Espaces piétonniers

Lights in general in the suburbs take soooo long because of how massive the streets are, I’m more talking about smaller intersections that are in the city, where pedestrians have to wait around one minute. Sure this isn’t that long, but doing this could allow someone to walk around 45 seconds in, then wait just 15 seconds to finish crossing (this isn’t a real example, I’m not a traffic engineer).

In Amsterdam they have them for even small streets, small pedestrian islands, these are two separate pedestrian lights:

Yes exactly! Something like that, I noticed the city is finally installing more, I’m just surprised it doesn’t have more, even for newer redesigns at Avenue du Parc

3 « J'aime »

My main issue with Montreal-Nord bike network isn’t how little it covers, it’s that they can’t even be bothered to maintain and secure Gouin, one of the oldest and most popular all year path in the east. And since it’s not secure it’s often used as a parking lane or for speeding, counter bike traffic of course. RDP and Ahuntsic have done a great job with their segments.

1 « J'aime »

Du Parc/Des Pins was redone about 15 years ago. It was a major improvement over the highway interchange that stood there, but not groundbreakingly pedestrian-friendly by today’s standards. I agree that real pedestrian islands would have been better, as even if I prefer not having to wait for two different lights, it would make it safer for those who don’t have time to cross entirely.

The excessive width of Du Parc south of Mont-Royal is completely absurd. They redesigned a ground-level interchange and greatly improved that area, but they did not question the car-centric purpose of Du Parc.

Even the new Côte Placide proposed plan does not address this issue. I would have hoped that seeing how “attacking” perceived car traffic fluidity with the (now old) redesign did not result in any ill-effect would have inspired further actions, in a sort of stepwise transformation.

I can’t wait to see how ambitious will be their proposal for the very problematic Du Parc/Mont-Royal/Côte-Sainte-Catherine/Camillien-Houde interchange. Access to Camillien-Houde should not be nearly as “fluid”. They should include the long forgotten pedestrian overpass to complete the Chemin de ceinture du Mont-Royal and properly link Olmsted to the Boisé d’Outremont. I also would be very bold and remove the stretch of Côte-Sainte-Catherine between Mont-Royal and Du Parc. That way, we could unite the Mont-Royal Park to the Parc de l’Amérique Latine. If necessary, we could always maintain a loop for buses to turn around. Combine that with a reduction of the width of Du Parc south of Mont-Royal, ideally to the benefit of public and active transit, and you get an appropriately ambitious project. They are already supposed to improve Des Pins west of Du Parc, and Camillien-Houde is also getting major upgrades.

2 « J'aime »

Les traversées en deux temps sont bien lorsqu’elles sont synchronisées adéquatement et qu’elles accordent instantanément une priorité piétonne. Par contre, les feux qui permettent ce genre de mouvements sont généralement plus chers à installer. Les îlots refuges sont aussi vraiment utiles aux intersections non-contrôlées où on peut traverser une direction à la fois et attendre que l’autre direction soit dégagée.

La traverse en deux temps est un mal nécessaire quand la rue à traverser est large et qu’elle accueille un volume important de circulation automobile. On n’a donc pas le choix de diviser en deux le parcours afin de protéger les plus vulnérables, tout en rendant la traverse universelle (incluant les gens à mobilité réduite).

C’est sûr que personne n’aime attendre et encore moins au milieu de la circulation. Toutefois il faut prioriser la sécurité avant tout, car plus la rue est large plus les gens sont susceptibles de prendre des risques. En fait ce sont souvent les plus vulnérables (enfants, ainés etc) qui font ce mauvais choix et en paie chèrement le cout.

Comme dit l’adage: mieux vaut perdre une minute dans sa vie que la perdre pour une minute.

1 « J'aime »

I’m visiting Boston, and they have pedestrian islands with lights that change to allow you to cross partially, like I was mentioning Montreal should have:

3 « J'aime »

Je crois qu’il serait mieux de retirer tout le spaghetti de slip lanes, je pense pas que le traffic sur des Pins justifie des bretelles pour tourner.

7 « J'aime »

Très bonne suggestion! Il faudrait revoir aussi le raccordement à la rue Hutchison, c’est absurde à l’heure actuelle. Beaucoup de possibilités d’espaces à végétaliser! Je me demande si avec la reconfiguration future à Du Parc/Mont-Royal/Côte-Sainte-Catherine/Camillien-Houde il y aura une diversion partielle du trafic vers Des Pins?

L’arrondissement VSMPE organise une consultation en ligne sur le projet d’apaisement de la circulation dans Villeray! On peut aller déposer notre suggestion sur une carte interactive:

5 « J'aime »

Cette petite ruelle a le potentiel de devenir un bel espace piéton

10 « J'aime »

Oui, tout à fait. Elle est toute désignée pour cela. D’ailleurs, plusieurs petites ruelles du centre-ville ont le potentiel de devenir des endroits piétonnisés. Ça serait merveilleux de développer un réseau de rues et ruelles piétonnisés.

2 « J'aime »

Travaux d’aménagement de 12 intersections dans le Sud-Ouest

Travaux de rues et de sécurisation autour des écoles dans Le Sud-Ouest

Mis à jour le 23 mai 2023
Temps de lecture : 1 min

De mai à septembre 2023, l’Arrondissement du Sud-Ouest reconstruira 12 intersections sur son territoire pour vous permettre de mieux vous déplacer et ce, en toute sécurité.

Sécurisation autour des écoles

Les travaux prévus sont la reconstruction des intersections, la construction de saillies végétalisées et le remplacement d’entrées d’eau en plomb.

Les intersections visées sont :

  • Springland et Dumas : école Dollard-des-Ormeaux (capteur de pluie)
  • Springland et Hamilton : école Westmount Park Elementary
  • Palm et De Courcelle : école Saint-Zotique
  • Favard et Ash : école Jeanne-LeBer
  • Hadley et Holy Cross : écoles Honoré-Mercier et Coeur-Immaculé-de-Marie
  • Mullins et Shearer (et déminéralisation du cul-de-sac de la rue Shearer) : école Charles-Lemoyne

En savoir plus sur la sécurisation autour des écoles

Travaux de rue

Les travaux prévus sont la reconstruction des intersections, de construction de saillies végétalisées et de déplacement des feux clignotants.

Les intersections visées sont :

  • Allard et Hadley
  • Bourget et Saint-Ambroise
  • Saint-Ambroise et du Square-Sir-George-Étienne-Cartier Est et Ouest
  • Beaulieu et Jacques-Hertel
  • Laporte et Saint-Antoine Ouest
  • Springland, entre les rues Dumas et Hamilton

En savoir plus sur l’entretien des chaussées

Circulation pendant les travaux

  • Circulation locale permise;
  • Détours prévus. Suivez la signalisation.

Stationnement

  • Restrictions près du chantier. Respectez la signalisation.

Accès aux bâtiments

  • Trottoirs généralement accessibles, mais possiblement entravés lors de certaines phases. Des passages aménagés permettront l’accès aux bâtiments en tout temps.
7 « J'aime »

En se basant sur le succès que connait la piétonnisation de plusieurs endroits à Manhattan, notamment le Herald Square, le président de Montréal Centre-Ville Glenn Castanheira, s’amuse à relancer le débat sur la complète piétonnisation de la rue Sainte-Catherine.

Je dois avouer que j’aime bien l’idée et je crois que Montréal est rendu là, c’est à dire à l’étape de la piétonnisation, car chaque fois que je me balade il y a tellement de monde que même les nouveaux trottoirs entre de Bleury et Mansfield ne suffisent plus. Par contre, ma seule hésitation est pour les 4 mois d’hiver.

image

10 « J'aime »

People want Mont-Royal Pedestrianized forever:

1 « J'aime »

Like someone tweeted yesterday, it’s like a discussion on social medias :wink:

https://twitter.com/UrbanJerseyGuy/status/1661865040750804992

1 « J'aime »

Au Téléjournal

Bilan routier 2022 : pire année en 15 ans pour les piétons au Québec

En 2022, 79 piétons ont perdu la vie au Québec selon les dernières données de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ). Il s’agit du pire bilan en 15 ans.

Selon les policiers, le problème est la vitesse.

Les Québécois roulent beaucoup trop vite, martèlent les directeurs de police


Au moins 45 personnes de plus qu’en 2021 ont perdu la vie sur les routes du Québec en 2022.
PHOTO : STEVE JOLICOEUR

Stéphane Bordeleau
Publié à 13 h 09

Près des trois quarts des automobilistes québécois ne respectent pas les limites de vitesse, selon des données de la SAAQ présentées par l’Association des directeurs de police du Québec (ADPQ).

Selon les directeurs de police qui rencontraient les médias lundi, à Saint-Jean-sur-Richelieu, 70 % des conducteurs dépassent la limite de vitesse dans les zones de 30 km/h. Rappelons que ces zones sont habituellement situées où il y a des parcs et des écoles.

Cela signifie qu’où que vous alliez dans les parcs avec vos enfants ou que ceux-ci quittent l’école, près des trois quarts des conducteurs qu’ils vont croiser vont rouler plus vite que la limite permise, souligne Pierre Brochet, président de l’ADPQ et chef de police à Laval.

Or, il n’y a pas que dans les zones scolaires que les conducteurs ont le pied pesant.

Dans les zones résidentielles où la limite de vitesse est de 40 ou 50 km/h, environ 50 % des conducteurs ne respectent pas les limites de vitesse, soit environ le même ratio que sur les routes provinciales numérotées, montrent les données de la SAAQ.

Sur les autoroutes, la proportion des conducteurs qui excèdent la limite permise est de 75 %.


Un total de 392 personnes ont perdu la vie sur les routes du Québec en 2022.
PHOTO : RADIO-CANADA / MATHIEU WAGNER

« Le bilan routier de la Sûreté du Québec pour 2022 démontre que la vitesse demeure la principale cause d’accident mortelle. »

— Une citation de Francis Bernardin, Sûreté du Québec

Ces statistiques sur le comportement des conducteurs au Québec sont préoccupantes, selon Louise Bonneau, responsable de la sécurité routière à l’ADPQ.

On est rendu à une étape où il faut avoir une prise de conscience collective, estime Mme Bonneau. Le respect des limites de vitesse, c’est une responsabilité partagée. C’est pourquoi je m’adresse à l’ensemble des Québécois.

Savez-vous quel type de conducteur respecte le moins les limites de vitesse? Dans 60 % des cas, ce sont des motocyclistes. Dans 57 %, ce sont des conducteurs de véhicules de promenade.

Cette sortie de l’ADPQ coïncide avec les efforts de l’Opération nationale concertée Vitesse qui se déroule au Québec du 9 au 15 juin sur les routes de la province où les policiers, la SAAQ et Contrôle routier Québec unissent leurs efforts pour lutter contre la vitesse.

Lourd bilan en 2022, particulièrement pour les piétons

Alors que les directeurs de police rencontraient les médias, la Société de l’assurance automobile publiait son bilan routier 2022 où le nombre de morts sur les routes a augmenté de façon préoccupante, notamment chez les piétons.

En effet, l’an dernier, la SAAQ a recensé 392 décès sur les routes du Québec, soit 45 de plus qu’en 2021. Une hausse de 13,2 % par rapport à la moyenne des pertes de vie de 2017 à 2021.

Plus préoccupant encore, le nombre de piétons tués l’an dernier sur les routes du Québec a bondi de 22,7 % comparativement à la moyenne de 2017-2021, pour atteindre 79. Il s’agit du pire bilan routier des quinze dernières années, dénonce l’organisme Piétons Québec.

Les piétons paient malheureusement le prix de notre inaction collective pour les protéger, a déclaré la directrice générale de l’organisme, Sandrine Cabana-Degani.


Le bilan routier 2022 est le plus meurtrier pour les piétons depuis une quinzaine d’années, selon Piétons Québec.
PHOTO : RADIO-CANADA / MATHIEU WAGNER

Outre les piétons, les accidents mortels impliquant des motocyclistes et des véhicules lourds ont aussi sensiblement augmenté en 2022, affichant des augmentations respectives de 10,1 % et 17,3 %, comparativement à la moyenne 2017-2022.

Au moins 95 personnes sont mortes l’an dernier à la suite d’un accident impliquant un ou des véhicules lourds, tandis que 61 motocyclistes et 9 cyclistes ont perdu la vie sur les routes du Québec en 2022.

Mais on ne meurt pas toujours d’un accident de la route. Au moins 1275 personnes ont été gravement blessées sur les routes l’an dernier, tandis que 27 048 ont été légèrement blessées.

Des chiffres, encore ici, en hausse par rapport au bilan de 2021.

6 « J'aime »


6 « J'aime »

Les nouveaux sens uniques dans le Centre-Sud seront en place lundi

5 « J'aime »

9 « J'aime »

Les rues piétonnes : l’avenue du Mont-Royal Un espace vivant et rassembleur

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

Du 20 mai au 5 septembre, l’avenue du Mont-Royal est piétonne.

Cet été, La Presse vous fait découvrir sept rues piétonnes de Montréal.

Publié à 0h55 Mis à jour à 5h00

Partager


Simone Caron
Simone Caron La Presse

Ce qu’il faut savoir

L’avenue commerçante située au cœur du Plateau est piétonne jusqu’au 5 septembre, entre le boulevard Saint-Laurent et la rue Fullum, et ce, chaque été depuis 2020.

INFOGRAPHIE LA PRESSE

Pour la quatrième année consécutive, l’avenue du Mont-Royal se transforme en rue piétonne. Mais cette fois, la population accueille le projet à bras ouverts. Passants, commerçants, cyclistes… tout le monde semble y trouver son bonheur.

Mont-Royal est beaucoup plus qu’une artère interdite aux voitures ; c’est aussi un espace vivant qui attire les gens du quartier, comme les visiteurs. L’été dernier, la rue a accueilli pas moins de 6 millions de passants, soit environ 70 000 par semaine !

Le projet est le fruit d’une collaboration entre l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal et la société de développement de l’avenue du Mont-Royal (SDAMR), qui s’occupe notamment d’aménager la rue. Bancs et comptoirs publics, végétation, fresques, jardins nourriciers, ateliers gratuits : la rue s’est métamorphosée en lieu de socialisation à l’ambiance festive.

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

La société de développement de l’avenue du Mont-Royal a installé des jardins nourriciers entre Garnier et Fabre et offrira des ateliers gratuits d’agriculture urbaine.

« C’était nécessaire comme projet », raconte Céline Schmitz, une passante qui profitait de sa pause repas au soleil avec sa collègue sur le mobilier installé par la SDAMR. « On vient ici tous les midis maintenant ! C’est agréable de profiter de l’extérieur sans se poser de questions. »

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

Diane Uwanyirigira et Céline Schmitz prennent leur pause dans l’avenue du Mont-Royal.

Les piétons peuvent enfin se réapproprier l’espace public qui a été monopolisé par les voitures pendant des décennies, explique la conseillère de la Ville du district de Lorimier, Marianne Giguère. « La population du Plateau l’apprécie et le demande », dit-elle en soulignant que les automobilistes n’ont plus autant de réticences qu’avant.

On a le problème inverse maintenant : on reçoit beaucoup plus de plaintes de gens qui veulent moins de voitures dans les rues ! On nous demande : “Pourquoi l’avenue Laurier n’est pas piétonne elle aussi ?’’, “Pourquoi Mont-Royal ne reste pas piétonne plus longtemps ?’’

Marianne Giguère, conseillère de la Ville du district de Lorimier, arrondissement du Plateau-Mont-Royal

Une bonne affaire pour les commerçants

Contrairement aux craintes initiales, la rue piétonne est une vraie mine d’or pour la plupart des commerces. Libérer l’espace autrement occupé par les voitures permet d’ajouter une terrasse ou un kiosque dans la rue et, surtout, offre un afflux de clients de bonne humeur.

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

Michel Pontbriand, gérant de jour au bar Plan B

Ça permet au bar d’être profitable. Sans piétonnisation, il n’y a pas de volume. Si on avait nos chiffres d’affaires de l’hiver pour les 12 mois de l’année, personne ne voudrait s’occuper du commerce.

Michel Pontbriand, gérant de jour au bar Plan B

La majorité des commerçants en profitent, indique le directeur de la SDAMR Claude Rainville, surtout dans le secteur de la restauration. Celui-ci ajoute que de nouveaux commerces ont même fait le choix de s’établir dans l’avenue du Mont-Royal en partie à cause de la piétonnisation. Toutefois, Claude Rainville admet que certaines boutiques de biens surdimensionnés – dont les clients viennent surtout en voiture – ne profitent pas autant de la rue piétonne.

« Jusqu’à maintenant, la réponse est positive, indique-t-il. Mais on ne s’arrête pas là, on continue d’évaluer le projet chaque année. Parce qu’on cherche toujours à l’améliorer, autant pour les commerçants, les utilisateurs et les gens du quartier. »

Par exemple, des mesures ont été mises en place pour rendre la rue plus accessible aux gens à mobilité réduite. Les services Vélo Duo et Eva Coop sont offerts gratuitement aux personnes dans le besoin pour faciliter leurs déplacements le long de l’artère et dans le secteur. « C’était important pour nous que les personnes âgées puissent avoir accès aux pharmacies, à l’épicerie, aux banques, par exemple », souligne Claude Rainville, de la SDAMR.

La mobilité reste le principal enjeu à surmonter. La ligne de bus 97 – qui dessert l’avenue du Mont-Royal – transporte beaucoup de gens et se rend à la station de métro Mont-Royal, une des seules accessibles en fauteuil roulant. « On ne peut pas s’imaginer avoir la rue piétonne plus longtemps à cause des détours pour le transport en commun », soulève Marianne Giguère de l’arrondissement du Plateau.

Cohabitation piétons et cyclistes

De plus, les vélos sont maintenant acceptés dans la rue – à condition, évidemment, qu’ils ne roulent pas trop vite et fassent attention aux piétons.

« On avait interdit les vélos en 2020 lors de la première édition de la rue piétonne, indique la conseillère de la Ville Marianne Giguère. Mais on s’est vite rendu compte que c’était irréaliste. On a donc mandaté l’INRS et Polytechnique en 2021 pour évaluer si c’est sécuritaire de donner l’accès aux vélos. » Selon cette étude, seuls 6 % des cyclistes manquaient de prudence. Depuis, l’arrondissement mise sur la cohabitation.

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

Les vélos sont admis dans l’avenue du Mont-Royal piétonne.

Je suis contente d’avoir le droit d’être à vélo dans Mont-Royal, c’est pratique. Mais je ralentis et je fais très attention aux piétons. Parce que justement, je ne veux pas que ce droit change.

Audrey Jannin, cycliste rencontrée dans l’avenue du Mont-Royal

Le projet de rue piétonne dans l’avenue du Mont-Royal est là pour de bon. Claude Rainville souligne que la SDAMR et l’arrondissement travaillent fort, d’année en année, pour relever les défis qui se présentent à eux. « On cherche la formule qui peut rallier le plus de gens possible. »

Quelques témoignages…

1/5

La semaine prochaine : la rue Wellington

1 « J'aime »