Échangeur Turcot (2021)

Joyeuse Saint-Valentin, de la part de l’équipe du projet Turcot :heart_eyes:

https://twitter.com/MTQ_Turcot/status/1360916446948302848

TURCOT : UNE PAGE D’HISTOIRE

2020 a été une année charnière pour le projet Turcot. En effet, les dernières infrastructures principales du chantier ont été ouvertes à la circulation en octobre dernier. Bien que certaines activités se poursuivent jusqu’en 2021, principalement des travaux de parachèvement et des aménagements paysagers, le projet tire à sa fin.


Vue du nouvel échangeur et du pont de la rue Saint-Jacques. (Photo : MOCA)

Afin de rappeler le travail remarquable accompli au fil des ans, un cahier souvenir a été préparé et est maintenant accessible à toutes et à tous. Du coup d’envoi des travaux en 2011 jusqu’à son inauguration en 2020, revivez en textes et en images les moments marquants de l’un des plus gros chantiers routiers des dix dernières années en parcourant ce cahier souvenir.

Bonne lecture!

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1er de 2 articles sur la fin du projet Turcot :construction_worker_man: :construction_worker_woman:

INFRASTRUCTURES DE TRANSPORT

10 mars 2021

Turcot : le chantier de la collaboration

Entretien avec Sandra Sultana, directrice générale des grands projets au ministère des Transports

« Malgré les impacts évidents de la pandémie et du confinement, les premières voitures ont commencé à circuler cet automne sur la nouvelle structure »

Au terme de cinq ans de travaux colossaux, l’échangeur Turcot figure au palmarès québécois des plus importants chantiers routiers des dernières décennies. Retour sur les moments phares de cette imposante réfection avec Sandra Sultana, directrice générale des grands projets au ministère des Transports du Québec (MTQ).

Par Florence Sara G. Ferraris

À l’instar de bien des chantiers au Québec, celui de l’échangeur Turcot a dû s’adapter au ralentissement imposé par la COVID-19. Les travaux ont ainsi été suspendus durant sept semaines au printemps, à compter de la mi-mars 2020, causant par le fait même un léger retard à l’échéancier prévu au départ. Qu’à cela ne tienne, la nouvelle mouture de ce mastodonte autoroutier a tout de même été inaugurée en octobre dernier tel que prévu. « Malgré les impacts évidents de la pandémie et du confinement, les premières voitures ont commencé à circuler cet automne sur la nouvelle structure, se réjouit Sandra Sultana, directrice générale des grands projets au MTQ. Il reste bien quelques travaux d’achèvement et d’ordre paysager, mais ça demeure mineur. Le plus gros est enfin derrière nous ! »

Jointe en décembre dernier, un peu plus d’un mois après l’inauguration officielle, qui s’est tenue surtout de manière virtuelle en raison des circonstances sanitaires actuelles, la gestionnaire expose avec un sentiment de fierté évident les nombreux défis relevés par ses équipes au cours des dernières années. « Vous savez, le secteur de l’échangeur Turcot – qui est composé de quatre échangeurs distincts – est l’un des plus achalandés au Québec; il s’agit d’une plaque tournante nationale, insiste celle qui suit le projet depuis le tout début. Ce sont plus de 300 000 automobilistes qui l’empruntent sur une base quotidienne. Maintenir cette mobilité durant toute la durée des travaux, sans trop faire dévier le trafic dans les quartiers avoisinants, est une prouesse en soi. »

« Vous savez, le secteur de l’échangeur Turcot — qui est composé de quatre échangeurs distincts — est l’un des plus achalandés au Québec; il s’agit d’une plaque tournante nationale, insiste celle qui suit le projet depuis le tout début. Ce sont plus de 300 000 automobilistes qui l’empruntent sur une base quotidienne. Maintenir cette mobilité durant toute la durée des travaux, sans trop faire dévier le trafic dans les quartiers avoisinants, est une prouesse en soi. » – Sandra Sultana


Le cœur du tout nouvel échangeur Turcot, vu en direction du centre-ville de Montréal. CR: MTQ (MOCA photo)

Nécessaire collaboration

Pour réussir ce tour de force, le MTQ a dû travailler d’arrache-pied avec les différents acteurs de la région : la Ville de Montréal, les villes non fusionnées et les différents arrondissements touchés, ainsi que la Société québécoise des infrastructures, les services publics, les sociétés de transport collectif et les transporteurs ferroviaires présents sur le territoire, pour ne nommer que ceux-là. Des comités de bon voisinage ont également été créés pour faciliter les relations avec les citoyens résidant à proximité du chantier. « Il a fallu faire preuve de flexibilité et d’écoute, mais aussi vraiment affiner nos outils de communication, souligne Mme Sultana. Ce n’est pas toujours une mince affaire quand on se retrouve avec autant de gens autour d’une même table. »

Le séquencement des travaux au rythme des saisons mis sur pied par KPH Turcot, le consortium responsable de près de 80 % du chantier, a également permis de minimiser les impacts sur les quartiers situés aux abords du chantier. À titre d’exemple, le démantèlement de l’ancienne structure – qui à lui seul représentait un défi d’envergure – s’est principalement effectué en hiver, alors que les travaux de construction ont surtout été réalisés en période estivale, ce qui a permis, du même coup, d’organiser les fermetures de bretelles et de tronçons en phases.

Laboratoire technique

Au-delà des défis organisationnels, un chantier de cette ampleur vient avec son lot d’innovations techniques. De nouvelles manières de faire ont notamment été mises sur pied pour démanteler de façon plus efficace la structure déjà en place et pour récupérer la majeure partie du béton et de l’armature. « L’idée était d’éviter de produire davantage de gaz à effet de serre (GES) en déplaçant les matériaux démolis, explique Sandra Sultana. Ils ont donc été revalorisés : soit dans le nouvel échangeur lui-même, soit en étant transformés en remblais autoroutiers, par exemple. En tout, ce sont près de 80 % des anciens matériaux qui ont été recyclés. »

Il faut dire que le chantier de l’échangeur Turcot a eu, tout au long de sa mise en œuvre, des visées de carboneutralité. « Et nous y sommes arrivés, lance avec enthousiasme la directrice générale. Nous avons compensé toutes les émissions de GES liées aux travaux. » Concrètement, cet effort s’est traduit par la plantation de plusieurs milliers d’arbres et d’arbustes, par l’ajout de kilomètres cyclables au pied de la structure et par une meilleure intégration du projet à la trame urbaine, notamment en réduisant de près de 60 % la taille des structures par rapport aux anciennes. « Mais on espère être capable, même pour les autoroutes de cette envergure, de faire encore mieux dans l’avenir pour minimiser les contrecoups sur les quartiers avoisinants. » ■

INFRASTRUCTURES DE TRANSPORT

12 mars 2021

Turcot : l’heure d’un premier bilan

Entretien avec Jean-François Poulin, directeur de projet de KPH Turcot

« Du côté de KPH, nous avons établi de bonnes relations avec tous nos partenaires et nous avons surtout gagné leur confiance en respectant nos engagements. »

La construction des infrastructures principales de l’échangeur Turcot étant en voie d’être complétée, l’heure d’un premier bilan est arrivée. Et qui est le mieux placé pour ce faire que le directeur de projet de KPH Turcot, Jean-François Poulin ? « Toutes les voies autoroutières sont en service depuis la fin octobre 2020 et nous prévoyons la réception finale des travaux le 31 août 2021, raconte-t-il. Les travaux restants en 2021, à l’exception de la bande verte, seront principalement limités aux travaux de corrections de déficiences et à des travaux de finition, marquage et aménagements paysagers. Les travaux de la bande verte, quant à eux, seront complétés en novembre 2021. »

Par Jean Brindamour

Il faut considérer pour un tel bilan l’énormité des défis. « En effet, commente l’ingénieur, il s’agissait à la fois d’un projet gigantesque et très complexe qui n’aurait pu se réaliser sans l’apport et la collaboration des différents partenaires et de toutes les parties prenantes du projet. Du côté de KPH, nous avons établi de bonnes relations avec tous nos partenaires et nous avons surtout gagné leur confiance en respectant nos engagements. De bonnes communications entre les différents joueurs étaient critiques pour les prises de décisions et l’avancement du projet. Le développement et le maintien de ces bonnes relations avec le CN, la Ville de Montréal et le MTQ ont été essentiels à sa réussite. »

La communication avec les sous-traitants et les employés importe également «Nos sous-traitants, souligne M. Poulin, étaient pleinement intégrés aux systèmes de KPH au même titre que nos travailleurs en force propre. Ils devaient participer aux différents programmes et réunions de projet tout comme nos employés. Ils étaient conviés à des réunions quotidiennes et hebdomadaires de sécurité et de coordination dans le but de définir et rencontrer les objectifs communs relatifs à la SST, à la qualité et au respect des échéanciers. »

« La santé-sécurité n’a pas été oubliée dans ce projet géant. L’équipe de KPH a travaillé plus de 1142 jours sans incident enregistrable. »


Vue du pont du canal Lachine le 5 septembre 2020. CR : Air Photo Max (MTQ)

« Pour ce qui est des entrepreneurs généraux sous contrat avec les autres lots conventionnels du MTQ en interaction directe avec nos travaux, poursuit l’ingénieur, il était primordial d’avoir des réunions de coordination pour la bonne marche de l’ensemble des travaux. Des réunions étaient organisées par le MTQ qui rassemblaient les différents entrepreneurs pour assurer une certaine coordination et définir les priorités. Pour améliorer la coordination avec les autres entrepreneurs, KPH a toutefois mis en place des canaux de communication et des rencontres avec les entrepreneurs impliqués dans les lots conventionnels pour coordonner les activités quotidiennes afin de définir et prévenir les problématiques potentielles en rapport avec l’échéancier global du projet Turcot. Ces rencontres avaient aussi comme objectif d’informer le MTQ et de travailler en collaboration avec lui pour mitiger les impacts sur le cheminement critique de l’échéancier de projet.

Un projet carboneutre et sécuritaire

L’utilisation d’équipements hybrides a été priorisée pour minimiser les émissions de GES et des protocoles ont été établis pour s’approvisionner auprès de fournisseurs locaux et régionaux.

C’est aussi un projet dit « carboneutre ». « Pour créer un inventaire des émissions de gaz à effet de serre (GES), explique l’ingénieur, un système de télémétrie en temps réel a été mis en place pour recueillir des données exhaustives tout au long du projet. L’utilisation d’équipements hybrides a été priorisée pour minimiser les émissions de GES et des protocoles ont été établis pour s’approvisionner auprès de fournisseurs locaux et régionaux. Être carboneutre consiste principalement à la mise en place de mesures compensatoires pour les émissions de GES attribuables à un projet. Afin d’atteindre la carboneutralité, la compensation est effectuée par l’achat de crédit carbone provenant de plantations d’arbres ou de programmes d’efficacité énergétique. Dans le cadre du projet Turcot, KPH aura compensé plus de 120 000 tonnes métriques de CO2 équivalent.


Vues de la bande verte au pied de la falaise Saint-Jacques. CR : KPH Turcot

La santé-sécurité n’a pas été oubliée dans ce projet géant. « Je peux affirmer, se réjouit Jean-François Poulin, que l’impact le plus significatif de Kiewit en matière de SST sur le projet Turcot aura été l’implantation d’une culture santé-sécurité à nos travailleurs et sous-traitants et que le projet Turcot aura établi de nouveaux standards en matière de SST. L’équipe de KPH a travaillé plus de 1142 jours sans incident enregistrable.

Une des façons d’atteindre cet objectif a été notre programme VTSS (Voix des travailleurs en santé et sécurité) qui consiste en un comité de travailleurs passionnés par la SST qui désirent faire une différence en s’impliquant activement dans la SST de leurs pairs. Ce programme constituait une première dans l’industrie au Québec. » ■

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C’est maintenant officialisé.

Adieu la 720; bonjour la… 136 !

Projet Turcot - L’autoroute 720 devient la route 136 entre l’échangeur Turcot et l’avenue Papineau

NOUVELLES FOURNIES PAR | Ministère des Transports | Avr 14, 2021, 11:01 ET

MONTRÉAL, le 14 avril 2021 /CNW Telbec/ - Le ministère des Transports informe les usagers de la route que le tronçon de l’autoroute 720 situé entre l’échangeur Turcot et l’avenue Papineau devient officiellement la route 136. L’installation des panneaux de signalisation permanents sera terminée au cours des prochaines semaines.


Carte Turcot A-720 devient R-136 (Groupe CNW/Ministère des Transports)

Le changement a été amorcé dans le cadre du projet Turcot. Les citoyennes et les citoyens ont pu constater l’utilisation progressive de la nouvelle appellation durant les dernières années. Cette période de transition avait pour objectif de permettre aux usagers d’intégrer cette importante modification à la signalisation.

Le choix du numéro 136 n’a pas été fait au hasard. En effet, plusieurs règles encadrent la numérotation d’une route. Son statut national ou régional permet d’abord de déterminer la centaine. Dans ce cas-ci, le statut de route nationale était de mise, d’où la série 100, puisque la route dessert notamment le Port de Montréal, une installation internationale. Le dernier chiffre se devait d’être pair, étant donné que la route est orientée est-ouest. Finalement, cet axe se trouve entre les routes 138 et 132. Puisque le nombre 134 correspond déjà au boulevard Taschereau, situé sur la rive sud de Montréal et se poursuivant sur le pont Jacques-Cartier jusqu’à Montréal, 136 s’est alors imposé.

Liens connexes

SOURCE Ministère des Transports

D’accord, mais quel est l’utilité réelle de cette rétrogradation au niveau de route nationale ? Les gens savent déjà c’est quoi la 720 et on s’entend que ça va rien changer au débit, nombre de voies, vitesses, donc pourquoi faire se changement ? Ça reste au niveau technique une autoroute en soi.

Et pourquoi ce tronçon devient-il une route nationale, alors que la Métropolitaine, qui rencontre encore moins les normes autoroutières, reste une autoroute?

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Il y a un podcast du ministère des Transports, j’ai vu ça sur le Facebook de Craig Sauvé, dans lequel on explique le raisonnement.

En gros, on a profité de la reconstruction de Turcot pour réévaluer l’axe de Ville-Marie et Notre-Dame ensemble, comme un seul axe, et concrétiser le fait que ça ne deviendra jamais l’autoroute 20 finalement. En ajoutant Notre-Dame dans l’axe, ce n’est définitivement plus une autoroute. Ça ne devient plus seulement une collectrice vers l’A20 à l’Ouest non plus, mais plutôt une route en soi qui fait le lien entre l’A20 et l’A25. Et tant qu’à donner un seul numér à l’axe, c’est plus logique d’appeler tout le segment 136 que de mettre le numéro 720 sur la rue Notre-Dame, peu importe la forme qu’elle prendra éventuellement.

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Aussi, avec le PPU des Faubourgs, la sortie de la Route 136 (vers l’est) sera grandement modifiée, pour que ca ressemble plus à un boulevard qu’à une sortie d’autoroute. Tant mieux alors si même dans le langage courant, cette distinction débute. Lorsque le réaménagement sera mis en branle, ce sera beaucoup plus logique.

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C’est des pelleteurs de nuage, tout simplement.

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Tania Mignacca’s little creation is just adorable

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À la fin de la vidéo (4m05s), ça dit:

“Ce défi d’ingénierie exceptionnel dans l’histoire du Québec saura sans doute inspirer les ingénieurs, les décideurs et les créateurs de demain”

J’ajouterais “les graffiteurs”.

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05:00 12 mai 2021 | mise à jour le: 12 mai 2021 à 07:11 temps de lecture: 3 minutesPar: Nicolas Brasseur

Aménagements paysagers à venir dans le secteur de l’échangeur Turcot

Aménagements paysagers à venir dans le secteur de l’échangeur Turcot

Photo: Josie DesmaraisL’échangeur Turcot / Josie Desmarais

Alors que les travaux majeurs sur les infrastructures principales de l’échangeur Turcot sont terminés depuis octobre, quelques étapes du projet sont toujours en cours dans le secteur. Des travaux de parachèvement et d’aménagements paysagers permettront d’embellir les infrastructures routières.

À lire aussi:

L’autoroute 720 change de dénomination et devient la route 136

Lors de la dernière séance du comité voisinage Le Sud-Ouest et NDG/Westmount/Montréal-Ouest, qui s’est tenue virtuellement au mois d’avril, les dernières étapes du projet Turcot ont été présentées.

Quelques travaux de finitions sont en cours. Ces entraves permettent d’apporter des corrections de déficiences dans l’échangeur, faire du marquage permanent, des travaux électriques ou de retirer des graffitis. Cela devrait causer des fermetures sur le réseau autoroutier et local au cours de l’été.

Aménagements en cours

Des travaux d’aménagements paysagers sont en cours, ou le seront dans les prochains mois, près de l’échangeur Turcot. L’objectif est d’embellir le secteur qui a été au cœur de nombreux changements dans les dernières années.

Dans le secteur du boulevard Pullman, trois escaliers et des trottoirs seront aménagés, de même que du mobilier et des lampadaires. Plus de 500 arbres et de 28 000 végétaux feront désormais partie du paysage. Ces travaux se feront jusqu’en septembre.

La falaise Saint-Jacques verra aussi quelques changements. Une mise en terre de 2 800 arbres et de 20 000 arbustes est prévue de juin à novembre. La finition de la piste multifonctionnelle, la poursuite des travaux d’aménagements fauniques sont prévues. Des mobiliers urbains et des pergolas seront également installés près du boulevard Pullman.

Finalement, pour le secteur de la rue De Roberval, la plantation d’arbres et de plantes, ainsi que le remodelage du talus devraient se terminer au cours de l’été.

Turcot en chiffres

Le projet Turcot comprend quatre échangeurs, soit Turcot, Angrignon, De La Vérendrye et Montréal-Ouest.

Il s’agit de 145 kilomètres de voies de circulations réparties sur 56 structures. Le projet comprend 31,5 hectares en superficie de nouveaux espaces verts aménagés ou en voie de l’être. C’est l’équivalent de 39 terrains de football.

À la fin du projet Turcot, il est prévu que 70 000 différents végétaux auront été mis en terre dans le secteur.

Un peu plus de 3 km de murs antibruit ont été mis en place afin d’améliorer la qualité de vie des résidents du secteur. Le nouveau projet Turcot sera favorable à plusieurs modes de transport. Il comprend 8,1 km de pistes cyclables, 10,1 km de voies réservées et 21,1 km de voies ferroviaires. La disposition de celles-ci a été déplacée pendant les travaux.

Depuis quelques semaines, l’autoroute 720 a officiellement changé de dénomination pour la route 136. Des panneaux de signalisation permanents ont d’ailleurs été installés afin d’en informer les automobilistes.

99 %

Pourcentage des débris qui ont été réutilisés ou recyclés dans le cadre du projet Turcot.
https://journalmetro.com/local/sud-ouest/2640125/amenagements-paysagers-a-venir-dans-le-secteur-de-lechangeur-turcot/

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https://twitter.com/MTQ_Turcot/status/1407063051027767296

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Malgré tous les efforts qu’ils ont déployés, ce n’est que partie remise à demain soir pour le CH. :star_struck:

https://twitter.com/MTQ_Turcot/status/1410387675811512323

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PVI

FERMETURE DÉFINITIVE DE LA PASSERELLE TEMPORAIRE DE L’ÉCLUSE N°4 DE LA CÔTE-SAINT-PAUL

Nouvelle | 30 juillet 2021

Le ministère des Transports vous informe que la passerelle sera fermée définitivement dès le mardi 3 août 2021.

Cette passerelle avait été installée temporairement en 2017 pour offrir une alternative aux usagers durant les travaux du projet Turcot.

Piste et accès

  • Les cyclistes et les personnes à mobilité réduite sont invités à emprunter le pont de la Côte-Saint-Paul ou la passerelle Sir-George-Étienne-Cartier.

  • ​​Les piétons pourront emprunter les passerelles situées sur les portes de l’écluse no 4 de la Côte-Saint-Paul.

  • La piste cyclable du côté nord du canal de Lachine sera rouverte aux usagers le mardi 3 août 2021.

Fermeture-passerelle-WEB_FIN.jpg

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Étrange comme décision de démolir cette passerelle. Elle était pourtant bien achalandée !

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