Économie et commerce - Actualités

L’emblématique boîte à chansons 2Pierrots ferme ses portes

Le bar 2Pierrots, une des boîtes à chansons les plus populaires de Montréal ferme ses portes

PHOTO : FACEBOOK 2PIERROTS

La Presse canadienne**Publié hier à 23 h 00

La pandémie aura eu raison du 2Pierrots, un établissement du Vieux-Montréal qui aura fait chanter et danser les fêtards pendant des décennies.

La propriétaire et fille du fondateur, Marilou Sciascia Ruel, a annoncé la fermeture de la boîte à chanson mythique du Vieux-Montréal, dimanche soir.

Marilou Sciascia Ruel a expliqué que, malgré les subventions du gouvernement et l’aide de son père, propriétaire de l’immeuble, la crise sanitaire l’empêche d’entrevoir une réouverture.

« C’est un établissement de 700 personnes. À quel moment je pourrais rouvrir pour que les gens dansent et s’amusent comme avant? Je ne vois pas quand ça peut arriver. »

— Marilou Sciascia Ruel, propriétaire du 2Pierrots

L’établissement de la rue Saint-Paul, fondé par Pierre Ruel, père de Marilou Sciascia Ruel, il y a cinq décennies, est donc définitivement fermé. Mais l’idée d’ouvrir un jour une nouvelle version du 2Pierrots n’est pas totalement écartée.

, a indiqué Marilou Sciascia Ruel qui demeure toutefois inquiète pour cette industrie.

Un spectacle d’adieu « virtuel »

C’est sur la page Facebook de l’établissement que la nouvelle a d’abord été annoncée.

, peut-on lire dans le message publié.

En quelques heures, cette publication a provoqué la réaction de plusieurs milliers de personnes dans la section des commentaires.

La propriétaire de l’établissement a cependant annoncé qu’un spectacle d’adieu virtuel aura lieu le 12 décembre pour souligner la fin des activités de la boîte à chansons.

a-t-elle également écrit.


Marilou Sciascia Ruel, propriétaire de la boîte à chansons Les 2Pierrots.

PHOTO : RADIO-CANADA

Zones rouges

Au mois de mai, Jean-Marc Lavoie, qui assure la gestion du 2Pierrots avec Mme Sciascia Ruel, a participé à une manifestation à Montréal pour exiger des réponses du gouvernement afin de savoir quand ils pourraient de nouveau accueillir des clients.

Près d’une centaine de personnes, dont environ 30 restaurateurs, avaient fait entendre leur batterie de cuisine pendant environ 30 minutes le 27 mai sur la place Jacques-Cartier et autour de l’hôtel de ville.

Durant l’été, les autorités ont annoncé la réouverture des bars et restaurants, mais depuis le début du mois d’octobre, le gouvernement Legault a ordonné la fermeture des établissements situés en zones rouges, en raison de la montée des cas de coronavirus.

Ça c’est vraiment une perte pour a musique populaire québécoise. Existe-t-il un autre endroit, à Montréal, qui se consacre presque entièrement à la musique de chansonnier et ou traditionnelle ?

NOOONNNNN!!!
L’impact de ce virus est bien plus large que la mort des humains.

Dire que j’ai fréquenté cette boite dans le Vieux-Montréal dans les années 80, c’est dire à quel point elle était devenue une véritable institution. C’est une perte énorme pour ce segment culturel, son vaisseau amiral dans le domaine. Toutefois l’espoir demeure car la culture québécoise est résiliente et trouvera bien une formule pour faire renaitre ce genre de lieux, surtout que la relève est encore plus dynamique et diversifiée que dans le temps. Or la salle en elle-même conserve tout son potentiel, ne manque qu’une nouvelle équipe post-covid ( ou l’ancienne, on ne sait jamais?) pour redonner vie à cette adresse mythique qui mérite vraiment une seconde chance. :slight_smile:

Heinz va recommencer à faire du ketchup au Canada, à Ville Mont-Royal plus précisément

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Dans une entrevue avec le magazine Canadian Grocer, le PDG de Avril Supermarché Santé a indiqué qu’ils vont ouvrir une nouvelle succursale « format urbain » en 2021. J’imagine qu’il serait à Montréal… mais où? C’est un supermarché assez haut de gamme donc j’imagine qu’il occuperait l’espace phare d’un nouveau développement. Mais lequel?

Screenshot 2020-11-17 at 7.15.20 PM

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Ils avaient refusé de s’installer dans le Mary-Robert par manque de places de stationnement dans Griffintown…
Ils reviennent p-ê sur leur décision

Je ne pense pas que cette nouvelle commerciale a été partagée ici, elle est déjà bien entamée, un Pasquier s’installera à Delson, à l’emplacement de l’ancien Provigo, à proximité du terminus Georges-Gagné et des développements récents.
https://pasquier.qc.ca/decouvertes-nouvelles/nouveau-pasquier-de-delson/

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J’ai entendu que le Mary-Robert a perdu quelques locataires à cause de la pandémie. Peut-être que Devimco a donné à Avril un deal they couldn’t refuse? :wink:

Il ne reste que le Bouclair dans la dernière version de la brochure, datée du 15 octobre 2020
Il y avait un resto asiatique, un resto à déjeuner et un gym de spinning avant.

Le Sésame et le Viet Sandwich sur Ste-Catherine en face de la Place des Festival sont fermés avec une pancarte à louer.

ouf, ça augure mal…ceux qui veulent voir ces petites bâtisses disparaître doivent se réjouir

L’économie du Québec finira l’année sur les genoux

PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE

Le PIB québécois reculera de 6,7 % cette année, prévoit le Conference Board du Canada, dans la version préliminaire de ses prévisions pour les provinces publiée mercredi.

Le Québec est la province canadienne dont l’économie souffrira le plus de la pandémie cette année, à l’exception de l’Alberta, qui s’enfonce dans la crise pétrolière.

Publié le 19 novembre 2020 à 7h00

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Hélène Baril
La Presse

Le PIB québécois reculera de 6,7 % cette année, prévoit le Conference Board du Canada, dans la version préliminaire de ses prévisions pour les provinces publiée mercredi.

La gravité de la deuxième vague du coronavirus qui frappe le Québec replongera probablement l’économie en terrain négatif au troisième trimestre. « Au début, on pensait que le Québec pourrait s’en sortir plus vite, mais avec les nouvelles fermetures imposées cet automne, ça va être plus difficile », explique l’économiste en chef du Conference Board, Pedro Antunes.

Le Québec risque de connaître une reprise dite en K, où certains secteurs reprendront rapidement le terrain perdu alors que d’autres continueront de décliner, comme le tourisme, l’hébergement, le transport et la restauration. Entre mai et septembre, l’économie québécoise a regagné beaucoup d’emplois, mais cet élan a été stoppé en octobre, et le taux de chômage s’est remis à augmenter.

À 6,7 %, le recul de l’économie québécoise est pire que celui de l’Ontario (- 6,4 %) et plus grand que la moyenne canadienne (- 6,6 %). Il n’y que l’Alberta, qui vit sa troisième récession depuis 2015, qui fait pire avec une baisse prévue de son PIB de 7,7 % cette année.

Du jamais-vu

Partout au Canada, la pandémie se traduit en statistiques encore jamais vues, même pour ceux qui, comme Pedro Antunes, font des prévisions économiques depuis 30 ans. Même dans l’hypothèse qu’un vaccin sera offert en juin prochain, l’économie canadienne mettra du temps à reprendre pleinement le terrain perdu, et le taux de chômage devrait rester plus élevé jusqu’en 2023, prévoit le Conference Board.

Au Québec, le rythme de la reprise sera aussi influencé par l’état de santé de l’économie américaine. De ce côté, avec l’augmentation du nombre de cas de COVID-19 et en l’absence d’un nouveau plan d’aide pour les consommateurs américains, c’est plutôt inquiétant, selon Pedro Antunes.

L’économiste en chef du Conference Board s’inquiète aussi pour le secteur aérospatial du Québec, dont les souffrances sont loin d’achever. « Ça ne va pas bien du tout, dit-il. Il faut d’abord que le tourisme revienne et après, il faut aussi que les commandes d’avions reprennent. »

Une fois le choc de 2020 encaissé, l’économie québécoise devrait croître au rythme de 4,1 % en 2021, même si la plupart des restrictions sanitaires demeureront en place, prévoit le Conference Board.

Surprise, l’inflation revient

L’inflation a repointé le nez en octobre, avec une hausse de 0,4 %. C’est deux fois plus que ce qu’attendaient les analystes et c’est surprenant compte tenu du ralentissement économique. La hausse d’octobre s’explique notamment par l’augmentation des prix des fruits et légumes frais, ce qui se produit toujours à l’automne. Faut-il s’attendre à une remontée de l’inflation au-dessus de la cible de 2 % de la Banque du Canada et une remontée des taux d’intérêt ? Non, estime l’économiste Jocelyn Paquet, de la Banque Nationale. Le taux d’inflation s’établit actuellement à 0,7 % sur une base annuelle, ce qui est encore très inférieur à la cible des autorités monétaires canadiennes. Il faudra encore quelques mois avant que l’inflation atteigne 1 %, estime de son côté l’économiste de Desjardins Benoit Durocher.https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2020-11-19/l-economie-du-quebec-finira-l-annee-sur-les-genoux.php

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L’impact d’une pancarte À louer n’est pas le même qu’une pancarte À vendre. Incidemment je crois qu’il faudrait plus pour menacer l’existence de ces petites maisons, même si je les trouve personnellement sans intérêt dans le contexte de la Place des Festivals.

Comme je l’ai déjà dit, ce qui m’inquiète dans ce dossier c’est que ces maisons occupent un terrain qui pourrait valoir très cher et entrainer leur disparition pour une question de rentabilité. Elles pourraient ainsi être remplacées par un édifice avec encore moins d’intérêt, comme on l’a vu notamment dans le dossier de la tour Manuvie. Un risque bien réel qui pourrait gâcher irrémédiablement l’image de cette intersection hyper stratégique.

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Premier Tech veut ajouter 500 emplois sur 5 ans

PHOTO D’ARCHIVES FOURNIE PAR PREMIER TECH

Fondée en 1923, Premier Tech est diversifiée en offrant des solutions technologiques dans les secteurs de l’horticulture, l’agroalimentaire, les équipements industriels ainsi que les technologies environnementales.

Active au chapitre des acquisitions ces dernières années, l’entreprise québécoise Premier Tech souhaite maintenant bonifier sa présence à Rivière-du-Loup, où se trouve son siège social, en y investissant 251 millions, ce qui se traduira par l’ajout de 500 emplois sur cinq ans.

Publié le 26 novembre 2020 à 17h28

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Julien Arsenault
La Presse Canadienne

L’entreprise sera épaulée par Québec, qui lui donne un nouveau coup de pouce financier, soit un prêt sans intérêt de 45 millions. Environ le tiers de cette somme, soit 15 millions, pourrait être pardonnable si des objectifs sont respectés.

Fondée en 1923, Premier Tech est diversifiée en offrant des solutions technologiques dans les secteurs de l’horticulture, l’agroalimentaire, les équipements industriels ainsi que les technologies environnementales. Elle est présente dans 27 pays et compte 4600 travailleurs — dont 1100 se trouvent dans le Bas-Saint-Laurent.

« Le projet a toujours été vu pour se faire ici au Québec », a expliqué son président et chef de la direction, Jean Bélanger, jeudi, dans le cadre d’une conférence de presse à Rivière-du-Loup, aux côtés notamment du ministre de l’Économie et de l’Innovation, Pierre Fitzgibbon.

« La majorité de nos activités de recherche et de développement sont ici. Évidemment, avec l’appui du gouvernement du Québec, on peut y aller plus rapidement. »

Environ 75 % des emplois, dont le salaire annuel est supérieur à 60 000 $, devraient s’ajouter dans le Bas-Saint-Laurent. Des activités seront rapatriées des marchés où Premier Tech a réalisé des acquisitions. L’entreprise compte également investir pour accélérer sa transformation numérique, en recherche et développement ainsi que pour effectuer du démarchage à l’étranger.

Pour M. Fitzgibbon, les ambitions de Premier Tech correspondent exactement aux trois objectifs du gouvernement Legault en matière de développement économique.

« On veut accroître l’innovation, a dit le ministre. Deuxièmement, la transformation numérique, super important. Troisièmement, les exportations. On veut adresser notre balance commerciale. Ce projet respecte les trois aspects. Des projets comme cela, j’en ferais un par semaine. »

Premier Tech a bénéficié du soutien financier de Québec à plus d’une reprise. Depuis 2010, les prêts et subventions octroyés totalisent environ 56 millions, ce qui ne tient pas compte du prêt annoncé jeudi.

En 2012, elle avait obtenu un prêt sans intérêt de 11,2 millions ainsi qu’une subvention de 8,5 millions. Ce dossier s’était retrouvé au cœur de l’actualité. Président du Conseil du trésor dans le gouvernement libéral de Philippe Couillard, Sam Hamad s’était retiré du conseil des ministres dans la foulée de courriels démontrant une intervention de sa part.

M. Bélanger n’était pas en mesure de préciser, lors de la conférence de presse, si tout avait été remboursé.

« Toutes les ententes de prêts remboursables que nous avons eues, on respecte toutes les conditions et on rembourse selon les modalités prévues », a-t-il tenu à préciser.

Au cours de l’exercice qui s’est terminé le 20 février, Premier Tech a généré des revenus de 923,5 millions, en hausse de 4,8 %, tandis que son bénéfice d’exploitation ajusté a progressé de 8,75 % pour s’établir à 84,5 millions. La société génère 42 % de son chiffre d’affaires aux États-Unis, son plus important marché.

En mars, Premier Tech avait mis la main sur deux sociétés au Québec. Elle avait également réalisé deux prises en France : une en juillet et l’autre en septembre.
https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-11-26/premier-tech-veut-ajouter-500-emplois-sur-5-ans.php

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Pas très occupé hier pour un « vendredi fou »

Des rabais flous pour le Vendredi fou

PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE

File d’attente, vendredi matin, avant l’ouverture du magasin Best Buy de la rue Sainte-Catherine Ouest

Même s’il y avait de courtes files d’attente devant certains commerces, le Vendredi fou a été relativement tranquille. Une situation qui serait décourageante en temps normal pour les entreprises, mais qui, dans le contexte de la pandémie, était plutôt souhaitée et souhaitable.

Publié le 28 novembre 2020 à 7h00
MARIE-EVE FOURNIER
LA PRESSE

La stratégie d’échelonner les rabais sur quelques jours a fonctionné pour amoindrir l’affluence, a constaté le DG du Conseil québécois du commerce de détail, Stéphane Drouin.

« J’ai fait plusieurs magasins. Je me suis promené pas mal et j’ai été content de ce que j’ai vu. Il y avait du monde, mais moins que les autres années. C’est encourageant pour les prochaines semaines. On ne voulait pas devoir gérer des files et du monde dehors. »

Aussi a-t-il remarqué que les détaillants ont modifié leur approche en ce qui concerne les rabais. « Des articles très recherchés à prix exceptionnels, il n’y en a pas eu. Rien pour faire briser des vitres. »

Les avertissements de santé publique semblent aussi avoir été entendus.

Ce qui n’a pas empêché un flot constant de clients de se pointer au Best Buy de l’arrondissement de Greenfield Park. La Presse y a croisé un couple qui en ressortait avec un immense téléviseur. « On a fait plusieurs places. Walmart, Canadian Tire, La Source. Mais là, c’était la dernière ! », nous a lancé la dame qui n’est « pas forte sur les achats en ligne ».

Un autre couple d’un certain âge avait les mains vides en se rendant à sa voiture. Il se cherchait un ordinateur et avait besoin de conseils donnés en personne. Et la COVID-19 ? Pas une source de préoccupation. « On se désinfecte les mains en rentrant. »

Un jeune homme qui tenait une cartouche d’encre était déçu de son expérience. « Ce n’était même pas en solde ! Ça aurait dû l’être ! » À l’intérieur, l’employée à l’accueil comptait 90 clients. La moitié du maximum permis.

Boutiques occupées, boutiques désertes

Au Mail Champlain, c’était calme dans le magasin d’articles de sport Décathlon.

« Avez-vous des rabais fous ? avons-nous demandé.

— Non, nos prix sont fous à l’année », nous a répondu un sympathique employé.

Dans les corridors, ça ne manquait pas de vie. Les kiosques d’entreprises de téléphones étaient particulièrement occupés. Les boutiques Yves Rocher et Stokes aussi. Mais ailleurs, d’autres vendeuses s’ennuyaient visiblement en l’absence de clients.

Le Sports Experts avait exceptionnellement ouvert à 8 h et presque 10 personnes faisaient la queue, notamment « pour les manteaux », nous a indiqué le responsable de l’accueil.

À Montréal, le Complexe Desjardins avait annoncé une promotion alléchante : les clients avaient droit à 50 % du montant de leurs achats en cartes-cadeaux. Dès 10 h, une longue file de personnes scotchées à leur téléphone longeait déjà le garde-corps vitré.

Il n’a guère été possible de savoir comment s’était déroulée la journée au Carrefour Laval ; le directeur du centre n’a pas été autorisé à nous parler.

Bien évidemment, bon nombre de consommateurs ont profité de l’évènement sans devoir porter un masque. Ils ont préféré acheter en ligne. Et gageons que le niveau de transaction demeurera assez élevé au cours des prochains jours puisque le Cyberlundi est à nos portes.

Robin Sahota, directeur général et responsable des ventes au détail au Canada pour la société de services professionnels Accenture, croit que les détaillants pourraient garder certains rabais spéciaux pour le Cyberlundi. « Cela va être une journée pendant laquelle les détaillants vont vouloir ajouter quelques incitatifs pour séduire les consommateurs, particulièrement avec l’avance du Vendredi fou », a-t-il mentionné à La Presse Canadienne.

Je ne connais pas la fréquentation habituelle des ‘‘Vendredis fous’’ mais je peux dire qu’aujourd’hui, samedi vers 15 h, au Centre-Ville sur Ste-Catherine, entre Peel et Bleury, il y avait beaucoup beaucoup de monde, et j’insiste sur beaucoup. Et encore davantage dans le Centre Eaton et la Place Montréal Trust. Assez impressionnant compte tenu du fait que la rue Ste-Catherine était partiellement fermée et que nous sommes en période Covid.

D’ailleurs, je dois avouer que ça faisait du bien de voir autant de monde au centre-ville. Ça me fait penser que lorsque tout redeviendra à la normale, le Centre-Ville sera grouillant de monde, aucun doute !

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J’ai remarqué ça aussi aujourd’hui, la foule était vraiment impressionnante sur Ste-Catherine aujourd’hui. C’est très bon signe pour l’après-Covid!

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J’ai souvenir d’avoir été pris dans la foule d’un vendredi fou - il y a deux ans je crois - alors que sortais de chez moi et, comparativement, j’ai trouvé qu’il y avait aujourd’hui et hier beaucoup moins de monde que d’‘habitude’'.
‘‘Normalement’’ les rues sont absolument noires de monde ; le flux de circulation et sa cadence sont tels qu’ils nous emporteraient si nous refusions de suivre son courant.

Cela dit, il y avait quand même beaucoup de monde hier mais l’effet est probablement un peu accentué par la réduction des voies piétonnes liés aux travaux.

En dehors du vendredi fou, je confirme qu’il y a toujours du monde au centre-ville, marcheurs et acheteurs. Sans le tourisme, sans les employés de bureaux, certes, mais du monde quand même, contrairement à ce qu’on entend à peu près partout.

Certaines boutiques sont désertes et/ou font peine à voir, beaucoup de locaux commerciaux sont maintenant vacants aux endroits les plus sratégiques (du centre Eaton à l’est jusqu’à l’université Concordia) mais j’ai confiance en la résilience du marché et l’offre rencontrera toujours la demande, même si celle-ci est probablement amenée à changer. Le Covid ne fait qu’exacerber cette transition qui s’opère vers les nouvaux modes de consommation et les nouveaux profils de consommateurs. Je suis curieux de voir la relève !

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Nouvelle ouverture dans Shaugnessy Village, le (il semblerait) très connu Chung Chun, une adresse de street food coréen qui complète encore l’offre commerciale asiatique niche et contemporaine du quartier, situé sur la rue Pierce aux côtés du nouveau Slice+Soda et de l’Uncle Tetsu.

J’aime beaucoup la nouvelle tonalité du quartier et la mixité des commerces qu’on y trouve, il y en a (presque) pour tout le monde et le quartier est dynamique et vivant 24/24.

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