Élections provinciales Québec 2022

Si ils veulent vraiment s’attaquer aux changements climatiques, il va falloir qu’ils s’attaquent à la manière dont on conçoit nos ville. À Sherbrooke, le service d’autobus est assez médiocre. Une bonne partie du problème, ce sont toutes ces rues qui zigzag dans tous les sens le moindrement qu’on s’éloignent du centre. Pour se déplacer d’un kilomètre à vol d’oiseau, il faut en faire 3 ou 4 en voiture. L’arrêt d’autobus le plus proche a bien beau être à quelques centaines de mètres, il faut marcher presque 1km pour l’atteindre. On en a des exemples assez extrêmes à Sherbrooke. C’est ça le problème du transport en commun dans nos ville.

Il faut aussi dire que dans le secteur où j’habite, on a énormément de chemins alternatifs. Le traffic n’est pas un problème puisqu’il peu se répartir sur plusieurs dizaines de rues. Dans les nouveaux développements, c’est une autre histoire. Le boulevard Mi-Valons n’a que deux voies et ressemble plus à une autoroute qu’à d’autre chose pendant les heures d’affluence. Un peu plus d’encadrement et de législation de Québec sur ce sujet serait le bienvenu.

En rouge, les barrières physiques qui ne peuvent pas être traversé. En jaune, les passages piéton et cyclistes. On peu voir sur cette capture d’écran à quel point le secteur entourant le boulevard Bourque est lourdement enclavé. Il y a littéralement une ligne continue entre le boulevard industriel et Bourque qui sépare le secteur en deux entités distinctes. Il n’y a qu’un seul passage piéton qui permet de traverser cette ligne.

Le secteur de l’université est assez accessible en comparaison. La seule cassure importante dans ce secteur, c’est le boulevard Université.

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