École secondaire Lasalle - 4 étages (2023)

Nouvelle école secondaire adjacent au cégep André-Laurendeau et ayant une capacité de 1024 élèves.

Informations

Nom:
Emplacement: 1311 rue Lapierre, près cégep André-Laurendeau
Hauteur: 4 étages
Architecte:

  • Lemay
  • Vincent Leclerc Architecte
  • Leclerc Architectes

Promoteur: CSSMB
Début et fin de la construction: 2020 / 2023
Autres informations:

  • Capacité d’accueil de 1024 élèves
  • 32 classes ordinaires, 4 classes multifonction, 12 locaux spécialisés (5 en sciences et 7 en arts), 4 plateaux sportifs, un grand atrium avec gradins et un auditorium multifonctionnel.

Sources des informations: https://www.csmb.qc.ca/fr-CA/csmb/info-travaux/lasalle.aspx

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https://www.csmb.qc.ca/fr-CA/csmb/info-travaux/lasalle.aspx

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2021-11-03 - Sur la page de PRISME_architecture

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16 Jan

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C’est drôle, il y aura des étudiants qui pourront faire tout leur parcours scolaire de la maternelle au collégial sur le même campus.

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Il manquerait juste un pavillon d’une grande université!

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29 Jan

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3-14-2022


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Le chantier de l’école secondaire LaSalle va bon train

Portail Constructo | 9 mars 2022

Le chantier de l’école secondaire LaSalle va bon train. Crédit : SQI

La Société québécoise des infrastructures (SQI) prévoit livrer cette nouvelle école de l’arrondissement de LaSalle au Centre de services scolaire Marguerite-Bourgeoys pour la rentrée 2023.

D’une superficie de 16 625 mètres carrés, l’établissement de cinq étages aura une capacité d’accueil de 1 024 élèves et comportera des lieux de collaboration et de sociabilisation ainsi que des espaces pédagogiques flexibles et évolutifs.

L’école regroupera notamment 32 classes régulières et 4 classes multifonctionnelles, 12 locaux spécialisés, 4 plateaux sportifs, un grand atrium pourvu de gradins ainsi qu’un auditorium multifonctionnel. De plus, un terrain de soccer devrait être aménagé à l’extérieur.

Le projet signé Lemay / Leclerc / Leclerc (Prisme architecture) vise une certification LEED argent et s’articule autour d’une architecture mettant en valeur la lumière naturelle de même que des matériaux québécois, principalement le bois et l’aluminium.

Pomerleau agit en tant que gestionnaire de ce chantier. L’équipe est complétée de WSP / Tetra Tech (génie civil et structure) et Pageau Morel / SNC-Lavalin (génie mécanique et électrique).

Source : SQI

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4/16/2022


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La future école secondaire de LaSalle est-elle déjà trop petite?


La future école secondaire de LaSalle en construction, en novembre 2021.
Photo: Félix Hurtubise, Archives Métro

Félix Hurtubise
*20 avril 2022 à 5h52 *
4 minutes de lecture

Avant même la fin de sa construction, la future école secondaire de LaSalle est-elle déjà trop petite? Selon le comité de parents du Centre de services scolaire Marguerite-Bourgeoys (CSSMB), la réponse est oui.

Dans sa recommandation sur la proposition de territoire de la future école secondaire, dont Métro a obtenu copie, le comité de parents estime «qu’il existe un consensus à l’effet que la Nouvelle école secondaire LaSalle est déjà trop petite pour répondre aux besoins actuels des familles qui résident à une distance de marche de cette dernière».

Situé sur la rue Lapierre, dans le quadrilatère qui inclut le cégep André-Laurendeau et la nouvelle école primaire de l’Orée-du-parc, le futur établissement scolaire du CSSMB est au centre d’une polémique à cause d’un territoire d’appartenance qui provoque la grogne chez les parents du quartier du Bronx.

Les deux écoles primaires du secteur, Saint-Geneviève-Sud et du Grand-Héron, ont été exclues du territoire de la future école, alors que toutes deux sont situées à moins de deux kilomètres de celle-ci.

Le CSSMB justifie cette décision en indiquant qu’un scénario à six écoles, plutôt que celui à quatre écoles actuellement proposé, aurait amené l’école secondaire au maximum de sa capacité dès 2027-2028 selon ses prévisions.

De 1024 à 850 places

Or, durant la présentation de la future école du CSSMB, le 2 février dernier, il s’agissait de la première fois que le chiffre maximal de 850 places pour des élèves, justifiant l’exclusion des deux écoles du Bronx, était évoqué.

Auparavant, c’est le chiffre de 1024 places qui avait toujours été mis de l’avant par le ministère de l’Éducation du Québec. D’ailleurs, la fiche du projet pouvant être consultée sur le site web du Conseil du trésor, qui a été mise à jour le 22 mars dernier, parle encore de 1024 places.

«La capacité d’accueil de la Nouvelle école secondaire LaSalle est de 850 et celle-ci tient compte des besoins particuliers de nos élèves. En effet, les besoins spécifiques font en sorte que certaines classes accueillent des groupes plus restreints», a répondu par courriel le CSSMB.

À sa capacité maximale d’ici 10 à 15 ans

Même dans un scénario où le territoire comprendrait quatre écoles primaires et exclurait donc les écoles Sainte-Geneviève-Sud et du Grand, la future secondaire de LaSalle pourrait atteindre sa capacité maximale d’ici 10 à 15 ans.

Selon les projections du CSSMB, la nouvelle école secondaire de LaSalle devrait voir une augmentation de 140 élèves entre sa première rentrée en 2023 et la rentrée de 2027, pour s’établir à 710 élèves. Durant cette période, près de 6000 nouveaux logements devraient être construits dans le secteur.

Dans ces données présentées lors de la rencontre d’information du 2 février, on prévoit aussi la création de près de 4200 logements sur le territoire de la future école secondaire dans un horizon de 5 à 10 ans. Ainsi, si on se fie aux projections du CSSMB et à la tendance d’augmentation du nombre d’élèves en fonction des nouveaux logements, la future école secondaire atteindra sa capacité maximale de 850 élèves avant 2038.


Capture d’écran de la présentation sur la future école secondaire du CSSMB du 2 février 2022

Aux yeux de la députée libérale de Marguerite-Bourgeoys, Hélène David, il est clair que la rapide croissance démographique laSalloise pose un défi majeur. «Est-ce que la nouvelle école est déjà trop petite? Probablement que oui», confie l’ancienne ministre, tout en reconnaissant que la planification d’une école représente un «énorme processus» pour le ministère de l’Éducation.

Du côté du CSSMB, on se veut rassurant. «Compte tenu des 2850 places-élèves disponibles dans les deux écoles secondaires situées à LaSalle, le CSSMB prévoit être en mesure de scolariser tous les élèves de ce secteur», explique une porte-parole dans un échange courriel.

L’école secondaire Cavalier-De LaSalle n’aura atteint que les trois quarts de sa capacité en 2026. Il restera donc près de 500 places pour accueillir les futurs élèves résidant sur le territoire de l’arrondissement.

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Comme une bouffée d’air frais

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À côté de polyvalentes bétonnées et désuètes, souvent si peuplées qu’elles pourraient contenir plusieurs villages du Québec, 13 écoles secondaires toutes neuves s’ajouteront dans le paysage d’ici 2024. Eh oui, avec des fenêtres et une volonté claire de s’éloigner du look bunker.

Publié à 5h00

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Louise Leduc

Louise Leduc La Presse

Dans tous les projets de nouvelles écoles secondaires, c’est bien précisé. Il y aura « de la lumière naturelle », des fenêtres par lesquelles les élèves verront le soleil, la pluie, la neige. Un simple coup d’œil aux écoles secondaires en chantier suffit d’ailleurs pour deviner que le mot d’ordre, c’est surtout de ne pas ressembler aux polyvalentes construites dans les années 1970.

L’idée, dit Martin Duquette, directeur général adjoint au centre de services scolaire de la Pointe-de-l’Île, « c’est que les écoles n’aient pas l’air de gros centres d’achats, mais qu’elles facilitent l’esprit de famille ».

Une grosse famille, s’entend : les futures écoles de Montréal-Nord et d’Anjou, dont l’ouverture est prévue d’ici 2024, pourront respectivement accueillir 1700 et 1800 élèves. Celle de Laval est prévue pour 2000 élèves. On reste dans de gros chiffres.

PHOTO PHILIPPE BOIVIN, LA PRESSE

La nouvelle école secondaire publique de Laval est actuellement en construction.

Que 13 écoles soient en chantier est exceptionnel, relève Nicolas Prévost, président de la Fédération québécoise des directions d’établissement d’enseignement (FQDE).

Il faut donner cela à la CAQ : ils ont fait de gros investissements en éducation.

Nicolas Prévost, président de la FQDE

Cela tranche avec les gouvernements précédents qui, eux, ont très peu investi dans les écoles, accumulé un très gros déficit d’entretien, avec ce que cela a entraîné comme décrépitude, souligne-t-il.

C’est ce qu’écrivait la vérificatrice générale en 2019 : les sommes consenties par le gouvernement au maintien des bâtiments scolaires « ont presque toujours été inférieures à 2 % de leur valeur de remplacement, alors qu’il s’agit d’un seuil minimal recommandé pour les conserver en bon état ».

Pour une durée de vie d’au moins 75 ans

Qui s’assure que les nouvelles écoles seront invitantes, fonctionnelles et durables ? Le gouvernement Legault a confié la rédaction du guide de référence – qui fait 1500 pages – à deux firmes d’architectes, Prisme et Lemay-Leclerc, elles-mêmes responsables de quatre chantiers d’école en cours (Laval, Chambly, Mirabel et LaSalle, à Montréal).

PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE

Le chantier de la nouvelle école de LaSalle, à Montréal

« La conception vise un cycle de vie minimal de 75 ans », indique Krystel Flamand, architecte patron chez Prisme et directrice de projet du Consortium Lemay | Leclerc | Leclerc (Prisme).

Dans les années 1970, fait-elle observer, les polyvalentes étaient construites « à la limite du modèle carcéral », très repliées sur elles-mêmes. C’est que dans un quartier, l’arrivée d’un millier d’adolescents n’était pas vue d’un très bon œil.

Et non, ce n’était pas pour économiser sur le chauffage que tant de polyvalentes (surtout à Montréal et dans ses banlieues plus ou moins immédiates) ont été bâties sans fenêtres. « On voulait en fait éviter que les élèves soient distraits par ce qui se passait à l’extérieur », explique Mme Flamand.

Aujourd’hui, c’est tout le contraire. On veut des fenêtres, quantité de fenêtres, du bois aussi, et on souhaite s’éloigner de la polyvalente aux allures de labyrinthe.

PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE

Krystel Flamand, architecte et directrice de projet du Consortium Lemay | Leclerc | Leclerc (Prisme)

On construit des écoles qui ont un réel cœur, avec des lieux de socialisation propices au sentiment d’appartenance, avec une entrée claire, aussi.

Krystel Flamand, architecte et directrice de projet du Consortium Lemay | Leclerc | Leclerc (Prisme)

Autre priorité : inscrire l’école « au cœur du quartier ». Dans l’arrondissement de LaSalle, ce sera encore plus vrai qu’ailleurs. La nouvelle école secondaire est construite à un jet de pierre d’une école primaire, du cégep André-Laurendeau, du centre aquatique Aquadôme et du Théâtre Desjardins. Les installations des uns pourront profiter aux autres, la future école, elle, arrivant avec un grand terrain de soccer.

Ana Rebeca de Leon, 16 ans, avoue qu’elle aurait rêvé de se retrouver dans de beaux murs. Sa vie familiale a fait en sorte qu’elle en est à sa troisième (vieille) polyvalente. Elle garde un souvenir particulièrement mauvais de l’une d’elles, en banlieue de Montréal, « où des cours se donnaient dans le sous-sol, sans fenêtres. Ça démotive ».

Sans doute d’autres facteurs sont-ils en jeu, mais elle a l’impression que les foules d’élèves, le bruit et l’absence de lumière contribuent « au fait qu’en mi-journée, tout le monde a l’air fatigué ».

Claudine St-Georges, qui a été technicienne en éducation spécialisée pendant 35 ans à la polyvalente montréalaise Antoine-de-Saint-Exupéry, jusqu’à sa retraite en 2020, se souvient du quotidien à l’école, avant qu’une partie des jeunes puissent être envoyés dans un bâtiment adjacent. « Il y avait tellement de monde dans les couloirs qu’on avait sérieusement envisagé d’installer des flèches de circulation. Tant de monde, ça faisait tellement de bruit ! »

L’architecte Krystel Flamand assure que dans les plans de nouvelles écoles secondaires, « des paramètres clairs à atteindre pour limiter le bruit ont été élaborés ».

L’image de l’école publique à redorer

Mélanie Hubert, présidente du Syndicat de l’enseignement de l’Ouest de Montréal, se réjouit pour sa part de la construction d’une nouvelle école secondaire à LaSalle.

Indépendamment de la qualité de l’enseignement offert, « de beaux locaux, ça contribue à l’image d’une école. Quand ça a l’air moderne, lumineux, ça teinte la perception des parents et ça peut aider à rehausser la perception de l’école publique ». Même si, à son avis, la rétention des jeunes face à l’exode vers le privé ne peut pas passer que par l’architecture. Ce que dit la recherche, explique Roch Chouinard, professeur émérite à la faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Montréal, c’est que l’esthétique d’une école et sa taille contribuent au bonheur à l’école et la motivation, sans être le facteur principal. Après tout, souligne M. Chouinard, quand on demande à quelqu’un ses souvenirs de l’école secondaire, « il parlera bien plus du fait qu’il était en échec et n’avait pas d’amis que du manque de fenêtres ».

Oui, ça compte, mais le plus important, dit-il, « c’est une école où un élève se sent bien, où il se sent autonome, en lien avec les autres, avec une bonne estime de lui-même et avec laquelle il a un sentiment d’appartenance ».

Combien coûteront les nouvelles écoles secondaires ?

Au cabinet de Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation, on indique que les coûts se chiffrent à 2,7 milliards, soit 100 millions de plus que le total des appels d’offres datant de 2020. En 2019, Jean-François Roberge avait signalé que la construction de nouvelles écoles se ferait dans des délais « jamais vus ». De fait, la mise à jour du guide des critères de construction des écoles secondaires n’était alors pas encore faite (contrairement au guide des écoles primaires qui, lui, était déjà élaboré). Le chiffre de 1,1 milliard déjà indiqué dans les médias pour la construction des nouvelles écoles secondaires était en fait le seul reflet d’une estimation de ce que ces écoles auraient coûté si les plans avaient été basés sur les anciennes normes, soit celles de 2009, dit Florent Tanlet, attaché de presse de M. Roberge.

Les nouvelles écoles

  • Charlesbourg (Québec), 2024
  • Anjou (Montréal), 2024
  • Montréal-Nord/Saint-Léonard (Montréal), 2024
  • Drummondville, 2024
  • Châteauguay, 2024
  • Saint-Zotique (près de Salaberry-de-Valleyfield), 2023
  • Vaudreuil-Dorion, 2023
  • Saint-Jérôme, 2023
  • Terrebonne, 2023
  • Chisasibi, 2023
  • Laval, 2023
  • LaSalle (Montréal), 2023
  • Mirabel, 2023
  • (Agrandissement de l’école secondaire de Chambly : 2023)

Construire sans oublier de rénover

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE

L’école Louis-Joseph-Papineau, à Montréal

« Pour des jeunes qui vivent dans la pauvreté à la maison, c’est important de pouvoir se dire : “Wow, au moins, on a une belle école” », note Frantz Benjamin, député libéral de Viau, qui comprend le quartier Saint-Michel, à Montréal.

Cette fois, la nouvelle école, elle se construira dans la circonscription d’à côté, à Montréal-Nord. Il ne peut que se réjouir que ce quartier – l’un des plus pauvres au Canada – obtienne un établissement tout neuf.

Mais en même temps, il a aussi un pincement au cœur à la pensée que ses jeunes, dans Saint-Michel, restent dans les vieux murs de leurs polyvalentes. Les mêmes qui les ont déjà accueillis, son frère et lui, il y a plus de 30 ans.

Le député se souvient de sa hâte que retentisse la cloche « pour pouvoir aller au parc et voir le soleil ».

M. Benjamin est tout particulièrement peiné pour les jeunes de l’école primaire Sainte-Lucie, qui, ces dernières années, ont été relocalisées à la polyvalente Louis-Joseph-Papineau parce que leur école tombait en ruine. Des enfants n’auront connu que Louis-Joseph-Papineau, en y faisant presque tout leur primaire et tout leur secondaire. « Dix ans de leur vie… », laisse-t-il tomber.

La compétition du secteur privé

M. Benjamin a d’ailleurs participé à la longue croisade pour doter Louis-Joseph-Papineau de fenêtres (qui ne sont toujours pas installées).

PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE

Frantz Benjamin, député libéral de Viau

Je connais des parents qui se saignent à blanc pour envoyer leurs enfants dans une autre école que la polyvalente.

Frantz Benjamin, député libéral de Viau

Il est convaincu que des écoles secondaires publiques toutes neuves peuvent aider à lutter contre le décrochage et améliorer la réussite scolaire.

Il reste qu’une école secondaire, c’est autrement plus cher qu’une école primaire, et toutes ne peuvent pas être construites en même temps. Frantz Benjamin le sait bien, mais « par justice sociale », il plaide pour qu’à tout le moins, des améliorations soient apportées aux vieilles écoles dans lesquelles sont maintenus la vaste majorité des jeunes.

Il évoque à ce propos la salle de concert réclamée depuis des années à Joseph-François-Perrault (toujours dans Saint-Michel), où le programme de musique jouit d’une excellente réputation. Si elle était construite, elle pourrait être accessible aux résidants de Saint-Michel, un quartier qui manque vraiment d’infrastructures culturelles.

Moyenne d’âge : 50 ans

En 2019, la vérificatrice générale faisait remarquer que le temps presse. Tous niveaux confondus, les écoles ont en moyenne 50 ans. « Plus le temps avance, plus l’état des bâtiments se dégrade et plus on risque de devoir les reconstruire au lieu de les réparer. »

L’une des écoles en construction, celle de Châteauguay, succède d’ailleurs en fait à la démolition de l’école existante.

Mais outre cette exception, les polyvalentes des années 1970 continueront d’être fréquentées, aussi critiquées soient-elles. Et d’un strict point de vue architectural, elles ont de la valeur en ce qu’elles sont représentatives de leur époque, souligne Claudine Déom, professeure à l’École d’architecture de l’Université de Montréal depuis 2006.

Mais on peut très bien les adapter aux besoins d’aujourd’hui. Elle cite l’exemple de l’ancien édifice de HEC Montréal, qui était dans le style des anciennes polyvalentes, et dans lequel on a percé des fenêtres dans les grandes façades de béton.

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Autres images de cette future école secondaire (la deuxième ayant été “retravaillée”), extraites de cet article de La Presse: :blush:


ILLUSTRATION FOURNIE PAR LE CONSORTIUM LEMAY | LECLERC | LECLERC (PRISME) | La luminosité est aussi un critère très important, comme le démontrent les nombreuses fenêtres de la future école publique de LaSalle, à Montréal.


ILLUSTRATION FOURNIE PAR LE CONSORTIUM LEMAY | LECLERC | LECLERC (PRISME) | Le gymnase y sera d’ailleurs très éclairé, comme le montre cette projection.

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Triste nouvelle pour terminer cette semaine. :cry: :pray:

https://www.tvanouvelles.ca/2022/06/03/grave-accident-de-travail-sur-le-chantier-dune-ecole-en-construction


Cela me fait rappeler qu’un triste événement est également arrivé sur le projet Voltige l’automne dernier, dans Ahuntsic.

https://www.journaldemontreal.com/2021/09/27/un-mort-et-un-blesse-grave-dans-deux-accidents-de-travail-a-montreal-1

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