Elle a la passe pour bus seulement, c’est beaucoup moins cher.
Moi j’aurais bien aimé qu’ils proposent la lisière 10 tickets pour A seulement. C’est ce que je prenais avant. De ce que j’ai vu la dernière fois, ils la font seulement pour AB…
Niveau présentation sur les distributrices, ça serait bien si on pouvait sélectionner les zones désirées en premier. Là c’est vraiment un gros fouillis de plein de titres dans plein de zones, tous mêlés, pas en ordre. C’est difficile de s’y retrouver, surtout qu’on veut faire vite, avec les gens qui attendent et qu’on doit nous-mêmes se rendre quelque part!
La lisière 10 en zone A existe. Je l’utilise souvent. Il faut cependant la charger sur une carte différente si tu as déjà un titre bus où tous modes AB, ABC ou ABCD vu qu’ils entrent en conflit.
En fait la dernière fois j’avais essayé de prendre sur une carte en papier, mais je n’avais pas trouvé celle seulement pour A, donc j’ai pris seulement 2 billets… Prochaine fois je chercherai! Bon à savoir merci
Les lisères de 10 passages Zone A sont disponible sur Carte Opus SEULEMENT, pourquoi? aucune raison, le AB, ABC et ABCD sont disponible sur CPO mais pas dans la zone A. Et c’est exactement ce qui fait que tu peux avoir besoin de 2 cartes Opus, puisque le billet Zone A seulement ne peut pas cohabiter avec rien d’autres.
Ah oui pour ça elle est gratuite, mais tu doit la faire enregistré a ton nom et tu vas devoir géré 2 carte Opus alors qu’avant c’était une carte. Bref je ne vois pas aucun progrès dans tout ça. L’ARTM disait que c’était l’option choisi pour ne pas avoir à changer les tourniquets et le systèmes, pendant ce temps tout les tourniquets sont en train d’être changer, alors pourquoi ne pas avoir attendu pour pousser cette refonte qui fonctionne à moitier? Et que maintenant ils sont obligé de revenir en arrière en date du 1er octobre parce que tout cela ne fait pas de sens avec une telle augmentation.
Bref ils ont accoucher de ça après des ANNÉES de délibération sans que personnes ne soit content et bref le seul avantage c’est la réduction de type de billet, mais tu gagne une carte supplémentaire gratuite et en plus tu paye plus cher tes déplacements. C’est pensé par des gens qui n’utilisent pas les transports publiques et qui ne veulent pas simplifier la vie des gens. Juste a regarder l’assemblé de l’ARTM lors de l’annonce de tout ça pour bien comprendre leur façon de penser. C’est pas leurs problèmes point.
Je serais très curieux de connaître la raison. Je doute que ce soit un choix voulu au bénéfice de la clientèle. Il doit avoir une raison technique, historique, ou administrative. Dans tous les cas, je suis d’accord que c’est un problème.
C’est parce que le lecteur d’Opus su tourniquet (ou dans le bus) ne permet pas de faire de choix.
Ex : tu es au métro Verdun et tu veux aller à Laval, ce qui requière un titre “tous modes AB”. Tu as déjà des titres “Tous modes A” sur ta carte Opus. Tu dois te procurer le titre AB. Si tu ajoutais les titres AB sur la même carte Opus, tu n’aurais pas de façon de choisir entre ton titre A et ton titre AB en passant au tourniquet. Ça prend donc deux cartes.
Il y a beaucoup d’aspects de système de transport étrangers qu’on devrait importer; la tarification oui, mais surtout une desserte étendue, fréquente et rapide. Ce qui m’épate le plus avec TfL ce n’est pas leur prix et leur système de perception, c’est le 700 km de transport ferroviaire pour passagers.
En fait, pour être plus précis, le système est capable de gérer une certaine hiérarchie de titre, il le faisait déjà. Par exemple, une personne pouvait avoir sur sa carte OPUS auparavant une lisière de billets de métro et une passe soirée illimitée. Dans ce cas-là, une personne qui passe le lundi matin se voyait prélever un billet unitaire mais s’il passe le lundi soir c’était le titre soir illimité (toujours le titre valide le plus longtemps).
Ça fait déjà longtemps que cette limite du système OPUS est connue. Les gens qui prenaient le train savent que ce n’a jamais été possible de combiner sur la même carte des billets de la STM et des billets unitaires TRAM (je ne me souviens pas si la vente était bloquée, mais en tout cas pas moyen de valider un billet TRAM au métro si un billet STM se trouvait sur la même carte). Tant qu’on ne sera pas passé à un système de style portefeuille électronique, je vois mal comment l’ARTM va pouvoir régler le problème. Ça serait donc bien que l’ARTM nous informe plus précisément des prochaines étapes.
Un élément qui m’inquiète par rapport aux paiements par carte de crédit est de savoir comment fonctionneront les correspondances, surtout si le passager anticipe un déplacement multi zones. J’ai récemment contacté les communications la STM pour savoir s’ils prévoyaient installer des valideurs à la sortie des stations et comment fonctionneront les correspondances avec les paiements ouverts. Ce qu’ils m’ont communiqué est qu’il n’y a pas d’estimations de date pour un éventuel tap-out et que plusieurs possibilités sont encore à l’étude pour les correspondances en paiements ouverts.
Présentement, la STL remet un billet de correspondance exclusif à la STL (du moins d’après la grille tarifaire). À terme, j’imagine que, selon la zone, la correspondance produite serait soit un titre bus ou un titre tout mode. Vu qu’il n’y a pas de titre d’extension pour étendre un titre déjà activé, je me demande si les paiements ouverts seront possibles pour quelqu’un qui fait un voyage multi zones à partir de la zone A ou un passager en zone B, C ou D qui commence un voyage en bus et veut transférer sur le REM, métro ou train.
Dans la mesure où il y a une correspondance, ce n’est pas trop compliqué à gérer. L’usager passe sa carte de crédit au métro Bonaventure et une préautorisation de 3,50$ est prise sur la carte. Il prend l’autobus à Laval ensuite et une autre préautorisation de 3,50$ est prise. À la fin de la journée, le système compile et un montant final de 5,25$ (zone AB dans ce cas) est facturé au client et les préautorisations sont retirées. Ça implique d’avoir un peu de lousse sur sa carte, mais en même temps la possibilité est encore là pour quelqu’un qui ne l’a pas d’aller acheter le titre exact à la machine.
Pour les trajets multizones sans correspondance, ça ne concerne pas tant de trajets que ça. Il y a le train de banlieue, le REM et 4 stations de métro en gros, non? Les autobus ne sont pas affectés par les changement de zone parce qu’on peut les emprunter avec un tarif “bus seulement”. Donc l’installation du tap-out pourrait se limiter à ses moyens de transport je présume.
Des usagers font la queue pour acheter un titre de transport à la station de métro Montmorency, à Laval. PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE
La période de la rentrée est toujours très occupée pour les employés de la Société de transport de Montréal (STM), mais cette année, ils font face à un défi encore plus grand en raison de la refonte des titres de transport qui donne des maux de tête aux usagers.
« Les gens sont mêlés », reconnaît Daniel Cloutier, gérant de la station de métro Montmorency, à Laval. « À cause de la refonte, chaque transaction est plus longue et plus complexe qu’avant. Les gens ne trouvent plus dans la machine distributrice les titres de transport qu’ils avaient l’habitude de trouver. Il y a de plus longues files, plus d’impatience, plus d’agressivité envers les employés. »
Les nouveaux titres de transport sont en vigueur depuis le 1er juillet, mais bien des gens, notamment les étudiants ou des travailleurs qui étaient en télétravail, renouent avec les transports en commun avec la rentrée.
Lundi matin, la STM avait donc ajouté des postes de vente à la station Montmorency, l’une des plus touchées par les changements en vigueur.
Daniel Cloutier, gérant de la station de métro Montmorency PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE
Les employés ont eu de la formation et sont bien préparés, mais c’est quand même plus lourd et plus stressant, parce qu’il y a la pression de la clientèle, et ils doivent répéter plusieurs fois la même chose.
Daniel Cloutier, gérant de la station de métro Montmorency
Par exemple, relève-t-il, des passagers qui ignorent les changements en vigueur achètent un billet d’autobus à 3,50 $ à Laval puis, en arrivant au métro, apprennent qu’ils doivent payer 5,25 $ pour un billet tous modes en zones A et B. Puisque ce type de titre de transport ne peut être acheté à bord des autobus, ils auraient dû acheter leur billet pour les zones A et B avant de monter dans leur autobus.
« Il faut expliquer tout ça à chaque transaction, c’est long », note le gérant de station.
Autre exemple : les usagers bénéficiant d’un tarif réduit (personnes âgées ou étudiants) et détenant déjà une carte Opus avec photo pour une zone et qui ont besoin de changer de zone doivent maintenant se procurer une nouvelle carte (gratuite). Mais produire cette carte peut prendre jusqu’à 10 minutes.
Anne-Marie Roux, directrice de la qualité du service aux usagers à l’ARTM PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE
« Plus que jamais, il faut planifier ses déplacements en amont et s’informer avant de prendre les transports en commun », insiste Anne-Marie Roux, directrice de la qualité du service aux usagers à l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM).
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Connaître sa zone
Quels sont les principaux changements qu’il faut connaître ?
La nouvelle grille repose maintenant sur quatre zones : l’agglomération de Montréal (A), Laval et l’agglomération de Longueuil (B), ainsi que les couronnes nord et sud (C et D).
IMAGE TIRÉE DU SITE DE LA STM
Dorénavant, les usagers n’ont plus à payer chaque fois qu’ils utilisent un mode de transport différent dans une même zone. Par exemple, à Montréal, les utilisateurs peuvent passer à leur convenance du bus au métro et au train. Un titre de transport de la zone A « tous modes » permettra aussi de monter à bord du Réseau express métropolitain (REM), lorsqu’il entrera en service.
Pour les usagers qui ne veulent prendre que l’autobus, il existe des titres offerts à moindre coût dans chaque zone.
Il faut retenir que votre titre de transport doit être valide dans la zone où se situe votre point de départ, sur le territoire des zones traversées et dans la zone où se situe votre point d’arrivée.
Lors d’un déplacement entre Laval et Montréal, par exemple, il faut s’assurer d’avoir un titre qui couvre tant la zone A que B. La même situation s’applique pour un voyage entre Longueuil et Montréal.
Si le titre unitaire à l’intérieur d’une même zone demeure à 3,50 $, le coût d’un passage entre les zones A et B passe à 5,25 $. Ce changement a été dénoncé par des usagers, et l’ARTM les a entendus : le 1er octobre, le tarif sera réajusté à 4,50 $.
Les options de titres mensuels ou occasionnels – forfaits de quelques titres ou de périodes ciblées illimitées – sont toujours offertes.
La STM souligne qu’on retrouve toutes les informations sur les nouveaux titres de transport sur son site web et sur l’application Chrono, ainsi que la liste des 300 détaillants où l’on peut les acheter. « On peut donc prévoir notre achat à l’avance, près de chez soi, et éviter la cohue dans les stations », faire remarquer Philippe Déry, porte-parole de la STM.
Quand je parlais de déconnection totale avec la réalité, c’est ce ça que je parlais…
Si on veut augmenter l’utilisation des TeC, il faut simplifier le processus, non la complexifier au point où on doit planifier ses déplacements comme on prépare des itinéraires de vacances.
Déjà, presque personne (sans passe mensuel) achète ses billets avant de prendre le bus. C’est a l’encontre de faire des trajets spontanément. Mais, si il y avait une façon de les acheter avec leur cell, comme ils ont fait l’analyse pour les 1500 dernières années, ce serait déjà plus simple. Mais j’ai lu 0 mise a jour sur l’implantation de cette initiative, parce que ils opèrent comme une secret society. Sérieusement, ils ont fait une période bêta et …?
