Honnêtement en tant que noir (je n’aime pas nécessairement aller sur ce terrain là) mais si je devais filtrer toutes les compagnies qui ont des boss racistes, fondamentalistes, pro-genocide et j’en passe, je ne consommerai pas grand chose
Ses presence international font SURTOUT en sorte de limité les Fuite commercial, comme le dit justement @OusmaneB , Les gens qui veulent ses expériences vont aller la chercher ailleurs qu’au Quebec, soit en Ontario ou au États Unis et souvent toute les dépenses au tour vont échapper a l’économie québécoise. Et cest pour ses raison que le Royalmount est bénéfique a l’économie Montréalaise. Il apporte des experience qui n’était pas disponible ici et que les gens allait ailleurs pour ce les procurer.
Il y a aussi pleins de produits qu’on retrouve uniquement en Asie, ou en Europe ou même en Afrique. Ou en Océanie. Tout n’est pas disponible partout, étant donné la spécificité de chaque région. Il n’y a pas de Ashton au Colorado! Cette diversité fait notre force.
PFK n’a jamais été très populaire ici. Et que dire de l’incursion de Taco Bell. Un flop total. On n’est pas des américains, tout simplement.
Ça peut te “manquer” à toi personnellement, mais ça veut pas dire que c’est une nécessité, ou que ça marcherait bien ici!
Aussi, faut mettre les choses en perspective quand on parle de choix limité pour le consommateur. Juste à ouvrir l’application UberEats pour être inondé de choix en matière d’alimentation. On peut se comparer aux États-Unis, mais est-ce que ça devrait vraiment être le standard? Est-ce que une infinité de choix est necéssairement souhaitable pour notre société?
C’est une vision plus consumériste qui ne représente pas, je crois, les valeurs de la société québécoise.
Justement le genre de dynamique désiré: c’est à l’offre de produit de se démarquer, et non bénéficier d’une forme de protection.
Si PFK ou Taco Bell ne performent pas, tant pis pour eux, et on n’a pas eu besoin d’intervention gouvernementale pour le faire.
Le traffic vers l’Ontario ou les USA (ex: Plattsburgh) dirait autrement. Et que dire de Costco, Amazon ou Walmart alors?
Ou simplement le contraire, comme tu le souligne dans ton argument: il n’y a pas le marché ici et certaines marques ne performeront pas.
C’est assuré que certaines marques ne performeront pas ici, vu la petitesse du marché (ex: Target). Mais comment est-ce le contraire d’une vision consumériste?
Enlève les marques/enseignes non-Québécoises de la provinces, et on va avoir un plus gros problème économique que les commerces à Ville-Marie.
Et n’est-ce pas hypocrite comme point de vue, à condition que vous êtes aussi contre les marques québécoises qui performent à l’étranger comme les Cirque du Soleil, Bombardier, Couche-Tard?
Qui va remplacer Amazon? Le Panier Bleu?
Il y a quand même un spectre. Je crois seulement que les régulations quant au français sont acceptables, même s’il y a un impact sur le nombre de marques qui veulent s’implanter ici. Au Québec on tend plus vers la régulation du marché plutôt que du libre-marché à tous prix. C’est plus ça mon point.
Je souligne seulement ton propre argument, que je trouve bien sensé.
On ne peut pas supposer que ces marques plaisent au marché du Québec parce que des gens passent la frontière pour y accéder. On peut justement penser qu’elles ne veulent pas s’installer ici parce qu’elles ne pourront pas performer, alors c’est à leurs clients de se déplacer. On peut dire que le marché est trop petit, mais sinon parce qu’elles ne plaisent pas assez aux consommateurs ici.
Je ne suis pas certain de comprendre l’hypocrisie, le rejet de nos fleurons ou le Panier Bleu. Les gens d’ici peuvent avoir des préférences spécifiques, mais je ne me suis pas avancé sur les raisons. Il me semble qu’il y a des domaines où les gens d’ici sont plus attachés aux marques locales, d’autres non. Il y a des exemples où des entreprises performent parce qu’elles plaisent à la spécificité du Québec, d’autres parce qu’elles offrent des avantages pratiques évidents (par exemple le cout ou le choix).
Les gens me semblent bien plus nuancés que cela.
L’impact n’est pas seulement sur les marques elles-mêmes, mais aussi notre économie. Tout dollars dépensé hors du Québec est un 0.08$ de moins dans les coffres provinciales, sans compter les revenus de salaire (logistique, vente, propriété, etc.).
Le tourisme à/au Québec est justement l’effet inverse qu’on essaie continuellement d’augmenter.
Ah, je ne l’avais pas interprété ainsi.
Ils plaisent aux Québecois assez pour qu’ils se déplacent pour accéder au produit ou au service. C’est beaucoup.
La performance a deux composantes: le revenu et les couts. Le revenu potentiel doit être assez attrayant pour que ces marques soient intéressé au territoire. C’est surtout le coût, via la règlementation, qu’on augmente.
On peut que ne le supposer. Je serais surpris si Jollibee par exemple ne fonctionne pas sans les handicaps règlementaires proprement Québécoises. Il y a beaucoup de gens des Philippines sur l’île.
Pour dire cela tu n’est clairement pas correctement informé et tu lance seulement des suppositions. Premièrement Taco Bell a été dans le marché Quebecois pendant plus de 15 ans. Ensuite la seul raison pour la quel il ne sont plus present au Quebec cest parce que la le franchiseur Quebecois/Canadien des PFK /Taco bell qui était Redberry as decide de vendre ses activité dans PFK au Canada a FMI Group qui a repris plusieurs emplacement et qui les as remis au gout du jours en plus d’investir dans le développement (On va se le dire Redberry avais laisser trainer les chose et les restaurant n’était plus vraiment a jour)
Ses Investissement de la part de FMI explique le retour de PFK au centre ville notement sur saint-dénis, plaza st-hubert et près de Concordia. Sans compte le nouveau partenariat avec le Centre Bell. FMI n’a pas les droit au quebec pour Taco bell et ce meme si certains établissement était en co branding. Redberry as gardée les doit pour Taco bell au quebec sans toute fois développe le marché. Donc ce n’est aucunement parce que le concept a échoué.
Les Quebecois sont beaucoup plus consumériste que ce que tu semble le pensé. On ne vis pas seulement d’eau fraiche et de fleur de lys!
Encore une fois une affirmation sans connaissance des fait. Target n’a pas quitté le Quebec/Canada due a la petitesse du marché. Il on quitté car il on voulu faire trop grand trop vite. Ouvrir 126 magasin en moins de deux ans rénovée a coup de milions des local qui était désuet. En plus de problème logistique qui on nuie a l’image de marque. Puisque il on évalue que il n’y aurais pas de profit avant 2021 (on était en 2015) il on decide de se retirer du marché Canadien au lieux de poursuivre la saignée.
Au depart de cois que ses regulations sont partie d’une bonne intention, mais cette intention as vite dérapé. Comme dit précédemment je ne crois pas que nous soyons con au point de devoir avoir le mot Vêtements ou Mode inscrit a coté de Gap ou Winners. Et dans les draft de la loi a venir ces Mot Vêtement et Mode vont devoir être deux fois plus gros que la marque de commerce et ces a ce niveau que je crois fermement que nous l’échappons. Tout a fait d’accord qui y est un affichage et un service en français. Mais le reste n’est aucunement nécessaire. On va se retrouvé avec des facade avec seulement des Logo et plus aucune inscription puisque certain on trouvé cette échappatoire ( remarqué Phycho Bunny qui affiche seulement sont logo sur la devanture plutôt que sont nom par exemple alors que dans les autre marché le nom figure aussi sur le facade)
J’ai lu assez de nouvelles et d’articles sur Target pour me faire une idée. Ils ont eu leur problème de glouttonnerie, et leur problème d’ERM. Mais aussi que les acteurs déjà établis ont raflé les sites prometteurs avant eux.
Polymatter avait un bon video sur la situation:
Au final, la tarte n’était pas assez grande pour Target. Bref le marché est petit. Ceci-dit, avec les problèmes actuelles de la compagnie, je ne suis pas sûr si la décision de se retirer n’est pas finalement l’incompétence du C-Suite.
Mais je suis d’accord que, si on exclut le territoire Québécois au complet et qu’on se concentre sur les environs de la métropole, on devrait être assez attrayant pour la majorité des marques.
Dans un scénario hypothétique où Montréal était un lieu culturellement francophone mais sans la différence règlementaire (ex: qu’elle faisait partie de l’Ontario), je ne vois pas pourquoi une marque qui s’établirait à Ottawa ne le ferait pas à Montréal. Logistiquement il ne devrait pas y avoir une grosse différence.
Les arguments de la petitesse du marché ou de la langue française ne tiennent pas la route. C’est d’ailleurs toujours le même type de personne qui nous régurgitent ces argument… Je pense qu’il y a énormément de désinformation quand vient le temps des lois sur la langue française. Par exemple, il y a plusieurs détaillants qui sont même présents physiquement au Québec, mais qui refusent de rendre leur site web disponible pour l’achat en ligne. Je pense à West Elm, je pense à Polo Ralph Lauren. Pourquoi est-ce que Wayfair serait disponible mais pas West Elm? Pourquoi le site de Banana Republic fonctionne mais pas PRL? Je ne suis pas avocat, je ne connais pas toutes les ramifications de la loi 101, mais tout ça me paraît complètement arbitraire. En plus que toutes ces compagnies oeuvrent toutes à l’international et dans plusieurs langues… mais la méchante loi 101 serait la grande coupable. Permettez-moi de rire! En plus avec les outils de nos jours, on peut traduire facilement l’entièreté d’un site en un claquement de doigt.
Je pense que la froideur face au marché Québécois vient des conseillers canadiens qui doivent guider ses entreprises. Ils doivent nécessairement avoir un biais négatif envers le Québec simplement pour ses lois linguistiques. They’re like “Oh yeah don’t bother, they have those laws… oof”. Je doute également que la plupart d’entre eux parlent français. De sorte que toutes ces compagnies se font recommander d’ouvrir ailleurs qu’au Québec au tout début et ça ne change jamais vraiment par la suite. Je serais prêt à comprendre pour des compagnies spécifiquement américaines à ne pas ouvrir ici (encore là… Five Guys, Walmart, etc, l’ont tous fait) . Mais des compagnies internationales comme Jollibee, ça je ne comprends pas.
“Oui mais les formations doivent être en français, et ça c’est fatiguant” … Euhh je te confirme que Jollibee forme ses employés dans la langue locale de chacun des pays.
Le milieu des affaires canadiens est encore et sera toujours dominé par la perspective anglo-saxonne. Ça ne changera jamais, la loi 101 doit les horripiler au plus haut niveau. Mon argument au fond est que cette loi est mal comprise et c’est plutôt ça qui cause de la confusion et de l’hésitation de la part des entreprises et de ceux qui les conseillent. Les demandes linguistiques sont vues comme des obstacles (par certains) plutôt que des opportunités.
La Loi indique que si un entreprise opère une Bannière au Quebec sont site qu’il soit transactionnel ou non doit être offert en français. Donc oui l’option facile pour certaines marque est de tout simplement ne pas l’offrir au marché quebecois et cela est laisser au choix de l’entreprise, dans le cas de West Elm/Williams-sonoma/Pottery Barn vous pouvez les contacter et il vont completer la transaction pour vous certe ce n’est pas le plus agréable mes cest une alternative qui permet tout de meme d’avoir accès a leur produits.
Cependant je crois que l’on devrait pouvoir laisser le choix au gens de magasinez en anglais. Cela est totalement ridicule de pénaliser un marche sous le seul prétexte que le site web n’est pas en français.
Il y as quelques année jai voulu acheter un Ordinateur sur le site web de best buy. Et je n’est jamais pu completer la transaction sous le simple prétexte que cette Ordinateur n’était pas configuré en Français. Je le redis je crois fermement que l’affichage et le service en boutique doit être offert en français, Mais je ne comprend aucunement pourquoi on doit aussi empêcher les gens de magasiner en anglais si il le desire.
West Elm opère dans 60 pays et Polo Ralph Lauren dans 50. C’est simplement de la mauvaise foi. Je suis d’accord que certaines mesures de la loi 101 sont exagérées, surtout considérant que la grande majorité des québécois sont bilingues, mais la mauvaise foi est des deux côtés.
West Elm/Williams-Sonoma Opère dans 12 Pays pas 60, Ralph Lauren c’est different en effet il on une beaucoup plus grande présence mondiale.
En effet mais un peu plus du coté quebecois. On revient a ce qui était dit plutôt! Le consommateur qui veux vraiment quelque chose va sortir de la province pour ce procurer ce qu’il ne pourra pas trouvé ici. Au moins Pour West Elm/Pottery Barn l’argent des quebecois reste ici et fait travailler des gens d’ici a défaut d’avoir un site transactionnelle.
Pour le Web uniquement, EN presence physique on parle de 12 Pays.
Je ne crois pas que le choix soit limité à Montréal, je crois plutôt que c’est le contraire, que nous avons une offre culinaire beaucoup plus grande et diversifiée que la plupart des villes américaines. C’est d’ailleurs cette diversité gastronomique qui attire les touristes et qui fait la renommée de Montréal.
Je ne suis pas contre les grandes marques internationales, surtout au Centre-Ville, mais je préfère que ce soit plutôt limité et équilibré afin de garder une identité distincte et de permettre à nos marques de prospérer. Par exemple, lorsqu’un Xème Mcdonald ouvre coin Mont-Royal et Saint-Denis, je ne trouve pas que c’est une bonne chose. Cela n’ajoute rien de particulier au quartier et ni à l’économie d’ailleurs. Un Rapido aurait été préférable. Mais ce n’est que mon avis.
Quant à l’exemple des Chick Fil A, Popeye’s et Shake Shack (dont je n’en connais aucun), je suis prêt à faire un compromis, soit d’en ouvrir un de chaque dans le Centre-ville mais en remplacement d’un Macdonald, d’un Starbucks et d’un A&W, car de ceux là on en a beaucoup trop. Alors, est-ce qu’on a un deal ?
On aurait un deal si les conditions réglementaires ne les dérangeaient pas oui. Moi non plus je suis pas fan d’avoir un McDo à chaque coin de rue. Moins de McDo et plus de variété serait un win in my book.
Montréal niveau gastronomie (restos etc) c’est high level mais niveau fast food c’est en dessous des grandes villes des states.
Mais est-ce une mauvaise chose? C’est ça que je me demande.
Quant au Shake Shack, selon ma mère qui est allée à l’original à New York, ce n’est pas si bon que ça, et Uniburger ici est très bon dans le style!