Économie et commerce - Actualités

I won’t comment on Amazon because I don’t want to. Not because I don’t care, but I don’t want to get into a fight over it - no energy for that.

But I will comment to say that “tariffs” doesn’t translate in French to “tarifs” but to “barrières tarifaires”. Fare translates to “tarifs”, as in bus fare :sweat_smile:

Mais la valeur des bâtiments risquent de baisser s’il n’y a pas de repreneur. Dans le pire cas s’il n’y a pas de locataire on pourrait simplement démolir et ainsi baisser encore plus la valeur et par conséquent la taxe foncière.

I sensed that I was using the wrong term, but was too lazy to investigate.

Also, languages evolve with usage. Counter-cases:

Le décret vise à passer plutôt en mode réciprocité, soit l’échange global de produits de même valeur, m’explique Me Colas. L’expert en droit international ne voit pas nécessairement de tarifs de 25 % à partir d’avril, mais plutôt une menace d’ici l’échéance de l’Accord de libre-échange Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM), en juillet 2026.

Trudeau évoque une riposte «dollar pour dollar» face aux tarifs américains

:upside_down_face:

Seulement lors de la prochaine évaluation foncière. La dernière a été faite en juillet 2021 au plus haut des prix des propriétés résidentielles. Je ne me souviens pas si l’industriel avait suivi la même courbe de hasse.

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Durant la pandemie il y a eu une folie pour les batiments industriel. Les prix ont monté en fleche. Le batiment industriel ou je suis a été vendu pour un fort prix. Maintenant c’est le contraire y a des batiments industriel a louer et a vendre a la tonne dans Lachine-Dorval.

Avec les problèmes d’approvisionnement durant la pandémie, les entreprises ont réalisé que le just-in-time popularisé paw Walmart ne fonctionnait plus. Et les entrepôts ont poussé comme des champignons. J’ai l’impression que c’est le retour du balancier

Amazon était la grosse nouvelle à la télé de Radio-Canada

2 reportages + 3 discussions avec différents chroniqueurs + 1 entrevue!

Les discussions :

Entrevue

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Selon ce site qui a compilé les subventions et congés de taxe qu’aurait recu Amazon depuis 2000 on en a pour 6.7 milliards de dollar americains. Tout est tres détaillé.

https://goodjobsfirst.org/amazon-tracker/

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6.7 milliards en 25 ans aux USA pour Amazon c’est des peanuts et le genre de subvention qu’on devrait faire pour avoir une des plus grosses compagnies du monde.

Compare cela aux retours économique des subventions pour Northvolt, Bombardier ou Ubisoft.

Amazon a perdu de l’argent pendant des années.

Comme Uber d’ailleurs.

Comment ils on fait pour survivre aussi longtemps dans le rouge ca me depasse.

Bombardier a recu des subventions de 1.5 milliards mas o meno peut etre plus . Mais au moins on a quand meme ici une base diversifié en aeronautique.

Meme chose avec Ubisoft. Ca été le départ pour l’ecosysteme des jeux videos.

Amazon a apporté quoi ici de valable en comparaison. Un gros Bof.

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Er non, Québec subventionne la C-Series à plus de 2 milliards déjà, pour 1 seul programme de Bombardier, qui a échoué, donné à Airbus et dont on risque aucun retour sur investissement. Ne penses pas que tous les programmes -surtout aéronautique- de Bombardier n’ont pas eu des subventions importantes.

Effectivement on a développé une industrie aéronautique crédible, mais elle est à peine dans la cour des grands, et elle a constamment besoin de subventions car l’investissement en capital est énorme.

Oui c’est bien, mais c’est une industrie aux pieds d’argile qui elle aussi carbure aux subventions et peut quitter en un claquement de doigts. Aussi cette industrie, bien que valable au Québec, ne joue pas dans la cour des grands, surtout chinoise.

C’est une industrie qu’on doit subventionner juste pour rester compétitif avec le reste du monde.

LOL, Amazon vaut immensément plus que l’aéronautique et les jeux vidéos au Québec, avec des différences en terme d’ordre de grandeur. Des nations entières veulent une compagnie comme elle ou ses compaires mega-cap. Tu ne te souviens pas de l’épisode où on a déployé le tapis rouge pour avoir, avec aucune chance, son 2e quartier général il y a quelques années?

Ce n’est même pas une comparaison proche. Si tu es en désaccord avec cette affirmation, on tombe dans le dialogue irréconciliable et autant arrêter la discussion ici.

Je veux juste remettre en perspective que tu défends une entreprise qui s’est retiré du Québec, alors qu’on parle avant tout des retombées locales.

Je me garderais une réserve avant de lancer un LOL, il a un argument quand même.

Amazon vaut maintenant pas loin de rien en retombées directes au Québec. Et sa position était visiblement fragile en partant, si ça peut fermer de manière aussi cavalière.

Le jeu vidéo et l’aéronautique sont des industries établies avec des emplois directs, et une expertise.

Je ne vois pas ce qui vaut ce niveau de confiance à défendre Amazon. Bien entendu, si Amazon décidait d’ouvrir un énorme siège social ici et de réellement investir, l’équation serait différente. La réalité est que ça n’existe pas. Je pense qu’on peut émettre des réserves sur ce potentiel complètement théorique en toute légitimité, même si on est pas d’accord.

Il y aurait quoi à subventionner en dehors de ça? Des centres de distribution? La richesse d’Amazon tient à la taille de son marché. Quel est le réel potentiel au Québec? On ne devient pas un actionnaire de la compagnie avec des subventions pour profiter de sa richesse globale, on investit dans les retombées locales.

Je n’aime pas non plus la caractérisation de l’industrie du jeu vidéo aussi, je pense qu’on tombe un peu dans le bashing du Québec pour faire un point. Nous sommes définitivement un gros joueur, Montréal est un des plus grandes villes dans le domaine. C’est dommage que ce soit une industrie accro aux subventions, mais ce n’est pas unique au Québec. Au moins, je peux dire qu’Ubisoft crée des emplois dans mon quartier, difficile d’en faire autant avec Amazon. Et je connais bien des gens qui travaillent dans le jeu vidéo dans des compagnies fondées ici, grâce à l’écosystème qui s’est créé.

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Depuis des années, la « vache à lait » d’Amazon sont ses services infonuagiques Amazon Web Services. La vente de produits sur son site ne représente qu’une petite partie de ses profits n’est plus son activité dominante.

AWS est présent partout dans les entreprises et mêmes les gouvernements.

Ajout : la répartition des revenus d’Amazon

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Oui c’est vrai, si on sort du domaine de la distribution, c’était mon angle vu que c’est le sujet de la nouvelle.

Rien n’empêche Amazon d’investir là aussi au Québec quand ça fait du sens stratégiquement. Mais même dans ce domaine, en matière de subvention et d’impact local, la valeur qu’on accorde à la richesse d’Amazon se résume aux retombées qu’on peut créer au Québec.

Il ne faut pas perdre de vue que ce n’est pas la valeur entière de l’industrie ou de la compagnie.

AJOUT:

Dans ton graphique, “third-party seller services” est probablement lié aux activités du magasin en ligne? Je sais que Amazon pousse fort pour offrir des services aux vendeurs tiers sur la plateforme. Je me demande si c’est ça.

Un centre de données ne crée pas bcp d’emplois, mais Amazon a annoncé la construction d’une nouveau centre à Varennes en octobre dernier

Le Gouvernement du Québec et d’autres organisations canadiennes ont des exigences de ne pas avoir leur données strockées aux États-Unis en raison du Patriot Act

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Je ne suis pas un expert en serveurs plus qu’il faut, mais je sais que la localisation est importante pour des raisons de performance et légale.

J’ai vu un reportage dernièrement un centre de données à Toronto où la longueur des câbles était calculée et normalisée entre les clients, souvent des banques, pour éviter un avantage compétitif l’unes par rapport à l’autres.

C’est pour ça que je considère l’angle du potentiel. Mais de tels centres sont importants pour créer un écosystème autour, c’est certain.

Non, j’argumente sur la valeur et l’importance des subventions, qui n’est pas offert également et ne génère pas les mêmes retombées entre ce que le Québec a offert à Bombardier, Northvolt ou Ubisoft, versus ce que les Américains ont offert à Amazon, une compagnie locale Américaine.

Lis le commentaire qui a commencé la discussion:

Le lien mène à un site de subvention Américaines, donc l’argumentation initale ici est bien sûr contextuellement situé:

Oui c’est cela. Au moins sur ce créneau on a un concurrent Canadien avec des bureaux à Montréal: Shopify. Quoi qu’aux dernières nouvelles elle permet le travail complètement à distance.

Entendu plus tôt à Tout un matin qu’Amazon avait eu de subventions en 2020 pour s’installer au Québec comme un tarif plus bas d’électricité pour ses entrepôts.

C’est le genre de subvention qu’Amazon ne peut pas apporter avec elle en quittant le territoire, donc l’impact est minime.

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La nouvelle de la semaine quoi

Je répondais à ton exclamation ici:

@Andremd parlait de ce que la compagnie a apporté ici. Sinon, ça ne ferait pas de sens non plus, c’est vrai.

Mais on compare aussi des choses assez différentes. Les États-Unis ont des centaines de milliards en subventions directes dans de nombreux domaines jugés stratégiques. Ça dépend vraiment des industries spécifiques, les subventions peuvent passer de l’inexistant au complètement pharaonique.

J’imagine que peut en ressortir qu’on devrait se trouver une “aubaine” similaire pour le Québec.