Pourquoi l’annoncer à ce stade-ci si on ne peut même pas en connaître la nature ? On répond au téléphone présentement, on fait le service à la clientèle, mais on ne sait pas encore ce qu’on doit répondre aux clients. On passe énormément d’heures à soutenir cette opportunité-là qui va venir, mais présentement, on est tous des entreprises, on ne peut pas dire aux clients : attendez l’année prochaine.
Martin Lambert, président d’Ecosolaris
Par ailleurs, le président d’Énergie solaire Québec estime que le montant de la subvention devra être important pour faire une réelle différence auprès des consommateurs. À l’heure actuelle, un projet moyen devient rentable entre 15 et 20 ans, explique-t-il.Idéalement, il faudrait un incitatif qui permet un retour sur investissement de moins de 10 ans, et préférablement de 7 ans, selon le bilan présenté au colloque d’avril dernier.
Production accélérée Le pétrole chute après les annonces de l’OPEP+
PHOTO AHMAD AL-RUBAYE, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE
Huit pays membres de l’OPEP+ sur vingt-deux ont déclaré samedi qu’ils sortiraient de terre 411 000 barils par jour en juin, soit autant qu’en mai, alors que le plan de réintroduction initial prévoyait seulement 137 000 barils supplémentaires.
(Paris) La nette baisse du pétrole était au centre des attentions lundi sur les marchés, alors que Londres et les principales places boursières asiatiques sont fermées pour un jour férié, l’Organisation des produits exportateurs de pétrole et ses alliés (OPEP+) ayant annoncé accélérer leur production d’or noir en juin, malgré la surabondance de l’offre.
Publié à 6 h 32
Agence France-Presse
Huit pays membres de l’OPEP+ sur vingt-deux ont déclaré samedi qu’ils sortiraient de terre 411 000 barils par jour en juin, soit autant qu’en mai, alors que le plan de réintroduction initial prévoyait seulement 137 000 barils supplémentaires.
Vers 3 h 30 (heure de l’Est), le baril de WTI américain cédait 3,02 % à 56,53 dollars, quand celui de Brent de la mer du Nord perdait 2,76 % à 59,60 dollars.
« La communication officielle de l’OPEP+ indique que le groupe remet des barils sur le marché parce que “ les fondamentaux sont sains et que les stocks sont faibles ” », relève Ipek Ozkardeskaya, analyste de Swissquote Bank.
« Pourtant, les prévisions de croissance mondiale se sont effondrées en raison de la guerre commerciale acharnée entre les États-Unis et le reste du monde, et l’augmentation de la production ne fait qu’aggraver les problèmes de surabondance de l’offre », explique Mme Ozkardeskaya.
« La semaine dernière, l’Arabie saoudite avait déjà laissé entendre que quelque chose d’important était sur le point de se produire en déclarant qu’elle était prête à tolérer une baisse des prix du pétrole pendant une période prolongée. La nouvelle du week-end n’a donc pas été un choc, mais les raisons de cette décision restent incertaines », a-t-elle poursuivi.
Les économistes tentent d’évaluer l’impact du recul prononcé du cours de l’or noir sur les marchés, alors que la Bourse de Londres est fermée lundi en raison d’un jour férié, tout comme les principales places boursières asiatiques.
« Avec une baisse du prix du pétrole de plus de 20 % depuis le début de l’année, les prix de l’énergie sont devenus un facteur désinflationniste important, même si l’inflation reste supérieure à l’objectif » des banques centrales « dans la plupart des économies » développées, notent les économistes de Deutsche Bank.
« Cette semaine, l’attention devrait se tourner à nouveau vers les banques centrales, avec les dernières décisions de la Réserve fédérale (Fed) américaine mercredi et de la Bank of England jeudi », ont-ils commenté.
Depuis décembre, les taux de la puissante Fed se situent dans une fourchette comprise entre 4,25 % et 4,50 % et le marché s’attend à ce que l’institution laisse ses taux inchangés en mai.
« Les prévisions de l’institution monétaire pour le mois de juin » seront toutefois scrutées, juge l’analyste de Swissquote Bank.
La végétation est en pleine explosion actuellement, surtout celle qui bénéficie d’un ensoleillement maximal.
Le CN qui continue à être un mauvais citoyen corporatif…
This herbicide is banned in Montreal, but residents worry about its continued use along railways
CN rail uses glyphosate-based products to keep plants from growing on its tracks. But Montrealers living nearby want to see the chemical phased out because of the potential health risks.