Une série de documentaires sur les abords du ruisseau de la Grande-Prairie (ou Molson), qui coulait autrefois depuis Anjou, jusqu’au fleuve à Hochelaga et qui a laissé bien des traces, encore visibles aujourd’hui.
Je ne suis pas fan de la manière que la situation est présentée. On présente la zone d’exclusion comme une chose négative, mais cette partie su fleuve est à profiter avec ces yeux, jamais je ne m’y aventurais sans l’équipement et les connaissances suffisantes. Depuis que la voie maritime a coupé la rive-sud, la culture de naviguer les rapides à Côte-Sainte-Catherine et Kahnawake a été perdue.
Le ruisseau Bertrand sous l’autoroute 13. C’est vraiment dommage que l’un des seul ruisseau encore visible sur l’ile soit en aussi mauvaise condition par endroits. Il faudrait vraiment le remettre en valeur.
La baignade est toujours interdite malgré les 13 millions de dollars investis depuis 2014
L’été bat son plein et les citoyens de l’est de Montréal n’ont toujours pas accès à leurs rives pour la baignade, malgré les promesses de Projet Montréal. La baignade est toujours interdite sur les berges Mercier-Hochelaga-Maisonneuve et Pointe-aux-Trembles en raison notamment de l’habitat du chevalier cuivré, une espèce protégée. Sa présence pourrait bien freiner encore pour des années le développement des berges dans le secteur.
La Garde côtière canadienne, responsable de la première opération de ramassage, confirme jeudi avoir reçu un rapport indiquant l’apparition « d’une nouvelle nappe d’huile » à la marina de Pointe-aux-Trembles.
« La GCC a remobilisé des effectifs sur les lieux. Des estacades sont déployées, un camion d’aspiration permettant de récupérer les eaux souillées est sur place et des absorbants sont également disposés dans l’eau », explique l’agence fédérale.
Un hélicoptère et un drone sont employés pour fournir un support aérien.
La brigade nautique joue le même rôle que les patrouilleurs affectés à la circulation, mais sur l’eau. Elle vérifie que les conducteurs de bateau ont les équipements de sécurité requis, mesure l’alcoolémie des conducteurs et intervient au besoin. En moyenne, elle contrôle environ 800 embarcations par saison et remet 200 constats d’infraction.
Après avoir vérifié un premier bateau où tout était en ordre, les policiers filaient sous le pont Jacques-Cartier et en apercevaient un deuxième. À bord du Temps d’arrêt, une embarcation de 28 pieds de long, trois hommes buvaient de la bière sans alcool et étaient fiers de l’afficher aux policiers.
Au sujet de la baignade dans le fleuve à partir du parc de la Promenade-Bellerive dans MHM
Le projet de plage de baignade au parc de la Promenade-Bellerive, dans l’arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve, a du plomb dans l’aile, comme l’a rapporté fin juin La Presse. Des documents gouvernementaux révélaient alors que les autorités sanitaires s’apprêtaient à recommander d’interdire la baignade pour 2024.
L’avis officiel de la Direction régionale de santé publique (DRSP) de Montréal a finalement été publié il y a quelques jours. Il indique que le sol de la plage est contaminé, que l’eau peut facilement être contaminée par les égouts et que des déversements industriels peuvent s’y produire.
L’administration Plante fait une croix sur la possibilité d’aménager une zone de baignade avant des travaux majeurs de réhabilitation des berges prévus de 2028 à 2032.
L’avis de santé publique, « ce n’est pas des bonnes nouvelles, dans le sens où on va avoir beaucoup de travail à faire pour arriver à l’objectif d’autoriser la baignade », a affirmé Laurence Lavigne Lalonde, responsable des grands parcs au comité exécutif de Valérie Plante. Ceci dit, « on est contents d’avoir des informations un peu plus claires sur les risques associés » à ce projet, a-t-elle continué. « Au moins, maintenant on sait où on loge. »
Montreal’s public health office is advising people to stay out of the water at a popular unofficial beach in the Mercier–Hochelaga-Maisonneuve borough because the soil is contaminated.
Promenade-Bellerive park along the St. Lawrence River — where residents say they’ve already been swimming for years with their families — poses “several issues and health risks,” according to the health agency.
In an official report dated July 15, public health officials said the beach’s soil, including the soil under the water, is contaminated with lead and benzene, and that the water can easily be tainted by sewage and industrial spills.
Nos vêtements sont faits principalement de… matière plastique. Contrairement au coton, qui provient d’une plante, le polyester et le fameux spandex ou lycra — qui rendent les vêtements plus extensibles — ne poussent pas dans la nature. Ce sont des matières artificielles conçues à partir de plastique qui sont utilisées dans la production de textiles synthétiques.
Lorsqu’on les lave, de minuscules fibres de plastique se détachent de nos vêtements puis passent dans les canalisations. Une fois arrivées à la station d’épuration des eaux usées, elles déjouent le processus d’élimination en raison de leur taille microscopique (d’où leur nom, les microplastiques) et se retrouvent dans nos écosystèmes aquatiques.
Nous avons récemment mené une évaluation des microplastiques présents dans les eaux du fleuve Saint-Laurent et de son estuaire. Nous avons constaté que les microplastiques les plus abondants étaient les fibres textiles de polyester.
[…]
Dans notre étude, nous avons évalué la portion de microplastiques qui flottent dans les 40 premiers centimètres sous la surface de l’eau à 11 sites distincts du fleuve et de l’estuaire du Saint-Laurent.
Nos résultats sont sans équivoque : les microplastiques sont présents à tous les sites d’échantillonnage. Les catégories de microplastiques les plus abondantes étaient les fibres textiles, suivies par les fragments (provenant par exemple de sacs de plastique) et les sphères (provenant entre autres des produits cosmétiques).
Cet endroit en particulier est et sera toujours problématique. J’habitais à côté et c’était inondé au moins une fois par année. Si je ne m’abuse il y a une rivière souterraine qui coule a c’est endroit.
Pour plus d’information, le ruisseau Raimbault est en fait le ruisseau de Notre-Dame-des-Neiges, traversant les terres de Pierre Raimbault (1671-1740) à Saint-Laurent. Il prenait sa source à peu près à l’emplacement de l’intersection des chemins Remembrance et de la Côte-des-Neiges. Il est transformé en partie en collecteur d’égout d’un diamètre de 11 pieds dans Saint-Laurent (collecteur Leduc) en 1965. C’est lui qui ne répond plus à la demande aujourd’hui en raison des développements immobiliers de ces dernières décennies (Bois-Franc, Nouveau Saint-Laurent, etc.) et des nouvelles réalités climatiques, et c’est lui qui est très probablement responsable des récentes inondations à proximité de la gare Du Ruisseau (qui tient son nom du boulevard du Ruisseau où passait le ruisseau de Notre-Dame-des-Neiges).
Avec celle de Google Maps. Voici ce que ça donne. Il y a bel et bien quelque chose qui coule proche de Val Royal mais ce n’est pas le ruisseau N-D-des-Neiges.