieux-Montréal sur la piétonisation

Sondage Mars 25 2024 Résultats.pdf (468.3 KB)


9 « J'aime »

Dans la côte de Place D’Armes c’est pas des bollard et des lignes au sol qui faut mais refaire les trottoirs.
Même chose pour de la Commune, pourquoi on dédouble la piste cyclable du Vieux-Port? Je sens que de la Commune va être un mess

1 « J'aime »

Parce qu’il n’y a pas de piste entre St-Laurent et Bonsecours. Alors que c’est le coin le plus achalandé du Vieux-Montréal, autant en terme de trafic piétonnier que motorisé.

4 « J'aime »

Je suis aussi inquiet.
Je comprends l’idée de faire un aménagement transitoire et d’y aller progressivement pour ne pas faire peur aux gens, mais j’ai l’impression que ça va être le festival du bollard, de la peinture et des cloches de béton. Ce qui, dans un contexte comme le vieux Montréal, est tout à fait inapproprié.

Nous sommes encore une fois dans une logique de ville jetable.
J’ai hâte qu’on soit à l’ère de la ville pérenne.

10 « J'aime »

Qu’on s’entend avec le Vieux-Port pour que le chemin de terre sois utilisé comme piste cyclable officiel…

6 « J'aime »

J’en parlait avec une connaissance qui travaille aux études techniques dans un arrondissement et il semblerait que le verbe « bolariser » fait maintenant parti du jargon technique

4 « J'aime »

Même là, il manque la section entre St-Laurent et le Quai Jacques-Cartier. Je suis d’accord avec toi, c’est laid des bollards et de la peinture, mais tout de même, il manque un lien cyclable qui fait du sens entre McGill et Berri. Ça fait longtemps qu’on attend quelque chose de plus structurant dans cet axe.

Les sections de piste qui appartiennent au Vieux-Port sont remplies de piétons durant la haute saison et la chaussée a grandement besoin d’être resurfacée. Ce lien bidirectionnel du côté sud de la rue de la Commune devrait aider en ce sens.

3 « J'aime »

Moi, je ne suis pas inquiète du tout. Avec les taxis, les bus et les camions de livraisons, mieux vaut aller prendre une grosse marche plutôt qu’aller à l’hôpital. :grin: :walking_man: :man_walking: :walking_woman: :footprints: