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Près de 20 000 personnes ont essayé BIXI pour la première fois au cours des premiers jours de la grève de la Société de transport de Montréal (STM). Un bond important qui s’est aussi traduit par un record d’achalandage sur tout le réseau cyclable montréalais.
« On pense que ces gens-là vont rester accrochés, parce que ce qui est le plus difficile, au fond c’est de changer ses habitudes de déplacement », explique le directeur du marketing de BIXI, Pierre-Luc Marier.
Entre lundi et mercredi, au moment où le métro et les bus étaient indisponibles en dehors des heures de pointe, l’achalandage du service de vélopartage n’a en réalité jamais cessé de croître. Parti de 73 100 déplacements lundi, il est ensuite passé à 83 950 trajets le lendemain, puis 98 520 mercredi, un sommet qui marque aussi une hausse de 23 % par rapport à la journée la plus achalandée de 2024. […]
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“Entre 17 h et 19 h, ce mercredi, pas moins de trois vélos BIXI ont été loués à chaque seconde, ce qui en fait l’heure de pointe la plus intense de l’histoire du service de vélo partage implanté en 2009. Plus impressionnant encore : chaque véhicule faisait alors entre 65 et 70 kilomètres dans une journée entière.”
ça c’est malade.
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Il est difficile de répondre à la question de l’importance de l’extension en banlieue.
À Montréal, maintenant, la plus grande distance qui puisse être parcourue à Bixi (entre Pierrefonds et Sainte-Julie, je crois) est de l’ordre de 60km.
Il se pourrait que ce soit un record.
À Paris, elle est de l’ordre de 33km (probablement entre Argenteuil et Champigny-sur-Marne).
Mais cette constatation est relativisée par la distribution des stations : à Montréal, il y a beaucoup de trous dans la densité du réseau, alors qu’à Paris, le réseau s’inscrit dans un cercle assez homogène.
J’ai jeté un œil à New York, aussi (où je n’ai pas réalisé de carte).
J’arrive à peu près à 32km, sur une distribution moins circulaire.
Distances calculées par Google Maps, dans l’hypothèse où le parcours entre les stations extrêmes aurait été réalisé à pied.
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Paige sur le programme AMI BIXI
Je veux tellement de la marchandise Bixi comme à NY!!
Bixi Amis Sucks
Bixi’s rewards program is a missed opportunity.
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Est-ce qu’on sait comment le programme est financé à NYC? C’est peut-être ça la différence
Le système à New York appartient à Lyft. Alors, j’imagine que c’est financé à mêmes leurs revenus. J’imagine que les économies générées par le rebalancement des vélos par les usagers couvrent amplement les cadeaux
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C’est un inconnu. Lyft est une compagnie qui cherche du profit, et donc doit promouvoir le service. Le marketing est innée à cette structure.
Bixi est une OBNL qui ne possède même pas son réseau. La promotion du service est secondaire au besoin d’opérer sans perte. Ce n’est pas Bixi qui étend son réseau, c’est les villes qui le décident, contrairement à Citi et son proprio.
Du Wiki:
Citi Bike is not funded by any public funds or taxpayer dollars.
et aussi:
As of January 2024, yearly passes cost $220.
Je suis d’accord avec Paige sur le système d’Ami Bixi, et je ne dis pas que Bixi ne peut pas faire mieux. Cependant, je dois dire que je comprends l’écart entre les 2 expériences vu la différence entre les 2 modèles d’affaires.
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Les données durant la grève de la STM
La principale entreprise de location de vélos de Montréal annonce que ses utilisateurs ont battu des records lors de la grève des transports en commun, parcourant l’équivalent de plus de 50 fois le tour de la Terre.
BIXI Montréal, qui loue des vélos pour de courts trajets, indique que ses utilisateurs ont effectué plus de 80 000 déplacements par jour pendant sept des neuf jours de grève, dont plus de 98 500 le 11 juin. Chacun de ces sept jours a dépassé le record de 79 868 déplacements, établi en 2024.
Pierre-Luc Marier, porte-parole de l’organisme à but non lucratif, souligne que les vélos de l’entreprise effectuaient environ 10 000 déplacements par heure aux heures de pointe durant les jours les plus achalandés.
Au total, près de 700 000 déplacements ont été effectués pendant la grève des 2400 employés d’entretien de la Société de transport de Montréal (STM), couvrant environ 2 200 000 kilomètres, « ce qui représente 54 fois le tour de la Terre », illustre M. Marier.
M. Marier a affirmé que l’entreprise avait déployé tous ses camions sur la route et en avait même loué des supplémentaires afin de répartir les vélos et d’assurer un approvisionnement uniforme.
Il a précisé que l’entreprise utilise l’apprentissage automatique, une forme d’intelligence artificielle, pour prédire la demande à chaque station.
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On appelle ça un Minimum Viable Product (MVP) : avant de modifier l’application à coup de milliers de $, on met en place un système par e-mail. L’autre option aurait été d’attendre 1 an avant d’avoir le prochain release intégré dans l’app.
Nouvelle vidéo de Tom Babin qui pense que Bixi est le meilleur service de vélopartage
The mistakes that make bike-share systems suck
In all but a few cities, the bike-sharing system is not reaching its potential. Here are some ideas to make that system better for users. Huge thanks to Tosan from @theplaceeffect Keep an eye out for his forthcoming video about what makes Bixi work in Montreal.
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Dans le Plan d’action 2025-2027 en logistique urbaine (document PDF)
Page 53
AXE E – MOBILISATION DE L’ÉCOSYSTÈME
Objectif 8 : Appuyer les projets d’expérimentation de l’écosystème
Action 17 : Soutenir BIXI pour l’intégration de remorques en libre-service à leur flotte
Cette action vise à soutenir BIXI dans la réalisation d’un projet-pilote visant l’ajout de remorques à la flotte de vélos en libre-service à proximité d’artères commerciales fréquentées.
En finançant l’intégration de cette option à la flotte de BIXI, la Ville de Montréal veut encourager une mobilité urbaine plus durable pour le transport de marchandises sur de courtes distances en offrant aux consommateurs des alternatives à l’automobile pour les déplacements liés au magasinage. La Ville accompagnera BIXI dans la mise en œuvre de ce projet, notamment au niveau de la localisation des endroits stratégiques pour le déploiement de ce service.
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Reportage de CBC News sur le vélopartage à Toronto
Bike Share Toronto says it’s a victim of its own success. It’s looking to NYC for help
In the latest part of our series ‘Toronto Explained,’ CBC’s Chris Glover breaks down flaws within Bike Share Toronto’s program amid high demand — and how New York City’s popular bike sharing program might pave the way for solutions.
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Je viens de remarquer que la station à proximité du métro Jean-Drapeau n’est plus disponible. Est-ce qu’on sait pourquoi?
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Oh The Urbanity a téléversé une microvidéo sur le service de Mulo
Montreal’s Cool New Cargo Bike Option
Ever wanted a cargo bike but found them too expensive? Or maybe you don’t have a place to store it? If you live in Montreal, you have a new option: a cargo bike rental service called Mulo.
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Toronto always looks up to NY and never any other Canadian city as usual…
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Ayant habité dans les deux villes depuis 2021, je peux confirmer que la répartition des vélos est bien pire à Toronto qu’à Montréal. Les deux villes sont assez similaires, les deux avec leurs centre-villes en bas d’une colline, mais Montréal ne connaît pas les mêmes problèmes que Toronto. Voici deux captures d’écran de la situation à Toronto que je viens de prendre:
Je crois que la différence vient principalement de deux raisons:
- Il y a un manque sévère de liens cyclables protégés qui montent/descendent la colline à Toronto, donc on sent pas en sécurité, surtout quand on monte. De plus, les pistes cyclables disparaissent prèsque complètement au nord de Bloor, donc il n’y a pas trop de mouvement en haut de la colline.
- BikeShare Toronto est exploité par une entreprise privée américaine nommée Shift Transit. Je ne serais pas surpris qu’ils coupent des coins dans la répartition. Selon mes expériences, ils n’entretiennent pas très bien la flotte non plus. Il n’est pas rare de trouver des vélos avec des freins qui crient et des vitesses qui ne marchent pas.
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Faire un triathlon sur un vélo de Bixi, c’est possible. 
On Sunday at the Mont-Tremblant triathlon, the athlete chose a unique setup for the bike portion: a Bixi — a bike-share ride.
These bikes, as you can imagine, are neither light nor aero, nor particularly fast. It was Malguy’s first Olympic-distance triathlon. Ryoma Martin posted the…interesting bike hanging in the transition area. “Whoever brought a Bixi for the IM 5150 Mont-Tremblant is a legend. Good luck riding 40 km on this Bixi tomorrow,” the caption read.
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