Ces pancartes ne sont aucunement présentes au parc Raymond-Préfontaine, ni au parc Lalancette. Ça aiderait à comprendre le pari. Pourquoi les mettre dans certains parcs plutôt que d’autres, dans le même arrondissement de surcroit?
Un message a été fusionné à un sujet existant : Infrastructures de la Ville de Montréal - Discussion générale
L’application 311 m’a dit que je dois le mettre à jour pour l’utiliser. Je l’ai fait, est maintenant je ne peux pas télécharger les photos…
Aussi l’appli est maintenant 50% en anglais et 50% en français.
2.2.9
On dira ce qu’on voudra à propos de la propreté dans MHM, mais chez moi il y a eu une collecte supplémentaire aujourd’hui en prévision du 1er juillet. Beaucoup de mes voisins déménagent (moi aussi incidemment) et en on profité pour jeter leurs encombrants d’avance.
La rue n’a jamais été aussi propre
Il serait à propos qu’ils mettent à jour l’image de Montréal dans l’appli 311 On a l’impression d’être en 2010.
À Lasalle, une petite curiosité que je ne vois pas souvent: l’arrondissement va prendre en charge le nettoyage d’un terrain. On parle de couper du gazon trop long.
40.23 Règlement - Autre sujet
CA Direction de l’aménagement urbain et des services aux entreprises - 1258403004
Obliger le nettoyage du terrain sis au 73, avenue Stirling par son propriétaire ou, sur son défaut, faire effectuer aux frais de ce dernier les travaux nécessaires pour faire cesser les nuisances
La DAUSE a exigé à de multiples reprises au propriétaire du terrain visé de procéder au nettoyage de celui-ci (coupe d’herbes hautes), notamment par avis recommandé. Cette propriété a fait l’objet de plusieurs plaintes au courant des dernières année.
DESCRIPTION
Mandater la Direction de l’aménagement urbain et des services aux entreprises afin d’effectuer le nettoyage du terrain de la propriété située au 73, avenue Stirling et de disposer des matières nuisibles aux frais du propriétaire
Il s’agit de cette propriété:
Certaines fosses dans Hochelaga ont été replantées, près de trois ans après la mort des plantations originales. Ici, rue Darling.
Quand même drôle que la ville puisse couper le gazon d’un propriétaire mais pour des immeubles qui sont passés au feu comme sur St-Laurent on ne puisse pas ramasser les débris ?
À moins que ce soit possible mais que la procédure prenne des années ?
La procédure est visiblement rarement utilisée, je ne l’avais jamais remarqué jusqu’ici, et ça demande une résolution de l’arrondissement pour l’appliquer.
Mais je ne sais pas si ça s’appliquerait à gérer le dégât d’un sinistre. Quelqu’un qui s’y connait en droit municipal pourrait confirmer ou informer si ça peut s’appliquer dans ce cas. C’est probablement différent de simplement suivre un règlement municipal sur la hauteur du gazon.
Seulement en cas de danger. Ensemble Montréal, qui ont fait un plat avec l’immeuble sur St-Laurent, savent très bien que si la Ville intervient sur un terrain privé, ils pourraient être poursuivis par le propriétaire. Au Canada, le droit de propriété est très fort.
J’imagine que le cout doit aussi favoriser l’approche de convaincre le propriétaire de prendre ses responsabilités.
La démolition de l’édifice dangereux sur Parc va probablement couter au-delà du demi-million de dollars. Même si c’est un cas où le terrain pourrait être mis en enchère, il faut avoir l’argent disponible et c’est un coup de dés à savoir si ce montant sera récupéré.
Et même là, ça doit se faire après des procédures légales, des résolutions pour les contrats (pour aller vite c’est du gré à gré qui peut augmenter les couts encore plus)…
C’est plutôt le fait que la ville laisse le gazon pousser sur SES propriétés, mais qu’elle prenne action pour couper le gazon d’une maison ensuite.
Faites ce que je dis, pas ce que je fais.
LaSalle a un problème de salubrité aussi important sur ses terrains publics?
Dans mon fil Facebook j’ai eu le plaisir d’avoir un lien vers cette page de mon arrondissement (MHM):
La tonte différenciée est une approche plus écologique qui consiste à réduire les interventions de tonte à certains endroits peu utilisés par les citoyens. Elle est entre autres pratiquée dans le but de favoriser la biodiversité et d’améliorer la qualité du paysage. Une flore spontanée plus résistante et mieux adaptée à notre climat finit par pousser dans ces lieux. Concrètement, il en résulte des zones d’herbes plus hautes.
Contrairement à une croyance populaire, ces espaces sont bel et bien entretenus. Des tontes fonctionnelles sont effectuées à certains moments pour limiter la propagation d’espèces envahissantes, ou encore pour délimiter des sentiers.
C’est tellement un changement positif dans la ville!