Cela nous concerne directement, puisque nous somme un important fournisseur d’appareils et de pièces.
I’m curious how Porter’s going to serve London? Leasing 787 or A330’s? Maybe one of Transats A330s or A321LR’s. (Someone on another board suggest UK probably means Bermuda or the Cayman Islands which sounds more logical given the E2 fleet.)
I think YUL might have a good chance of getting one of the Costa Rican flights
Écrasement d’un Boeing 787 Dreamliner dans une zone résidentielle en Inde
Un avion s’est écrasé mercredi peu après son décollage de l’aéroport d’Ahmedabad, dans l’ouest de l’Inde. Au moins 242 personnes, dont une douzaine de membres d’équipage, se trouvaient à bord du Boeing 787-8 « Dreamliner » qui est tombé dans une zone résidentielle à 13 h 38, heure locale.
Un Canadien était à bord, selon Air India, de même que 169 Indiens, 53 Britanniques et 7 Portugais.
Il n’y aurait aucun survivant, selon le commissaire de police d’Ahmedabad, G. S. Malik, cité par l’Associated Press.
Une épaisse fumée noire s’élevait des quartiers situés près de l’aéroport.
Selon Air India, le vol AI 171 reliait la ville d’Ahmedabad à Londres lorsque l’« incident » s’est produit quelques instants après le décollage.
vraiment triste
Before anything, please let’s not wildly speculate here on this forum on the incident; there are plenty of social media hellholes where one can play armchair investigator.
Also, helpful note: adjust your “auto-play” setting on socials (turn it off), as there are already way too many gruesome and macabre videos of the immediate aftermath online.
L’enquête nous révélera les raisons de ce nouvel accident. Négligence, maintenance, conception ou autre? Un produit Boeing qui ternira davantage la perception de plus en plus controversée de cette entreprise américaine, notamment auprès du public voyageur.
L’avion a 10-11 ans, moteurs GE. Il y a eu un Mayday avant l’écrasement.
Source: Central Industrial Security Force
Du journal indépendant The American Prospect : des ingénieurs avaient sonné l’alarme…
Whistleblowers always warned that passengers would pay a price for Boeing’s tyrannical corner-cutting, especially with the planes shipped overseas.
For 15 years now, engineers and quality control specialists have implored regulators, journalists and airlines to take a closer look at the 787 Dreamliner, Boeing’s first and only clean-sheet commercial airplane designed from scratch since the company’s horrific 1997 merger with McDonnell Douglas. The smooth surface of the lightweight composite fibers used to construct the airframe can conceal deadly structural flaws, they warned. The non-union workforce that manufactures the jets in South Carolina is unqualified to stand up to “good old boy” bosses constantly pressuring them to ignore obvious nonconformities, install malfunctioning parts and cut every corner imaginable to get planes out the door, they asserted. Unsavory subcontractors have exploited Boeing’s lax standards to litter the assembly line with fake parts, they demonstrated.
But until today, the contrarians could always demand to know: if the Dreamliner is so unsafe, why hasn’t it ever crashed?
It’s too early to know exactly what caused the bizarre crash of Air India 171 in Ahmedabad, a western India city of 5.6 million people, just seconds into what was supposed to be a 10-hour flight to London. The pilot reportedly cried “engine failure” in a mayday call to air traffic controllers seconds before the crash into a guest house for doctors, and footage of the plane, which slowly sank with its nose upturned in takeoff position, suggests a sudden loss of power. The 787 Dreamliner has been plagued by engine problems partially caused by the abundance of so-called “foreign object debris” Boeing assembly line workers chronically leave on aircraft components in their haste to move to the next task.
But there’s something else: two people deeply familiar with the Charleston 787 plant told the Prospect they had particularly acute quality concerns over planes that were delivered to Air India. Cynthia Kitchens, a former quality manager who worked at the Charleston plant between 2009 and 2016, has a binder full of notes, documents and photos from her frustrating years at Boeing, one page of which lists the numbers of the eleven planes delivered between early 2012 and late 2013 whose quality defects most kept her awake at night. Six of them went to Air India, whose purchases were bolstered by billions of dollars in Export-Import Bank loan guarantees. The plane that crashed was delivered in January 2014 from Boeing’s now-defunct assembly line in Everett, Washington, though its mid- and aft- fuselages were produced in Charleston.
As it happens, that particular plane was delivered not long after a camera crew from Al-Jazeera showed up in Charleston to investigate the horror stories its reporters had been hearing about the workmanship and corporate culture of the plant.
Sensationalist claptrap.
There are more than 1000 in service and it’s been flying for 15 years.
Les Snowbirds au dessus de Montréal à 13 h 45
If you see a group of planes flying in close formation over Montreal Sunday afternoon, it’s because the Snowbirds are conducting a fly-past for the Canadian Grand Prix. The formation will approach from the south and time its arrival to coincide with the end of the national anthem just before the race begins. The planes will fly no lower than 500 feet above the highest obstacle along the route.
Read more at: https://www.montrealgazette.com/news/article991119.html#storylink=cpy
Iberia is planning its future. In this article they mention new routes to North America including Canada. No specific city in Canada is identified. Fingers crossed Montreal is one of them.
Ils parlent de YYZ en fait.
Résumé
Une ligne aérienne de plus diminuerait le prix des billets de 9 %
Par Philippe Chabot, Le Soleil
19 juin 2025 à 08h00
Le Bureau de la concurrence a remarqué qu’Air Canada «augmente régulièrement ses tarifs par rapport à WestJet depuis 2022». (Archives La Presse Canadienne)
Le Bureau de la concurrence du Canada a appris qu’Air Canada, WestJet et Porter chargent 9 % de moins en moyenne pour un billet, quand un concurrent supplémentaire s’ajoute sur un itinéraire.
C’est ce qu’on découvre dans leur étude de marché sur l’industrie du transport aérien au Canada, publié lundi, visant à renforcer la concurrence pour faire baisser les prix et donner du pouvoir aux consommateurs.
«Nous constatons que la concurrence entraîne des tarifs beaucoup plus bas dans la plupart des situations que nous avons examinées», a écrit l’organisme fédéral indépendant.
À lire aussi: Les raisons derrière le prix élevé des billets d’avion
Québec–Val-d’Or pour 1406 $: le gouvernement pointé du doigt
Les transporteurs à bas prix piquent du nez, votre portefeuille écope
Une victoire (ou pas) coûteuse pour les voyageurs d’ici
Par exemple, il a déterminé que la compagnie aérienne à bas prix Flair fait baisser en moyenne de 12 % le montant à débourser pour un billet lorsqu’elle entre sur un marché dominé par WestJet ou Air Canada.
La montée en popularité de Porter a pour sa part incité «les autres compagnies aériennes à améliorer la qualité de leurs services», peut-on lire. Le rapport fait référence à l’introduction par Air Canada de boissons alcoolisées gratuites et par WestJet du Wi-Fi gratuit.
Cette étude a été réalisée à la suite, entre autres, de commentaires de plusieurs Canadiens clamant que le prix des vols intérieurs est trop élevé et que la qualité des services est insuffisante.
Concentration «très élevée» et peu de grands concurrents
Le Bureau de la concurrence a déterminé que, malgré les nouvelles lignes aériennes qui ont fait leur entrée au pays, la concentration reste très élevée entre les mains des deux plus grands joueurs.
En 2023, Air Canada et WestJet avaient transporté 64 % des passagers des vols intérieurs. Flair et Porter leur ont grugé des parts de marché depuis 2019, même que la seconde est maintenant la deuxième plus grande compagnie aérienne à Montréal.
«Toutefois, en moyenne, le marché reste extrêmement concentré. Il atteint plus de trois fois le niveau auquel les dispositions sur les fusions de la Loi sur la concurrence considèrent que les marchés sont concentrés», a déclaré le Bureau.
Cela s’explique notamment par la baisse de concurrence qu’Air Canada livre à WestJet, passant de sept itinéraires sur dix en 2019 à six itinéraires sur dix en 2023, et que WestJet fait maintenant concurrence à Air Canada sur 77 % des itinéraires, comparativement à 83 % il y a six ans.
«Air Canada opère désormais sans concurrence sur près d’un tiers de ses itinéraires, contre un quart auparavant. Pour WestJet, l’augmentation est passée d’environ un sixième de ses itinéraires à près d’un quart», a ajouté l’organisme d’application de la loi indépendant dans son étude.
Une augmentation des prix d’Air Canada
Par contre, même si la concurrence fait baisser le prix des billets d’avion dans la plupart des cas, le Bureau a remarqué qu’Air Canada «augmente régulièrement ses tarifs par rapport à WestJet depuis 2022».
En 2019, pour un même itinéraire, la différence de la facture était de 76 $. Elle a grimpé à 170 $ en 2023 et jusqu’à 214 $ pour les 12 mois se terminant en octobre 2024.
«Les prix d’Air Canada ont augmenté par rapport à ceux de WestJet alors que la compagnie a perdu des parts de marché au profit de WestJet. Cela suggère qu’Air Canada n’a peut-être pas apporté d’améliorations qualitatives justifiant pleinement les augmentations de prix», a spéculé le Bureau.
Une analyse plus approfondie a permis à l’organisme de croire qu’Air Canada «s’est concentrée sur l’amélioration de la qualité du service […], ce qui a entraîné des coûts plus élevés», alors que WestJet a géré «les coûts d’exploitation tout en maintenant la qualité du service».
Les recommandations
Pour augmenter la concurrence dans le marché intérieur des vols au Canada, le Bureau a apporté quelques recommandations.
- Prioriser la concurrence dans la politique de l’aviation au Canada.
- Ouvrir l’industrie du transport aérien à une plus grande concurrence étrangère.
- Soutenir l’accès au marché des régions nordiques et éloignées.
L’industrie du transport aérien est toujours « très concentrée » au pays, selon un rapport publié jeudi par le Bureau de la concurrence du Canada. L’organisme propose, entre autres, de modifier les règles pour favoriser la venue de nouveaux acteurs dans le marché et d’améliorer le service dans les régions éloignées.
Le marché canadien est depuis longtemps dominé par Air Canada et WestJet, qui détiennent ensemble de 56 % à 78 % du trafic intérieur de passagers, selon l’étude.
Cette concentration a légèrement diminué entre 2019 et 2023, ce qui « reflète le succès de compagnies comme Porter et Flair à entrer sur le marché et à se développer », peut-on lire dans le rapport. Par contre, deux compagnies aériennes au rabais – Lynx Air et Canada Jetlines – ont cessé leurs activités l’an dernier, faisant face à d’importantes difficultés financières.
On a beaucoup évoqué les discussions en vue d’une commande possible de 100 appareils A220 de la compagnie Air Asia, ce qu’a confirmé le PDG de l’entreprise Tony Fernandes mardi. Celui-ci a toutefois décidé de conclure le redressement financier de son entreprise avant de procéder à une transaction.
Selon l’agence Reuters, Airbus Canada aurait cherché à faire d’Air Asia le principal opérateur de la nouvelle version de l’A220 pouvant transporter 160 passagers.
Il avait bon espoir de mener à terme d’autres négociations, dont celle de la confirmation d’une commande possible de Royal Air Maroc. « On est optimistes », m’a-t-il réaffirmé.
Alex Laferrière was so frustrated by the treatment he, his wife and infant son received from Air Canada when their flights were delayed last July that he filed a complaint with the airline regulator.
But he was even more disturbed to learn that the Canadian Transportation Agency (CTA) has a backlog of complaints — over 87,000 — and it could take over two years for his case to be resolved
“I thought, are you joking?” said Laferrière, from his home in Sturgeon Falls, Ont. “That delay is completely unreasonable.”
And now, new data obtained under Access to Information and provided to Go Public shows that backlog could increase dramatically — by as much as 45 per cent by 2028.